Ajap 2016 Albums Des Jeunes Architectes Et Paysagistes
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Créés en 1980, les Albums des jeunes architectes et paysagistes (AJAP) sont ouverts au aux architectes et paysagistes de moins de 35 ans ayant réalisé un projet ou participé à un concours en France sans condition de nationalité. L'analyse du travail des 20 équipes lauréates de la session des Ajap 2016, offre une occasion rare : comprendre de l'intérieur la profonde transformation des métiers d'architectes et de paysagistes, toutes générations confondues. Les singularités et les parentés entre ces nouveaux maîtres d'oeuvre, mais également leurs prises de libertés et la très grande vitalité qui s'expriment à travers leurs projets confirment à quel point leur métier est en pleine mutation.
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AJAP 2018 Albums des jeunes architectes et paysagistes
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C'est désormais un moment très attendu, le prix des Albums des jeunes architectes et paysagistes (Ajap), décerné tous les deux ans par le Ministère de la Culture, établit une photographie de la jeune scène contemporaine en France, dans ce qu'elle a de plus prometteur. Soit vingt lauréats cette année, quinze équipes d'architectes et cinq de paysagistes, emblématiques de la diversité des pratiques et des territoires d'interventions de ces professionnels. Quelles que soient l'échelle et la nature de leurs réalisations, maison ou équipement collectif, jardin ou parc, c'est l'enjeu de création qui importe. Ce catalogue offre un instantané réjouissant sur la vitalité de ces jeunes talents. Pour les maîtres d'ouvrage et autres commanditaires de l'architecture et du paysage, il n'y a qu'à puiser dans ce vivier des Ajap !
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AJAP 2020 Albums des jeunes architectes et paysagistes
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C’est désormais un moment très attendu, le prix des Albums des jeunes architectes et paysagistes (Ajap), décerné tous les deux ans par le ministère de la Culture, établit une photographie de la jeune scène contemporaine en France, dans ce qu’elle a de plus prometteur. Soit dix-neuf lauréats cette session, quinze équipes d’architectes et quatre de paysagistes, porte-drapeaux d’une jeune génération fortement sensibilisée aux crises que traversent nos sociétés. Dans ce contexte d’instabilité croissante, ces équipes s’attachent à bousculer leur champ disciplinaire, élargir le regard et la pensée pour renouveler les outils et méthodes. Attentives aux territoires et à leurs ressources, elles se montrent inventives pour trouver des solutions sobres et riches de sens, quelles que soient l’échelle et la nature de leurs réalisations.
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D´Architecture n°298 : Bois ou béton ? Un procès contre l´architecture - Mai 2022
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Pour échapper aux débats stériles de la diabolisation du béton contre la sanctification du bois - évacuant ce qui est de l'ordre des processus de conception architecturale qui, eux seuls, dans leur capacité à gérer la complexité, peuvent faire évoluer la construction vers davantage de vertu environnementale -, nous avons interrogé Marc Barani, 51N4E, Youssef Tohme, Colin Reynier et Léonard Lassagne de DATA, Philippe Block de l'ETH de Zurich ou encore l'ingénieur Florent Dubois. Chacun à leur manière, ils ont su par le passé magnifier le béton, mais ils déplorent aujourd'hui la gabegie qui l'entoure, dénonçant les méfaits d'une industrialisation préférant la performance budgétaire à court terme à l'efficacité structurelle et environnementale. Alors ils remettent en cause les logiques constructives du béton, expérimentent des solutions alternatives, prônent l'hybridation avec le bois, le métal, la terre ou les matières recyclées dans l'espoir de rendre au débat son inhérente complexité et de replacer l'architecture au centre des réflexions.
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D´Architecture n°307 : Ventiler et rafraîchir sous le nouveau régime climatique - Mai 2023
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D´Architecture n°308 : Intérieurs - Juin 2023
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D´Architecture n°310 : Les matériaux naturels au secours du climat - Septembre 2023
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D´Architecture n°311: Les lieux de la mort, le grand tabou - Octobre 2023
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Il y en a dans tous les villes et villages de France, des lieux où l'on devrait avoir envie de se promener, des lieux qui devraient être les plus beaux parce que l'on peut y vivre des moments intenses, ou y rester peut-être pour l'éternité... Occupant de vastes superficies, souvent placés en plein milieu urbain, ils sont les parcs ou jardins qui nous manquent tant aujourd'hui. Et pourtant qu'ils sont laids et sinistres nos cimetières, royaume du kitsch funéraire où règnent fleurs en plastique et plaquettes de granit poli venues de Chine. Le concept de nos cimetières, hérités d'un temps où l'on vivait pendant des générations sur la terre de nos ancêtres, est devenu complètement obsolète. Mais personne ne paraît remettre en cause ce monde, sans doute parce qu'on le subit dans l'urgence et le désarroi, parce qu'il est trop tard, parce qu'on préfère ne pas y penser, mais aussi parce qu'il est soumis au lobbying du business funéraire, bien installé. Il n'y a qu'à voyager de Stockholm à Igualada en passant par Modène pour découvrir qu'un cimetière n'est pas forcément sinistre. Chez nous, leur conception ou leur entretien est confié aux services municipaux ou à des géomètres, rarement à des paysagistes ou des architectes. Il existe bien quelques rares et beaux exemples, que vous découvrirez dans ces pages, mais ils ne paraissent pas faire école. Une seule métropole, Montpellier, semble avoir pris la mesure du problème avec une magnifique extension de son cimetière de Grammont, réalisée par l'agence Traverses. Mais cette expérience, pourtant exemplaire, ne semble pas avoir ébranlé les mentalités ; les lieux des morts, qui accueillent près de 600 000 Français par an, posent des questions qui n'intéressent visiblement personne. Oui, pendant encore longtemps la France devrait rester le pire endroit pour les morts ! Emmanuel Caille
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D'A - Le Mobilier d'architectes 1960-2020
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Dans l'esprit de la grande tradition de leurs prédécesseurs - de la Sécession viennoise ou du Bauhaus -, les architectes contemporains aspirent à s'emparer des objets domestiques et tertiaires qui meublent nos existences. Ils militent pour que leur mission englobe ce qu'ils envisagent comme des petites architectures venant logiquement compléter et valoriser le cadre de vie qu'ils construisent. L'exposition « Le mobilier d'architectes, 1960 - 2020 » et le catalogue qui l'accompagne dressent un panorama critique de tous les « mobiles » qui conduisent l'architecte au mobilier, qu'il soit « héritier de la tradition » ou « chercheur », « designer occasionnel », « professionnel du design », voire « éditeur », « engagé » ou tout simplement « passionné de design ». Lionel Blaisse et Claire Fayolle mettent en lumière ce qui fait l'originalité, la diversité et la richesse de ce mobilier à travers une sélection de près de 250 pièces, et l'évocation de quinze parcours d'architectes - Zaha Hadid, Odile Decq, Jean Nouvel, Ettore Sottsass, Gaetano Pesce, Angelo Mangiarotti, les frères Castiglioni et Daniel Widrig - et d'éditeurs - Knoll, Artemide, Vitra, Alessi, Sawaya & Moroni, Produzione Privata et Memphis.
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29.00 €
D'A n°288 - Si singuliers, si différents, si proches - Avril 2021
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D'A n°289 - Mai 2021
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D'Architecture n°294 - Novembre 2021
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16.00 €
D'Architecture n°295 : Dossier Écoles d'architecture - Décembre 2021/Février 2022
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D'Architecture n°296 : Le renouveau de l'architecture en pierre - Mars/Avril 2022
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16.00 €
D'Architecture n°299 : Spécial intérieurs 2022 - Juin 2022
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Le numéro d'A Intérieurs propose chaque année en juin une édition mettant en valeur une sélection de projets architecturaux dans les domaines du tertiaire, du retail, de la restauration et de l'hôtellerie. Les journalistes Maryse Quinton et Karine Dana et la rédaction de d'A, dressent une sélection essentiellement hexagonale, offrant un regard sur les tendances, les esthétiques et les systèmes d'aménagements intérieurs les plus récents.Si sortir de chez soi, il y a peu, était synonyme de surconsommation (de masques, de gel, de plastique), de normes (d'hygiène, de distanciation) et d'entraves (de déplacements, d'accès), les obligations dues à la crise sanitaire se détachent peu à peu des espaces extérieurs. À l'inverse, les espaces intérieurs sélectionnés ici semblent avoir été marqués de façon durable, privilégiant la qualité à la quantité et les nouvelles habitudes de l'entreprenariat, telles que le télétravail. La sélection des opérations de bureaux 2022 fait clairement ressortir l'aptitude de l'architecture à être flexible et évolutive. La question principale demeure alors la suivante : « comment concevoir des espaces qui incarnent la transformation du monde du travail, en abritant des pratiques qu'on ne connaît pas encore ? ».
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16.00 €
D'Architecture n°303 : La mission de chantier en péril ? - Nov-Dec 2022
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16.00 €
D'Architecture n°304 : L'Architecture se réinvente en dehors des grandes métropoles - Janv - Fev 2023
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16.00 €
D'Architecture n°305 : Populismes architecturaux, une question de goût ? - Mars 2023
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16.00 €
D'Architecture n°306 : L'Architecture, une économie en projet - Avril 2023
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16.00 €
D'Architecture n°315 : Logements : espaces partagés, espaces fragiles - Avril 2024
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D'Architectures N°244 Les Desillusions Du Grand Paris Mai 2016
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12.00 €
D'Architectures N°246- Des Maisons Oui Mais Groupees- Juillet 2016
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D'Architectures N°249 Mosquee Synagogue Eglise Novembre 2016
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Voeu pieux Dolmens, temples, cathédrales, clochers de villages ou couvents, on aurait presque oublié combien les lieux de culte ont depuis toujours structuré nos villes et nos territoires. Si aujourd'hui ce sont davantage les malls commerciaux ou les stades qui remplissent cette fonction, quelle place notre société sécularisée laisse-t-elle encore au sacré dans le paysage urbain ? Conflictuelle depuis longtemps déjà lorsqu'il s'agit d'implanter de nouvelles églises, la construction de mosquées l'est évidemment encore plus dans un pays ébranlé par un malaise identitaire qui a contaminé l'ensemble des débats publics. Quant aux synagogues, elles sont malheureusement pour l'instant condamnées à la plus extrême discrétion. La place que l'on accorde à une communauté spirituelle dans la ville mais aussi les valeurs que celle-ci renvoie à travers l'architecture qu'elle se donne sont des signes qui témoignent très intelligiblement des enjeux qui traversent la question politique du religieux. Contrairement à la nouvelle église orthodoxe du pont de l'Alma, les mosquées françaises sont souvent reléguées dans les franges périurbaines les plus ingrates. Leur architecture ne témoigne en tout cas guère de la vitalité culturelle d'un renouveau spirituel. Le beau et courageux projet de « centre musulman » lancé par la ville de Bordeaux demeure un exemple trop rare. Fruit d'un concours de maîtrise d'oeuvre, il n'a d'ailleurs pour l'instant pu aboutir, comme d'ailleurs récemment - et pour des raisons différentes - celui de la grande mosquée de Marseille. En ces temps de crispation identitaire, on pourrait se laisser aller à rêver qu'autour de la réflexion architecturale puissent s'instaurer à la fois un dialogue détaché des stéréotypes et un renouveau de la laïcité. Un voeu pieux, forcément.
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D'Architectures N°250 Peut On Inventer En Apprenant Decembre 2016
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Théorie, pratique et théorie Les historiens ont souvent dénoncé l'anti-intellectualisme du milieu de l'architecture française. Les architectes sont-ils pour autant des professionnels préparés à affronter la réalité de la commande et du chantier et formés aux savoir-faire constructifs ? Non, car il y a toujours eu en France une méfiance envers un enseignement trop professionnalisant, comme si la trivialité du BTP bridait la créativité et empêchait de réfléchir. Ni théorie ni pratique ; mais que reste-t-il aux architectes ? Le cliché de l'artiste socialement irresponsable, capricieux et dispendieux serait-il fondé ? Une voie pourtant échappe à cette fausse opposition et rencontre un succès grandissant auprès des nouvelles générations : le design/build - ou apprentissage expérientiel - se propose justement de concilier l'acte de concevoir et celui de construire. L'idée n'est pas tant de soumettre immédiatement celui qui apprend à la dure réalité du monde du bâtiment que d'infléchir puis de nourrir sa réflexion dans l'expérience pluridisciplinaire d'un projet concret. Né dans l'effervescence de la contre-culture américaine des années 1960, ce mouvement essaime aujourd'hui partout dans le monde. De Yale dans le Connecticut à Talca au Chili ou des Grands Ateliers à l'Isle-d'Abeau à Hooke Park dans le Dorset, naissent des architectures qui ne se réduisent pas à des maquettes d'étudiant agrandies. Souvent associées à des laboratoires de recherche, ces expériences sont un véritable terreau d'innovation. Élargissant le champ d'action de l'architecte, elle lui offre aussi l'opportunité d'une relégitimation sociale.
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