L'Internement A Corbara De Civils Austro-Allemands 1914-1920
BB
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30.00 €
La Corse dans l'itinéraire intellectuel de Noccolo Tommaseo
BC
Francis Beretti s'intéresse à Adolphe Petri Palmedo qui révéla à Tommaseo la richesse de la poésie populaire slave. Eugène Gherardi publie les écrits d'un correspondant corse de Tommaseo. Les rencontres que Tommaseo a faites à Bastia inspirent à GhjacumuThiers l'idée d'une production littéraire et théâtrale. Quant à Aurélie Gendrat-Claudel et Michele Marchesi, ils se sont attachés à « transcrire de la manière la plus exhaustive et la plus fidèle les pages du journal de Tommaseo relatives à la Corse ». Marco Cini aborde les thèmes de l'indépendance nationale et des modèles de civilisation dans les oeuvres de Tommaseo, Jean-Guy Talamoni s'attache à évaluer « le poids de la littérature romantique française sur les représentations de la Corse et des Corses ». Jean-Dominique Poli étudie la portée littéraire des voyages en Corse de Mérimée et de Guerrazzi. Egidio Ivetic voit Tommaseo comme le tenant d'une paradoxale « modernité pré-moderne » de l'Europe méditerranéenne.
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15.00 €
La Corse des premiers alpinistes
BB
La Corse a joui d’une grande renommée parmi des alpinistes européens, et ce, à partir du milieu du XIXe siècle. Anglais, Suisses, Belges, Allemands, Autrichiens, Français, Italiens et même Norvégiens ou Tchèques sont venus gravir les sommets corses. L’île fascinait, offrant un nouvel espace à découvrir, alors que la conquête des principaux sommets des Alpes s’achevait. La Corse, pays aux moeurs « exotiques », semblait propice à l’aventure : la perspective de voir la mer depuis une cime enneigée ou de gravir des sommets encore vierges exerçait un attrait puissant sur tous les alpinistes. Parmi eux, plusieurs laisseront leur nom dans l’histoire. Issus d’un milieu social aisé, ces alpinistes cultivés, médecins, écrivains, peintres, géologues, botanistes... seront de fins observateurs de la société rurale et pastorale corse. Leurs nombreux récits susciteront de nouvelles vocations. Ce livre est le fruit de recherches dans des archives publiques et privées de toute l’Europe.
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42.00 €
La Corse et la Toscane
BC
La Corse n'a jamais été un monde clos et isolé. Par définition, une île est une zone de passage où l'on vient et d'où l'on part. Inscrite au coeur du bassin méditerranéen, ses liens avec les Phocéens, les Lestrygons, les Romains, les Etrusques, les Pisans, les Génois, les Provençaux, les Marseillais, les Catalans rythment les siècles. Michel Vergé- Franceschi a réuni ici une dizaine d'auteurs pour évoquer la Corse et la Toscane. Livourne fut, avec Marseille, la plus importante ville corse de Méditerranée. Les Corses y avaient un autel dit « l'autel des Corses ». Ils y avaient des charpentiers, des marins, des marchands, des facteurs, des négociants, des immeubles, des terres. Nombre de Corses entretenaient des rapports constants avec la Toscane. Maria Cosway, native de Florence, fut la meilleure amie de Paoli à Londres. Leonetto Cipriani, né à Centuri, élevé à Pise, fut l'un des grands acteurs de l'unité italienne. Les Médicis, autrefois recherchés par les Gentile cap corsins au XVIe siècle, s'intéressaient beaucoup au sort de l'île sur l'échiquier diplomatique européen. Salvatore Viale, comme Cipriani, procédait des deux cultures : Corse et Toscane. Rien d'étonnant à ce que la soeur de Napoléon devienne reine d'Étrurie et que Livourne ait acclamé Paoli en 1769 autant que Marseille en 1790.
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12.00 €
La Corse Et Les Ameriques
BC
D'un côté de l'Atlantique, le mot de « Libertà » résonne dans l'île de Corse comme le symbole des cinq ou six derniers siècles. De l'autre, les Etats-Unis d'Amérique vous accueillent au pied de la statue de la Liberté. En 1790, le pays des Droits de l'Homme et du citoyen accueille Paoli : « Monsieur vous avez inventé la Liberté à une époque où nous n'osions même pas prononcer son nom » (Robespierre). Il était donc tentant de réunir une douzaine d'universitaires et d'historiens reconnus, hommes et femmes, pour éclairer les rapports corso-américains de Christophe Colomb à la Seconde Guerre mondiale. C'est ce qu'a fait Michel Vergé-Franceschi. Si Colomb n'est pas né à Calvi, les Corses néanmoins sont légion aux Amériques dès les années 1540 et ils participent à la guerre d'indépendance américaine (1776-1783) à une époque où on porte depuis 1767 des toasts à Pascal Paoli sur le sol américain. Côté corse, les maisons dites « d'Américains » fleurissent au cap Corse dès les années 1750 et se multiplient au XIXème siècle. Marins corses à Boston et Philadelphie et planteurs insulaires en Martinique ou à Porto-Rico côtoient l'inventeur corse du premier Coca-Cola dans cette épopée qui s'achève avec une visite des États-Unis par les élèves actuels du Lycée de Corte ! Epopée où l'on voit l'intérêt des Bonaparte pour les États-Unis ; où l'on apprend que l'impératrice Eugénie descend en ligne directe de Cortès, le conquistador du Mexique ; où l'on voit que si Napoléon épouse une belle créole native de Martinique, Joséphine, Paoli lui-même fut troublé par une autre créole, marquise de la Jamaïque !
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15.00 €
La Corse et Naples
BC
Dans ses rapports avec la Corse, Naples fut plutôt un port, une ville, un royaume ami dès le Moyen Âge. Un refuge sur le long terme : pour Giacinto Paoli et son fils Pascal. Un lieu de formation militaire, universitaire (sous la férule de Genovesi), et maçonnique. Parler de Naples et de la Corse, c’est aussi relier l’île aux Bourbons et aux Voyageurs du XVIIIe siècle : Boswell. C’est bien sûr évoquer Murat, roi de Naples ou les Bonaparte, le Général Franceschetti,. Mais au-delà des grands noms, Naples, c’est aussi un peuple de pêcheurs, de corailleurs, de marins et de marchands omniprésents et établis sur les côtes corses. Naples, c’est la philosophie des Lumières. Les souverains, héréditaires, chassés, rétablis, exécutés. Les généraux. Les officiers. Les militaires, accueillis, soldés, enfuis. Les arts aussi, d’où cette évocation de la somptueuse Maison pompéienne due au prince Napoléon.
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12.00 €
La forêt d'Aïtone
BC
L'histoire des forêts insulaires est totalement liée à la construction des routes dans l'île : elles ont de tout temps permis le passage mais aussi le transport du bois vers la mer. Pour qu'une forêt sorte de l'anonymat, il faut qu'elle soit exploitée par l'homme. Il en est ainsi de la forêt d'Aïtone : Gênes a besoin de ses pins laricio et de ses sapins et elle se préoccupe de disposer d'une route pour mener grumes et planches vers Sagone. La route construite dans les années 1660 oblige à une meilleure appréhension de l'espace : de là provient la création de la lieutenance de Vico. Plus tard, Aïtone servira à la monarchie française pour combattre sur mer les Anglais dans la guerre américaine. Napoléon fera installer des batteries pour couvrir le port de Sagone. La forêt sera exploitée tout au long des XIXe et XXe siècles. Elle fait depuis cette époque l'admiration des touristes qui se pressent aujourd'hui pour en découvrir les trésors.
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15.00 €
La geste du peuple. La société rurale corse dans la documentation criminelle génoise XVIe-XVIIIe siècles
BA
Ce livre propose, à partir de l’analyse d’une série de documents provenant des fonds du Criminel génois, une approche renouvelée de la société corse à l’Époque moderne basée sur son principal paradigme : la famille comme institution politique, la parenté comme principe d’organisation de toute réalité communautaire et le parti pour structurer une société où existent des formes diverses de compétition. Dans une société agropastorale pauvre et peu monétarisée, la réputation, l’honneur deviennent un capital symbolique déterminant. Il est susceptible d’augmenter ou de diminuer comme un patrimoine. C’est un bien familial successible et que les Corses en général ont en tête de transmettre à leurs héritiers. Il peut disparaître mais aussi devenir un instrument de pouvoir. L’honneur est toujours manifesté en public : les offenses comme les réparations sont soigneusement mises en scène au vu et au su de tous. Les violences créent des contumaces et le maquis devient une extension de l’espace social. La chronique judiciaire permet de découvrir un univers de pratiques, de langages, de formes d’organisation sociale (les rapports de parenté) et de compétition politique (les partis). Or, la modernité et la maturité politiques d’une société se mesurent exclusivement à l’aune du niveau de développement d’un État central imposant à tous ses lois, ses institutions, ses rouages administratifs, sa langue. Celui-ci considère les contestations et les résistances à ses normes comme des archaïsmes et des faits marginaux et non comme des propositions alternatives. Le caractère particulier de l’État génois, un État léger pratiquement sans marine et sans armée, est qu’il propose à la société corse une administration très faible pour exercer la justice. Il est pratiquement toujours absent dans la gestion des conflits et est donc continuellement obligé de se servir de la notabilité insulaire comme auxiliaire, en offrant paradoxalement un rôle à jouer dans le domaine de la justice à un autre des vecteurs de la violence.
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15.00 €
La métallurgie du fer en Corse
BC
Dès le XVe siècle, des forges à bas foyer ont été installées dans l'île et en particulier en Castagniccia. Grâce au minerai de fer elbois - d'une qualité exceptionnelle -, la Corse a ainsi pu alimenter l'ensemble de ces établissements. Ce fut aussi l'occasion pour certains insulaires de se lancer dans une aventure industrielle, bien souvent épaulés par une main-d'Åuvre italienne. Malgré de nombreux rebondissements, notre île fut durant plusieurs siècles le terrain d'investissements de propriétaires corses déjà engagés dans d'autres entreprises. De grands hommes d'affaires français ont eux aussi succombé à la tentation de la réussite. En effet, lors de l'établissement de hauts fourneaux au XIXe siècle, des banquiers, industriels ou encore ingénieurs furent attirés par la Corse, espérant y développer cette activité. De beaux projets furent ainsi envisagés, dessinés, rédigés et réalisés.
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30.00 €
Le château de la Punta
BB
Nicheì sur les hauteurs d'Ajaccio, le chade la Punta apparaicomme une bizarrerie architecturale dans le paysage corse. Et pour cause, puisqu'il trouve sa source aÌ Paris au XVIe sieÌcle. Cet ouvrage constitue la premieÌre monographie conseìquente consacreìe aÌ ce morceau du palais des Tuileries remonteì sur la commune d'Alata. Il propose d'en explorer l'histoire passeìe et reìcente et de mettre en lumieÌre la qualiteì de son architecture et de ses deìcors, afin d'en deìmontrer l'importance dans l'histoire de l'architecture et du patrimoine franc
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25.00 €
Le circuit automobile de la Corse
BC
Le jeudi 21 avril 1921, à huit heures trente du matin, le premier bolide s’élance de Casamozza di Casinca en direction de Corte pour ce qui constitue la première course automobile jamais disputée dans l’île. Ils ne sont qu’une dizaine à se disputer le trophée du Circuit automobile de la Corse, mais ce sont des pilotes chevronnés, certains de renommée internationale. En cet après-guerre encore marqué par les pénuries, cela constitue déjà un exploit de la part des organisateurs d’avoir pu réunir de tels coureurs. Le succès sportif comme populaire est au rendez-vous et la compétition trouve un écho dans la presse jusqu’en Nouvelle-Zélande. Au-delà de l’aspect strictement sportif, le Grand Prix de la Corse traduit bien, à sa manière, les espoirs d’une île à la recherche d’une voie nouvelle tant dans le domaine du développement sportif et économique que dans ceux du politique et de l’identité. Il en traduit également ses ambigüités. Moment fugace et échec final, symboliquement accentué par le succès des cérémonies du Centenaire napoléonien, synonyme d’une Corse figée dans des représentations archaïques et bientôt engourdie par le retour de l’immobilisme politique et social.
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15.00 €
Le feu de l'Antiquité à nos jours en Méditerranée
BC
L'auteur interroge le mode de vie des bergers façonné par des siècles de nomadisme : enfance, scolarité, rapports avec les autres membres de la société, place des femmes dans leur vie. Comment ont-ils géré les frustrations et les traumatismes générés par la vie qu'ils menaient en marge des communautés ? Craints et parfois détestés, les bergers corses, qui s'étaient parfaitement intégrés dans leur environnement, vivaient en harmonie avec le monde qui les entourait. Un sens inné de la survie qui avait développé cet instinct nécessaire pour apprendre à se loger, à se nourrir, à s'habiller ou à vivre au quotidien. Ces savoir-faire uniques, qui ont permis aux bergers de traverser les siècles avec leurs troupeaux, sont aujourd'hui menacés. L'auteur a tenté de les comprendre et de les sauver de l'oubli avant qu'ils ne disparaissent à tout jamais.
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15.00 €
Le nom de personne en Corse à la fin du Moyen Âge.
BA
Cet ouvrage est le résultat d’une étude d’onomastique historique portant sur les noms de personne tels qu’ils ont été enregistrés sur plus des trois quarts de l’île dans les registres de la Taglia, documents recensant plus de 26 000 individus et établis en 1537, à la charnière entre la fin du Moyen Âge et le début de l’époque moderne. Comme le sous-titre l’indique, l’étude porte, d’une part, sur le système anthroponymique (comment nommait-on et selon quelles règles ?) tel qu’il peut apparaître au travers de ces documents et, d’autre part, sur les noms de personne proprement dits (quels noms donnait-on et pourquoi ?). L’étude en elle-même n’est pas nouvelle dans le domaine de l’anthroponymie médiévale méditerranéenne, exploré depuis le milieu des années 1980, mais elle se veut novatrice en ce qui concerne le domaine anthroponymique corse jusqu’ici abordé de façon superficielle ou fragmentée.
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15.00 €
Le temps des îles
BC
Parcours incroyable que celui de Jean-Paul Giorgetti tout à la fois météorologue, voyageur et philosophe. Par son parcours professionnel mais aussi géographique, sans oublier un regard sprirituel, il s'est enrichi de cultures nouvelles, a parfois inventé de nouveaux concepts et métiers et n'a pas hésité à saisir les opportunités que la vie lui a offertes. Ces carnets, très personnels, ont pour dénominateur commun la mer et des rivages insolites associés à ce destin de météorologue -aventurier hors norme. Au travers du récit de 40 années d'aventures professionnelles et personnelles, Jean-Paul Giorgetti nous fait partager sa découverte de contrées parfois très atypiques, éloignées de la civilisation avec pour certaines la nature, les éléments, l'air et l'eau pour seuls compagnons de route mais également sa perception des différentes us et coutumes des territoires qui l'ont choisi.
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14.00 €
Les constructions temporaires traditionnelles de la Corse rurale
BB
Cette étude traite de l’habitat temporaire dont on connaît l’importance dans une société traditionnelle corse caractérisée par ses activités rurales et notamment pastorales. Une telle analyse se rapporte certes à l’habitation mais aussi au terroir et donc aux potentialités économiques des communautés. D’où la nécessité de choisir plusieurs zones différentes et de les analyser de façon si possible « exhaustive » afin de ne pas négliger cette donnée primordiale que représente l’occupation des sols et de déterminer une véritable typologie des formes construites en réunissant l’ensemble des documents observables dans les régions sélectionnées, seule manière d’entreprendre, entre autres, une recherche chronologique pertinente. D’autres contributions donnent la possibilité d’affiner ou de compléter les travaux précédents. C’est le cas des enquêtes ethnographiques (mise au point d’un questionnaire de type ethnologique touchant le repérage microrégional mais aussi enquêtes sur les savoir-faire relatifs au bâti en fonction des qualités géologiques et pétrographiques, si possible sur les variantes lexicales désignant les différentes structures), ainsi que des études historiques, archéologiques, géographiques. Ainsi peuvent intervenir, pour un éclairage pluriel, plusieurs spécialistes qui, après avoir mis au point des fiches d’analyses spécifiques, rassemblent des informations variées. À noter que les travaux de terrain ont étéâconfiés en partie à des étudiants de Doctorat, de Master, de D.E.A. de l’Université de Corse.
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32.00 €
Les Corses et la Couronne d'Aragon
BC
En 1297, le pape Boniface VII donne la Sardaigne et la Corse en fief au roi Jacques II dAragon. Cette inféodation fait entrer lîle, pour deux siècles, dans les stratégies complexes de la Couronne dAragon qui cherche alors à se constituer une sphère dinfluence entre la Catalogne et lItalie. Dans un premier temps, les Corses sengagent timidement auprès de leur nouveau suzerain, jusquà ce que certains seigneurs, comme Arrigo della Rocca ou Vincentello dIstria tissent des liens étroits avec ce maître puissant mais lointain, dont lalliance permettrait de contrebalancer le poids de la Commune de Gênes dans les affaires de Corse. Quel est le projet politique de la Couronne dAragon pour la Corse ? Comment les Corses intègrent-ils le fait aragonais aux problématiques de la société insulaire ? Croiser ces deux approches conduit à analyser les liens entre lîle, la Catalogne et la Sardaigne.
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17.00 €
Les début du tourisme de villégiature en Corse
BA
ARGUMENTATION : Ce sujet est une vaste question qui se pose dans l’île de différentes manières car l’île, mer et montagne, offre à celui qui débarque une foule de comportements possibles, les uns ardemment souhaités, les autres beaucoup moins… De par l’unicité de ces paysages à préserver, à protéger, à conserver, la Corse a commencé par faire naître au XIXe siècle un tourisme de villégiature. Le château de La Punta attira les premiers voyageurs. Les aristocrates du continent y étaient reçus par les ducs Pozzo di Borgo qui venaient de le construire au-dessus d’Ajaccio avec les pierres des Tuileries ! Les hommes de plume parcouraient l’île comme Prosper Mérimée en 1840, ou James Boswell du temps de Paoli. Un Anglais déjà ! Suivi par beaucoup d’autres, à cause du climat. Un Allemand aussi, comme Ferdinand Gregorovius. C’était le temps des calèches et des premiers alpinistes. Le train remplaça les chevaux. Gustave Eiffel vint construire ponts et viaducs. Napoléon III aménagea des routes. La voiture arriva. Les affiches publicitaires témoignent de l’évolution des Temps. Le Voyageur devint Touriste. La villégiature, Tourisme de masse. Entre séductions économiques et préservation de la Nature et de l’Eau, l’activité touristique doit trouver son juste équilibre. C’est l’affaire de tous pour que l’île reste Kalliste, « la plus belle », comme le disaient les Grecs et que sa tradition d’hospitalité n’en fasse point un territoire dénaturé.
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15.00 €
Les édifices romans de la Corse-vol 1
BC
Ces travaux s'appuient sur vingt ans de recherches et s'inscrivent dans le prolongement de l'oeuvre de Geneviève Moracchini-Mazel. Ce premier volume rassemble plus de cent cinquante édifices, des cathédrales aux simples chapelles monastiques, répartis sur le Cap Corse, le Nebbio, le Grand Bastia, la Balagne et la côte occidentale. L'originalité de la démarche repose sur la volonté des auteurs de se rendre systématiquement sur le terrain pour livrer un état le plus précis possible des édifices rencontrés. Outre le travail de mise en fiche, chaque édifice a été photographié et est accompagné d'images anciennes ou de documents de fouilles, venant illustrer une description la plus complète possible malgré, très souvent, la faiblesse des sources complémentaires. Rassemblant des données éparses et souvent méconnues, les auteurs ont souhaité livrer une nouvelle vue d'ensemble de ce patrimoine religieux qui remonte à la fin du IVe s. pour atteindre au fil du temps son apogée au XIIe siècle.
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38.00 €
Les édifices romans de la Corse-volume 2
BB
Les travaux que nous livrent Claudine Levie et Philippe Deltour s’appuient sur près de vingt ans de recherches et s’inscrivent dans le prolongement de l’oeuvre de Geneviève Moracchini-Mazel. Un premier volume a rassemblé plus de cent cinquante édifices, des cathédrales aux simples chapelles monastiques, répartis sur le Cap Corse, le Nebbio, le Grand Bastia, la Balagne et la côte occidentale. Ce second tome traite de la Castagniccia, du Centre, du Grand Sud et de la Côte orientale complétant ainsi un vaste répertoire s’étendant à l’ensemble de l’île. L’originalité de la démarche repose sur la volonté des auteurs de se rendre systématiquement sur le terrain pour livrer un état le plus précis possible des édifices rencontrés. Outre le travail de mise en fiche, chaque édifice a été photographié et est accompagné d’images anciennes ou de documents de fouilles, venant illustrer une description la plus complète possible malgré, très souvent, la faiblesse des sources complémentaires. Rassemblant des données éparses et souvent méconnues, les auteurs ont souhaité livrer une nouvelle vue d’ensemble de ce patrimoine religieux qui remonte à la fin du IVe siècle pour atteindre au fil du temps son apogée au XIIe siècle.
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38.00 €
Les Maréchaux d'Ornano au coeur de l'histoire.
BC
L'historiographie contemporaine a tendance à oublier le rôle majeur des Corses à l'époque des Valois et des Bourbons tel Alphonse d'Ornano, revêtu par Henri IV de l'une des cinq dignités de maréchaux de France. Elevé au Louvre avec les futurs Charles IX et Henri III, Alphonse -fils aîné de Sampiero Corso- fit passer le service du Roi au-dessus de tout, en pleines guerres de religion. Maire de Bordeaux, il est le père de Jean-Baptiste, le deuxième des trois maréchaux d'Ornano, enterré à Aubenas. Avec les deux mille Corses qu'ils ont alors sous leurs ordres, ils sont omniprésents dans cet arrière-pays qu'est pour eux le royaume de France. Combattants au Havre, gouverneurs de Normandie ou de Guyenne, officiers généraux ou riches armateurs, officiers, soldats ou corailleurs, les Corses des XVIe et XVIIe siècle gouvernent Pont-Saint-Esprit comme Pont-Eau-de-mer (sic), écrivent l'histoire de Lyon, de Grenoble, du Vivarais, du Dauphiné, de la Provence aux ordres des maréchaux d'Ornano.
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15.00 €
Les pratiques alimentaires de Méditerranée
BA
Les pratiques alimentaires réunissent de nombreuses fonctions, qui vont bien au-delà du simple fait de survivre. La Méditerranée offre un régime commun notamment dans les denrées et savoir-faire proposés, mais également des spécificités liées tant aux climats qu’aux différents cultes et cultures, dont la superposition et les échanges relatifs au commerce ou aux conquêtes s’expriment aussi dans l’art culinaire. Cette réflexion cherche à établir la constance, l’influence mais aussi l’évolution de ces pratiques de l’origine, de ce que l’on connaît depuis la Préhistoire, en passant par l’Antiquité, la période étrusque notamment, jusqu’à la gastronomie et à l’expression culturelle et cultuelle d’aujourd’hui. Quelle place alors pour les savoir-faire face à la mondialisation, aux normes gustatives ou sanitaires ? quel impact sur la santé ? comment s’intègre le culturel dans l’ouverture ? de même, le pan symbolique, notamment les pratiques liées aux fêtes ou aux moments marquants de l’année, sera également étudié dans ce sens. Qu’en est-il aujourd’hui du jeûne, de la notion de frugalité, d’abondance ? comment gère-t-on l’ivresse, la bombance, ou au contraire l’interdit ? autant de questionnements auxquels des chercheurs issus du monde méditerranéen et de différentes disciplines (anthropologie, ethnologie, archéologie, littérature, histoire) ont apporté leur lumière dans le cadre d’une réflexion autour des pratiques alimentaires de Méditerranée qui a suppléé au workshop prévu le 15 octobre 2021, à l’Université de Corse et annulé à cause de la situation sanitaire du moment.
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15.00 €