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7 prophètes

BC

L’ouvrage présente sept prophètes : trois d’entre eux, Descartes, Rousseau et Nietzsche nous annoncent de grands bouleversements provoqués ou favorisés par les idées qu’ils véhiculent ; quatre autres, Pascal, Kierkegaard, Dostoïevski et Soloviev nous révèlent les mêmes troubles mais en nous proposant les moyens de les surmonter. D’une actualité surprenante, chacun à sa manière et avec son charisme propre nous éclaire, nous inspire et nous incite à l’action. Le lecteur est ainsi vivement encouragé à s’introduire dans ces esprits prophétiques s’il désire vraiment saisir l’essence et l’origine des différentes problématiques actuelles. Diplômé en droit de l’Université René Descartes (Paris V), Alexandre Dianine-Havard a exercé comme avocat à Strasbourg et à Helsinki. Il a créé le système de Leadership Vertueux (www.hvli.org). L’Institut de Leadership Vertueux est une communauté de spécialistes des secteurs les plus variés qui ensemble dirigent un mouvement international dont l’objectif est de former une nouvelle génération de leaders vertueux capables de transformer le monde. Alexandre Dianine-Havard est aussi l'auteur de : Du Tempérament au caractère, Coeurs libres, Créé pour la grandeur, Le leadership vertueux. Grandir en faisant grandir les autres, voilà ce qu’est le leadership. Le manager fait avancer les choses ; le leader fait avancer les hommes. En élevant les autres, le leader s’élève lui-même. L’essence du leadership est la magnanimité (l’habitude de tendre vers de grandes choses) et l’humilité (l’habitude de servir les autres). La vrai grandeur c’est la croissance des hommes et non pas la conquête d’un empire. Le leadership n’est pas une question de rang ou de hiérarchie : c’est une disposition de l’être. Le leadership n’est pas réservé à une élite : c’est la vocation de la multitude. Notre vision du leadership correspond aux exigences les plus authentiques de la nature humaine et aux aspirations les plus nobles du coeur humain.

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15.00 €

A César ce qui est à César

BC

L’auteur analyse la question du relativisme dans la société actuelle, à la lumière des enseignements du pape émérite, Benoît XVI, notamment celui sur la «saine laïcité». Il ne s’agit pas d’une simple description du phénomène, qui laisserait le lecteur dans une impasse intellectuelle, mais bien d’une proposition des enseignements de Benoît XVI, pour tenter de résoudre la crise du sens, de sorte que la vérité sur l’homme puisse retrouver sa place dans le débat public. Placé face à sa conscience, le lecteur est invité, dès l’introduction, à participer à la construction d’une nouvelle culture fondée sur la vérité sur l’homme.

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18.00 €

Benoît XVI - Le pape de la raison et de la foi

BC

Benoît XVI, le pape de la foi et de la raison, affronte la « dictature du relativisme », la crise de l’indifférentisme religieux et la quête de sens du monde contemporain. Dans ce contexte, il invite le lecteur à devenir coopérateur de la vérité, en engageant la raison dans un continuel dialogue avec la foi, pour que le centre de son message puisse être accueilli : le Christ est le Fils de Dieu qui s’incarne pour nous sauver à travers la Croix et la Résurrection. Son message, centré sur le kérygme salvifique, donne un sens à l’homme contemporain et remplit son existence d’espérance. Le pape émérite incarne humblement sa théologie : l’espérance du chrétien s’enracine dans la connaissance de l’impossibilité de nous sauver par nos propres forces. Mariano Fazio est historien et philosophe, spécialiste de la philosophie contemporaine. il vit à Rome.

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15.00 €

Dorothy Day et Jacques Maritain

BC

Rien ne pouvait laisser prévoir que Dorothy Day et Jacques Maritain sur rencontreraient et, surtout, qu'ils deviendraient amis. Originaires de milieux très différents et tous deux durement éprouvés, leur existence est la preuve que rien n'est joué d'avance. Tant l’un que l’autre, tentés par le suicide à un moment de leur vie, sont des chercheurs de sens qui, grâce à leur entêtement et à leurs amitiés, ont su découvrir une vérité capable d’éclairer et de vivifier leur existence. Leur conversion au catholicisme marque un commencement qui se manifestera pour chacun en accord avec son charisme.

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18.00 €

Du positivisme au réalisme juridique

BC

Un constat : deux conceptions de la norme divergent. L'une se fonde sur un ordre « donné » et l’autre sur un pur « construit ». Dans le positivisme juridique, la norme est fondée sur la seule force de la volonté générale, selon un principe immanent, tandis que dans le réalisme, celle-ci est fondée sur un ordre établi, extérieur et préexistant. La loi est ainsi pensée comme la règle du droit (nomos), soit la mesure du droit, mais non le droit lui-même. Face à ces deux grandes conceptions du droit, le juriste est amené à faire un choix : celui du fondement de la norme. Bénédicte Bernard, docteur en droit canonique, a exercé en tant qu’avocat et enseigné le droit privé à Paris I Panthéon-Sorbonne. Auteur de Laïcité française et sécularité chrétienne, elle est actuellement directrice des Editions Boleine et vit à Paris.

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7.00 €

Épargner en vue du bien commun

BC

Epargner, investir, c’est ce que tout le monde fait ou presque, parfois sans le savoir. Mais peu d’entre nous ont intégré le fait que, ce faisant, ils influençaient le devenir de l’économie, et par là de la société. Peu à leur seul niveau, beaucoup avec les autres : les petits ruisseaux font les grandes rivières. Car le fait de mettre de l’argent ici plutôt que là a deux effets : cela envoie des moyens à certains plutôt qu’à d’autres, et cela envoie un message. Or l’épargne, c’est la matière première de l’investissement, et l’investissement, au niveau collectif, c’est ce qui façonne l’avenir. Epargner éthiquement, investir éthiquement, c’est donc tout simplement s’efforcer à son niveau d’influer sur la vie économique pour l’orienter dans le sens du bien commun. Voyons comment on peut s’y mettre. Epargner et investir , pourquoi faire ? Que faire de son argent ? On peut le consommer, le donner, ou l’épargner. Les trois sont indispensables, et en même temps les trois méritent réflexion. Que consommer et combien ? Que donner et à qui ? Et bien sûr, ce qui est notre propos ici, comment épargner ? La place de l’épargne tombe sous le sens à partir du moment où on a le souci de l’avenir : l’épargne, ce sont des ressources qui seront à notre disposition à l’avenir, quand le besoin pourra s’en faire sentir. Mais qui dit épargne dit investissement. Car il n’est pas question de garder de l’argent accumulé en billets, pas même sous forme de compte bancaire. Déjà, si on épargne en vue de l’avenir, c’est dans l’espoir que cette épargne fructifie, ou au moins pour en préserver la valeur. Et encore plus simplement, pour qu’elle soit sûre, toujours là et disponible ; si possible rapidement (ce qu’en finance on appelle la liquidité). Cela ne se fait pas tout seul, cela demande de l’effort et de l’attention. Même si comme on faisait autrefois et comme certains le font encore si vous stockez de l’or : qui le gardera ? qui le portera ? qui l’achètera en cas de besoin ? La question ne se poserait pas dans un monde irréel où les besoins seraient en permanence assurés par le système social. Mais en supposant même qu’il soit réalisable, ce qui est douteux, ce monde serait cauchemardesque : un monde sans liberté ni responsabilité, sans choix ni créativité, sans entreprise ni autonomie. Par contraste, il y a épargne parce que nous sommes dans un économie décentralisée, où chacune gère avec liberté les moyens qui sont à sa disposition ; cela vaut pour la consommation mais aussi pour l’épargne. Or en consommant plutôt un produit ou un service qu’un autre, non seulement nous faisons un choix pour nous-mêmes, mais nous envoyons un message au système commercial et par là à l’appareil de production. Il en est de même pour l’épargne. Comme notre épargne est ce qui, à travers le système financier, financera en partie appréciable l’investissement, c’est-à-dire ce qui permet de fabriquer l’appareil de production de demain, la destination de notre épargne contribue à orienter l’économie de demain - à son niveau, à sa façon, et avec d’autres facteurs. Il y aura donc en permanence une double dimension à notre épargne : vu de notre côté, ce sera un souci de fructification et de disponibilité en temps utile, notamment avec la recherche d’une certaine sécurité ; vu du côté de la société, ce sera une mise à disposition de moyens financiers qui nourriront l’investissement. Pierre de Lauzun a été directeur général délégué de la Fédération bancaire française et délégué général de l’Association française des marchés financiers (AMAFI). En parallèle, il a une activité d’essayiste, primé au niveau international (en 2015, prix de la Fondation vaticane Centesimus annus pour Finance, un regard chrétien). Il est l’auteur de nombreux autres ouvrages dont récemment Pour un grand retournement politique (Éditions du Bien Commun, 2019), L’argent, maître ou serviteur ? (Mame, 2019), Dieu, le mal et l’histoire (Téqui, 2022).

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15.00 €

Et Edmond devint Rostand

BC

Cyrano de Bergerac, triomphe absolu du théâtre français joué, encore aujourd’hui, dans le monde entier, est l’arbre immense qui cache la forêt de l’oeuvre théâtrale et poétique d’Edmond Rostand. Cette biographie intégrale raconte la saga de cette étonnante famille d’où émerge la figure tutélaire de celui qui fut appelé « Le Poète national », académicien à 34 ans ! L’auteur se livre ici à un découpage minutieux de la vie de l’écrivain, de ses plus grands succès à ses oeuvres inachevées. Il le suit pas à pas sur le chemin de la gloire, un chemin escarpé où les douleurs physiques et morales sont autant d’obstacles à surmonter. À ses côtés, son indispensable épouse Rosemonde Gérard, et les deux monstres sacrés de l’époque, Sarah Bernard et Constant Coquelin, sont les piliers de sa fulgurante carrière. Thomas Sertillanges, chevalier des Arts et des Lettres, président du Festival Edmond Rostand qu’il a créé, multiplie les actions en faveur de la mémoire du poète. Il est notamment à l’origine de l’élévation de son buste à Paris en juin 2023. Son prochain projet est la création du Musée Cyrano de Bergerac.

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22.00 €

Et toi, qui es-tu ?

BC

Et toi, qui es-tu ? Cette simple question va directement au coeur de la personne, de ce que nous sommes chacun d’entre nous. Ce livre met en perspective des réflexions susceptibles d’apporter des réponses profondes et durables. En effet, nous ne sommes pas un amas disparate ou une simple juxtaposition d’éléments constitutifs, mais une unité, mieux, une harmonie. Nous ne sommes pas des êtres sans consistance qui volent au gré du vent et des changements climatiques ou sociétaux, mais des êtres de destinée, dont la perspective future est ouverte. Oui, nous sommes tout cela aujourd’hui, dans le temps qui est le nôtre, dans la société qui est la nôtre, mais chacun doit le savoir vraiment et le vouloir librement, dans les circonstances concrètes de ses amours, de ses amitiés, de son travail et de sa vie. Marie-Noëlle Muller vit actuellement à Aix-en-Provence.

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25.00 €

Éthique pour la vie moderne

BC

Etre libre exige de vivre intensément, d’être protagoniste et non observateur, c’est-à-dire de prendre en main sa propre biographie. La liberté est davantage une conquête que le résultat de choix triviaux et passagers. Celle-ci a besoin d’un projet vital unique et irrépétible qui permet de s’épanouir. Le livre offre, dans un langage simple, les principales clés éthiques pour vivre librement dans une société moderne. Il contient différents témoignages de personnes qui racontent comment certaines de ces clés ont changé leur horizon existentiel et leur vie quotidienne. Les auteurs, philosophes et penseurs contemporains, apportent les paramètres nécessaires pour dépasser les défis et les difficultés au quotidien, dans une société chaque fois plus compétitive et exigeante qui nous soumet à de dures épreuves physiques et psychiques. L'auteur vit à Valence en Espagne.

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15.00 €

Fascinante IA

BC

Les progrès de l’informatique et l’explosion des données ont ouvert à l’homme des perspectives étonnantes dans de multiples domaines : développement des sciences, robotique, amélioration du confort, de l’intercommunication, de la médecine. Nous pouvons nous étonner à juste titre de l’ampleur de l’aide que la technique nous apporte quotidiennement. Cependant, toute cette technique, que certains appellent intelligence artificielle (ou I.A.), si elle nous rend déjà de nombreux services, peut présenter des effets pervers. Les auteurs examinent les risques et opportunités que génère l’I.A. En marge de ces considérables apports, des écueils et dangers émergent. Les auteurs mènent une réflexion sur les diverses manières de concevoir et d’exploiter les applications I.A. Ils proposent une grille d'analyse et de recommandations afin de guider les réflexions et d'orienter les actions des concepteurs et utilisateurs.

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22.00 €

Histoire des idées contemporaines

BC

Le processus de sécularisation constitue le fil conducteur de cette histoire des idées contemporaines. Il est analysé avec une vision chrétienne de l’homme et de l’histoire. Les clés de l’époque moderne du XVIe au XVIIIe siècle sont exposées dans une première partie. Dans une deuxième partie sont explorées les principales idéologies contemporaines – libéralisme, nationalisme, marxisme, scientisme – ; leur rôle de religions substitutives est notamment souligné. La troisième partie porte sur la crise de la culture de la Modernité au XXe siècle et examine en détail le nihilisme, la société permissive et les mouvements culturels les plus actuels, tels le féminisme, l’écologisme, les nouveaux mouvements religieux. Le livre s’achève par une quatrième partie dédiée à une recherche approfondie de la relation entre l’Église catholique et le monde contemporain.

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27.00 €

Intellectuels dans la cité

BC

C’est dans le but de contribuer à apporter des solutions à la crise de la culture occidentale que l’auteur analyse la pensée de quatre intellectuels français de la période de l’entre-deux-guerres (Nicolas Berdiaeff, Étienne Gilson, Emmanuel Mounier et Jacques Maritain), alors que, dans des circonstances similaires aux nôtres, ceux-ci formulaient des propositions pour tenter de surmonter la crise. Certaines de leurs lumières peuvent encore servir aujourd’hui pour illuminer les recoins obscurs de notre culture européenne, vivante et ouverte dans ses racines, mais sclérosée et enfermée en d’étroites limites dans certaines de ses expressions.

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18.00 €

Je verrai le ciel ouvert

BB

Étienne, prédicateur juif du premier siècle, est un personnage des Actes des Apôtres, l'un des livres appartenant au Nouveau Testament. À travers un magnifique monologue, la parole est donnée à Étienne qui s’apprête à devenir le premier martyr de la chrétienté, sur la place publique, face au sanhédrin. Il sait que cela va mal tourner : les accusations, le ciel ouvert, les pierres, le martyr. Il le sait bien et l’annonce d’emblée. Comment en est-il arrivé là ? Qu’est-ce qui a pu le bouleverser au point qu’il soit prêt aujourd’hui à donner sa vie ? Étienne reprend le fil de ses souvenirs : juif parmi d’autres juifs, du Temple de Jérusalem à Béthanie, en passant par les chemins de Galilée, ce tissu de rencontres qui lui ont dévoilé le vrai visage du Christ. Le texte donne corps aux mots de l’évangile, mais aussi à ce que les évangélistes n’ont pas écrit, ces blancs laissés entre les lignes où le réel prend du relief. La pièce alterne ainsi deux temporalités : celle du présent – un procès sensible et tendu vers une fin annoncée –, celle du passé – une plongée narrative et imagée dans la Jérusalem du premier siècle. Auteur dramatique, metteur en scène et professeur de théâtre en lycée, Juliane Stern écrit sa première pièce dans l’élan d’une rencontre avec une personnalité hors norme et a priori peu théâtrale, celle d’Édith Stein, philosophe juive devenue carmélite, dont le combat intérieur la fascine : Le Monde est en feu (Librairie théâtrale, 2014) qui se donnera au festival d’Avignon. Entre 2016 et 2019, elle écrit et met en scène deux pièces sur le monde du travail : Label Utopie (Théâtre du Pressoir, 2016) et Ce que la foule doit au secret (Un comptoir d’édition, 2019). La pièce "Je verrai le ciel ouvert" sera présentée au festival d'Avignon en juillet 2023.

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8.00 €

L'économie, science barbare ?

BC

Plus que jamais, l’économie est une discipline révérée car elle est présumée apporter la richesse et le bien-être. Elle s’est progressivement imposée comme une science qui ne serait subordonnée à aucun autre savoir, ce qui a singulièrement compliqué le dialogue avec les autres disciplines, en particulier l’histoire et la philosophie. Ayant pour ambition de proposer une vision transversale de la finance, l’auteur reprend ces échanges en convoquant des noms tels que Jean-François Mattei et Hannah Arendt, Ludwig Von Mises, Joseph Schumpeter et Benjamin Graham, Arnold Toynbee et Fernand Braudel. L’investissement apparaît bien comme un acte clef puisqu’il permet d’animer les forces productives (capital et travail) et donc d’engendrer la croissance. Un investissement qui se voudrait authentiquement responsable ne saurait donc faire l’économie d’une approche intégrale sans renoncer aux sciences humaines, dans une approche pluridisciplinaire. C’est précisément ce défi que prétend relever cet ouvrage en proposant des axes de réflexion susceptibles d’influer les décideurs, particulièrement en temps de crise. Alexis Rostand est diplômé d’HEC et dirige actuellement une société de gestion basée à Paris. Expert des sujets règlementaires et financiers, il a travaillé à Londres puis à Paris dans les domaines de la gestion d’actifs et de l’assurance. Il enseigne également la philosophie de l’investissement à l’Université Paris Dauphine. Il vit en région parisienne.

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15.00 €

La liberté pour aimer à travers les classiques

BC

Le mot liberté est vraiment magique. Il évoque cette quête du bonheur qui habite chacun d’entre nous et les moyens que nous déployons pour l’atteindre. Ce qui est certain, c’est que nous ne sommes pas les premiers à nous demander comment s’en servir à bon escient. L’auteur nous rappelle que beaucoup l’ont fait avant nous et nous propose d’accompagner de grands auteurs classiques tels que Shakespeare, Victor Hugo, Saint-Exupéry, Dostoïevski, les soeurs Brontë, Alessandro Manzoni, Jane Austen, Karen Blixen, Tolkien et bien d’autres. Ainsi, nous pourrons nous forger notre idée de la liberté et peut-être découvrir à quel point celle-ci est orientée vers l’amour. Mariano Fazio vit à Rome où il écrit et enseigne. Historien et philosophe, il a publié de nombreux ouvrages. Parmi ceux qui ont été traduits en français, nous pouvons citer : Histoire des idées contemporaines ; Intellectuels dans la cité (Berdiaeff-Gilson-Mounier-Maritain) ; À César ce qui est à César (Editions Boleine)

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15.00 €

Le bien que font les affaires

BC

Dans cet ouvrage, le lecteur est amené à réfléchir, à partir de la doctrine sociale catholique, sur le rôle légitime que les affaires jouent dans la vie moderne et sur leur contribution fondamentale au bien commun dans les communautés dans lesquelles il vit. Il y a peut-être plus de chrétiens dans le monde des affaires que dans tout autre domaine d’activité. Cela n’a bien sûr rien à voir avec une compatibilité particulière entre le christianisme et le monde des affaires ; il s’agit simplement du fait que la catégorie des affaires comprend dans son ensemble un grand nombre d’activités rémunératoires qui font partie de la vie contemporaine. Les affaires sont partout. Il est donc naturel que les chrétiens en soient des participants actifs. Cependant, comme Robert Kennedy fait remarquer dans ce volume, la pensée sociale chrétienne a accordé moins d’attention aux affaires que celles-ci ne mériteraient en vertu de leur importance. Les penseurs sociaux chrétiens ont en particulier négligé les différentes façons dont l’entreprise contribue au bien particulier et commun, c’est-à-dire « le bien que font les affaires ». Robert G. Kennedy est professeur titulaire et directeur du Département d’études catholiques de l’Université de St. Thomas (Minnesota) et co-directeur de l’Institut Terrence J. Murphy pour la pensée, le droit et la politique publique catholiques de l’Université. Il est l’auteur d’environ deux cents essais, critiques de livres et articles sur des sujets divers, y compris la responsabilité sociale des entreprises, le professionnalisme, la spiritualité dans le lieu de travail, la création de richesse, l’investissement éthique et autres questions liées à la culture et à la vie publique.. Il vit actuellement aux États-Unis (Minnesota).

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15.00 €

Le sens de l'IA à l'école de Pascal entrepreneur

BC

Jusqu'où ira l’Intelligence Artificielle, dont l’esprit géométrique semble sans limite? Que restera-t-il de notre liberté de décider face à ces machines probabilistes aux prédictions stupéfiantes? L’aventure du siècle n’offre-t-elle qu’un monstrueux divertissement? Ou peut-elle être sensée ? A l’heure où déferlent dans nos vies chatGPT et l’Intelligence Artificielle générative promues par de puissants ingénieurs-entrepreneurs, nous célébrons le quadricentenaire de l’un des génies les plus complets de l’histoire: Blaise Pascal. Philosophe incontournable. Ingénieur passionné. Mathématicien génial. Inventeur des probabilités. Inventeur de la première machine mentale. L’ancêtre absolu de l’Intelligence Artificielle ! Heureuse coïncidence historique ou signe d’espoir. Et s’il n’était pas au fond le mieux placé pour nous aider à cerner la raison d’être de l’intelligence artificielle ... cette question universelle devenue cruciale pour le futur de l’emploi, des entreprises et de toute l’humanité ? Cet essai tente d’explorer quelques réponses. Et plus loin encore, il explore une facette méconnue du génie du Grand Siècle. Pascal fut également entrepreneur en série. Son aventure édifiante, l’histoire de ses heurs, ses malheurs offrent un parallèle étonnant avec le quotidien des startups technologiques actuelles. Des pièges de jeunesse à la fortune de la maturité, en passant par la quête de sens en des temps troublés. L’intelligence artificielle moderne est avant tout une immense aventure entrepreneuriale, faite d’audacieux paris à la rhétorique presque pascalienne: “bravons l’incertitude en pariant sur l’infini des possibilités algorithmiques, et embarquons ainsi les indifférents”. L’itinéraire du génie du Grand Siècle nous offre des trésors de sagesse dont s’inspirer pour l’aventure technologique du 21ème siècle. Un appel à entreprendre dans l’incertain. Le bon sens au fondement des véritables mathématiques de l’incertitude. Une approche mesurée des vertus et des limites des algorithmes, de l’incomplétude de la raison. L’art d’entraîner la volonté à décider. D’utiliser la raison numérique sans s’asservir soi-même. D’éviter les pièges d’une éthique algorithmique de simple conformité. La quête sensée de la fortune pour secourir les détresses des contemporains. Les fondements probables d’une raison d’être technologique. L’art du développement d'entreprises sensées. Et d’une quête sensée de la fortune, au secours de la détresse de nos contemporains. Etienne de Rocquigny est mathématicien et entrepreneur, professeur habilité à diriger les recherches et expert auprès d’organisations européennes. Après avoir été Vice-Doyen de la Recherche de l’École Centrale Paris, il a cofondé et accompagné une vingtaine d’entreprises algorithmiques. Il dirige Blaise Pascal Advisors, conseil en leadership d’entreprises technologiques et cofondateur du Prix International quantique Blaise Pascal. Il préside un think-tank d’entrepreneurs, scientifiques et philosophes pour mettre l’IA au service du bien commun.

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17.00 €

Le temps de la féminité

BC

Alors que les femmes ont acquis une juste égalité, une place et un rayonnement dans la société sans doute jamais égalés, notre époque a fait de la femme une victime sans pour autant la promouvoir pour ses talents et ses dons particuliers. Pourtant elle apporte à la société, à l’entreprise, à la famille, ce que nul autre ne peut offrir. Elle y a toute sa place, mais encore faut-il qu’elle sache véritablement qui elle est. L’altérité homme-femme n’en serait que repensée à sa juste valeur. Aussi, le temps n’est-il pas venu d’offrir un nouveau regard sur la femme qui tienne compte de sa nature profonde ? Loin d’un néoféminisme idéologique, les auteurs refusent que la modernité soit un obstacle à un questionnement anthropologique sur la femme, sur son identité propre, et proposent une vision optimiste et encourageante de la féminité. Isabelle Muller est consultante spécialisée dans les relations publiques. Elle vit à Paris.

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12.00 €

Les infortunes contemporaines de la démocartie

BC

Que s’est-il passé depuis le tournant du siècle pour que la démocratie se voit ainsi mise en cause, tant dans les pays occidentaux que dans les cultures extérieures qui auparavant s’en réclamaient comme d’un modèle ? L’histoire tumultueuse de ce régime a-t-elle finalement eu raison de lui ? Les sortilèges mêmes de la démocratie, qui nous l’ont faite appliquer sans retenue dans tous les domaines et dans tous les territoires, l’ont-ils finalement profanée ? Peut-on vouloir la démocratie sans la liberté, et de quelle liberté s’agit-il, selon quels critères peut-on dessiner ses limites ? Faut-il voir dans les démocraties illibérales d’aujourd’hui un nouveau courant anti-moderne ? La technocratie, la gouvernance, le consensus, sont-ils des renforcements de la démocratie ou bien ses nuisances ? Peut-on imaginer des démocraties sans visions du monde, sans croyances, fondées sur le seul pragmatisme, en un mot sans pluralisme ? Avant la saison des Lumières il n’y a pas de démocratie en Europe, elle apparaît en Amérique et en Europe occidentale à partir du tournant du XVIIIe et du XIXe siècles. Le choc culturel est tel qu’il suscite l’écriture de cet ouvrage extraordinaire : La démocratie en Amérique de Tocqueville (1835). Les démocraties européennes, encore censitaires, se développent au long du XIXe siècle. Au XXe siècle, l’époque d’entre-deux guerres connaît une forte critique des démocraties parlementaires, corrompues et déliquescentes. C’est pourquoi monte une justification de la dictature et l’Europe va connaître une floraison de régimes autocratiques pendant les années 30, pendant que le totalitarisme communiste s’étend jusqu’en 1989 sous l’appellation fallacieuse de « démocratie populaire ». En 1983, lorsque Jean-François Revel publie Comment les démocraties finissent, c’est pour prédire la fin des démocraties faibles et complexées devant le totalitarisme arrogant et sans scrupule. Ces autocraties, dictatures ou totalitarismes, laissent derrière elles tant de désastres que la période suivante affiche une grande ferveur démocratique. Les années 1950-2000 sont celles pendant lesquelles il n’est pas permis de nuancer la louange de ce régime. La chute du mur de Berlin en 1989 suscite même chez nombre d’Occidentaux la certitude, présentée par Francis Fukuyama, selon laquelle la démocratie représente le régime de la « fin de l’histoire » : sans suite ni alternative possible, littéralement irremplaçable. Ce qui s’avère être un aveuglement du même ordre que ceux, idéologiques, qu’il vient remplacer. Le tournant du siècle voit les choses changer. Reproches et accusations apparaissent contre la démocratie, plus graves que celles des années 30. Et pour des raisons profondes qui tiennent au déplacement du sacré, la démocratie perd son aura. Nous en sommes là. Chantal Delsol est professeur des universités en philosophie politique, membre de l’Institut de France (Académie des Sciences Morales et Politiques), auteur de livres de philosophie, d’essais, de romans traduits en une quinzaine de langues.

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7.00 €

Morale et Droit

BC

Dans la philosophie ancienne, qu’elle soit grecque ou romaine, la distinction entre le droit et le juste n’existe pas : dikaion, ius, c’est à la fois le droit et le juste, ce qui résulte de l’exercice de la vertu de justice, dikaiosune, iustitia. Le droit est donc l’objet de la justice, c’est-à-dire d’une vertu morale qui se définit comme une disposition libre et constante de la volonté à faire le bien, en instituant l’équité, en attribuant à chacun ce qui lui appartient. Le droit est ainsi indissociable de la morale, dont il constitue la réalisation concrète à travers la manière dont il instaure ou restaure des rapports équitables entre les hommes. Dans la philosophie moderne, le droit et la morale ont progressivement été séparés, jusqu’à l’émergence du positivisme juridique, qui repose sur l’affirmation que « La validité du droit positif est indépendante de son rapport avec une norme de justice1 ». Le droit vaut indépendamment de son rapport avec la morale, qui n’est donc plus considérée comme le fondement de la validité du droit. Hans Kelsen souligne que cette affirmation constitue la « différence essentielle2 » entre positivisme juridique et théorie du droit naturel au-delà des nombreuses expressions historiques de ces deux paradigmes philosophiques. Cette différence essentielle entre philosophie ancienne et philosophie moderne, entre théorie du droit naturel et positivisme juridique, fait encore aujourd’hui débat. L’objectif de cette conférence n’est cependant pas de restituer ces discussions : il est de défendre que la morale et le droit ne peuvent pas être séparés ni confondus, mais doivent être distingués et articulés. Je procéderai en trois temps : je résumerai d’abord les arguments du positivisme juridique, les confronterai ensuite à la théorie du droit naturel et montrerai enfin que cette théorie elle-même reconnaît un écart, une tension légitime entre morale et droit. Émilie Tardivel, diplômée de Sciences Po Paris et docteur en philosophie de l’Université Paris 1, est professeur extraordinaire à la Faculté de philosophie de l’Institut catholique de Paris et titulaire de la Chaire ICP-ESSEC Entreprises et Bien Commun. Elle vit à Paris.

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7.00 €

Postmodernité : décadence ou résistance

BC

La France pourrait-elle reproduire le modèle des Trente Glorieuses, cette période d’expansion économique sans précédent qu’elle a connu du lendemain de la Seconde Guerre mondiale jusqu’au choc pétrolier de 1973 ? La chute du mur de Berlin en 1989 puis le krack de 2008 ont entraîné et révélé une emprise chaque fois plus grande de l’économie sur la société, réduisant la réalité, y compris l’être humain, à un produit de consommation. La pensée unique est adulée et le politique connaît un asservissement à l’économie sans précédent, laissant la voie ouverte au capitalisme sauvage qui entraîne de graves inégalités sociales. Dans cet ouvrage, l’auteur propose à cette société, qu’il désigne comme « postmodernité décadente », de se transformer en « postmodernité résistante » en mettant fin à l’idolâtrie de l’argent par l’approfondissement des exigences de la démocratie.

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18.00 €

Prendre la bonne décision

BC

Qui n’a pas entendu parler de Sullenberger, alias Sully, ce pilote d’avion qui a sauvé la vie de tous ses passagers grâce à une décision à la fois rapide, surprenante d’abord mais remarquablement assumée, d’amerrir d’urgence sur le fleuve Hudson ? Décision d’autant plus difficile à prendre que les pilotes de ligne ne sont pas formés à une telle situation. Ce succès n’est pas un hasard : il est impensable sans réflexion, sans préparation et sans confiance, aboutissant aux décisions et aux actions. De même, de nombreux dirigeants pourraient partager des expériences similaires qui illustrent la regrettable absence de préparation professionnelle à l’exercice d’une responsabilité d’entrepreneur et de manager lors de la prise de risque. Cet ouvrage propose, à partir d’événements bien documentés, accidentels ou conflictuels et connus du public, des clés factuelles de succès, tout en permettant de déceler dans les rapports humains de l’organisation des vulnérabilités. L’objectif étant d’évaluer la capacité réelle de l’équipe à mener à bien un projet, les auteurs extraient tous les enseignements utiles au lecteur et proposent une grille d’analyse « pro-active » permettant aux plus lucides d’apporter les corrections nécessaires et d’envisager sereinement le succès.

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22.00 €