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1 + 2 # 2016, Le Gout Des Etoiles

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La résidence 1+2 est un programme photographique ancré à Toulouse et à vocation européenne. Il associe chaque année : - 3 photographes- 3 villes européennes (Bruxelles et Barcelone pour 2016 et 2017) - 3 supports. A mi-chemin entre workshop et résidence de création, ce programme annuel est inédit en France dans sa formulation et sa transversalité. Il a pour ambition de valoriser l'ensemble des patrimoines matériels et immatériels toulousains et régionaux au travers de trois productions photographiques concomitantes réalisées in situ : diasporas, mémoires, industries, savoir-faire, modes de vie, architecture... La résidence 1+2 souhaite montrer tant au niveau national qu'international toute la richesse et la diversité de ces patrimoines.

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27.00 €

1+2 Artefacts

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Les trois photographes ont été en résidence au printemps 2020 à Toulouse et sont accompagné.es de leur marraine, l'océanologue Catherine Jeandel. Émeric Lhuisset - Sciences du Climat de l'Environnement – Sciences Humaines Après avoir développé un long travail sur les guerres de l'eau en Iraq et en relation avec son approche géopolitique, Emeric Lhuisset s'est intéressé à l'écologie politique et à la notion d'anthropocène. Coline Jourdan - Sciences biologiques et Sciences végétales Lors de sa résidence, elle questionne les rapports subversifs de l'Homme avec son environnement. Les mécanismes de révélation de la photographie, issus de réactions chimiques, sont particulièrement toxiques pour l'environnement. Cependant, parmi ces procédés, l'anthotypie se démarque par l'absence de produit chimique dans son processus. Lucía Peluffo - Sciences médicales – Sciences de l'information & Sciences du cerveau Si dans l'imagerie médicale on tente de trouver l'origine de la douleur qu'on cherche à d

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25.00 €

1+2 Elégies

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Matthieu Gafsou Notre relation au monde change. Le futur est désormais vu comme un horizon inquiétant. Le point de départ de ce projet vient certainement de la transformation qui s'est opérée dans ma relation au monde: l'effritement d'une vision d'avenir sereine, l'apparition de l'angoisse. Il s'agit d'explorer la notion d'effondrement, considérée comme un nouveau récit de civilisation. [...] Matilda Holloway Un curieux aura entoure l'idée du laboratoire. Entre hypothèses, mesures, observations, expériences et découvertes, le laboratoire scientifique retient un formidable potentiel d'imaginaire, incarne une place forte de la connaissance. La dimension structurante des savoirs qui s'y modèlent est fascinante ils orientent notre conception du et rapport au monde, tout en conservant un versant mystérieux. [...] Manon Lanjouère De tout temps, l'homme observa la voûte céleste. Toujours présente au-dessus de sa tête, les planètes et les étoiles ont stimulé l'imagination de l'homme, suscité''

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25.00 €

1+2 L'origine manquante

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Cette année, la quête d'une origine manquante relie les travaux de nos trois résidentes : Smith, Camille Carbonaro et Prune Phi. Sous la forme d'une enquête photographique, elles explorent la part introuvable de leur identité, localisée dans le cosmos, les migrations italiennes ou la diaspora vietnamienne. Astroblème Pensé depuis sa genèse avec l'astrophysicien Jean-Philippe Uzan, le projet Désidération explore les liens qui unissent l'humanité à son origine stellaire. Elle met en lumière les zones de jonction entre la recherche artistique et la recherche scientifique, en créant de nouvelles formes, notre rapport à la conception de nos origines, et notre nostalgie des étoiles. Appelez-moi Victoria Le projet de Camille Carbonaro est une archéologie visuelle qui explore les notions de mémoire, de généalogie et d'exil : un questionnement lié aux conséquences de l'immigration et de l'intégration italiennes en France.

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25.00 €

1+2 Re-connexions

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Almudena Romero - The Museum of Plant Art S’intéresse à la relation entre le végétal et l’animal, et à l’expérience méconnue des pollinisateurs. Certaines fleurs, comme les orchidées sauvages, déploient des stratégies spécifiques et complexes pour attirer les abeilles, composées d’éléments à la fois olfactifs, auditifs et visuels. Ses photographies révèlent que le pollen de certaines fleurs brillent, comme nous utilisons des pailettes lorsque nous cherchons à attirer quelqu’un ! Marion Ellena - Tu te souviens de la couleur de ma chambre ? Explore la plasticité des souvenirs à travers la matérialité de la photographie à partir de visuels réalisés au smartphone. Ceux-ci sont ensuite soumis à des processus d’altération à même de fixer ses souvenirs tout en révélant leur fragilité. L’artiste collecte des photographies "orphelines" trouvées dans des recycleries et des brocantes, les transformant et les réinterprétant afin de définir les contours d’une intimité collective. Téo Becher - Emmêlement et autres histoires de forêts Ces questionnements prennent racine dans l’opposition incessante entre nature et culture. Le photographe inclut dans sa démarche un enjeu capital, l’impact sur le paysage de l’activité humaine. En partant à la découverte des montagnes et des forêts occitanes, l’objectif est d’analyser la perception de ce qu’on appelle la nature. Quelles conséquences concrètes cette perception induit-elle ? Téo Becher nous invite à repenser votre regard sur votre environnement et nous sensibilise à l’importance de le complexifier. Chaque année, la Résidence 1+2 Toulouse « Photographie & Sciences », dirigée par Philippe Guionie, rassemble trois photographes. Durant les deux mois de résidence, en liens étroits avec un patrimoine scientifique exceptionnel présent à Toulouse et en région Occitanie. Pour cette septième édition, les travaux des trois artistes résidents : Almudena Romero, Marion Ellena et Téo Becher Expositions à Toulouse du 13 octobre au 1er novembre 2023

Disponible

25.00 €

1+2 Rhizome

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Grégoire Eloy De Glace est une proposition photographique sur la glaciologie et les sciences connexes de la neige et de l’eau en altitude. Pour ce projet, le photographe il sestra associé à Etienne Berthier chercheur CNRS. En lien également avec Pierre René, glaciologue, accompagnateur en montagne de l’Association pyrénéenne de glaciologie “Moraine”. Myriem Karim L’Empreinte des millénaires, est une itinérance au Cirque de Gavarnie sur les pas de Franz Schrader (1844-1924), créateur de l’orographe un outil à dessiner le relief. Partant de cette invention, elle étudiera la relation entre connaissance topographique d’un territoire et perception visuelle de l’espace qu’offre la photographie. L’impression subjective du paysage croisera l’expérience scientifique en convoquant : topographie et géologie. Laure Winants Lors de sa résidence, elle souhaite pousser les limites de sa recherche sur le mouvement de la matière en questionnant les traces du changement climatique. Il s’agit de rappro

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25.00 €

1+2 Traversé[E]S

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La Résidence 1+2 est un programme photographique ancré àToulouse et à vocation européenne durant lequel trois photographes confrontentleurs regards d'auteur. Elle associe chaque année trois photographes(unphotographe de renom et deux jeunes photographes), trois villes (Toulouse,Barcelone, Bruxelles), trois supports (exposition, ouvrages, film.)Pour cettedeuxième édition, nous avons choisi Israel Ariño (Espagne), Leslie Moquin(France) et Christian Sanna (Italie/Madagascar). Issus degénérations etd'horizons différents, leurs expressions photographiques interrogent les thèmesde l'eau, du vent et de l'air... dans une vision d'auteur subjective et assumée.Ces trois regards, associés pour la première fois, sont entrés en résonancependant deux mois suscitant des productions protéiformes et transversales. Noussouhaitons montrer à l'international toute la richesse et la diversité de cespatrimoines revisités. Nous affi rmons notre caractère transversal avec despasserelles revendiquées vers le design, le cinéma d'auteur, la recherchescientifi que, les musiques actuelles,... autant de disciplines présentes dansune programmation riche et diverse au Musée Paul-Dupuy à Toulouse (13 octobre-19novembre).

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25.00 €

20 - No Music, No Life !

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La Coopérative de Mai fête en mars 2020 ses 20 ans. 20 ans, c’est l’âge d’un public sans cesse rajeuni qui a fait de la salle son point de convergence. 20ans, c’est le vertigineux décompte d’activisme, de soutien aux artistes locaux, de défrichage qui ont résolument placé Clermont-Ferrand sur la carte des villes qui comptent. Fière de son travail, de son importance dans le tissu local, la Coopé voit alors grand et haut : l’équipe rêve d’un beau livre, qui sera classé parmi les ouvrages d’art. Car contrairement à ce qu’affirmait Serge Gainsbourg, dont la rue de la salle porte le nom, l’équipe ne croit pas à la hiérarchie entre haute et basse culture, entre musiques savantes et musiques populaires. L’humilité légendaire de Didier Veillault et de ses troupes a ses limites : ils veulent frapper fort en faisant venir des pointures indiscutables. Ils proposent au photographe Julien Mignot et JD Beauvallet, cofondateur des Inrockuptibles.

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30.00 €

À bout de bras

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"La première fois que Guillaume Geneste m'a montré ses photos pour en faire ce livre, je savais qu'elles ne seraient pas de celles qui s'évertuent dans les albums à illustrer l'image attendrissante de l'idée de famille, mais je n'imaginais pas qu'elles porteraient à ce point d'incandescence le brûlant sujet du bonheur en famille, si intraitable sujet qu'il met au même seuil d'impasse l'artiste chevronné et l'amateur naïf, les désarme de tout savoir technique ou esthétique, au risque de l'impudeur sentimentale, si mal prisée en photographie... Il lui a fallu le long temps d'une pratique, restée privée jusqu'à ce jour, pour que sa collection de photos révèle ce qui s'y joue de tout autre à travers le temps, qu'elles exposent le geste dont il subvertit les poncifs du genre pour exprimer cette chose à la fois ravissante et scandaleuse qu'est la félicité simple de vivre ensemble.

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22.00 €

Adrien Boyer

BC

« Le regard n’est pas tant pour moi un flux sortant qu’un flux entrant. Sentir, écouter, se laisser impressionner par ce qui est à l’extérieur de soi. Voir. Avant d’être un projet, une intention, la photographie est pour moi une façon de ressentir le monde. Lorsque je prends une photo, je ne prends jamais quelque chose en photo. S’il n’y a pas à proprement parler de sujet dans mes images, c’est que mon propos est, à l’inverse, de faire apparaître quelque chose grâce à la photographie. Quelque chose qui sans mon regard serait resté invisible, et qui a besoin de moi pour exister. [...] [...] La nature n’a pas besoin de moi pour se rendre visible, pour exposer sa profonde cohérence, pour parler. Alors pourquoi la photographier ? Pour faire du paysage ? Si le paysage, aussi envoûtant et surprenant et mystérieux soit-il, préexiste à ma photo, quel intérêt à le montrer ? Je ne veux pas montrer, je veux dire. A. B.

Disponible

10.00 €

Aller Et Retour Dans La Chambre Blanche

BB

Ce livre intitulé Aller et retour dans la chambre blanche, réunit un ensemble dune cinquantaine de photographies dont certaines inédites, commentées de la main de lartiste et issues du livre La disparition des Lucioles paru en1982, ainsi que dautres, iconiques ou moins connues, mais qui relèvent toutes dune même logique du déplacement. Cette relation au déplacement à loeuvre dans les photographies présentées intervient ainsi dans le déplacement physique de Denis Roche, entre lici (le lieu où il appuie sur le déclencheur) et lailleurs (lendroit où il nest pas ouplus). Cet appareil, récurrent dans bon nombre de ses photographies, peut alors senvisager comme une extension et une incarnation de lartiste, ou bien encore comme un questionnement de lacte photographique.

Disponible

27.00 €

Amour Amyp

BC

Un fleuve nommé Amour d’Emanuel Bovet et Orane Mertz Kozieja est un livre contemplatif qui explore l’espace flou entre la Russie et la Chine. Les auteurs nous plongent dans des paysages de frontières poreuses où chaque photo devient une énigme, capturant des fragments de vies anonymes et d’histoires fugaces. Ce n'est pas un carnet de voyage traditionnel, mais un carnet d’instants saisis et de questions ouvertes, un journal d’images fragmentées où la banalité et la poésie se mêlent dans un chaos harmonieux. Le livre témoigne d'une réalité à la fois tendre et trouble, entre les éclats de vie et les ombres de guerre latentes. Les scènes – une vieille femme, des affiches déchirées, des enfants dansants, des amoureux sous un ciel rose – dessinent un quotidien à la fois ordinaire et sacré, invitant le lecteur à contempler ces morceaux de vie comme des souvenirs qui vibrent encore. Ce "fleuve" Amour ne cherche pas à expliquer, mais à éveiller en nous des résonances personnelles, une introspection. Chaque image devient une porte vers des histoires incomplètes, un courant qui invite à se laisser emporter, à découvrir nos propres failles à travers ces scènes de vie modestes et vibrantes.

Disponible

15.00 €

an inventory of arctic glaciers

BB

Plongez dans un voyage visuel extraordinaire à travers les glaces arctiques avec le photographe Vincent Mercier. Son livre captivant sur l'Arctique est bien plus qu'une simple collection d'images, c'est une expérience sensorielle qui vous emmène au coeur de la beauté glaciale et éphémère de cette région immaculée. Ce livre est une ode à l'esthétique pure, une célébration de la majesté des glaciers et de leur fragilité. Chaque image est une oeuvre d'art en soi, capturant les formes infinies, les structures chaotiques et les fractales hypnotiques qui composent cet univers glacial. Mais il va au-delà de l'esthétique, car au fil des pages, on ressent également une urgence silencieuse. Au fur et à mesure que vous tournez les pages, vous verrez comment les dernières images du livre annoncent le désordre imminent et inéluctable qui plane sur l'Arctique. L'approche artistique de Mercier est ambitieuse et innovante. Il a choisi le cyanotype pour traduire visuellement les structures glacières, créant ainsi des images d'une beauté mélancolique. Chaque tirage est le résultat d'un processus méticuleux et exigeant, où le photographe a pris le temps de renouer avec les techniques analogiques, apportant une touche d'authenticité et de profondeur à chaque image. Ce livre n'est pas simplement un inventaire, mais un témoignage précis et quasi scientifique de la région arctique. Chaque glacier est répertorié avec des coordonnées GPS exactes, offrant une légende détaillée pour chaque tirage.

Disponible

45.00 €

Anatomie d'une ville

BC

Anatomie d'une ville est le fruit d'une patiente enquête photographique menée au sein de Saint-Étienne. Pendant une année entière, le photographe Guillaume Bonnel a arpenté la ville et réalisé de nombreuses prises de vue. Il a minutieusement ausculté les modalités d'évolution de l'espace urbain, des aménagements massifs aux plus précaires améliorations du bâti effectuées par les habitants eux-mêmes. Autour de lui, une équipe de chercheurs en sciences humaines et sociales s'est régulièrement attelée à scruter les vues collectées et à les manipuler, poursuivant ainsi au sein de l'archive progressivement constituée une exploration des formes de la ville initiée par le photographe. Ce livre est le compte rendu de cette investigation collective, sur les pas de Guillaume Bonnel. Il se présente aussi comme un hommage à la ville de Saint-Étienne et à son urbanisme.

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25.00 €

Anita Conti et la Bretagne

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Ecrivaine, relieuse d’art, photographe et première femme océanographe, elle s’impose dans l’univers très masculin de la pêche. Elle participe en 1935 à diverses campagnes sur le premier navire océanographique français puis, avant la seconde guerre mondiale, sur un chalutier-morutier en campagne en mer de Barents et au Spitzberg durant 100 jours. Ses missions lui permettent de publier des rapports et des articles illustrés par ses photographies prises avec son appareil Rolleiflex ; elle ne manque pas de dénoncer la surexploitation des océans. Durant la guerre, elle obtient l’autorisation d’embarquer en tant que photographe de la Marine sur des dragueurs de mines en Manche et en mer du Nord, photographiant les tentatives de déminage. Durant les années de la France occupée, Anita Conti contribue à améliorer les conditions de pêche sur les côtes de l’Ouest africain ; au Sénégal, elle implante des stations de séchage de poissons et crée en Guinée une pêcherie de requins.

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25.00 €

Aquarelles dessinées

BC

Découvrez le monde à travers les yeux et le pinceau de Françoise Nuñez dans cet ouvrage, "Aquarelles dessinées". Photographe et artiste passionnée, Françoise a capturé l'essence de lieux aussi divers que la Syrie, l'Éthiopie, la Tunisie, et l'Andalousie, transformant ses expériences en aquarelles délicates et profondément personnelles. Née à Toulouse en 1957 et d'origine espagnole, Françoise a commencé sa carrière photographique en 1975, se formant au tirage noir et blanc et assistant des figures emblématiques de la photographie française. Son mariage avec Bernard Plossu, un autre photographe de renom, et leurs voyages ont enrichi son oeuvre d'une dimension internationale. Ce livre rassemble une sélection de 33 aquarelles petit format (10 x 15 cm) réalisées avec une minutie qui caractérise si bien Françoise. Chaque pièce, qu'elle dépeigne des scènes de rue syriennes en teintes de gris et de bleus discrets, ou des portraits de la vie quotidienne en Éthiopie en teintes brunes, est un témoignage de sa capacité à saisir l'émotion et la beauté des cultures qu'elle a rencontrées. Bernard Plossu, dans sa préface, décrit ces oeuvres comme des "vraies petites merveilles" — photographiques, mais aussi empreintes d'une simplicité qui ne tombe jamais dans l'exotisme facile. Rigoureuse et exigeante, Françoise a toujours cherché à transmettre l'émotion pure de ses découvertes, loin du quotidien trop familier. "Aquarelles dessinées" est une invitation à voir le monde à travers l'art subtil et sincère de Françoise Nuñez, une artiste qui a vécu pour capturer l'instant et l'émotion, et qui continue de nous inspirer par delà son absence.

Disponible

25.00 €

Asmara Dream (Ne)

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Disponible

30.00 €

Au grand air

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JS et Victorine se sont rencontrés autour d’un café grâce à l’association La Cloche dédiée à la création de lien social et au changement de regard sur la vie à la rue. De cette rencontre est née l’envie de créer un projet à deux. Victorine commence par suivre JS dans les lieux qui font partie de son histoire : du parc de Bercy à Paris, où il est arrivé en 2015, au bois de Vincennes où il vit depuis. Une relation se tisse peu à peu mais très vite, une question se pose : comment rendre compte d’une réalité qui n’est pas la sienne ? Ils décident alors de collaborer en prenant chacun l’appareil photo avec une contrainte posée par JS : celle de ne pas prendre de photographies “clichées” du monde de la rue. On découvre dans certaines de ses photographies, une nature quasi omniprésente, une forme de douceur qui contraste avec certains de ses écrits dans lesquels on peut ressentir une colère.

Disponible

20.00 €

Au-delà des apparences

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Depuis cinquante ans, Bernard Descamps explore la photographie dans tous ses états, du reportage au paysage et au portrait, du noir et blanc à la couleur. Voyageur inlassable, Descamps s’est rendu dans de nombreux pays, à la rencontre des populations et de leurs coutumes (Mali, Inde, Japon, Venezuela, Vietnam, Madagascar, Maroc, etc). Pour autant propose-t-il une photographie de voyage qui est surtout celle du voyage intérieur : ses images, images, dont la pureté approche souvent l’abstraction, "ne décrivent pas les objets ou les événements » mais « voudraient dévoiler de minuscules fragments du temps" selon ses propres termes. Photographe-voyageur, membre de l'agence Vu et représenté par la galerie Camera Obscura, Bernard Descamps traite de l'environnement, des rapports de l'homme et de la terre. Depuis trente ans, il explore la photographie dans tous ses états, du reportage au paysage en passant par la ville et ses couleurs. Ici ce livre nous parle de nature, de paysages par une approche en quatre chapitres : La mer, la montagne, la forêt et les oiseaux. Bernard Descamps a publié douze titres chez Filigranes : Au-delà des apparences, Natura, Autoportrait, Où sont passés nos rêves ?. Ici même, Quelques Afriques, Lady Land, Silences, Evening Land, Japon, Berbère, Le don du fleuve.

Disponible

40.00 €

Auctus Animalis

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Auctus Animalis (animal augmenté) Au croisement de la science et de la magie, Auctus animalis raconte l’expérience d’un biotope crée par une société parallèle au XVIIIe siècle sur l’île de Kyramide. Cet étonnant bestiaire associant histoire et anticipation, mémoire et science-fiction révèle une collection de créatures inspirée d’une nature repro­grammée par les biotechnologies et certaines mythologies : panthère au pelage luminescent, papillon créateur de silence, oiseaux sculpteur de nuages... La composition musicale qui joue avec cette galerie de portraits donne à entendre des sons hybrides qui résonnent avec l’univers de ces néo-êtres. Auctus animalis est une fable qui fait l’experience de nouvelles relations possibles avec la nature. Auctus Animalis, un bestiaire surréaliste et futuriste. Entre histoire et anticipation, mémoire et science fiction. La série se situe au croisement entre la biologie et le surréalisme, en nous plongeant dans un monde suspendu entre réel et virtuel qui défie les réalités scientifiques à l’image de l’ère anthropocentrique que nous vivons. Ce bestiaire imaginaire met l’accent sur des animaux potentiellement en voie de disparition : un paon à l’exosquelette en argent serti de diamants, une libellule dotée d’un capteur luminescent qui mesure la qualité de l’air... Vincent Fournier (photographie) et Sébastien Gaxie (musique) sont les lauréats de la 5ème édition du Prix Swiss Life à 4 mains pour leur projet Auctus Animalis. La Fondation Swiss Life a créé son Prix Swiss Life à 4 mains – Photographie & Musique, en 2014 : le prix est destiné à valoriser des talents et récompense un projet de création croisée et originale d’un photographe et d’un compositeur. Pour la 5ème édition, ce sont le photographe Vincent Fournier et le compositeur Sébastien Gaxie à remporter la mise. Le nouveau binôme lauréat sera accompagné durant deux ans par la Fondation Swiss Life et ses conseillers artistiques : Emilia Genuardi pour la photographie, et Olivier Bouley pour la musique.

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35.00 €

Bellamy Bellamy

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Bellamy/Bellamy. Un nom, deux personnes ? trois ? quatre ? Le projet éditorial Bellamy/ Bellamy s’inscrit dans la lignée des contes, des mythologies, histoires dans lesquelles les secrets de famille sont omniprésents. Une problématique humaine récurrente et passionnante. Des récits où chaque protagoniste a sa vision, sa “version” de l’histoire. Bellamy / Bellamy c’est une histoire. Photographique. Artistique. Graphique. Éditoriale. Il s’agit là, donc, d’une histoire de point de vue. En effet, ce projet est d’abord le travail photographique d’Alexandra Bellamy autour de son secret de famille, autour de Claude, Dieter et de Mother. Mais aussi de Carine et les autres. Après un long parcours personnel et photographique, Alexandra Bellamy a rassemblé dans un dossier, les photographies des lieux de son enfance, des portraits et des archives. Certains supports sont donc photographiques et d’autres sont issus de captations vidéo et sonores prises également par elle.

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30.00 €

Braguino Ou La Communaute Impossible

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Braguino est le nom d'un petit village en Sibérie, où vivent aujourd'hui en autarcie deux familles issues d'une communauté de vieux-croyants orthodoxes, qui refusent l'autorité de l'État et de l'Église. Clément Cogitore est parti à leur rencontre, à la recherche de cette "communauté impossible" et recluse. Plongé dans un installation conçue comme une forêt photographique et filmique, le spectateur sera invité à "vivre une expérience de la sensation, une traversée d'un monde où le paysage, le végétal, l'humain et l'animal cohabitent dans un ensemble chaotique, brutal, libre et lumineux." Clément Cogitore Actualités cet automne autour du livre - Exposition au Bal du 14 septembre au 23 décembre 2017 - Sortie du film en salle début novembre - Diffusion du film sur Arte à la mi-novembre - Sélection du film au FIDMarseille 2017 (compétition internationale) - Film sélectionné au festival de Locarno. - France Culture, une création/fiction d'une 40 minutes diffusé à l'ouverture de l'expo.

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35.00 €

C'était un homme de mer

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C'était un homme de mer est une conversation iconographique et poétique entre Thierry des Ouches, photographe de renom et Peintre officiel de la Marine, et le poète Louis de Lestanville, qui signe ici son premier recueil. À la manière d’un concerto pour deux instruments, textes et images s'éclairent et se répondent dans un dialogue épuré et contemplatif qui compose au fil des pages un hommage commun à la mer. L’ouvrage est né de la rencontre entre Louis de Lestanville, passionné de longue date par l’œuvre photographique de Thierry des Ouches, et le photographe, qui a été séduit par l’écriture profonde et musicale du poète. Les deux artistes partagent la même recherche de l’immuabilité, le goût de saisir l’âme des lieux et des choses, à travers des récits à la lisière du quotidien ordinaire et de la rêverie imaginaire. En célébrant l’élément marin, les auteurs ont également souhaité souligner sa fragilité.

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35.00 €

Camille Falet

BC

VISITE DE MARYHILL Nous quittons Elin sur GreatWestern Road. Au sol, devant une vitrine abandonnée, de petitscarrés de verre forment un tapis rectangulaire ou encore des cercles quicouvrent une partie du trottoir. Il s’agit d’un système d’éclairage pour lesréserves en sous-sol, m’explique Mark. Je l’ai rencontré le matin même, et ilm’a généreusement proposé une balade dans ce qui s’avère être le quartier de sonenfance. Pour commencer, il me dévoile, dissimulée derrière des arbres, sur unparterre coincé entre des rampes d’accès autoroutier et une sortie de métro, unesculpture de saint Georges terrassant le dragon. Il me dit qu’elle étaitperchée en haut d’un grand bâtiment aujourd’hui détruit, et qu’un artiste dontj’ai oublié le nom a largement contribué à la sauvegarde de ces pierres. <br/> Ayant la ville tardocapitaliste pour motif central, l’exposition enexplore zones de friction et lignes de fracture. L’espace urbainapparaît comme une entité en perpétuelle mutation, champ de

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15.00 €

Carnets de la ZAD

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La ZAD de Notre-Dame-des-Landes défraie la chronique depuis plusieurs années et personne n'en a jusqu'alors reìveìleì la véritable nature. De 2014 aÌ 2019, Philippe Graton a parcouru la ZAD de l'intérieur, photographiant au moyen-format argentique cet univers et la vie quotidienne de cette socieìteì alternative. Cet engagement dans la durée nous donne aujourd'hui une oeuvre photographique exceptionnelle, une restitution unique et historique de cette expérience marginale dont l'inteìren'a jamais étéì aussi actuel. Ce livre dévoile plus de quatre-vingts photographies inédites, ainsi qu'une retranscription des notes de terrain de l'auteur, aÌ suivre comme une aventure.

Disponible

30.00 €

Castellane

BC

Castellane est le premier livre du photographe Teddy Seguin. Il rassemble des photographies en noir et blanc réalisées dans la Cité de La Castellane, quartier réputé "difficile" de la banlieue Marseillaise, entre 2014 et 2018, période pendant laquelle ont lieu d'importants travaux de réaménagement dans la cité. Le travail de Teddy Seguin rend d'une part compte de cette mutation, montrant d'autre part - à l'encontre de certains poncifs véhiculés notamment par les médias - le quotidien tout en nuances des habitants du quartier. Les photographies sont accompagnées d'un texte de Youssouf Djibaba Castellane est le premier volet d'Insulae, projet au long cours sur l'insularité. Teddy Seguin poursuit actuellement son travail à Castagniccia (Corse), Terre-neuve et à l'île de la Natividad (Basse Californie). Restitution de 4 années de travail dans la cité de la Castellane à Marseille et deuxième chapitre du cycle Insulae sur lequel Teddy Seguin travaille depuis une dizaine d'années.

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23.00 €

Cavale

BC

Photographe, auteur et musicien, Nicolas Comment est un habitué des voyages sentimentaux et autres errances photobiographiques. Ses séries ont pour théâtre Mexico, Prague ou Tanger, ces lieux mythiques, antres littérairesâ€- "Cavale" s'inscrit dans cette tradition de la "déambulation psychogéographique". Balade géopolitique, fiction intime. Nous sommes en 2019. Laura Serani, directrice artistique du festival Planche(s) Contact invite Nicolas Comment en résidence artistique à Deauville. Ainsi commence "Cavale" : une série photo-littéraire protéiforme qui se lit comme un tableau à entrées multiples contant la cavale imaginaire d'une femme qui se libère de ses liens ; incarnée par Milo McMullen. Des photographies, accompagnées d'un texte mis en musique, le "ciment qui relie les images entre elles". Mais surtout un cénacle d'écrivains, de cinéastes, femmes libérées et autres voyous en référence. Nicolas Comment photographie au passé et au futur un Deauville hanté de fantômes illustres.

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20.00 €

Champs d'amour

BC

Les photographies de Vincent Gouriou explore la présence croissante des personnes LGBTQIA+ en milieu rural, en démentant l’idée selon laquelle leur épanouissement est limité aux grandes villes. Vincent Gouriou montre que de nombreux individus LGBTQIA+ choisissent de rester ou de revenir vivre à la campagne, attirés par une connexion à la nature et une recherche de modes de vie écologiques et durables. Malgré cette réalité, leur visibilité reste limitée, perpétuant les stéréotypes. Dans le cadre de son projet Champs d'amour, Vincent Gouriou parcourt diverses régions rurales : Cantal, Aveyron, Puy-de-Dôme, Allier et Haute-Vienne entre 2023 et 2024. Il y rencontre des personnes engagées dans divers projets : Philippe, éleveur de vaches ; Anthony, passionné de permaculture ; Isabelle et Valérie, éleveuses de moutons ; Boubou, maraîchère, et bien d’autres. Ces échanges inspirants révèlent des parcours authentiques, comme le message de Boubou : elle encourage les jeunes LGBTQIA+ à rester proches de leurs racines, à être eux-mêmes et à trouver un soutien communautaire. Pour Gouriou, cette diversité humaine, semblable à celle de la nature, est essentielle à l'équilibre de la vie rurale.

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15.00 €

Chiens de Lanester

BB

Un trombinoscope des chiens du quartier En attendant de travailler sur de futurs aménagements, Olivier Leroi propose un projet intermédiaire mettant tous les chiens du quartier à l’honneur. En mars 2021, dans la ferme de Kerfrehour, la Maison de quartier, ont défilé 80 chiennes et chiens pour venir s’y faire portraiturer par l’artiste, accompagné du photographe Guillaume Le Baube. L’inventaire photographique exhaustif de la population canine du quartier est le sujet de ce livre. En photographiant leurs chiens, Olivier Leroi révèle la présence des habitants, comme la photo d’une grande famille. Une mise ludique jouant sur la taille des chiens. On commence par le plus petit Loulou et on termine par Titou. Les cinquante-cinq chiens du quartier de Kerfréour (Lanester 56660) se sont donnés rendez-vous pour se faire tirer le portrait dans le laboratoire improvisé de la ferme du quartier, du plus petit chien du monde (chihuahua) au plus grand chien du mode (lévrier irlandais). Tous se sont agréablement plié au jeu des échelles en montrant leur meilleur profil. Aussi on peut voir dans le reflet de leur oeil la présence attendrie et pudique de leur maître. Ce livre a été réalisé par Olivier Leroi grâce à la Fondation de France (programme nouveaux commanditaires ) piloté par Éric Foucault (Eternal network) et soutenu par la ville de Lanester dans le cadre d’un programme de réhabilitation du quartier de Kerfrérour. L’artiste Olivier Leroi, qui lui semble convenir au contexte. Tour à tour dessinateur, sculpteur, vidéaste..., il travaille toujours en écho au milieu où il intervient, avec les outils du langage, des formes et des lieux pour en réaliser une oeuvre qui s’affranchit de tout contexte sociologique. C’est le décalage qui l’intéresse, que ce soit par le biais de l’humour ou de la poésie.

Disponible

25.00 €

Chroniques de l’oiseau perdu

BC

Les images de la photographe Christine Lefebvre semblent plus arrimées au corps qu'au langage. Elles s'apparentent à des champs magnétiques qui convergent des forces, affectent leurs sens et leurs directions. L'artiste les déploie entre les pages d'un livre qu'elle a construit comme un poème, ses espaces blancs les exposant à l'ouverture du sens. Les photographies sont des visions arrachées à l'écoulement du temps. Lors de ses promenades, loin de la ville et des hommes, ce que la photographe sent monter comme une sève au contact d'un arbre, d'une falaise ou d'un glacier se fixe à main levée, en quelques secondes et par fragments impulsifs. Le choix de l'oiseau comme protagoniste de ses chroniques provient du souvenir de lecture d'un célèbre conte mystique persan écrit au XIe siècle. La Conférence des oiseaux raconte l'épopée d'un groupe d'oiseaux perdus, en quête de vérité. Les photographies présentent des paysages immémoriaux rythmés par les battements d'ailes des oiseaux, contrastant avec les solides reliefs de paysages pétrifiés. Elle est ce "rêve de pierre" qu'évoqua Baudelaire, témoin d'une révolution où la terre, source première de toute création, perdait son aura et se figeait en objet. L'oeuvre de Lefebvre est une élégie, mais compose aussi une ode à une nature restauratrice des liens avec les cycles, avec le rythme des saisons. [extraits] Marguerite Pilven Ce livre de photographie captivant de Christine Lefebvre, nous transporte dans un monde de beauté, de tristesse et de nostalgie. Les images saisissantes capturées dans ce livre racontent l'histoire de la nature, de la vie et de la mort, tout en célébrant la beauté fragile de notre monde. Les photographies de Lefebvre sont poétiques dans leur composition, leur lumière et leur texture. Chaque image est une histoire en soi, racontant une histoire unique de la nature qui se transforme, de la faune et de la flore qui disparaissent. Les nuances de couleurs et les textures sont magnifiques, offrant un véritable plaisir visuel. En résumé, Chronique de l'oiseau perdu est un livre de photographie sensible et captivant. C'est un véritable hommage à la nature et à la vie. En 2017 Filigranes à publié l'ouvrage L’entre temps de Christine Lefebvre.

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30.00 €

D'après photographies

BB

Auteurs du livre : Corentin Perrichot | Armelle Andrieu, Thibaut Gaborit, Coralie Moulin, Emmanuel Perez | Fabien Ribéry | Marc Loyon | Michel Collin | Hugo Garbil, Mewenn Hello, Sandra Hosten, Kelvyn James, Cléa Loret, Theo Prioul, Andréa Rampin, Enzo Rozé | Lise Lerichomme | Laurène Alleaume, Katherine Coat, Michel Coquelle, Juliette Fournier, Danièle Jegou, Philip Koci, Alicia Laurent, Henri Leray, Marie Mercier | Jean-Luc Maillard, Jean-Yves Morel, Christophe Schilliger l Cédric Bossard, Patrick Edeline, Jean-Pierre Le Goulven, Claude Le Port, Martine Rolez | Caroline Guittet Le présent livre, dirigé par Guillaume Bonnel est consacré à l’Observatoire photographique des paysages d’Ille-et-Vilaine, il tente de prendre cette idée au pied de la lettre. Plutôt que de présenter linéairement ce que l’on appelle un « itinéraire photographique », parcours visuel qui incarne un territoire en images, il propose une expérience qui, prenant ces images pour point de départ, permet de leur prêter vraiment attention. Ce projet est une Commande pour le Conseil départemental d’Ille-et-Vilaine (35) et la DDTM Ille-et-Vilaine (observatoire en co-maîtrise d’ouvrage), itinéraire de 90 points de vues observatoire photographique de l’Ille-et-Vilaine.

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25.00 €

Dans l’intimité d’un territoire

BC

Le Champ des Impossibles est une plateforme artistique et un outil culturel ambitieux de développement du territoire. Au service du public, il a pour mission de soutenir les artistes dans leurs créations, de conserver leurs œuvres et de les diffuser auprès du plus grand nombre. Il s'agit de favoriser dans le Perche, en milieu rural, la diffusion de l'art contemporain et la médiation culturelle nourries par un dialogue vivant avec les artistes. Ce projet de territoire utilise l'art contemporain comme terrain partagé afin de créer du vivre ensemble en assurant la circulation des idées et des artistes. Les résidences de la Slow factory sont un axe majeur de cette stratégie. Les invitations guidées par le regard de Christine Ollier sont des temps de création passionnants, de rencontres et de croisements d'horizons.

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10.00 €

Dorica Castra

BC

Reliées par leurs motifs, comme les pièces d'un grand puzzle cartographique, elles créent des continuités de paysages et des lignes d'horizon qui permettent un cheminement du regard à travers les régions de France. Une chaîne de montagnes improbable s'est constituée dans laquelle les sommets des Pyrénées cohabitent avec ceux des Alpes et du Massif Central. Le littoral s'est développé par des collages successifs d'images de bords de mer où les côtes Atlantique pouvaient voisiner avec celles de la Manche ou de la Méditerranée. Des ponts de différentes générations traversent la carte, tout comme les routes, voies ferrées ou fleuves.

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27.00 €

Edouard Wolton

BC

[...] Car la lumière émane. Souvent je peins ces moments de passage. Aurores, crépuscules, aubes, et pénombres sont les temporalités que j’invoque le plus. Ces moments, à la lisière d’une visibilité écrasante de vérité, sont les territoires des apparitions, visions qui peuplent les mythes et légendes de plusieurs Cultures. C’est là qu’apparaît, fugace, le merveilleux. E. W. "La pratique picturale d'Edouard Wolton repose sur un thème directeur : la peinture de paysage ; plus précisément, la tradition du paysage composé, non pas peint d'après nature mais en atelier, à partir d'éléments de différents paysages pour composer un paysage imaginaire, idéal, une vue de l'esprit plutôt qu'une représentation réaliste.Ce que d'aucuns jugeraient hâtivement comme un genre désuet trouve au contraire, chez cet artiste, une singulière inventivité et un questionnement qui n'a rien perdu de son actualité. Doté d'une grande culture de l'histoire de la peinture - qui embrasse la Renaissance, le classicisme français, l'esthétique du sublime, le Romantisme, le luminisme... - Edouard Wolton se concentre sur l'idée d'une rationalisation de la nature, cette relation entre paysage et géométrie qui témoigne du désir ancestral de l'homme de comprendre et maîtriser la nature.

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10.00 €

El Bahr

BC

À Casablanca, entre la Grande Mosquée et le phare dEl-Hank, il y a un no mans land quune rude barrière de ciment sépare de la mer. Ici, lété comme lhiver, les bedaouis femmes, enfants, jeunes employés, couples, personnes âgées viennent regarder locéan. Cest ce que les gens dici appellent el bahr : «la mer» ou «la plage» (en arabe, les deux champs sémantiques se confondent)

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30.00 €

Enquêtes

BC

Certains photographes contemporains conçoivent leurs oeuvres comme des enquêtes menées sur le terrain (ou au sein des archives) et les dispositifs de restitution qu'ils proposent (livres, sites web ou installations) tendent à entraîner le spectateur dans un questionnement du réel. Leurs démarches signent ainsi un renouveau des pratiques photographiques documentaires. Les oeuvres de Lewis Baltz, Gabriele Basilico, John Davies, Emmanuel Pinard, Bertrand Stofleth, Thom & Beth Atkinson, Geoffroy Mathieu, Stéphanie Solinas, Mathieu Pernot, Catherine Poncin... illustrent cette tendance. Elles gagnent à être analysées selon un modèle pragmatique qui s'écarte de conceptions dualistes de la représentation et viennent dialoguer avec les méthodes adoptées en sciences humaines. Danièle Méaux, professeur des universités en esthétique et sciences de l'art à Saint-Étienne, est spécialiste de la photographie contemporaine. Elle est l'auteur de La Photographie et le temps. Le déroulement temporel dans l

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22.00 €

Entre deux eaux

BB

Entre deux eaux est une exploration du paysage entre Tavers et Thoré-la-Rochette dans les pas de sa jeunesse. Héritière d’une histoire rurale, sociale et culturelle particulière, celle-ci est aussi traversée par des interrogations communes aux adultes en devenir de biens d’autres horizons. En tant que jeune photographe, Morgane Delfosse est profondément inspirée par la jeunesse des habitants de cette terre, ainsi que par leurs rêves, leurs espoirs et leurs préoccupations. Elle cherche à capturer la beauté et la complexité de cette période charnière de la vie, où les individus se construisent et se confrontent aux défis de l'âge adulte. À travers son objectif, elle met en lumière les aspirations et les questionnements communs à tous les jeunes, qu'ils vivent dans cette région rurale spécifique ou dans d'autres horizons. Elle explore les thématiques de l'identité, de la culture, de l'appartenance et de la transformation, avec un regard tendre et curieux sur ces individus en devenir. Sa passion pour l'immersion et la rencontre lui permet de tisser des liens avec ses sujets, d'établir une relation de confiance qui lui permet de capturer des moments authentiques et émouvants. Elle se nourrit de l'énergie et de la vitalité de la jeunesse, tout en abordant les défis et les questionnements auxquels sont confrontés les jeunes d'aujourd'hui, qu'ils soient issus de milieux ruraux ou urbains.

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27.00 €

Entre fleuve et rivière

BC

Ce livre est né de rencontres, d'un intérêt pour les paysages et de curiosités réciproques. Au-delà d'un dialogue entre deux photographies, Entre fleuve et rivière est une inspiration, une envie d'explorer une histoire commune. Ce sont deux regards croisés sur le pays basque et les territoires du Québec et du Labrador, sur les fleuves qui les parcourent. À la recherche de traces fictives ou réelles, se trouve une lecture très personnelle des paysages. Christophe Goussard, photographe français de Nouvelle Aquitaine Charles-Frédérick Ouellet, photographe Québecois, ont chacun découvert le territoire de l'autre. Les poèmes en prose d'Itxaro Borda invitent à un troisième regard sur ces images.

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35.00 €

Entrer en matière

BB

Pour ce deuxième opus de la résidence Terre & Territoires, Julie Hascoët propose une forme hybride, entre le carnet de notes, l’étude de terrain et la recherche en bibliothèque. C’est une exploration visuelle, une expédition poétique dans les artères de la terre, qui donne à voir, de façon non exhaustive, un ensemble d’espaces souterrains : anciennes carrières, habitats troglodytiques abandonnés, caves... Julie Hascoët sonde de manière symbolique la portée de ces constructions pour ce qu’elles suggèrent au sein de nos sociétés. Ces mondes invisibles, qui échappent au regard, sont-ils des refuges ou des zones de repli dans un contexte anxiogène ? Entre Loir et Loire, entre tuffeau vendômois et calcaire de Beauce, ce travail est le résultat d’une résidence d’un mois menée à l’automne 2021 entre deux structures et deux départements : Zone i, à Thoré-la-Rochette, dans le Loir-et-Cher, et Valimage, à Tavers, dans le Loiret. Terre et Territoires est une résidence de création photographique, une invitation à voyager en Région Centre-Val de Loire, de la Loire au Perche vendômois en passant par la Beauce. Julie Hascoët, deuxième résidente propose une exploration visuelle, une expédition poétique dans les artères de la terre, qui donne à voir, de façon non exhaustive, un ensemble d’espaces souterrains : anciennes carrières, habitats troglodytiques abandonnés, caves... Cette résidence pose la question du territoire dans une période particulièrement trouble tant du point de vue écologique que du point de vue sociétal. Le·la photographe résident·e investit un terrain rural, industriel, habité et déserté, entre Loire et Loir. Il·elle s’attache à rendre visible les particularités de ce territoire, ses qualités, ses failles et ses richesses. Il·elle aura vocation à interroger l’universel.

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27.00 €

Enzo Mianes

BC

[...] Tee-shirt, blouson et pantalon noirs, assortis à la couleur de ses cheveux et de ses yeux, Enzo Mianes, plasticien de 31 ans, me reçoit dans sa résidence d’artiste du “Champ des impossibles” au coeur du village de Nocé. “Entrez, c’est ici que je vis actuellement”. Toujours en mouvement – il se lève, s’assoit, attrape une oeuvre ou un outil, allume une cigarette, ouvre la fenêtre, vérifie une information sur son téléphone, puis se lève à nouveau pour fermer la fenêtre, etc. – Enzo court après la vie. Mais, peut-être, la précède-t-il en réalité. Nous nous installons dans de confortables canapés. Échange de regards, puis de sourires. Le courant n’a pas mis longtemps à passer. “On se tutoie ?” E. B. Le travail d’Enzo Mianes propose d’extraire des objets de leur contexte quotidien pour leur insuffler une dimension poétique. Ses recherches esthétiques prennent souvent pour point de départ une narration Zliée aux questions de la disparition des êtres, des formes ou de la matière. Enzo Mianes évoque le vivant à travers des fragments d’intimité et des échantillons d’un réel commun qui prennent la forme d’installations-sculptures ; autant de traces d’une mythologie personnelle et contemporaine.

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10.00 €

Ephemere, Francofolies 1987 Et 2014

BC

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25.00 €

Essai sur Robert Frank

BC

La figure mythique de Robert Frank a infléchi l'histoire de la photographie et du cinéma. Son oeuvre, exemple rare de fusion entre récit du monde et récit de soi, a contribué à démolir des catégories de jugement devenues obsolètes. Arnaud Claass médite sur l'intensité si singulière des images de l'artiste et sur ses exigences formelles. Il examine les chemins qu'il a suivis et les univers visuels et littéraires qui l'ont nourri. Il scrute sa quête d'authenticité, son rapport à l'exil et à l'espérance, ses complicités intellectuelles. Au-delà du bouleversement opéré par Les Américains puis par The Lines of My Hand, l'opposition de Frank au modèle surplombant du photographe-cinéaste comme prétendant à la vérité se maintient à travers plus de soixante années de création. C'est pourquoi son travail continue d'être une référence pour d'innombrables jeunes artistes rétifs aux commandements académiques de notre temps.

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25.00 €

Evanescence

BC

Le Japon représente un nouveau chapitre dans le parcours et dans l'oeuvre de Borgetto, un chapitre où résonne une autre et nouvelle musique. De ses derniers voyages, il a rapporté une série de petites images, précieuses comme des bijoux. Envoûtantes comme des élixirs et apaisantes comme du baume. Très différentes des précédentes par leur forme et leur composition, mais encore une fois habitées par une pudeur et une délicatesse dont il est maître. Le nom de la série "Évanescence" restitue bien l'esprit d'une photographie empreinte de respect et de nostalgie pour un monde qui perpétue encore le culte du passé et des traditions.

Provisoirement indisponible

25.00 €

Exposition Mode D'Emploi

BC

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25.00 €

Fables et autres contes

BC

Fables et autres contes, le nouveau livre de Karen Knorr, propose une immersion unique dans l’univers de l’artiste avec une quarantaine de photographies et une quinzaine de contes écrits par Knorr elle-même. Cet ouvrage réunit des oeuvres récentes et des photos emblématiques de ses séries historiques, rarement exposées depuis les années 1990, permettant à un nouveau public de découvrir son travail. Connue depuis les années 1980 pour son approche critique et ludique, Knorr a marqué la photographie britannique en intégrant des thèmes tels que le postmodernisme, le post-colonialisme et le féminisme. Ses premières séries, Belgravia et Gentlemen, questionnaient les valeurs sociales et patriarcales de l’Angleterre sous Thatcher. Par la suite, elle a introduit le texte dans ses images pour provoquer réflexion et distanciation, abordant des thèmes allant des classes sociales à la représentation animale dans des lieux patrimoniaux. Dans Fables et autres contes, Knorr utilise des collages subtils d’animaux, d’objets et de décors architecturaux pour interroger l'autorité des musées et le patrimoine. Son dialogue visuel, entre réalité et fiction, invite le lecteur à explorer des mondes mêlant traditions et illusions, ouvrant la voie à une réflexion poétique sur l’authenticité et le pouvoir de l’image.

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20.00 €

Fantaisie football clubs

BC

Christophe Darbelet, un photographe originaire de Vichy, a su capturer l'essence du football en milieu rural à travers son objectif, offrant une perspective unique et profondément humaine sur ce sport populaire. Son travail, qui mêle habilement portraits de joueurs et joueuses, paysages et scènes de vie, nous plonge dans l'univers du football loin des grandes arènes urbaines, là où le sport se vit avec une authenticité et une passion souvent plus palpables. Dans ce livre, Darbelet navigue entre les portraits de footballeurs et de footballeuses, souvent saisis dans des moments de réflexion ou de défi, et les paysages ruraux qui constituent non seulement le décor de ces rencontres sportives mais aussi un personnage à part entière de ses compositions. Ce qui frappe dans le travail de Darbelet, c'est sa capacité à traiter ses sujets sans artifice, en tissant une trame où l'absurde et l'humour se côtoient naturellement. Ses photographies dépeignent non seulement la beauté et la complexité du monde rural mais aussi la place centrale que le football y occupe, comme vecteur de communauté, de partage et d'identité. Cette approche, à la fois tendre et espiègle, offre un regard rafraîchissant sur le sport, loin des clichés et des représentations conventionnelles. Carte blanche pour la résidence Christophe Darbelet qui signe la 10e résidence du rendez-vous photographique Portrait(s)#11. "La résidence offre un terrain de jeu délimité où je peux m’exprimer photographiquement. Et la contrainte n’empêche pas d’être créatif."   Depuis l'édition 2014, le festival Portrait(s) organisé par la ville de Vichy accueille, durant un mois, un photographe en résidence. Après Anton Renborg, Cédric Delsaux et Yusuf Sevinçli, Sandra Rocha, Gilles Coulon, Ambroise Tézenas, Christophe Acker, Letizia Le Fur Christophe Darbelet Christophe Darbelet photographe, qui a arpenté la cité thermale et nous fait découvrir les sportifs de la ville. Cette série de photos est exposée au festival Portrait(s) du 8 juin au 29 septembre 2024.

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20.00 €

Franck Pourcel

BC

1

Provisoirement indisponible

15.00 €

From Florida To Cuba

BC

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29.00 €

Gant [t]

BB

Comme tant de portraitistes talentueux l'ayant précédé, Stéphane Lavoué s'est longtemps plié aux commandes pour en tirer les portraits des puissants, de célébrités plus ou moins éphémères, des Artistes. Il en connaît les codes, de ces représentations frontales, de profil, ou à mi-corps avec lesquelles il joue, s'amuse, jongle. Le voici en marge de la communication institutionnelle. Son sillage s'inscrit désormais dans des séries et dans le besoin d'écrire des récits et des narrations. Douarnenez, via le Centre des Arts, et de conserve avec le Port-musée, lui a proposé une escale, une résidence d'artiste. Gant [t], c'est tout à la fois le gant de travail, la préposition bretonne qui signifie « avec », un diagramme de planification des tâches dans le monde du travail.

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27.00 €

Garde-Fou

BB

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25.00 €

Gardiens

BB

Dans une démarche à la fois anthropologique, documentaire et artistique, Rip Hopkins a réalisé cette série photographique inédite dédiée au(x) métier(s) de gardien. Le photographe joue avec le sujet et nous emmène dans un périple à travers le département des Alpes-Maritimes, de gardien en gardien. Les images créées portent chacune la force d’une individualité magnifiée et, réunies, nous offrent une vision d’ensemble sur le gardiennage, fonction quelque peu méconnue en dépit de son importance dans notre société. Rip Hopkins en explore les multiples déclinaisons de gardien, nous présentant successivement garde-forestiers, bergers, policiers, auxiliaires de puériculture, moines, ou encore agents d’accueil. Ce faisant, le photographe met en lumière autant la pluralité que ce qui fait sa singularité du gardiennage. Être gardien, c’est protéger, définir les limites et réguler, comme le fait le berger avec ses animaux. C’est également observer à la marge, tout en étant un rouage essentiel de la mécanique sociale en exerçant une certaine autorité. Enfin, le rôle du gardien ne se limite pas à la contrainte autoritaire : il implique souvent une forme de soin, à l’instar du rôle des soigneurs d’animaux, ou encore de transmission, dans le cas des médiateurs culturels. Rip Hopkins nous présente également les différents espaces de gardiennage, nous rappelant qu’être gardien est toujours nécessairement être gardien de. Les personnes photographiées sont ici ancrées dans leurs lieux de travail, naturels ou culturels, de la région des Alpes-Maritimes : du littoral au Lac supérieur de la vallée des Merveilles, du musée Fragonard de Grasse à la villa Kérylos de Beaulieu-sur-Mer, en passant par la vallée de Roya, la Cathédrale de Sainte-Réparate de Nice et le musée des Merveilles de Tende. À travers les portraits des gardiens, c’est donc tout un tableau du territoire maralpin qui se dessine. Plein de surprises, ce parcours permet d’aborder toute la complexité de la figure du gardien qui oscille entre surveillance et préservation, dans des domaines aussi divers que la conservation du patrimoine, la transmission des traditions, la protection environnementale, le maintien de l’ordre, l’entretien et la surveillance de lieux. Au fil de ses rencontres, Rip Hopkins nous montre avec subtilité et humour qui sont ces gardiens que nous côtoyons quotidiennement sans toujours les voir.

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29.00 €

Glamour

BB

"Un des premiers livres qui tenta une définition moderne de l'irradiation glamoureuse fut ce petit ouvrage d'Edgar Morin, petit par le nombre de pages mais grand par le retentissement qu'il eut en son temps : La star 'naît de l'esthétique, c'est à dire non pas de la croyance, mais du jeu. Toutefois, elle se situe en ce point où l'esthétique, dans son élan et sa force de persuasion, se dépasse elle-même pour retrouver la vigueur native de sa source magique. La star est à la frontière de l'esthétique et de la magie. Elle surmonte le scepticisme de la conscience spectatrice, qui sait toujours qu'elle participe à une illusion.' " [...]

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27.00 €

Grammaire de formes

BC

Trois photographes ont porté leur regard sur la ville de Saint-Etienne : l’investigation qu’ils ont conduite s’est focalisée sur la syntaxe et la morphologie du bâti tel qu’il peut être observé dans la cité. Rien de « normatif » donc dans cette « grammaire de formes ». Il s’agissait bien au contraire de prendre en considération la variété même des gestes d’aménagement susceptibles d’être décelés au sein de la ville. Celle-ci porte de fait la marque de grands projets planifiés aux effets structurants (dont la mise en place s’est échelonnée dans le temps), mais aussi d’interventions moins concertées découlant des effets du libéralisme, de phénomènes de retrait ou d’abandon liés à la récession économique, ou encore d’initiatives individuelles de faible empan, le plus souvent effectuées avec des moyens rudimentaires. Toutes ces actions d’aménagement, dans leur diversité même, entrent de plein droit dans la « grammaire » de la ville de Saint-Étienne ‒ dont on ne peut que constater la variét

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25.00 €

Grégoire Eloy

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"Le projet artistique traite de l’utopie, de l’idée de la vie en forêt, comme si, par exemple, il était question de revivre l’expérience de Thoreau. À partir d’une parcelle de forêt nue, construire une cabane, y vivre. La photographie vient consigner l’expérience et la prolonger. Une fois réalisée, la cabane devient aussi un lieu de résidence et un laboratoire qui permettent de produire des images d’un autre registre, lié au paysage, à son empreinte sur le papier argentique. La partie artistique est donc indissociable de la construction, l’une nourrit l’autre : l’expérience vécue sur la parcelle justifie la production de photographies et vice-versa, la production de photographies appelle l’expérience – comme un auteur qui multiplierait les expériences de vie pour nourrir son récit autobiographique... [...] Il a fallu attendre que la nuit tombe, rentrer dans la forêt à la lumière de la frontale, la passer au rouge pour manipuler le papier photosensible. On se sent très vite très vulnérable, on se sent épié, par manque de repères et d’habitude probablement, ou c’est la peur du noir tout simplement. G. E. Le Champ des Impossibles est une plateforme artistique et un outil culturel ambitieux de développement du territoire. Au service du public, il a pour mission de soutenir les artistes dans leurs créations, de conserver leurs oeuvres et de les diffuser auprès du plus grand nombre. Il s’agit de favoriser dans le Perche, en milieu rural, la diffusion de l’art contemporain et la médiation culturelle nourries par un dialogue vivant avec les artistes. Ce projet de territoire utilise l’art contemporain comme terrain partagé afin de créer du vivre ensemble en assurant la circulation des idées et des artistes. Les résidences de la Slow factory sont un axe majeur de cette stratégie. Les invitations guidées par le regard de Christine Ollier sont des temps de création passionnants, de rencontres et de croisements d’horizons.

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10.00 €

Grozny : Neuf Villes

BC

Grozny, la capitale d'une Tchétchénie torturée par la guerre, est un melting pot pour une société caucasienne en pleine mutation. Elle tente de dépasser le choc traumatique de deux guerres récentes et de trouver son propre mode de vie entre valeurs traditionelles Tchétchènes, traditions Musulmanes et globalisation. Elle tente de faire face au changement du rôle de la femme dans la société, à l'inégalité croissante entre riches et pauvres et aux jeux politiques. Olga, Maria et Oksana travaillent sur ce projet depuis 2009. "Nous étions déjà toutes les trois photographe depuis un certain temps quand nous nous sommes rencontré à l'occasion d'un séminaire online organisé par Objective Reality Foundation pour les jeunes photographes en Russie. Aprés cela, nous avons décidé de faire un projet ensemble, ce qui nous a amené à créer le premier collectif de photographes en Russie - Verso - dont la priorité était de couvrir les transitions sociales dans notre pays. Nous venons de différents univers, Olga était journaliste, Oksana était ingénieur et Maria dirigeait le développement de site web. Nous sommes toutes arrivées à la photographie grace à notre passion pour l'image et le témoignage. L'idée est de rendre la petite histoire plus forte.

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35.00 €

Guillaume Herbaut

BC

Retranscription d'une série d'entretiens étalés sur trois ans, retraçant le parcours de ce photographe qui a contribué au renouvellement de la photographie documentaire. Sont également évoqués ses choix de carrière et le regard qu'il porte sur son art.

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17.00 €

Heartland / Terre de coeur

BC

En 2023, Anne Rearick a passé plusieurs semaines en Auvergne, auprès de ses habitants, de leurs animaux et de leurs paysages. Sa photographie décrit l'expérience quotidienne des univers dans lesquels elle s'immerge et qu'elle célèbre avec délicatesse. "Dépourvue de tout projet englobant, elle permet à chacun de s'exprimer tour à tour avec des regards, des postures, des gestes, un mouvement et elle renoue précisément avec cette photographie profondément humaniste qui ne se regarde jamais le nombril, qui ne cherche pas son ego ou son identité mais va à la rencontre de l'autre, son égal" (Christian Caujolle). Que ce soit aux États-Unis, en Afrique du Sud, au Pays Basque, à Sète, dans Le Perche ou en Auvergne, elle porte ce même regard généreux sur les êtres pour saisir des images qui cherchent, avant tout, à exprimer le plaisir de l'instant et la qualité de la rencontre. Travaillant sur des sujets au long cours, Anne Rearick s'inscrit dans la grande tradition photographique documentaire, en s'attachant principalement au quotidien et à la ruralité. Cherchant une forme d'intemporalité, elle magnifie le banal en s'intéressant à la nature et à l'environnement des personnes qu'elle rencontre, tout en gommant les signes qui distraient les spectateurs de l'authenticité de sa narration. Elle s'immerge le plus souvent dans des lieux à forte identité, explorant la notion de communauté, centrale dans son travail. Clermont-Ferrand Massif central 2028, porteuse de la candidature de la ville et du territoire pour le titre de Capitale européenne de la culture 2028, initie une série inédite de livres photographiques nommée Traversée. Cette collection propose à des artistes d'explorer, de ressentir et d'observer le Massif central, tout en faisant la rencontre des hommes et des femmes qui animent ce territoire. S'inscrivant dans la lignée des itinéraires mythiques qui traversent le Massif central, à l'image du chemin de Stevenson ou de celui de Compostelle, Traversée incite les artistes à tracer leur propre parcours. Ces nouvelles voies constituent également une cartographie des émotions, révélant ce qui demeure habituellement invisible, et invitant à de nouvelles aventures pour renouveler notre vision de ce paysage vaste et diversifié qu'est le Massif central.

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15.00 €

Hedäyat

BC

Sadeq Hedayat né à Téhéran (Iran) en 1903 et il est mort à Paris en 1951. Il se rendit en France en 1926 pour y poursuivre ses études. Il rentra dans son pays en 1930, mais n'y occupa jamais que de médiocres emplois administratifs. En 1936, il effectua en Inde un voyage dont il conserva toujours une très forte impression. Il visita également l'Ouzbékistan soviétique en 1944. En décembre 1950 il revint en France, mais se donna la mort cinq mois après. C'est sur cette période à Paris que Behi Djanati Ataï a adaptée cette pièce de théâtre, qui est publié dans cet ouvrage. Toute son oeuvre, étrange et sombre, est marquée par la hantise du suicide et il avait tenté une première fois de se tuer durant ses années d'études en Europe.

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15.00 €

Héroïnes 17

BC

La crise sanitaire a aggravé les difficultés familiales, entraînant une hausse des ruptures, surtout dans les foyers fragiles. En France, l'âge moyen de l'indépendance est de 27 ans, alors que la protection de l'enfance s'arrête à 18 ans, ce qui crée une période de vulnérabilité pour de nombreux jeunes. Malgré la reconnaissance gouvernementale de cette injustice, la précarité reste une réalité pour beaucoup, avec 40% des SDF de moins de 25 ans issus de l'Aide Sociale à l'Enfance. Anaïs Oudart s'est concentrée sur les jeunes femmes de 18 à 25 ans ayant vécu des ruptures familiales. Elle a voulu témoigner de leurs difficultés à s'installer dans la vie adulte, souvent marquées par l'insécurité du logement et l'absence de soutien. Certaines parviennent à surmonter ces obstacles, s'orientant vers la protection de l'enfance. Oudart a créé une série de portraits qui reflètent ces enfances chaotiques. En 2022, elle a collaboré avec sept organisations d'aide à l'enfance et d'hébergement d'urgence pour rencontrer ces femmes à travers la France. Elle les a laissées choisir le lieu et la façon dont elles voulaient être représentées, en soulignant leur force et leur résilience. Son travail rend hommage à ces femmes, le chiffre 17 étant une référence à l'âge critique de nombreux cas de rupture. La crise sanitaire a exacerbé les difficultés familiales, notamment chez les adolescents de foyers fragiles, conduisant à plus de ruptures. En France, alors que l'autonomie se fait généralement à 23 ans et l'emploi stable à 27 ans, la protection de l'enfance s'arrête à 18 ans. Cette lacune laisse de nombreux jeunes dans la précarité, parmi eux 40% des SDF de moins de 25 ans. Anaïs Oudart a choisi de mettre en lumière les jeunes femmes ayant vécu ces ruptures, témoignant de leur lutte pour s'établir seules. En 2022, elle a collaboré avec sept structures d'aide à l'enfance pour créer des portraits intimes de ces femmes, révélant leur résilience face à l'adversité. Cette série a été réalisée dans le cadre de la grande commande photographique du Ministère de la Culture, pilotée par la Bibliothèque nationale de France, intitulée "Radioscopie de la France, regards sur un pays traversé par la crise sanitaire". Expositions - Château d'eau, Toulouse en novembre/décembre 2023. - Mairie du 10e à Paris du 15 janvier au 28 février 2024

Disponible

25.00 €

Hors Du Corps

BC

Cette oeuvre ainsi intitulée représente un corps chargé de mouvement, plein d'une détente à venir et dont les valeurs modelées évoquent la transparence. En fait, ce corps tendu par l'élan possède l'opalescence du verre, translucide, diaphane. Dedans ou dehors, illuminé ou éclairé : une nouvelle voie s'ouvre depuis l'observation du corps désiré par la danse pour comprendre, hors de la seule réalité volumétrique, ce qui distingue le sculpté et le photographié. La sculpture éclairée et la photographie illuminée ' Oui peut-être' Mais Foucault invite surtout à suivre son modèle, à danser avec elle.

Provisoirement indisponible

30.00 €

How Much Can You Carry ?

BB

Disponible

28.00 €

Hyères / Plossu

BB

'L’été, la chaleur, le ciel bleu, et les gens (presque) tous sur les plages ! Mais pas tous ! Dans le Sud, il n’y a pas que les belles plages, il y a aussi les arbres, la nature et ses odeurs, l’aube et le crépuscule... Par exemple, il est une ville où les jardins sont spécialement soignés et accueillants : c’est la ville d’Hyères dans le Var. On l’appelle même «â€‰Hyères-les-Palmiers »â€‰! L’après-midi est chaud, mais le ciel ce jour-là est subtilement un peu plombé, gris, sans l’éclat du soleil ; je me promène calmement au jardin où les enfants rient en prenant le petit train à l’ancienne, entouré de paons et de canards : car à Hyères, il y a plusieurs parcs à la disposition des promeneurs, de ceux qui ne vont pas forcément à la mer. Le soleil revient et la chaleur avec, je monte tout doucement vers le parc Sainte-Claire en empruntant des escaliers bien raides. Heureusement j’ai ma petite bouteille d’eau ! Les arbres y sont merveilleux ! Tout excité, je virevolte d’un sentier à l’autre, me laissant émerveiller par le foisonnement méditerranéen de cette nature si bien agencée... (Tout cela me fait aussitôt penser au Douanier Rousseau, ce côté jungle très verdoyante.)' [...] Bernard Plossu

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25.00 €

Ici Meme

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25.00 €

Il Fait Un Temps De Poeme (Vol. 2)

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25.00 €

Ils Pensent Deja Que Je Suis Folle

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25.00 €

Images / Nuages

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Lensemble de son travail ultérieur sera lui aussi reconnu par les plus importants festivals occidentaux : Le Miroir reçoit le Léopard dor au festival de Locarno, en 1997, Sang et or est présenté dans la section Un Certain regard du festival de Cannes, en 2003. Condamné par le régime iranien en 2010 à 6 ans demprisonnement et 20 ans dinterdiction de filmer et de voyager hors du pays, Jafar Panahi travaille depuis clandestinement. Pour autant, Le rideau fermé reçoit lOurs dargent du meilleur scénario à la Berlinale 2013 et Taxi Téhéran, lOurs dor deux ans plus tard. Le film, son dernier à ce jour, connaît un succès critique et public unanime partout dans le monde. En juin 2014, Jafar Panahi entame un travail photographique. Puisque je navais pas le droit de prendre ma caméra et daller dans les rues filmer des gens, que me restait-t-il à faire ? Jai ouvert la fenêtre et je me suis dit : avec ma caméra, je vais filmer le ciel ! Il ny aura personne dans le champ, mais il y aura des nuages ! Des nuages noirs et des nuages blancs, très présents dans le cadre, ce qui suffit peut-être à raconter une histoire... Pendant deux ans jai fait des photos de nuages.

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25.00 €

Impressions Occupation

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"Les Occupations sont des espaces-temps à part dans la saison du théâtre. Pensées afin de permettre que dialoguent un artiste, des artistes, avec des spectateurs, avec d'autres artistes, avec un lieu - le Théâtre de la Bastille -, avec la rue, d'une manière plus libre, plus intense aussi, elles donnent naissance à des projets éphémères, des rencontres, des expériences inattendues. Cette année, nous avons invité le photographe Sylvain Duffard à suivre cette Occupation, non pour en rendre compte, mais pour ménager une autre entrée dans l'univers sensible de Nathalie Béasse avec l'idée que les chemins artistiques qu'ils empruntent, aussi différents soient-ils, touchent parfois des rives qui se font écho et se parlent. En effet, le paysage est omniprésent chez Nathalie Béasse, à la fois dans la matière textuelle qu'elle utilise, mais également sur le plateau. Elle construit des paysages mouvants, qu'ils soient mentaux, corporels ou à partir d'éléments puisés dans ce que l'on appelle encore

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10.00 €

Incidences

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27.00 €

Inframince # 16

BC

Estefanía Peñafiel Loaizai, Damarice Amao, Camille Aymé, Peter Geimer, Timothée Pugeault, Wolfgang Tillmans, Geert Goiris, Nicolas Giraud. L’invisible. Explorer comment la notion d'invisibilité détermine et organise le domaine du visible. Silencieusement, Dans tout processus de production d'image, l'invisible est un marqueur de discrimination esthétique, technique ou social. Il est le signe de ce qui est écarté, à la fois parce qu'on lui refuse d'apparaître mais aussi parce qu'il semble insaisissable, incapable de rentrer dans l'ordre des représentations. L'opération même de l'image peut être envisagée comme un aveuglement, masquant par l'objet par sa représentation. Et sa part invisible, ce qui n’est pas montré, ce qui n’est pas montrable.

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15.00 €

InfraMince #11

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Nicolas Giraud, Stéphane Grumbach, Boris Groys, Lorraine Audric, Thomas Demand (auteurs) La revue inframince, revue de recherche sur l'image et la photographie, consacre son numéro 11 à une réflexion sur les formes contemporaines de l'archive. Depuis plusieurs années la notion d'archive occupe une place prépondérante dans l'économie des images. Les moteurs de recherche nous ont donné l'habitude d'évoluer parmi des stocks presque infinis d'images. Artistes et chercheurs utilisent ces ensembles et ces outils comme une nouvelle matière première, mais ceux-ci influencent en retour nos pratiques et nos environnements. Avec différents textes, cette livraison de la revue inframince interroge ces nouvelles formes. Dans le champ de la recherche comme dans celui de la photographie, l'archive telle qu'on la connaît doit être repensées et confrontés aux flux d'images. Coédition avec Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d'Arles.

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15.00 €

InfraMince #12

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Inframince numéro 12 : l'image tactique La revue inframince, revue de recherche sur l'image et la photographie, consacre son numéro 12 à une réflexion sur les usages tactiques de l'image. L'image est aujourd'hui le point de convergence entre deux mouvements de fond : d'un coté l'hégémonie de la communication et de l'autre la militarisation croissante des échanges et des espaces. Dans cette situation complexe, l'image fonctionne moins comme outil de représentation que comme un objet tactique. Penser l'image aujourd'hui demande une compréhension de ses usages et détournements. Avec des textes de WJT Mitchell, Caroline Bernard, Maxime Boidy, Nicolas Gourault, Nicolas Giraud et un entretien avec Emmanuel Guy cette livraison de la revue inframince étudie la manière dont pensée et technique de l'image sont instrumentalisées et employées comme armes dans la conquête des esprits autant que celle des territoires.

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15.00 €

Inframince #13

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Inframince numéro 13 : L'art et sa reproduction technique Sommaire : Editorial Nicolas Giraud portfolios Emilie Saubestre

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15.00 €

Inframince #14

BC

1

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15.00 €

Inframince #15

BC

La revue inframince, revue de recherche sur l'image et la photographie, consacre son numéro 15 à une réflexion sur les manières de représenter nos environnements contemporains, à travers notamment les formes augmentées de l'image. Une quantité croissante d'images est désormais produite par des machines et s'adresse de plus en plus à d'autres machines. Elles cartographient, mesurent, évaluent et l'une des questions est alors de savoir comment insérer une pratique et une pensée dans ce dialogue des machines. Ce numéro est construit en dialogue avec le projet de recherche Au-delà des images opératoires mené par l'ENSP et l'UQAM. Il réunit des textes de Danièle Méaux, Jean Arnaud, Guillaume Pascale, Hito Steyerl, Jean-Roch Siebauer et un entretien avec Eric Tabuchi. Il est l'occasion de réfléchir à de nouvelles modalités de l'image et à la façon dont elles reconfigurent nos environnements.

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15.00 €

Inframince #17

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Ce numéro de la revue Inframince explore les dimensions cachées de l’image, c’est-à-dire les infrastructures techniques et fiduciaires qui soutiennent sa production, sa diffusion et son impact. En mettant l'accent sur les évolutions numériques et algorithmiques, le numéro analyse comment ces technologies transforment l’image en un environnement visuel total et omniprésent. Ce cadre repose sur des infrastructures numériques qui produisent et transportent les images, mais aussi sur des infrastructures conceptuelles qui légitiment et régulent leur présence. Ce numéro propose un retour aux réflexions de Walter Benjamin, menées ici par l’artiste et théoricien Victor Burgin, qui examine l'impact de la technique sur la perception de l’image. Colette Tron aborde le paradigme numérique et son influence sur notre rapport aux images, tandis que Cédric Mazet Zaccardelli analyse le rythme photographique. Claire Fagnart s’intéresse à la croyance fiduciaire qui soutient le commerce des images, en parallèle du texte de Siobhan Angus qui souligne les conséquences matérielles refoulées de la technologie. Enfin, les contributions artistiques de Pierre-Olivier Arnaud, Simon Starling et James Benning viennent enrichir la réflexion, en modifiant le rythme et la structure des pages, pour mieux interroger notre présent saturé d’images. Éditorial Nicolas Giraud. Portfolio : Inframince_Infrastructure_Studio par Pierre-Olivier Arnaud. Dossier : Revenir à Benjamin, Victor Burgin ; Re-monter les flux numériques, Colette Tron ; Photographie et croyance, Claire Fagnart ; Le rythme de la disposition, Cédric Mazet Zaccardelli. Laboratoire : Le coffre d’argent d’Eastman Kodak, Siobhan Angus. Entretien : Le regard et la patience, James Benning. Portfolio : By Night..., Simon Starling. Livres : Derby, Ken Graves et Eva Lipman ; Ici, Louis Gary ; Between the Lines, Luigi Ghirri ; A Pound of Pictures, Alec Soth ; Orientations photographiques, Arnaud Claass. Contributeurs.

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15.00 €

Irène Jonas Mémoires de campagne

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Irène Jonas est sociologue et photographe depuis 35 ans. Son travail s'est orienté depuis une quinzaine d'année vers la sociologie visuelle qui associe enquête sociologique classique avec l'image documentaire. Sous cet angle, sa dernière étude s'est focalisée sur les bouquinistes des quais de Paris. Dans certains cas, c'est l'histoire iconographique qui détermine l'approche sociologique comme pour ses études de la photographie de famille ou de la mort en photographie. Son travail d'enquête, puis d'écriture, s'accompagne en général d'un ensemble de photographies documentaires prenant la forme d'une exposition et d'une publication. Invitée par Christine Ollier à se pencher sur la population percheronne et ses mutations, Irène Jonas s'oriente sur l'observation de la population rurale ancestrale en “confrontation” avec la sédentarisation de nouvelles couches néorurales depuis les années 80-90. Il s'agit d'étudier l'évolution du territoire, sa mixité et sa dynamique sociale et culturelle.

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10.00 €

Ivresse de l'oeil

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"Lorsqu'il parcourt la planète, Jacques Borgetto observe les signes et les formes que la réalité s'amuse à lui offrir, la restituant en une mosaïque d'images dont le montage cut permet de révéler des correspondances inattendues : entre une petite fille noire à la robe blanche portant un bouquet de fleurs et l'océan roulant sur des rochers, entre des jeux de plage et une chapelle de campagne, entre une antenne de télévision et une cage à oiseaux, entre une mère protégeant son enfant sous un parapluie et la place d'une ville anonyme photographiée derrière une vitre. Ayant évacué la lourdeur de la chambre 4 x 5 pour la légèreté du téléphone portable, la précision technique pour le geste libre de la petite boîte de vision tenant dans la poche, le photographe globe-trotteur a parié sur l'instantanéité de ce qui surgit plutôt que sur le dispositif qui construit de la belle image. [...] Fabien Ribery

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30.00 €

John Ford Point

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En 2015, Vincent Mercier repart à la conquête de l'Ouest américain. A l'horizon, Monument Valley et le John Ford Point, où s'enracine la mémoire des Indiens navajos comme celle des cinéphiles. Dans ce paysage fabuleux, bercé par le vent et une petite musique hollywoodienne, le photographe revisite son enfance de « blanc-bec du Nord ».Un tribut à l'Amérique en version originale et en couleurs, avec un texte de Brigitte Ollier.

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27.00 €

L'amour se porte autour du cou

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La réalisatrice et artiste franco-libanaise Rima Samman collecte depuis des années les photographies anciennes des membres de sa famille, dont la plupart sont dispersés dans le monde. Elle recolorise les images à la main, masquant la nostalgie et le sentiment d'éloignement par un geste artistique et réunificateur qui consiste à parer de couleurs pop une mémoire conservée en noir et blanc. En transformant ainsi ses archives familiales, par le biais d'interventions sur les photos, mais aussi d'un montage vidéo qui les met en mouvement, elle questionne avec une ambivalence joyeuse notre penchant à réinventer et à fantasmer nos identités et nos origines.

Disponible

27.00 €

L'après jour

BC

Au croisement du réel, de l'intime et de la fiction... Un journal photographique. C'est un retour sur images, un état des lieux, un flux de notes, un éditing d'archives sans chronologie et de toute provenance. Un laboratoire qui croise les recherches, personnelles ou professionnelles, les commandes, les projets réalisés ou non et qui fait écho à une pratique photographique du quotidien tel un carnet de route. De l'ordre de l'essai photographique, c'est une tentative libérée des codes de la série ou du sujet, c'est une quête

Provisoirement indisponible

25.00 €

L'arc sera parmi les nuages

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Invitée à la résidence INSTANTS au Château Palmer, Henrike Stahl a photographié le travail des vignerons, en s'immergeant dans leur monde. Elle a observé les jeunes de la banlieue de Bordeaux formés aux travaux de la vigne "Je les ai photographiés, j’ai observé les gestes transmis, les techniques. C’est l’une des premières choses qui m’a frappée en arrivant ici : la quantité de débutants se frottant au travail de la terre, encadrés par des vignerons plus expérimentés". Inspirée par des photographes comme Nan Goldin, Wolfgang Tillmans et Rineke Dijkstra, Henrike s'est orientée vers une photographie humaniste et intemporelle. Elle évite le sensationnalisme, choisissant plutôt de représenter les marges sans stigmatisation. Elle privilégie la beauté inattendue et travaille la matière vivante, utilisant des techniques qui ne déforment pas la réalité. Pour son projet au Château Palmer, elle a expérimenté en intégrant la nature dans son processus créatif, enterrant des portraits ou les exposant à des éléments naturels, reflétant l'interconnexion entre l'art, la nature et le vin. La nature, selon elle, est le curateur ultime de son exposition, soulignant le pouvoir et l'influence de l'environnement naturel sur son art. Ce livre est la deuxième édition de la résidence photographique INSTANTS organisée par Château Palmer et Leica. Henrike Stahl Photographe franco-allemande établie en France. Elle a documenté le travail des vignerons, mettant en lumière la transmission et le développement humain. Inspirée par des photographes humanistes, Henrike capture l'humanité avec tendresse et évite le sensationnalisme. Dans son projet à Château Palmer, elle a intégré la nature dans son art, laissant l'environnement influencer et transformer ses oeuvres. Pour Henrike, la nature est le curateur ultime, reflétant l'interconnexion entre l'art, l'homme et l'environnement. Une exposition aura lieu en avril/mais à la galerie Leica de la rue Boissy d’Anglas à Paris

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35.00 €

L'Artiste Et Son Marché

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Cet ouvrage se veut un outil à destination de l'artiste plasticien, du photographe, du designer plasticien, du vidéaste plasticien lui permettant de se situer dans le marché de l'art afin de savoir protéger ses créations, de comprendre les relations avec ses premiers représentants (galeries, curators, agents) et les acteurs successifs du marché. Pour plus de clarté, j'ai classé toutes les relations de l'artiste dans des cercles.

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25.00 €

L'écoute

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"Pour ce projet il s’agit de déplacer le regard. Il ne s’agit ni d’un "logo", ni d’un ornement, ni d’une prouesse technique, mais d’une apparition, une collusion symbolique qui réagit à la nature du ciel et invite à lever le regard vers le bâtiment. Un cerf, debout sur la Maison de la Culture Malraux, indique par la position de son corps le choix d’une direction. Une biche, sur la Nouvelle Maison de la Culture, par l’orientation de sa tête et de ses oreilles, lui répond. Le mouton, sur le toit du Château d’eau, est attentif aux messages. Ce choix s’est imposé comme une évidence. Je me souviens d’un cerf qui, après avoir glissé d’un terrain escarpé, s’était retrouvé sur le toit d’une maison en contrebas. Lever le regard vers cette apparition animale ouvre un autre rapport à l’espace, à la présence. On assiste ici à un dialogue entre les trois lieux "par le haut ». Présence sauvage et symbolique sur laquelle viendront se poser d’autres animaux, les oiseaux. Un appel. Réalisées en impression 3D puis en fonte d’aluminium à partir d’animaux taxidermisés (le mouton de Jacob appartient au Muséum d’Histoire Naturelle de Bourges), les sculptures sont solides, durables et suffisamment légères pour n’avoir aucune incidence sur la structure des toits. La "forêt associée" est un des quatre volets de la commande publique confiée à Olivier Leroi pour la nouvelle Maison de la Culture de Bourges. Une invitation à échanger avec des chercheurs, scientifiques, artistes, en présence d’autres êtres, vivant une autre temporalité : les arbres et la vie qui les accompagnent. Ce livre retrace le contenu général du projet et en particulier les moments de rencontres en forêt avec des personnes qui chacune à leur manière contribuent à "fabriquer le monde". Au coeur des bois, retrouver un lieu commun. Douze auteurs accompagnent cette aventure éditoriale : Yves-Marie Paulet, Vincent Fleury, Claire Oppert, Marc-André Selosse, Laurent Arthur & Michèle Lemaire, Audrey Dussutour, Gilles A. Tiberghien, Marine Calmet, Gilles Clément, Matthieu Gounelle, Marjorie Guillon

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20.00 €

L'Entre Temps

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"Premier livre de Christine Lefebvre, L'entre temps témoigne de son attachement profond à la vie et ses rencontres. C'est au cours de ses voyages en Chine, en Islande ou à Madagascar que Christine photographie les empreintes du temps qui passe, comme un besoin obsessionnel de capter l'instant. Des paysages désertiques, immobiles et parfois inquiétants, jusque dans l'intimité et la chaleur des corps dénudés, la photographe nous invite à entrer dans un ""voyage intérieur"". ""Le lien était fait entre le temps géologique et le temps gravant les stigmates en chacun de nous. Ce fut le début d'une longue série de rencontres. L'entre temps est cet espace intercalaire, dans lequel je me glisse, entre les différentes strates du temps, dans un voyage intérieur."" Christine Lefebvre "

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27.00 €

L'intuition photographique

BC

Sans que nous en ayons toujours conscience, nos yeux exercent une forme d'intelligence immédiate. Au fil du hasard, ils ne cessent de se laisser captiver à tout moment. L'intuition photographique examine l'art de traduire en images ces moments de présence. Arnaud Claass y commente son activité d'observateur de la vie, des impressions visuelles, des pensées. Une rue londonienne, un orage à Venise, une image de reportage vue dans la presse, des visites d'expositions, des errances à travers la campagne, la méditation sur un concept, des films du cinéma indépendant ou grand public, la photographie africaine contemporaine, les étrangetés du système de l'art : tels sont certains des sujets abordés. À ce texte viennent s'ajouter, sur un registre nettement plus introspectif, les brèves notes de Regard perdu. L'auteur y cerne les conséquences provoquées sur la nature de son regard par la perte récente de son épouse Laura.

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23.00 €

L'Ordre Des Photos

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Photographier est pour moi un acte amoureux et un comportement face au temps qui passe intimement lié à ma rencontre avec Colette en 1991. Je photographie par envie et besoin en choisissant les moments dont je veux garder le souvenir, prenant les images de notre vie à bout de bras avec un appareil photo amateur autofocus qui tient dans le creux de ma main. Ne pouvant regarder à travers le viseur, je cadre bien souvent avec le sentiment incertain de découper l'espace au bon endroit. Sûr du moment je le suis moins de l'instant : il me faut alors prendre plusieurs clichés de la même scène. Le fait de cadrer sans regarder et de ne jamais décider de là où la mise au point sera faite font du hasard une des constantes les plus magiques de la photographie. Le hasard se mêlant au désir et au plaisir du moment dont il faut garder la trace. La photographie est certainement l'art dont on peut le plus dire qu'il se tente.

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22.00 €

L’empreinte de la photographie

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Depuis plus de quarante ans maintenant, Catherine Poncin fait de la photographie avec des photographies. Mieux : elle fait photographie avec la photographie. Pourtant, les textes critiques qui accompagnent son travail tendent à détacher la photographe de la photographie, comme si son travail était avant tout de seconde main, méta-photographique. Cet ouvrage se propose de réexaminer cette conviction et d’élargir la réflexion aux questions suivantes : qu’est-ce que le travail de Catherine Poncin fait aux images qui sont la source de son inspiration, mais aussi à la photographie, comme pratique, comme art, comme pensée ? C. M. Le Champ des Impossibles est une plateforme artistique et un outil culturel ambitieux de développement du territoire. Au service du public, il a pour mission de soutenir les artistes dans leurs créations, de conserver leurs oeuvres et de les diffuser auprès du plus grand nombre. Il s’agit de favoriser dans le Perche, en milieu rural, la diffusion de l’art contemporain et la médiation culturelle nourries par un dialogue vivant avec les artistes. Ce projet de territoire utilise l’art contemporain comme terrain partagé afin de créer du vivre ensemble en assurant la circulation des idées et des artistes. Les résidences de la Slow factory sont un axe majeur de cette stratégie. Les invitations guidées par le regard de Christine Ollier sont des temps de création passionnants, de rencontres et de croisements d’horizons.

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10.00 €

La 89 est-ouest

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"Pour cette Traversée du massif central, sur l’invitation de l’association Clermont 2028, j’ai choisi de prendre la route 89 qui traverse trois départements, la Loire, le Puy-de-Dôme et la Corrèze, entre septembre 2021 et février 2022, avec un petit boitier argentique aux mises au point aléatoires et une utilisation de films sensibles générant une facture plus picturale grâce au grain en oubliant les codes techniques si besoin d’aller vite, s’alléger pour les quelques marches en s’éloignant un peu de la route. Prendre la 89, c’est choisir un temps autre, choisir le ralentissement. C’est choisir le paysage et la rencontre face à la vitesse. Prendre la 89, c’est aussi se dire que les arrêts sont possibles, c’est croire au pouvoir de la sérendipité, au hasard des arrêts et des virages, pour sillonner des paysages et créer cette disponibilité pour la rencontre avec des personnes qui travaillent, transforment, habitent, vivent ces territoires. C’est se laisser surprendre par leurs histoires, s’étonner avec eux de ces rencontres impromptues et des portraits, pris sur le vif, qui en découlent alors qu’ils n’étaient pas prévus initialement dans une première intention, comme une évidence." Photographier en même temps que découvrir ces territoires, c’est sans cesse franchir des frontières invisibles entre ces trois départements, c’est se laisser surprendre par des paysages déjà vus ailleurs, au loin, ou décrits par d’autres. Se dire que la traversée des bois noirs vous projettent au Québec , d’autres paysages désertiques dans la steppe, qu’un fleuve ressemble à un autre, avec la même force. C’est un cheminement solitaire sur plusieurs semaines, plusieurs saisons. C’est observer et contempler, C’est aussi se nourrir de tout ça pour écrire une nouvelle histoire, libre et poétique. L’association Clermont-Ferrand Massif central 2028, qui anime la candidature de la ville et du territoire au titre de Capitale européenne de la culture 2028, lance une nouvelle collection de livres photographiques intitulée Traversée. Cette collection invite des artistes à arpenter, sentir, regarder le Massif central, et rencontrer celles et ceux qui le font vivre. Dans la tradition des chemins mythiques qui sillonnent le Massif central, comme le chemin de Stevenson ou celui de Compostelle, Traversée engage les artistes à ouvrir leur propre voie. Ces nouveaux chemins sont aussi une cartographie du sensible qui rend visible ce qui est habituellement invisible, qui invite à d’autres voyages pour renouveler les imaginaires sur ce vaste et composite paysage qu’est le Massif central.

Réimpression

15.00 €

La Besogne des images

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Ce livre fait suite à l'expérience curatoriale La Traversée des Inquiétudes (Labanque, Béthune, de 2016 à 2019), mais n'en constitue pas le catalogue. Ces expositions librement inspirées de la pensée de Georges Bataille ont permis l'émergence d'une forme nouvelle de savoir que nous prolongeons ici avec des auteurs au sens large - écrivains, philosophes, artistes sans distinction. Le mot de besogne nous retient : l'opération artistique n'est-elle pas à la fois tâche et besoin ' Face aux images produites, ne devons-nous pas, en retour, être à l'écoute d'un murmure, ou même d'une résistance ' C'est collectivement que nous tentons de répondre, par le faire, en un livre se réinventant en permanence par son montage. Pour ce livre, les écrivains, les philosophes et les artistes participent, d'un geste commun, à ces variations autour de la notion de « besogne des images » que nous définissons par le faire.

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30.00 €

La boutique de produits dérivés

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Cet ouvrage se veut un outil simple et pratique pour toute personne, société ou institution publique se lançant dans la valorisation de son patrimoine immatériel et l'augmentation de ses ressources par le développement de produits dérivés. Du Musée ou de la Fondation souhaitant développer des objets à partir de ses collections ; du créateur artiste-designer souhaitant se diversifier et produire un "objet-oeuvre", une oeuvre dérivée d'un autre créateur, une oeuvre en édition limitée ; des Archives souhaitant valoriser des oeuvres orphelines ; de l'entreprise souhaitant apposer son nom et son logo sur une ligne de produits et développer une licence ; ce livre permettra à chacun d'appréhender juridiquement le produit, le créateur, les droits de propriété intellectuelle, le type de relation contractuelle, la rémunération et la fiscalité.

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22.00 €

La lumière du loup

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Le point de départ de cette création est l'intérêt que Benjamin Deroche porte au mythe du "Loup Vert" né sur les terres de Jumièges. En travaillant sur les espaces géographiques où la légende a été construite et en poursuivant sa recherche plasticienne sur le paysage, le photographe crée une fiction photographique ouverte autour de l'histoire du loup, de l'âne et de Sainte Austreberthe, "la brillante de l'Est". En tenant compte que la figure du loup tient une place primordiale dans les mythes préchrétiens, le photographe tisse un lien entre la légende rapportée et les ambiances mystiques des lieux visités. Au fil des saison, il travaille sur des lumières du matin et monte des installations plastiques simulant des apparitions lumineuses dans la forêt et à la source de la rivière Ste Austreberthe. Ce livre La Lumière du loup est le fruit d'une résidence de Benjamin Deroche à l'abbaye de Jumièges de juin à novembre 2019 l'exposition est présentée en exclusivité dans les jardins.

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20.00 €

La plénitude photographique

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Poursuivant son périple à travers les images et la langue, Arnaud Claass explore la singularité de la photographie, dont le caractère incernable fait la plénitude. Scènes de la vie courante, souvenirs ou rêves, images de guerre, oeuvres de référence ou émergentes (photographiques mais aussi picturales, sculpturales, filmiques, littéraires...) laissent apparaître la façon dont nous sommes atteints, au plus profond de nous-mêmes, jour après jour, par les expériences visuelles. Dans ses moments plus théoriques, l’auteur nous redit également sa défiance envers tout esprit de système. "La plénitude photographique" est donc une exploration profonde de la nature et de l'impact de la photographie, une tentative de démontrer comment elle capture et communique la complexité de notre expérience humaine. C'est un appel à la liberté artistique et à l'ouverture d'esprit, à la capacité d'émerveillement et à l'émergence constante de nouvelles formes d'expression. Filigranes a publié dix ouvrages d'Arnaud Claass : Mémoire vive, Nuit optimale, Heure locale, Le réel de la photographie, Du temps dans la photographie, La considération photographique, Essai sur Robert Frank, L'intuition photographique, Orientation photographique, La plénitude photographique Dans le nouvel ouvrage "La plénitude photographique", Arnaud Claass nous offre une exploration détaillée de l'art photographique, en tirant des fils ténus entre des sujets aussi variés que la vie quotidienne, les souvenirs, les rêves, les images de guerre et les oeuvres de référence et émergentes. Il démontre comment ces expériences visuelles façonnent et impactent notre réalité interne, soulignant la portée de l'art photographique non seulement comme une forme d'expression artistique, mais aussi comme un outil de compréhension et d'interprétation de notre monde.

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23.00 €

La prolongation du bonheur - autoportrait de famille #2

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Photographier est pour moi un acte amoureux et un comportement face au temps qui passe intimement lié à ma rencontre avec Colette en 1991. Je photographie par envie et besoin en choisissant les moments dont je veux garder le souvenir, prenant les images de notre vie à bout de bras avec un appareil photo amateur autofocus qui tient dans le creux de ma main. Ne pouvant regarder à travers le viseur, je cadre bien souvent avec le sentiment incertain de découper l'espace au bon endroit. Sûr du moment je le suis moins de l'instant : il me faut alors prendre plusieurs clichés de la même scène. Le fait de cadrer sans regarder et de ne jamais décider de là où la mise au point sera faite font du hasard une des constantes les plus magiques de la photographie. Le hasard se mêlant au désir et au plaisir du moment dont il faut garder la trace. La photographie est certainement l'art dont on peut le plus dire qu'il se tente. La brièveté de la prise rendant l'immédiate répétition de l'acte photographique toujours possible plonge souvent le photographe dans le doute et l'incertitude quant à l'image obtenue. Tenter à nouveau, toujours et encore. Le doute ne partira qu'une fois le film développé, face aux instants saisis réussis. Regarder mes planches de contact me procure alors un sentiment de redécouverte totale du moment vécu et je vois à ce moment-là très précisément ce que j'avais plus perçu que réellement vu. G.G.

Disponible

22.00 €

La promesse

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«â€‰La promesse suit au fil du temps, mon couple, ma famille,mon enfant, sur des moments suspendus, dans des atmosphères sans géographieprécise, mis en dialogue, en continuité, comme un rêve-movie ou un poèmephotographique. Visages, paysages, et détails du quotidien se font écho etdessinent en filigrane le film de nos souvenirs. Les attentes et les absences,les cycles et les ruptures, les bonheurs et les fêlures... du désir d’enfant àla maternité, vers l’enfance retrouvée, La promesse célèbre les petits vertiges,les peurs souterraines, les miracles ordinaires de la vie. Et trace une mémoirecontemplative du temps qui passe. » Marilia Destot, 2019

Provisoirement indisponible

35.00 €

La robe et la main

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Dans le cadre de sa résidence 2018, le PMU a invité Julien Magre à porter un regard inédit sur l'univers du cheval. Un bâtiment majestueux, l'aube qui se lève sur une piste d'entraînement en pleine nature et enfin l'homme et l'animal, acteurs principaux de ce qui va se jouer. Pour ce projet photographique, Julien Magre s'est immergé dans l'univers hippique, des écuries des entraîneurs de galop et de trot jusqu'à l'hippodrome. En découvrant les coulisses des lieux emblématiques que sont Paris Longchamp, Chantilly ou encore Grosbois, le photographe s'interroge sur la frontière entre l'intelligence humaine et l'instinct animal.

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30.00 €

Last Paradise

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"Last Paradise" est une oeuvre multimédia audacieuse qui fusionne la photographie et la musique pour narrer le périple fictif d'une femme excentrique à travers un paysage balnéaire transformé par des événements cataclysmiques. Située sur la Côte Adriatique italienne, notamment à Rimini et ses alentours, l'histoire se déroule durant la basse saison, offrant ainsi un cadre désolé et mélancolique qui contraste fortement avec l'animation et la vie qui caractérisent ces lieux en période estivale. L'univers de "Last Paradise" se situe quelque part entre le rêve et la réalité, jouant sur les frontières de l'onirisme et de l'hyperréalisme. Cette esthétique particulière invite les spectateurs à se questionner sur les traces que l'humanité laisse derrière elle dans un monde post-apocalyptique. Les images capturées, marquées par des couleurs saturées et des contrastes saisissants, révèlent à la fois la beauté résiduelle de ces paysages et leur inquiétante désolation, évoquant un futur où la nature et les créations humaines sont abandonnées à elles-mêmes. La musique de "Last Paradise" est conçue en parallèle, Mathias Delplanques a exploré le musée du synthétiseur vintage ce qui a inspiré sa musique. "Last Paradise" explore donc les thèmes de la solitude, du passage du temps, et de la nostalgie d'un monde perdu, tout en interrogeant notre rapport à l'environnement et à notre propre histoire. Kourtney Roy (photographie) et Mathias Delplanques (musique) sont les lauréats de la 6ème édition du Prix Swiss Life à 4 mains pour leur projet Last Paradise. La Fondation Swiss Life a créé son Prix Swiss Life à 4 mains – Photographie & Musique, en 2014 : le prix est destiné à valoriser des talents et récompense un projet de création croisée et originale d’un photographe et d’un compositeur. Pour la 6ème édition, ce sont le photographe Vincent Fournier et le compositeur Sébastien Gaxie à remporter la mise. Le nouveau binôme lauréat sera accompagné durant deux ans par la Fondation Swiss Life et ses conseillers artistiques : Emilia Genuardi pour la photographie, et Stéphane Amiel pour la musique.

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40.00 €

Le bleu du ciel

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Le vol de l'hirondelle, un symbole de liberté Le Bleu du Ciel prend pour point de départ un souvenir d'enfance, celui du chant des hirondelles dans le ciel et de leur rassemblement sur les fils électriques avant leur voyage vers le Sahara. Associé aux idées de voyage et de liberté, le vol de ces oiseaux a inspiré à Édouard Taufenbach et Régis Campo l'image d'une "partition faite de ruptures, d'accélérations et de silences" où se dessinent "des formes abstraites comme des signes à interpréter". C'est autour de ce motif poétique que se nouent les recherches artistiques des deux lauréats, qui souhaitent créer à quatre mains une "représentation sensible du passage du temps, du mouvement et des échanges et circulations au sein d'un espace", en alliant leurs pratiques de l'image et de la musique. Édouard Taufenbach né en 1988. Régis Campo, est de vingt ans son aîné. Ils se sont rencontrés au printemps dernier, suite à l'annonce du lancement de la 4e édition du Prix Swiss Life à 4 mains.

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35.00 €

Le Jardin De Pierres

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20.00 €

Le Mont Né

BB

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30.00 €

Le Temps Present

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Pascal Grimaud bouscule et met à mal ces lieux communs rassurants. Quittant les circuits balisés, il emprunte des chemins de traverses et nous fait voir tout autrement une partie de la Provence et de ses villages. Ses photos sont comme l'image inversée des clichés d'une région consacrée aux vacances et aux loisirs pour touristes et gens de passage qui ne restent pas longtemps et ne connaissent pas vraiment ceux qui y vivent et y travaillent l'année durant.À l'inverse des villages de carte postale, la beauté des paysages, la présence et la vie des habitants n'effacent pas un sentiment de vide et de sourde angoisse qui émanent de nombre de ses photos : des rues, des places, des carrefours sont déserts

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35.00 €

Les Histoires qu’on se raconte, et celles qui ont lieu

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[...] Nos visages fatigués, éclairés par le halo du GPS, un fond de radio et les phares qui laissent deviner les silhouettes de quelques chevaux autour. On gare la voiture au rythme d'une lampe à détecteur de présence. Deux chiens nous accueillent, un hennissement au loin.Vider la voiture et défaire les bagages. Organiser le bivouac pour trois mois… T. B.

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10.00 €

Les Interstices

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Le projet Parce que c’est Nous, porté par la VillaPérochon-Centre d’art contemporain photographique, a été co-construit avec leservice psychiatrique de l’hôpital de Niort. Il associe toute l’équipe de laVilla Pérochon, une équipe de 5 personnels soignants dont le médecin-chef duservice psychiatrique concerné, l’association Peppsy qui gère la P’tite Cafèteet la Radio Pinpon. Frédéric Stucin a été choisi parmi 80 dossiersde candidature pour développer son projet de « portrait porte-rêves »,portraits de patients de la P’tite Cafète, lieu de convivialité au sein del’hôpital dont l’accès est conditionné à une prescription. Larésidence de création est en place et court sur toute l’année 2021 au rythmed’une semaine par mois.  L’objet final est une exposition et un livre retraçantce travail documentaire mettant en avant une certaine réalité du milieupsychiatrique en France. Un regard singulier, bienveillant sans compassion nivoyeurisme. Non pas un livre souvenir, ni un livre cadeau auxparticipants et aux institutions mais un livre mettant en valeur l’écriture duphotographe, les démarches sociales, artistiques et sanitaires. Ce livre dephotographies sera accompagné de textes significatifs, d’un théoricien de laphotographie, d’un thérapeute et voire de divers témoignages). La Villa Pérochon, centre d’art contemporain photographique,reconnu d’intérêt national par le ministère de la culture et un des servicespsychiatriques de l’hôpital de Niort invitent un.e artiste photographe enrésidence de création/médiation. En immersion au sein de la P’tite Cafète, lieude convivialité au sein de l’hôpital, accessible sur prescription, l’artiste iraà la rencontre des patients acteurs incontournables de ce projet. La P’titeCafète est un lieu propice à la rencontre et aux expériences sociales. Ellefonctionne comme un bar associatif. C’est un lieu de soins suffisammentsécurisant pour que l’expérience de l’autre puisse avoir lieu. Exposition à la Villa Pérochon à Niort, du 29 avril au 2 septembre 2022.<br/> Deux autres expositions 2022/2023 à la galerie Stimultania à Strasbourgpuis au Musée Nicéphore Niépce à Chalon sur Saône.

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30.00 €

Les Portes de Givre

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Les Portes de Givre de Sabine Mirlesse était une série de sept passages gelés sculptés par les vents de l'Atlantique durant l'hiver 2022/23. Cette installation éphémère de Land Art a été inspirée par la découverte des travaux d'ingénierie de son grand-père sur le comportement du givre en altitude dans les années 1930 et est un clin d'oeil au temple Gallo-Romain de Mercure, lieu de pèlerinage depuis des siècles au sommet du volcan du Puy de Dôme, situé de manière unique au-dessus des brumes et des nuages. Sept portails ont été installés selon la constellation des Pléiades, et conçus afin de stimuler les formations de glace et de givre dues au micro-climat, lesquelles croissent pour ensuite fondre avec l'arrivée du printemps. Cette oeuvre est la première installation d'art public de Mirlesse et fait partie du programme Mondes Nouveaux du ministère de la Culture. À l’origine de cette oeuvre, il y a la découverte d’une boîte de souvenirs que Sabine fait durant le confinement. Une boîte qui contient de vieilles photos énigmatiques. L'artiste se remémore avoir trouvé "des négatifs des années 1930, en noir et blanc, juste des formes un peu blanches, du givre, du gel, de la neige, une topographie de paysages qui correspondait plutôt à un terrain volcanique." Sabine découvre avec une certaine émotion que ces photos ont été prises par son grand-père, aux alentours de 1936. Son aïeul était alors ingénieur en mission sur le puy de Dôme, pour étudier les effets du givre sur les ailes d’avion. Ses portes de givre, Sabine Mirlesse les a installées au sommet du puy de Dôme avec une envie : laisser les éléments les façonner, et créer un dialogue entre l’art et la nature. Ces curieuses structures de métal ont été installées au sommet du puy de Dôme. Une oeuvre d’art assez unique puisqu’elle réagit aux aléas de la météo, en captant le givre et fonctionne comme un thermomètre, face au réchauffement climatique. Sabine Mirlesse, l'artiste, décrit sa sculpture comme une oeuvre changeante : "C’est assez surprenant, à chaque fois que je monte, c’est différent, je ne sais pas exactement à quoi m’attendre. C’est la prévision de l'imprévisible."

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30.00 €

Lisa Sartorio

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Formée à la sculp­ture à l’École des beaux-arts de Paris et à l’Ins­ti­tut des Hautes Études en Arts Plas­tiques, Lisa Sarto­rio a fait évoluer son travail vers la perfor­mance et les arts visuels. Son travail photo­gra­phique ques­tionne l’im­pact des images docu­men­taires au sein de nos socié­tés consu­mé­ristes. Leur circu­la­tion déma­té­ria­li­sée et leur hyper repro­duc­ti­bi­lité contri­buent à une consom­ma­tion de masse entraînant dans leur sillon un oubli des conte­nus et la perte du sens de ce que l’on voit. Si l’im­pact de ces images docu­men­taires est devenu obso­lète, comment redon­ner alors, à voir, à penser cette image passante ? [...] Comment redonner aux images de guerre trop médiatisées leur force de témoignage ? Lisa Sartorio les fait transiter plastiquement d’une forme de fluidité à une présence tactile entre peau et écorce. Le modèle de l’arbre généralisé lui sert aussi à créer des paysages-limites qui redonnent corps aux événements les plus sombres du xxe siècle.Dans une constance expérimentale de fiction documentaire, en recherche de rémanence, elle nous amène à repositionner ainsi notre rapport à l’image et à l’Histoire. C. G. Le Champ des Impossibles est une plateforme artistique et un outil culturel ambitieux de développement du territoire. Au service du public, il a pour mission de soutenir les artistes dans leurs créations, de conserver leurs oeuvres et de les diffuser auprès du plus grand nombre. Il s’agit de favoriser dans le Perche, en milieu rural, la diffusion de l’art contemporain et la médiation culturelle nourries par un dialogue vivant avec les artistes. Ce projet de territoire utilise l’art contemporain comme terrain partagé afin de créer du vivre ensemble en assurant la circulation des idées et des artistes. Les résidences de la Slow factory sont un axe majeur de cette stratégie. Les invitations guidées par le regard de Christine Ollier sont des temps de création passionnants, de rencontres et de croisements d’horizons.

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10.00 €

Livret militaire

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En décembre 1980, Philippe Graton, dix-neuf ans, est appelé sous les drapeaux pour effectuer son service militaire. Il est incorporé au 8e Régiment d'Infanterie à Noyon, dans l'Oise. Pendant un an, il ne se séparera pas de son appareil photo (argentique à l'époque) et saisira des instantanés de sa vie d'appelé du contingent. À l'occasion du vingt-cinquième anniversaire de la disparition du service militaire, les éditions Filigranes rassemblent ces photographies inédites, témoignage exceptionnel sur cette institution qui marqua le vie des Français depuis sa création à la Révolution française jusqu'à son abolition par Jacques Chirac en 1996.

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15.00 €

Madame Yvonne

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«Madame Yvonne», photographe ambulante, a sillonné le Trégor rural sur son vélo pendant plus cinquante ans. De 1902 à 1952, elle est allée photographier sur demande les enfants, les familles, les mariages, les battages, les fêtes, les communions, les soldats, les morts, les jeunes et les vieux. Née en 1878, Yvonne Kerdudo est montée à Paris dès l'âge de 15 ans pour travailler. À travers différentes rencontres elle est venue à la photographie et a été formée par les frères Lumière dans les premières années du siècle. Revenue sur son territoire de naissance aux alentours de 1908, elle s'est installée à son compte et a travaillé jusqu'en 1952, deux ans avant son décès en 1954. Figure emblématique du canton, «?Madame Yvonne?» est connue de tous les anciens et ses clichés sont encore exposés dans les salles à manger familiales autour de Plouaret. En 2005, une de ses petites-nièces, en possession de ses archives, nous a contactés. La Compagnie Papier Théâtre a acquis le fonds photographiqu

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40.00 €

Marc Pataut, de proche en proche

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Nourri de laccumulation dexpériences personnelles et collectives, le travail photographique de Marc Pataut (né à Paris en 1952) traite du rapport des individus à eux-mêmes et à la société, faisant apparaître à limage des visages, des corps, des appartenances, des parcours de vie. Sélaborant chacun sur une longue durée et sur un territoire spécifique, les projets menés par lartiste sont fondés sur la collaboration. Son processus de travail demeure ainsi en lien étroit avec un domaine dactivité, avec une situation sociale, avec lhistoire dun lieu, avec une époque. Constituée dune sélection dune quinzaine dessais photographiques réalisés entre 1981 et aujourdhui, cette publication montre loeuvre documentaire de Marc Pataut dans la relation politique quelle développe au temps, à la société, à lespace et au territoire. Entretien de Marc Pataut avec Jean-François Chevrier, Stefano Chiodi, Marianne Dautrey et Pia Viewing. Exposition au Jeu de Paume du 18 juin au 22 sept. 2020

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35.00 €

Mes Yeux Sont D'Aveugles Ciels

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30.00 €

Moirage émeraude

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Dans le cadre de la rénovation menée entre 2017 et 2020, c’est le premier étage qui a fait l’objet de tous les soins. Les décors peints du xixe siècle ont été progressivement révélés et, unanimement admirés, ont désormais repris leur place dans l’histoire des lieux. Il en va de même pour le plafond peint du pavillon Maignan, qui accompagne les premiers pas des visiteurs dans le musée. D’autres zones, profondément remaniées, sans décor particulier, ont été traitées avec moins d’égards. Tendus vers l’objectif des travaux à réaliser, d’une réouverture à préparer, les acteurs du chantier n’ont sans doute accordé qu’un intérêt superficiel aux espaces les plus modestes, les moins apparemment chargés d’histoire. Ceux-là, pourtant, font partie du récit et ont eux aussi beaucoup à raconter ! Stéphanie Mansy, en se glissant dans le bâtiment, en s’appropriant avec douceur et autorité les espaces résiduels de ce pavillon en pleine réhabilitation, a attiré l’attention sur des murs oubliés.

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12.00 €

Natura

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Le nouveau livre de Bernard Descamps, intitulé natura, en hommage aux premiers essais naturalistes de l'antiquité, est le fruit d'un patient travail, d'une longue quête d'images de la nature. Non pas des images spectaculaires du bout du monde, mais des images simplement touchantes, de la nature qui nous est si proche et que nous négligeons si souvent. La beauté formelle de la ligne d'horizon entre mer et ciel, ou celle d'une montagne enneigée, triangle de noir et de blanc, l'élégance verticale d'un arbre centenaire ou celle d'un vol de grues cendrées dans le ciel lorrain. Quatre chapitres, des photographies en noir et blanc, des images faites de roches, d'écorces rugueuses ou lisses, d'eau, de nuages, de lumière et de vent... une approche du vide et du plein, des équilibres et du silence. La poésie pour nous sauver. ''

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40.00 €

New York - Années 50

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Jean Bizien débarque aux États-Unis en 1946. Très jeune homme. Il découvre le pays par une ville?: New York. Une cité faite de centaines d'autres villes, de milliers de Villages d'Irlande, d'Italie, de Russie, de Chine, du Mali, d'Afrique du Sud, du Mexique, du Brésil... Des milliers de villages, des millions d'hommes, des milliers d'habitudes différentes, des milliers de fêtes, de langues, des centaines de couleurs de peau, des millions de démarches, une seule langue pour parler ensemble. Une seule ville pour vivre ensemble. New York est un miracle. Des millions d'hommes si différents se côtoient, vivent, commercent en paix. New York est un miracle sombre et joyeux. La paix et la justice humaine sont très relatives. Pour pouvoir vivre ensemble, inventons autre chose?? Une ville haute et plus verticale. Et pourtant les humains photographiés par Jean Bizien sont des villageois dans une ville aux immeubles immenses.

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30.00 €

Nina Korhonen

BC

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16.00 €

Odyssées

BC

Odyssées est un travail photographique qui a reçu le Prix Caritas Photo Sociale en 2020. L'odyssée d'Homère raconte l'histoire d'un retour qui n'en finit pas. Le retour d'Ulysse à Ithaque après vingt longues années d'absence. Ce travail est un écho à ce récit de voyage originel. J'ai suivi plusieurs personnes en situation d'exil, demandeurs d'asile ou réfugiés, le plus souvent en attente de statut. La plupart d'entre eux vivent dans des centres d'hébergement en attendant la réponse de l'administration. L'attente est souvent longue et douloureuse. Elle les isole du réel et les enferme dans un espace mental en suspens. A travers cette succession de portraits et de paysages, j'ai voulu créer une correspondance entre cet espace émotionnel et les paysages dans lesquels ces personnes évoluent afin de rendre perceptible ce sentiment d'exil. Je les ai photographié dans leurs lieux de vie, dans leur territoire quotidien. Leurs regards se perdent à travers les fenêtres. Ils sont dans le flou.

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20.00 €

On my own

BC

« Le plus difficile en photographie, c'est de voir », souligne Djan Seylan, dont le quatrième livre, On my Own, rassemble 127 photographies en noir & blanc, faites entre 1957 et 2016. De la Turquie, terre de son père à la Birmanie, de la Sardaigne à Madagascar, ou encore l'Iran l'Egypte, La Grèce, le Portugal, Haïti, Cuba, Thaïlande, Indonésie, Corée du Sudn Taïwan, Ceyla, et l'Inde Djan Seylan nous entraîne vers un monde sans compositions tarabiscotées, et riche de « moments authentiques ». Témoignage d'une passion discrète, On my own montre aussi combien, au long de ses voyages avec son Leica, Djan Seylan cultive un art du regard très personnel, où domine l'inattendu et « l'intensité des émotions corrosives ». Djan Seylan est photographe et collectionneur. Il a surtout photographie en Asie et en Turquie. ""En 1956, juste après mon baccalauréat, j'ai passé huit mois à découvrir Istanbul et la photo.

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35.00 €

On ne peut pas se fier...

BC

Mohammad Bamm et sa poésie sont bien connus du public persanophone, notamment des adeptes du "ghazal postmoderne". Il peut sembler étrange que son premier livre soit publié en version bilingue, avec une traduction française, à des milliers de kilomètres de son pays natal. La traduction de la poésie dans une autre langue, bien qu’elle puisse relier les deux cultures et attirer des publics du monde entier (surtout en français, qui possède une littérature riche et puissante), est souvent un exercice excessivement difficile. Si le poète, le traducteur et le texte ne sont pas en mesure d’établir les communications requises, en raison de la perte des capacités et des techniques linguistiques, de l’incapacité à transférer les références textuelles à des événements culturels et historiques, de la perte de la musique verbale, de la difficulté de compréhension par le lectorat en raison des différences culturelles, etc., le résultat ne sera pas aussi significatif et l’oeuvre traduite ne pourra pas être pleinement accueillie par le public. Rappelons que le "Ghazal postmoderne" possède des formats rythmés et, qu’en persan il est difficile de respecter les rythmes et les rimes dans la traduction. D’autre part, les oeuvres appartenant à ce courant de poésie sont truffées de jeux verbaux ainsi que de références indigènes et culturelles, généralement perdues lors de la traduction ou nécessitant de nombreuses notes de bas de page afin de transmettre tout leur potentiel. Mehdi Mousavi

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10.00 €

One more Dance

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Christophe Acker, réalisateur, signe la résidence de cette dixième édition et propose un film qui appréhende la ville de Vichy à travers la danse et le mouvement afin de la considérer comme un corps et un système vivant. Le coeur de la ville, ses artères, son centre névralgique, ses parcs et jardins comme ses poumons, autant de métaphores organicistes et même animistes qui assimilent l’espace urbain à un organisme, aussi bien d’un point de vue physique que fonctionnel, et dont Christophe Acker se sert pour créer une pulsation dans la ville. Accompagné de la chorégraphe Johana Malédon, il est allé d’un quartier à l’autre à la rencontre des Vichyssois, des élèves d’écoles de danse, et d’une cavalière, déplaçant les lignes et mettant en lumière les liens qui s’opèrent entre mouvement des corps et lignes architecturales. Sa proposition offre un regard singulier sur la ville. La résidence photographique est confiée cette année au réalisateur Français Christophe Acker qui a travaillé, avec des élèves d’écoles de danse de Vichy, une cavalière et une acrobate, à l’étonnante proposition d’une visite « dansée » de la ville, à travers un film projeté au palais des Congrès et des photographies présentés sur le parvis de la gare.

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25.00 €

Orientations photographiques

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Avec Orientations photographiques, Arnaud Claass poursuit son exploration des images réelles et des images mentales. Son écriture mêle des observations tirées de la vie quotidienne et des considérations sur l’art de voir. Il envisage la diversité des pratiques du regard comme célébration des choses, comme journalisme ou engagement social, comme ambition muséale ou au contraire comme indifférence délibérée envers l’institution artistique. Abordant des travaux contemporains aussi bien que des oeuvres pionnières des modernités historiques, il questionne l’étrangeté inclassable de la photographie, sa capacité à dire l’énigme du monde, et paradoxalement à résister au déferlement des images. Il médite au passage sur des textes théoriques récents d’auteurs déjà en passe de devenir des classiques. En fin de volume, les Réflexions sur le cas Vivian Maier proposent une lecture attentive de l’oeuvre de la photographe, examinant ses aspects stylistiques aussi bien que les problèmes passionnants soulevés par sa révélation et sa diffusion.

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23.00 €

OverPrint

BC

Un livre dense de 312 pages pour un flux de 560« overprints » ou « une obsession de tous les jours »Â  Un projetintuitif et moqueur ou chacun peut s’y retrouver. L’overprint joue àdéconstruire, dérider, dévisager et déformer ce monde très stylisé du magazineet plus généralement de l’image imprimée. Mi iconique, mi ironique,la démarche de Daubal explore les thématiques de la mode, de l’écologie ouencore de l’humain dans son environnement. Son mode de réalisation artisanalevoire minimaliste, fait de recyclage, de découpage, de bricolages en tousgenres, fait réagir et réfléchir. Elle nous invite ainsi à regarder différemmentles sujets qu’elle aborde en déconstruisant avec fantaisie les codes établis eten entrechoquant papier glacé et culture populaire. Créer un dialogueen combinant l’improbable, provoquer des interrogations plutôt que fournir desréponses. Objet absurde ou initiateur de pensée? Fruit du hasard ou choixdélibéré? Vide de sens ou symbolique? Hommage ou fromage? 

Provisoirement indisponible

40.00 €

Parler à ceux que l’on n’écoute jamais !

BC

C’est au coeur d’une unité de soins pour sans-abris que le photographe Cyril Zannettacci assiste en 2021, au déferlement de l’épidémie du Covid-19. Situé à Nanterre, aux portes de Paris, le Centre d’Hébergement et d’Assistance aux Personnes Sans-Abri (CHAPSA), lieu unique en France, accueille et accompagne des sans-abris dans un parcours de soin. Avec ses airs d’hôpital abandonné, le centre accueille des sans-abris depuis la fin du IXe siècle. N’ayant pas les mêmes ressources, ni la même réputation que la médecine classique, la médecine sociale souffre d’un manque considérable de moyens, de budgets et d’effectifs. Rationnement, voire disparition de certains produits d’hygiène, locaux vétustes, WC condamnés depuis des mois, équipe de nuit réduite à une infirmière et une aide-soignante pour quarante-huit patients... Présidé cette année Mathieu Pernot, figure reconnue en France de la photo sociale, le jury est constitué de professionnels du monde la photographie et d’experts de la lutte contre la pauvreté du Réseau Caritas France. Le prix a par ailleurs tissé un partenariat avec le Collectif Fetart (conseiller artistique du prix), la Galerie Le Château d’Eau à Toulouse, les éditions Filigranes, Picto Foundation, le magazine Polka et La SAIF. Le Réseau Caritas France, créé à l’initiative du Secours Catholique, rassemble 11 organisations engagées dans la lutte contre la pauvreté, la précarité et les inégalités. Chaque jour, 70 000 bénévoles, volontaires, salariés agissent au sein du Réseau Caritas France pour trouver des solutions et accompagner les plus fragiles. En 2020, le Réseau Caritas France a créé le Prix Caritas Photo Sociale pour encourager les photographes qui travaillent sur des sujets sociaux afin de rendre compte des difficultés des plus vulnérables et du combat qu’ils mènent pour retrouver une vie digne et autonome.

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20.00 €

Pascal Grimaud Cahiers 2013-2015

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16.00 €

Passages

BB

Ce travail photographique au long cours a débuté en 2008 pour s’achever 2019. Mais la naissance de cette série telle que présentée ici, a eu lieu en 2015, après les attentats du 13 novembre. Un événement qui a fortement résonné et éveillé une profonde angoisse de mort chez l’artiste. Elle a pensé cette série comme un grand autoportrait qui se veut universel, avec l’idée de présenter les images comme si c’était les dernières. Ses images sont pensées, écrites – un peu à la manière de l’écriture automatique des surréalistes – puis dessinées. L’acte photographique arrive en dernière étape. Ce processus de création étant long, elle réalise très peu d’images. Il est ici question d’un double passage, celui de l’image mentale à l’image.

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40.00 €

Pays perdu

BC

Pays Perdu est un livre de photographies prises en Nouvelle-Zélande par Amaury da Cunha, entre janvier et juin 2020. Parti aux antipodes écrire un roman dans le cadre d'une résidence d'écriture, l'auteur se retrouve tout à coup bloqué sur l'île en raison de la pandémie. Il poursuit cependant son récit qui tourne autour d'une histoire de fantômes. Pour échapper à cet isolement, il se met aussi à photographier son quotidien dans la ville de Wellington où il réside. Il réalise alors de très nombreuses images, sans projet particulier, sinon de se laisser porter par des visions qui résonnent avec ce qu’il est en train d'écrire. Dans cette période de peurs et d’incertitudes, le besoin de penser autrement le monde ne fut peut-être jamais aussi grand ; ce que ce livre raconte en images, au pays du long nuage blanc. "Je photographie comme si je commettais une effraction, mais j’ai, en même temps, le sentiment de recueillir quelque chose qui m’est offert par le hasard. Elle met en branle un désir qui ne peut s’accomplir qu’en mettant l’intention à distance. L’aubaine jouissive : photographier ce qu’on avait pas prévu de voir. L’image, toujours vers le dehors — c’est sa condition d’existence — poursuit aussi son voyage à l’intérieur de nous-mêmes pour retrouver son milieu d’origine : celui des idées et des rêves."

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33.00 €

Périple sicilien

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La Sicile est un lieu magique surtout pour nous, Italiens du Nord, qui vivons dans le brouillard et rêvons de la mer. La Sicile est le lieu de l’art, de la gastronomie, de la culture, de la nature intacte, mais c’est aussi une terre de contradictions, de spéculations et d’oppression. C’est le contraste qui m’a toujours fasciné en Sicile : passé-présent, beau-moche, vrai-faux, mais ce contraste si évident prend, pour nous qui venons de loin, une connotation positive, fascinante, presque comme si la lumière, cette lumière splendide qui enveloppe tout l’avait transformé en une énigme mystérieuse et belle. Marco Rigamonti a tenté de s’écarter de la voie établie. Il a choisi une Sicile où le signe du contemporain prédomine. Ce n’est pas un contemporain que l’on peut toujours apprécier et partager. Au contraire, ses photos vibrent parfois d’un mouvement de dénonciation : une dénonciation amère, ni colérique ni indignée. Des places lunaires, des bâtiments incongrus, sous une lumière absolue qui semble donner une patine de poussière archéologique même aux objets encore en construction. [...] Une photo, l’une des dernières de ce livre, résume à mon avis le sens du travail de Rigamonti. Il s’agit d’un aperçu plutôt rhétorique et traditionnel du théâtre antique de Taormina – ses vieilles colonnes et son mur de briques en arrière-plan la côte et l’Etna : l’un des paysages les plus beaux et les plus célèbres du monde. [...] Extraits Gaetano Savatteri

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32.00 €

Photographie contemporaine & anthropocène

BC

L’« anthropocène » signe une crise civilisationnelle profonde. Les assises, sur lesquelles les sociétés occidentales se sont senties pendant longtemps solidement établies, paraissent désormais précaires. La confiance accordée au progrès technique et aux acquisitions scientifiques est ébranlée. Nombreuses sont les oeuvres photographiques contemporaines qui s’attellent à problématiser et à penser les évolutions de nos modes de vie, de nos valeurs, de nos relations au vivant, au temps ou au progrès. Il s’agit dans cet ouvrage d’analyser la façon dont ces travaux donnent à réfléchir, s’inscrivant de façon féconde dans le débat public. Liste des photographes présents : Peter Fischli & David Weiss, Mishka Henner, SMITH, Ignacio Acosta, Mathieu Asselin, Richard Misrach, Yves Marchand & Romain Meffre, Carlos Ayesta & Guillaume Bression, Guillaume Herbaut, Robert Polidori, Céline Clanet, Françoais Delderrière, Petra Stavast, Jan Stradtmann, Marina Caneve, Céline Duval, Batia Suter, Arno Gisinger, Catherine Poncin, Agnès Geoffray, Jan Fontcuberta, Mathieu Pernot, Jean-Marie Donat, Bernard Plossu, Jean-Luc Mylayne, Michel Séméniako, Thomas Struth, Jürgen Nefzger, Bertrand Stofleth, Julien Guinand, Joel Sternfeld, Éric Dessert, Thierry Girard, Beatrix von Conta, Brigitte Bauer, Guillaume Bonnel, Marc Deneyer, Anne-Marie Filaire, Olivier de Sépibus, Geoffroy Mathieu, Ianna Andréadis, Bruno Goosse. "Les termes d’écologie, d’environnement, d’anthropocène ou de réchauffement climatique se trouvent aujourd’hui repris à satiété au sein des médias et convoqués dans les travaux des chercheurs de nombreuses disciplines de sorte que, pour dissiper tout sentiment de dispersion, voire de confusion, il paraît nécessaire de commencer par préciser ce dont le présent livre ne parlera pas. Il ne s’agira pas ici d’étudier des oeuvres photographiques qui, se concentrant sur des substances organiques ou des matériaux bruts, envisagent les éléments naturels comme un médium et relèvent d’une forme d’«â€‰écopoïétique ». Les travaux proches du Land Art ou de l’Arte Povera mobilisant la prise de vue ne seront pas pris en considération." [...] Danièle Méaux

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25.00 €

Photos trouvées

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"La petite photographie en noir et blanc et aux bords dentelés montre un jeune garçon dans une rue presque déserte. Au loin, on distingue à peine deux personnes assises devant le perron d’une maison. L’enfant a une main posée sur le guidon d’une trottinette en bois. Une des bretelles de sa salopette est tombée de son épaule. Il porte une chemise blanche dont les manches sont retroussées jusqu’au dessus des coudes. Il semble intrigué par quelque chose qu’il observe hors champ. Est-ce un insecte, une fourmilière, un chat ? Je ne sais pas. Je ne m’en rappelle pas. Ce petit garçon, c’est moi. A l’encre bleue, tout en bas de l’image, quelqu’un, sans doute mon père, a écrit "Goulette mai 56”. En voyant l’état délabré de la rue, je me demande comment une trottinette pouvait y rouler. La Goulette est une petite ville située à une dizaine de kilomètres de Tunis. Ma mère me racontait que c’est là-bas que nous passions nos vacances. Il paraît que les familles y faisaient en été un véritable exode, chargeant voitures et camions de presque toute leur maison pour meubler leurs locations de vacance. En 1956, j’avais quatre ans. Je reviens à cette photographie que j’ai toujours gardée avec moi depuis que l’ai redécouverte. Savais-je qu’un mois plus tard je serai dans un avion qui m’emmènerait à Marseille et qu’après cette étape ma famille s’installerait pour toujours à Paris ? Avais-je entendu mes parents en parler ?" [...] M.S. C’est une photo de mon enfance retrouvée par hasard qui a été le point de départ de ce projet Photos trouvées. Sans doute parce qu’en tant que plasticien je me suis tout particulièrement intéressé à la notion d’identité, les photos d’anonymes m’ont toujours fasciné. Certaines photos de famille ou de groupe semblent appartenir à un souvenir collectif. D’autres éveillent notre imaginaire car ne sachant rien des personnages posant sur ces images anciennes cela ouvre un champ d’interprétation qui s’étend à l’infini. Qui étaient-ils ? Que fut leur destin ? C’est justement parce qu’il est impossible de le savoir que je me suis amusé à donner vie, à inventer une histoire à ces inconnus. C’était comme offrir un dernier tour de piste à ces anonymes avant qu’ils ne retombent dans l’oubli.

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20.00 €

Planche(S) Contact #8

BC

"Pour sa 8e édition, Planche(s) contact, rassemble, stimule, explore et partage une nouvelle fois de multiples visions d'une ville. Deauville se révèle, année après année, en se confrontant et en se prêtant à l'ensemble des pratiques et des écritures photographiques. Cette édition pose ""La plage de Deauville"" comme fil rouge du festival et de ses expositions. De sa relation avec la mode, aux nouveaux regards posés sur ceux qui s'y côtoient. C'est un espace aimé et adopté, depuis plus de trente ans, par Peter Lindbergh. Ses couleurs et ses lumières, inspirent agnès b. directrice artistique associée à cette édition, tandis que Claude Nori et Vasantha Yogananthan, photographes arpenteurs des plages méditerranéennes, explorent et restituent, avec leurs regards complémentaires, les réalités sociologiques des piscines et des cabines de bains de Deauville. Françoise Huguier, photographe venue de la mode, vient cette fois à la rencontre des deauvillais des logements sociaux."

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15.00 €

Planche(s) Contact #9

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Photographes présents dans ce catalogue : Isabel Muñoz, Liz Hingley, Isabelle Chapuis, Yusuf Sevinçli, Vincent Delerm, Pierre Cattoni, Franck Hédin 5 jeunes photographes : Samuel Lebon, Hugo Vouhé, Guillaume Noury, Mireia Ferron, Alexandre Chamelat. Pour sa neuvième édition, Planche(s) Contact compose une nouvelle mosaïque des identités d'une ville qui se donne pour sujet. En 2018, le festival de créations photographiques de Deauville capte les énergies d'une ville et les décline en pauses et en mouvements. Invité pour une carte blanche, Vincent Delerm, compose en images ses visions et souvenirs de Deauville, une des plages de son enfance. Il investit et transforme la salle des fêtes en exposant ses photographies et en invitant les photographes, Pierre Cattoni et Franck Hédin à le rejoindre. Tous trois mettent en scène les silhouettes et les visages de ceux qui arpentent Deauville et ses espaces dans une salle des fêtes rebaptisée pour l'occasion : Deauville est une fête.

Disponible

15.00 €

Planches Contact #12

BC

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20.00 €

Planches Contact #14

BC

Le festival Planches Contact est une invitation à l'évasion, où la photographie prend une dimension extraordinaire. Basé sur des commandes publiques, il accueille des photographes internationaux en résidence annuelle. Leurs oeuvres, présentées en grand format dans toute la ville, stimulent la création artistique tout en offrant une perspective unique sur l'évolution du territoire. Le festival Planches Contact 2023 aura le plaisir d'accueillir en résidence une sélection d'artistes de renom, parmi lesquels Jacopo Benassi, Luca Boffi, Elina Brotherus, Olivier Culmann, Omar Victor Diop, Max Pam, Jean-François Spricigo, Salvatore Puglia, Margot Wallard et Matt Wilson. Outre ces résidents, le festival a également invité des artistes d'exception. Parmi eux figurent Robert Doisneau et Malick Sidibé, des légendes de la photographie, ainsi que The Anonymous Project et Olivier Goy, des talents contemporains apportant des perspectives uniques au domaine de la photographie. En collaboration avec la fondation Photo4Food, le festival a également invité Carline Bourdelas, Benjamin Decoin, Thomas Jorion, Sandra Matamoros et Julien Mignot. Ces artistes, par le biais de leur travail, contribuent à sensibiliser à des questions cruciales de notre époque. Et enfin, dans le cadre du programme Tremplin Jeunes Talents, le festival sera honoré de présenter le travail de cinq jeunes photographes prometteurs: Ousmane Goïta, Julia Lê, Carlo Lombardi, Isabelle Scotta et Sidonie Van Den Dries. Ces jeunes talents apportent un souffle de fraîcheur et une nouvelle perspective au monde de la photographie. Le festival Planches Contact de Deauville, fondé sur le principe des commandes publiques, accueille des photographes du monde entier en résidence pour documenter le territoire sous de nouvelles perspectives. Les oeuvres produites sont ensuite exposées en grand format en divers endroits de la ville, créant ainsi une galerie en plein air. Le festival facilite la création artistique et offre une documentation visuelle unique de l'évolution de Deauville. Il se distingue par sa capacité à transformer l'environnement urbain en une scène artistique ouverte, tout en incitant à un dialogue créatif continu entre les artistes et le territoire. Directrice artistique Laura Serani.

Disponible

25.00 €

Planches Contact #15

BC

Depuis sa création le festival de photographie de Deauville, Planches Contact soutient la création à travers un programme de résidences sur la Normandie dans son ensemble comme territoire d’exploration pour les artistes à travers leurs recherches personnelles et leurs questionnements sur l’environnement, le territoire et les habitants qui le façonnent. Le festival se construit autour des travaux inédits d’une vingtaine d’artistes internationaux invités en résidences, émergents ou confirmés, présentés dans des installations conçues expressément. Ainsi la photographie investit la ville et la plage en hiver ainsi que des espaces muséaux : les Franciscaines et le Point de Vue, dans des parcours d’auteurs qui redessinent l’espace public. Pour sa quinzième édition, le festival poursuit ses engagements, envers les artistes à travers la production et la diffusion de la photographie auprès de publics variés. Le festival participe également à la constitution d’une collection photographique pour la Ville de Deauville valorisant le travail des photographes sur la Région, conservée et portée par le Pôle Photographique des Franciscaines tout au long de l’année. En parallèle des expositions, le festival offre une programmation riche à destination de tous les publics avec notamment des rencontres régulières avec les artistes, des conférences et tables rondes, une offre à destination du jeune public et du public scolaires, des workshops et ateliers pour amateurs ou confirmés. Invité : Dominique Issermann Invités en résidence : Coco Amardeil, Alessandro Calabrese, Sara Imloul, Patricia Morosan, Julien Mignot, Richard Pak, Bettina Pittaluga, Philip Toledano, Huang Xiaoliang Invités en résidence avec la fondation photo4food : Joan Alvado, Sophie Alyz, Eric Bouvet, Corinne Vachon Tremplin Jeunes Talents : Nicola Fioravanti, Cloé Harent, Maximilien Schaeffer, Rachel Seidu, Marie Wengler Le siècle des vacances De la villégiature au tourisme de masse – Photographie de la collection Fnac : Jacques-Henri Lartigue, Robert Capa, Henri Cartier-Bresson, William Klein, Dolores Marat ou Martin Parr... Cette exposition est à la fois un témoignage de l’évolution du langage photographique et de la notion de vacances.

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25.00 €

Plossu/Granet - Italia discreta

BB

Le musée Granet a conçu une exposition consacrée à l'artiste Bernard Plossu sur le thème de l’Italie. Une centaine de photographies seront exposées, la plupart inédites, couvrant la période de la fin des années 70 à 2017. Si l’artiste est célèbre pour ses clichés utilisant de façon quasi exclusive le noir et blanc dès 1965, il a pu expérimenter la couleur au gré de ses voyages à travers un procédé pigmentaire particulier, le tirage Fresson, découvert en 1967. Ces tirages mat au charbon, connus dans le monde entier, donnent un rendu granuleux, doux et presque poudré à ses photographies. Ce magnifique ensemble sera mis en regard avec une soixantaine de lavis, aquarelles, différentes vues de la ville de Rome et de ses alentours réalisées par le peintre emblématique de la ville d’Aix, François-Marius Granet (1775-1849) dans la première moitié du XIXe siècle. Les deux artistes partagent en effet les mêmes sujets de prédilection, ce même intérêt pour la Ville éternelle et l’Italie, pour ses ruelles chargées d’histoire, de culture, de mémoire, ces paysages suspendus dans le temps, urbains ou naturels, empreints de solitude. Le traitement de la lumière, des ombres à travers des lavis en clair-obscur pour le peintre et par la photographie argentique pour le photographe, les cadrages, les motifs, tout évoque la force de ce thème classique qui devient un archétype à travers les siècles. L’exposition se développera selon trois thématiques : paysages et vedute, Rome città, pictorialisme et Fresson. La liste des lieux de la campagne romaine que François-Marius Granet explore depuis la Ville Éternelle où il résida durant presque 30 ans (de 1802 à 1824 puis en 1829-1830) dit son âme de découvreur, d’explorateur : Frascati et la villa Aldobrandini, Subiaco, Tivoli, Rocca di Papa, Caprarola. Bernard Plossu, dans sa démarche de photographe-marcheur, fait une expérience similaire lors de ses traversées des Alpes vers la France, qui le conduisent le long du littoral génois et des îles, vers la Toscane (Sovana, Lucques, Florence, Sienne, Pitigliano) puis Rome. Exposition du 29 avril / 28 août 2022, Musée Granet à Aix-en-Provence

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29.00 €

Plumassiers

BC

Cet ouvrage révèle le monde des plumassiers qui ont confié les secrets de leur métier au photographe designer Rip Hopkins. Peu connus du grand public, les plumassiers cultivent la discrétion et restent dans l'ombre, par modestie et par souci de conserver leur précieux savoir-faire, transmis de génération en génération, souvent au sein de la même famille. Rip Hopkins nous emmène en Afrique du Sud, source des plumes d'autruche, omniprésentes depuis la naissance du métier, avant de remonter la filière en passant par la France, l'Angleterre, la Belgique et l'Italie, au fil des rencontres. Les textes relatent maintes façons et techniques employées pour travailler les plumes, qu'il s'agisse d'un plumet de chapeau militaire, d'un boa de cabaret, d'une couette de lit ou d'un hackle - enrouler une plume autour d'un hameçon afin d'en faire une mouche sèche qui va flotter sur la surface de l'eau pour attraper une truite. Un rare livre sur un sujet qui n'a pas été traité depuis plus de cent ans. Peu connus du grand public, les plumassiers cultivent la discrétion et restent dans l'ombre, par modestie et par souci de conserver leur précieux savoir-faire, transmis de génération en génération, souvent au sein de la même famille. Rip Hopkins nous emmène en Afrique du Sud, source des plumes d'autruche, omniprésentes depuis la naissance du métier, avant de remonter la filière en passant par la France, l'Angleterre, la Belgique et l'Italie, au fil des rencontres. Les textes relatent maintes façons et techniques employées pour travailler les plumes. Un rare livre sur un sujet qui n'a pas été traité depuis plus de cent ans. Exposition au musée Paul-Dupuy de Toulouse, du 12 mai au 10 novembre 2023.

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30.00 €

Plumes

BC

Le photographe Julien Magre a capté l'essence de l'univers de la plume dans son travail photographique récent. Avec une approche personnelle et artistique, Julien a su capturer les détails les plus subtils de la plume et les transcender en quelque chose de véritablement émouvant. La sensibilité de Julien à l'art de la plume a fait ressortir sa créativité et sa vision personnelle, donnant vie à des images qui captivent l'attention et touchent l'âme. Ce travail photographique de Julien Magre est un véritable chef-d'oeuvre qui montre sa passion pour la beauté et la poésie de l'univers de la plume. Julien Magre, photographe talentueux, a réalisé un travail photographique captivant sur l'univers de la plume en utilisant son approche intime et son regard personnel. Il a choisi de se concentrer sur cet objet fascinant en le plaçant sous un nouveau jour, en expérimentant avec des plumes qu'il a glissées dans l'agrandisseur du laboratoire photographique. Le résultat est exceptionnellement singulier et offre une vue unique sur un objet souvent considéré comme banal. La créativité et la vision artistique de Julien Magre se reflètent dans chaque image, créant un univers à part entière autour de la plume. C'est un travail photographique réellement remarquable qui mérite d'être découvert. Julien Magre est un photographe qui capture des images de rêves en état de sommeil paradoxal. Il utilise des plumes comme un "capteur de rêve" pour donner corps à l'insaisissable. Il s'immerge dans l'obscurité pour mieux voir, travaillant avec son tireur Fred Jourda dans une chambre noire. Il enchâsse les plumes dans l'agrandisseur pour les percer avec la lumière, ce qui libère de l'énergie et permet une vision profonde du monde des plumes. Il met en place un protocole d'expérience pour explorer la matière des plumes à plus grande échelle. Exposition au musée Paul-Dupuy à Toulouse, du 12 mai au 10 novembre 2023.

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30.00 €

Prix photo, mode d’emploi

BC

Chantal Nedjib, consultante en image par la photographie, et Sophie Bernard, journaliste spécialisée en photographie, se sont associées pour écrire un guide pratique des prix, résidences, bourses et autres récompenses professionnelles dédiées à la photographie. Ce livre s’adresse principalement aux photographes et mécènes, et plus largement à l’écosystème de la photographie. Un ouvrage mode d’emploi pour décrypter les règles et usages des prix afin d’en tirer le plus grand bénéfice et éviter les pièges. Pourquoi une nouvelle édition ? Après une première édition parue en 2019 réalisée sur la base d’une étude auprès de soixante-dix professionnels, Sophie Bernard et Chantal Nedjib proposent une deuxième édition complétée d’un chapitre sur les Résidences. Des interviews supplémentaires enrichissent l’ouvrage. L’inventaire des prix recensés a été mis à jour et une liste des principales résidences a été ajoutée.  Pour étayer leurs points de vue, elles ont interrogé 200 professionnels – responsables d’institutions, commissaires d’exposition, éditeurs, galeries, photographes, observateurs, mécènes, journalistes et collectionneurs – sur l’impact des principaux prix français reconnus dans le secteur de la photographie. 70 d'entre eux ont apporté leurs éclairages et commentaires : - Quels regards ces acteurs portent-ils sur les prix ? - Comment évaluer la qualité et le succès d’un prix ? - Quels bénéfices en tirent les entreprises, mécènes partenaires, photographes, institutions, galeries, festivals, etc.? Toujours conçue comme un guide pratique, cette deuxième version dresse une typologie des résidences. Elle examine les points à maitriser pour bien les choisir, y postuler et bien les concevoir. 

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23.00 €

Proche

BB

Proche est une étape d'un travail au long cours sur les prisons françaises et aborde cette fois la politique de l'enfermement en France par l'absence et le creux, sans jamais montrer la prison mais en mettant en regard ses réalités adjacentes, résiduelles, marginales. Proche est une tentative artistique, utopique, destinée à sortir les personnes détenues de leur isolement en s'intéressant aux zones de contact entre la Cité et la Prison, à ces corps intermédiaires, interstices ténus où se révèlent les liens fragiles entre les prisonniers et la société qui les enferme. Depuis 2016, l'auteur s'immerge dans les rêves de personnes détenues, collectés dans une correspondance épistolaire et dont les lectures par des anonymes sont filmées dans Mon rêve familier, il photographie les Périphéries carcérales, espaces attenants à une vingtaine de nouveaux lieux d'enfermement en France et fait le portrait de proches de personnes détenues à Strasbourg, photographiés à la sortie des parloirs dans la s

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30.00 €

Quadrille

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Le festival Portraits de Vichy a confié à la photographe Letizia Le Fur une résidence artistique avec pour sujet les seniors actifs. Letizia est d'abord enthousiaste, mais très vite anxieuse à l'idée de travailler avec des personnes qu'elle connaît peu. Elle décide alors de traiter le sujet avec légèreté, jeu et humour en utilisant le motif du carreau vichy comme quête absurde et littérale. En arrivant à Vichy, Letizia rencontre Jeany, Jean-Paul, Marie-Alice, Nicole, Ginette, Titi, Bernie, Coco.... Petit à petit, elle découvre leurs histoires, leurs personnalités, leur humour et se passionne pour leur parcours et leurs engagements. Elle est comme transformée et découvre le troisième âge avec un sincère intérêt. Pendant la résidence, les seniors se prêtent au jeu photographique de Letizia avec confiance et générosité, révélant leur talent caché d'acteur ou leur timidité adorable. En rentrant à Paris, Letizia se surprend à sourire à une dame plus âgée, réalisant que les seniors sont des jeunes avec beaucoup d'expérience. Elle remercie les seniors pour lui avoir fait prendre conscience de cela et pour lui avoir donné envie d'avancer joyeusement dans l'âge.

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27.00 €

Quand la photographie pense la forêt

BC

La forêt fascine les photographes contemporains. Elle les attire, pour ses formes enchevêtrées ainsi que pour ses fonctionnements biologiques, de sorte qu’elle les pousse à expérimenter sur le motif certaines options plastiques ou techniques. Elle est également support de mythologies ou de fantasmes qui peuvent être repris – ou déconstruits – par les artistes. Dans le même temps, les zones arborées se présentent comme des espaces hybrides, pour partie créés par les hommes, dont la patiente investigation permet de constater les conséquences de choix économiques, comme de penser des comportements sociétaux, des évolutions culturelles et des relations à la nature.

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23.00 €

Quel Temps Il Fait, Stephane Duroy ?

BC

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8.00 €

Quelques Afriques

BB

"Juste des images" dit Bernard Descamps des photographies qu'il prend au cours de ses voyages. Des images "reconnues". Des photos "rencontrées". Qu'est-ce à dire? C'est dire que le photographe espère toujours croiser sur son chemin les images qu'il a déjà dans la tête. "Je voyage pour me rencontrer" dit-il encore. Aussi ne voyage-t-il pas n'importe où. Il a ses destinations de prédilection. Où Bernard Descamps se sent bien, c'est l'Afrique. Partant à la rencontre des paysages et des hommes, il y côtoie les Berbères, les Peuls, les Bozos, les Pygmées, dont les photos ont bouleversé tous ceux qui les ont regardées. Ainsi, chez Descamps, la dilection est-elle dans le choix du cadrage, de la distance, entre le trop loin et le trop près, dans la hiérarchie des plans à l'intérieur de l'image. Dans le degré d'abstraction, dans la nature du travail graphique qu'il mettra dans son image. Il décentre, il décale, il tronque. Contre-jour, flous, corps fragmentés, réel stylisé... Il ne bricole pas la réalité, il joue avec.

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33.00 €

Registre des voyageurs

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"J’ai trouvé dans la grange de Loone des photos de son enfance, de lui petit avec son frère en train de jouer dans la rivière. Après son BAC, il a eu envie de voyage, d’ailleurs. Il est parti en Amérique Latine, au Pérou. Il a rencontré sa femme avec qui il est revenu en France. Dans le désir d’une vie meilleure il s’est installé au Couserans, il y a 40 ans. Son histoire comme celle de tous ceux que j’ai rencontrés, me révèle que ce territoire est un coin de la France qui se construit depuis le voyage. Les croisades du moyen âge, les traversées vers l’Espagne, les espagnols qui sont venus en France, ceux et celles qui sont venus s’installer à la recherche de liberté, ceux et celles qui sont nés ici et ont grandi dans leurs vallées. Nous, nous sommes arrivés du Chili, un pays qui se trouve à une limite du monde. Lorsque l’on arrive au Chili c’est un terminus. Il faut rester ou repartir dans l’autre sens. Comme dans le Couserans, en montant dans les vallées les routes sont sans issues. Une fois face aux montagnes Il faut rester ou faire demi-tour. J’ai grandi en France suite à l’exil de mes parents, de ce fait mon territoire intime se nourri des deux cultures : la française et la chilienne." RGR

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30.00 €

Regle Du Jeu - Carte Blanche Pmu 2017

BC

"Pour ma Carte blanche PMU, j'ai décidé d'utiliser des « évent scores ». Je m'inspire de la littérature de ces « partitions » écrites par des artistes dans les années 1960 et 1970, notamment par des artistes Fluxus mais aussi d'autres tel que John Baldessari qui donnait des listes de sujets à ces élèves indécis. Ce sont pour moi des règles du jeu qui me donnent des indications tout en étant suffisamment ouvertes pour laisser agir la créativité. J'aime penser que mes aînés me tendent ainsi la main comme des professeurs bienveillants dans une école d'art auto-inventée." Elina Brotherus Le PMU témoigne de son engagement en faveur de la création photographique contemporaine en donnant carte blanche à de jeunes artistes ou photographes pour porter un nouveau regard sur l'univers du jeu. Cette année, c'est la proposition d'Elina Brotherus qui a remporté l'adhésion du jury.

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25.00 €

Rencontre Anaïs Boudot

BC

Anaïs Boudot poursuit actuellement une exploration approfondie des moyens photographiques, intégrant ponctuellement des séries réalisées à la gélatine photosensible sur verre, souvent rehaussées de peinture. Ses créations se situent sur un fil indéterminé entre contemporain et passé. Durant sa résidence, elle souhaite ouvrir de nouvelles perspectives pour ces images sur verre, cherchant à établir un lien entre patrimoine et art contemporain, en utilisant notamment la forme du vitrail. Cette approche vise à redéfinir et enrichir la perception des oeuvres en y intégrant des éléments historiques et artistiques. Michel Poivert, dans son texte, met en lumière l'engagement d'Anaïs Boudot dans l'expérimentation photographique. Avec son projet "Jour le Jour", elle explore la métamorphose des usages photographiques modernes en construisant une opération dialectique qui cherche à immortaliser la disparition. Poivert explique que, dans notre quotidien, nous enregistrons compulsivement des images avec nos smartphones, créant des archives personnelles de souvenirs, notes et coups de coeur. Toutefois, ces images sont souvent vouées à l'obsolescence : elles sont effacées, oubliées ou détruites lors d'un changement d'appareil. Cette situation paradoxale, où les images numériques incarnent la modernité tout en étant éphémères, est au coeur de la réflexion d'Anaïs Boudot, qui tente de capturer et de donner un sens durable à cette fugacité.

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10.00 €

Rencontre Anne Rearick

BC

En 2021 et 2022, Anne Rearick est venue passer quelques mois dans le Perche auprès des habitants, de leurs animaux et de leurs paysages. Sa photographie dépeint l’expérience quotidienne des univers dans lesquelles elle s’immerge et qu’elle célèbre avec délicatesse. “Débarrassée de tout projet globalisant, elle laisse chacun s’exprimer tour à tour avec des regards, des poses, des gestes, un mouvement et elle renoue justement avec cette photographie profondément humaniste qui ne regarde jamais son nombril, qui ne cherche pas son ego ou son identité mais va à la rencontre de l’autre, son égal” (Christian Caujolle). Aux États-Unis, en Afrique du Sud, au Pays Basque, à Sète, comme dans le Perche, elle porte ce même regard généreux sur les êtres pour capter des images qui veulent, avant tout, dire le plaisir de l’instant et la qualité de la rencontre. En complément de ce riche travail photographique, Rémi Coignet connaisseur de la photographie américaine et interviewer émérite a conversé longuement avec l’artiste. Travaillant sur des sujets au long cours, Anne Rearick s’inscrit dans la grande tradition photographique documentaire, en s’attachant principalement au quotidien et à la ruralité. Recherchant une forme d’intemporalité, elle magnifie le banal en s’intéressant à la nature et à l’environnement des personnes qu’elle rencontre, tout en gommant les signes ou les objets (comme les marques et logos) qui distraient les spectateurs de l’authenticité de sa narration. Elle s’immerge le plus souvent dans des lieux à forte identité, explorant la notion de communauté, centrale dans son travail

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10.00 €

Rencontre Carole Bellaïche

BC

Découvrez le travail emblématique de Carole Bellaïche dans son nouveau livre, une célébration poignante de l'art photographique. Avec un démarrage précoce dans son appartement familial parisien, Bellaïche a capturé la beauté des célèbres et des anonymes avec la même verve, révélant ainsi leur aura unique. Cet ouvrage, réalisé dans le cadre de sa résidence du Champ des impossibles dans le Perche, nous offre une perspective nouvelle et touchante sur le vieillissement. Malgré l'éloignement de son milieu habituel, elle est restée fidèle à son éthique de capturer l'essence de chaque individu dans une image juste. Elle se plonge dans l'inconnu, prête à explorer ce terrain vierge avec la même passion pour l'authenticité et la relation humaine qui caractérise son travail. Que vous soyez un amateur d'art ou simplement à la recherche d'un aperçu de l'âme humaine à travers l'objectif, ce carnet de Carole Bellaïche offre une expérience inoubliable qui transcende le temps et l'espace. Rejoignez Carole dans son voyage vers le Perche, une région qu'elle n'avait jamais explorée auparavant, et découvrez comment, peu importe que l'on ait vingt ans ou quatre-vingts, chaque visage détient une présence, une singularité et une intimité d'une valeur universelle. Carole Belaïche a développé une relation profonde avec le Perche lors de sa résidence, capturant de nombreuses images. Son approche photographique visait à trouver la beauté chez les autres. Elle attachait une grande importance au choix du décor, cherchant à établir une connexion personnelle avec chaque modèle. Les maisons normandes du Perche représentaient un défi en raison de la courte lumière et des intérieurs sombres, mais Carole Belaïche parvenait à créer des rayons de lumière évocateurs. Les lieux surprenants du Perche ont inspiré ses portraits sans repérages préalables. Carole Belaïche a vécu son séjour dans le Perche comme une offrande à son regard, rendant ainsi son interprétation visuelle de la région.

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10.00 €

Rencontre Catherine Poncin - Christine Ollier

BC

Une longue conversation entre Catherine Poncin et Christine Ollier. Chère Catherine, c'est un défi de coucher sur papier un extrait de cette conversation qui dure entre nous depuis plus de vingt-cinq ans, rythmée par tes créations issues des nombreux projets que nous avons menés ensemble ! De l'artiste à l'imaginaire fertile à la femme belle et sincère, comment parler de tout ! ? Commençons par expliquer ta démarche De l'image, par l'image. Elle t'a permis d'élaborer un ensemble d'œuvres important : un fonds de plus de 500 images, dont tu m'as nommée dépositaire, correspondant à plus de vingt-cinq ensembles photographiques. C'est impressionnant à chiffrer et magique à voir ! Travailles-tu de la même manière depuis toujours, ou est-ce juste une impression liée à ta démarche mémorielle ?

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10.00 €

Rencontre Dune Varela - Julien Bécourt

BC

En janvier, Dune Varela a réalisé des repérages photographies et filmiques et définit un projet pour le Perche en rencontrant différents acteurs. Ces rencontres lui ont permis de découvrir les collections de l'Écomusée et du Musée de Mortagne-au-Perche, actuellement fermé, qui renferme une belle collection lapidaire. Elle a également visité de nombreuses Eglises grâce à la paroissienne Thérèse Boulay où elle a réalisé de nombreuses photographies de sculptures de différentes époques. Parallèlement elle a rencontré des historiens, dont l'éminent Philippe Siguret, qui lui ont relaté l'histoire du Perche et ses légendes. Au total elle a échangé avec plus d'une quinzaine de spécialistes. Cela a orienté sa démarche artistique sur l'histoire de la sculpture, la mémoire locale et l'importance de la forêt et de son atmosphère animiste. Elle a filmé maintes fois en forêt, profitant du brouillard hivernal, avec des adolescents locaux et ses propres fils.

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10.00 €

Rencontre Elsa et Johanna

BC

En 2023, Elsa et Johanna ont découvert le Perche lors de leur résidence Capsule, en collaboration avec le Ministère de la Culture et la DRAC Normandie. Les percherons ont pu apprécier leurs oeuvres majeures: The Timeless Story of Moormerland au Moulin Blanchard l'été dernier, et A Couple of Them lors du Champ des Impossibles en mai. Cet été, elles présentent leur nouvelle série Séquences à la grange cathédrale du Moulin Blanchard, avec une douzaine de scénarios photographiques comprenant une cinquantaine d’images. Elsa et Johanna ont exploré la beauté du paysage percheron au printemps 2023, avant de revenir en été pour y réaliser leurs prises de vues. Leur approche narrative et minutieuse, loin du documentaire, intègre soigneusement décors, accessoires et compositions où elles se mettent en scène. Pour la première fois, leur travail intègre le paysage comme élément central, transformant la nature en un acteur de leurs compositions. Elles ont inventorié et exploité la diversité des paysages percherons - agricoles, forestiers, vallonnés - et les lumières estivales, pour créer des séquences photographiques pop et empreintes de mystère. Leur imagination débordante a transfiguré ces paysages en une fresque captivante et évocatrice, mélangeant esthétique pop et ambiance de polar.

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10.00 €

Rencontre Mathieu Lion

BC

Manifestation du mythe explore le lien entre les anciennes traditions orales et les paysages contemporains de Normandie. Inspiré par un mythe selon lequel l'oiseau Roitelet aurait apporté le feu aux hommes, Mathieu Lion utilise la photographie pour questionner notre perception moderne du feu, autrefois allié essentiel de l'homme et désormais souvent perçu comme une menace. Ce projet vise à réexaminer notre relation à la nature, en s'appuyant sur les traces d'une cosmologie ancienne pour mieux comprendre les enjeux actuels de la préservation des campagnes. Lion capture ses images lors de marches immersives, utilisant à la fois des appareils argentiques et numériques pour créer un récit visuel mêlant contrôle et spontanéité. Ses photographies, agencées en séquences, jouent sur les intervalles entre les images pour susciter la réflexion sur ce qui est absent ou hors champ. En parallèle, il s'entretient avec les habitants de la campagne pour enrichir sa perspective, combinant images et documents sonores. En s'appuyant sur les sciences humaines, principalement l'anthropologie, Manifestation du mythe propose un regard hybride sur le monde rural, questionnant la relation entre l'homme, la nature et les autres formes de vie qui peuplent ces territoires.

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10.00 €

Rencontre Sébastien Gouju

BC

Sébastien Gouju manipule notre environnement visuel et les signes d’inspirations naturalistes présents dans la culture populaire. Plus particulièrement, il aborde avec facétie l’usage et les représentations décoratives de la nature dans l’environnement domestique. Minéraux, faunes et flores sont régulièrement convoqués dans la mise en scène de leur distanciation à n’être qu’un élément de décor. L’artiste théâtralise jusqu’à l’absurde la domesticité et la servitude du vivant, avec la volonté corolaire d’invalider les hiérarchies sociaux-culturelles. Du saltimbanque à l’animal en cage, en passant par l’esthétisation ornementale, l’artiste s’évertue à souligner avec humour les habitudes toutes humaines d’établir des ménageries décoratives à l’échelle ménagère. De ces observations sur notre habitat et son décorum, où l’animalité et l’environnement s’accommoderaient au bon plaisir de l’homme, Sébastien Gouju cherche à abolir par amplification les frontières devenues criminelles, entre culture et nature. En mêlant à la douceur du confort bourgeois la figure patibulaire du baladin et l’animalité rustique, l’auteur réalise des oeuvres de plus en plus sauvages au regard des utopies modernistes. Sébastien Gouju est un sculpteur dont la démarche artistique consiste à manipuler les signes de la culture populaire, en détournant des objets courants considérés comme kitsch, tels que des pichets de vin, des palmiers en pot ou des hirondelles porte-bonheur. Il utilise des techniques artisanales telles que la faïence émaillée, la broderie, la dentelle, le travail du métal ou du cuir, pour créer des hybridations incongrues et des télescopages de sens et de formes. Ces signes transformés en images proposent des narrations légères ou redoutables, mêlant le quotidien à la fable. Avec un regard à la fois amusé et subversif, Gouju remet en question les qualités esthétiques des cadres de vie et des décors créés par l'homme moderne.

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10.00 €

Rencontre Yves Trémorin

BC

« Le photographe saisit le réel devant lui, moi je le recompose et le mets en scène ». Plutôt que photographe, Yves Trémorin se définit « artiste visuel ». Depuis ses débuts en 1977, il n’a de cesse d’interroger le médium photographique, « de le pousser dans ses derniers retranchements ». Sa radicalité artistique apparaît dès ses premières séries mettant en scène sa compagne Monique et sa grand-mère Ernestine qu’il a continué de photographier pendant toute la vie. Sa démarche repose sur le postulat que la distance au sujet contribue à la construction de l’image, avec, au coeur du travail, la notion de synecdoque (le détail dit l’ensemble). Ainsi, comme pour ses premiers nus, les portraits de sa grand-mère sont constitués de prises de vue resserrées et frontales, sans artifice. « J’utilise la photographie pour bousculer l’habitude de regarder ce qui est devant nous. Les images sont mises en scène hors de tout indice contextuel, spatial ou temporel. Je travaille les angles de la prise de vue et la distance au sujet afin de l’amener dans une sorte d’abstraction. J’ai démarré avec des proches pour traiter de l’intime, magnifier leur vie et aller vers l’universel ». Yves Trémorin a été attiré par les chevaux grâce à des souvenirs d'enfance. Sa résidence artistique invité par Le Champ des Impossibles et Christine Ollier, dans Le Perche, lui a permis de créer une série de photographies explorant la relation entre l'homme et le cheval. Travaillant avec des éleveurs locaux, il a capturé la magnificence des chevaux et remis en question leur soumission. Les photographies expriment la dualité entre le profane et le sacré, offrant une vision imagée du monde. Inspiré par ces images, ce carnet présente les photographies dans un format et une mise en page spécifiques, offrant une narration visuelle cohérente. Cette immersion dans un monde où l'homme est exclu représente une étape importante dans son travail, soulignant son intérêt pour les animaux et leur sauvagerie.

Disponible

10.00 €

Rencontres avec Stéphane Duroy

BC

Quatre projets principaux portant sur l'Angleterre, Berlin et les pays de l'Est, et les Etats-Unis : ainsi se résument les quarante-cinq années de parcours de Stéphane Duroy. Artiste à la parole rare, il se raconte ici dans une conversation chronologique embrassant l'ensemble de son itinéraire : son rapport à l'Histoire et au monde d'aujourd'hui, sa relation à la photographie avec laquelle il prend ses distances depuis une dizaine d'années... Un entretien-manifeste par le photographe de L'Europe du Silence.

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23.00 €

Romania

BC

Ce livre publie pour la première fois le travail réalisé par Mathieu Pernot en Roumanie en 1998 dans le cadre d'une bourse de la Villa Médicis hors les murs. Ce voyage, qui constitue un épisode singulier dans le travail de l'auteur, révèle avec simplicité la force des lieux et la puissance des visages auxquels il a fait face. Ces photographies offrent un glissement silencieux sur la réalité des communautés tsiganes d'Europe de l'Est. Cet ouvrage est édité dans le cadre de l'exposition Survivances présentée à l'hôtel des Arts de Toulon qui propose un parcours inédit dans le travail que l'auteur à réalisé avec la minorité tsigane depuis une vingtaine d'années.

Réimpression

25.00 €

Salonfäheg

BB

Salonfäheg : adj., german, but also used in english, danish, dutch and luxemburgish : socially acceptable, presentable. Je m'intéresse au rapport qu'entretient l'œuvre avec la décoration. Mon travail en est le reflet, ou j'affirme que l'on peut proposer une oeuvre d'art jouant avec les plus conventionnels codes esthétiques. Le travail photographique Salonfäheg est né de l'envie de redonner à la peinture une place contextuelle qui lui est propre, et paradoxalement invisible  : la place du salon. La peinture comme objet décoratif accroché sur un mur, au-dessus d'un canapé, d'une table, etc.. Une place qui lui est fondamentalement destinée. Louise Lawler s'intéresse moins au processus original de création de l'œuvre d'art qu'au contexte dans lequel celle-ci est nécessairement située et qui dépend fortement de la sphère d'influence de l'artiste. Il apparaît que les qualités plastiques intrinsèques à une peinture peuvent être en relation avec son environnement et constituer un travail photo

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30.00 €

Satan mène le bal

BC

[...] J'ai survendu une coquille vide. Les interviews pour la presse locale ont commencé. Je balance mon pitch, tout le monde trouve ça génial. “Hey, you're Bukowski!” Les collègues commencent à m'appeler Bukowski. Ils trouvent ça vraiment cool d'avoir Bukowski à la maison. S.L. “Un univers chaotique et passionnant” - Marianne “Une confrontation avec l'écriture, un début de folie” - Ouest France “Romancier en quête de personnages, Samuel Lebon est allé chercher à Deauville un peu du rêve américain. Ses photographies amoureuses aux couleurs sombres jouxtent ses textes, exposés dans une chambre qui pourrait être celle de Bukowski” - Le Figaro "Une autofiction en hommage à Charles Bukowski pour la starisation ironique d'une vie de création" - lacritique.org

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10.00 €

Si Près Du Ciel, Le Tibet

BC

A travers de nombreux voyages, j'ai parcouru le Tibet accompagné d'un ami tibétain, jusque dans les endroits les plus reculés. Ces voyages m'ont conduit à découvrir les sites des funérailles célestes et c'est à travers Le livre des morts tibétains du Bardo Thödröl et grâce aux explications des moines que j'ai compris toute la force de ces funérailles, ô combien choquantes pour nous, occidentaux. J'ai pour projet de présenter une rétrospective de ce travail à Paris lors d'une exposition." Jacques Borgetto

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30.00 €

Son album

BC

Le village aux moutons - Yamamoto Masao Je marche dans le vent d’une route de montagne et j’écoute l’harmonie qui coule de la ligne de crête. Un groupe de chèvres dessine des points blancs sur la pente. Ceci est un peu difficile à comprendre pour un japonais. Les brebis ne sont ici que du bétail. S., le jeune éleveur qui m’a permis de photographier ses agneaux, m’a dit qu’il descendait travailler une partie de son temps à la ville car il n’arrivait pas à vivre de son élevage de moutons. Cependant, à ma visite suivante, il commençait à élever aussi des poules pour les oeufs. Il avait finalement décidé de rester dans la montagne et d’y gagner sa vie. M. et G. ont un troupeau de chèvres mohair dans la montagne. Lui s’occupe des chèvres et elle dessine et produit de beaux objets avec leur laine : couvertures, écharpes et chandails. Ils sont colorés et extrêmement doux. J’ai pris quelques images de ce couple et de leurs chèvres sur ces hauteurs. Le lieu faisait un magnifique studio de prise

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35.00 €

Sous Les Paupières Un Sillage

BC

"Dessins intimistes ou dessins dans l'espace, dessins autonomes ou dessins en série, la ligne, l'ombre et la lumière, les notions d'apparitions et de disparitions, la cohabitation de l'humain, du végétal et de l'animal, l'hybridation, la métamorphose sont les constituants du travail que je développe depuis une quinzaine d'années. Je pioche dans le quotidien des images que je détourne, superpose, mixe, créant ainsi de l'étrange avec du familier. Pour cette série je réalise des collages à partir d'une documentation variée (journaux, magazines...), mêlant fragments d'humanité et d'animalité, cherchant une alliance entre l'homme et l'animal. Ensuite, je les reproduis à l'échelle, à main levée, utilisant différents crayons à papier dans un travail long et minutieux mêlant recouvrement de vernis, graphite, gommage, recadrage... me détachant progressivement de la source photographique cherchant ainsi à donner au dessin son autonomie. Pierrick Naud

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25.00 €

Studio Zgorecki

BC

Archives photographiques de l'immigration polonaise dans le bassin houiller du nord de la France, dans les années 1920/1930. Né en 1904 dans la région industrielle de la Ruhr (Allemagne), de parents originaires de Pologne, Kasimir Zgorecki émigre dans le Nord de la France avec sa famille à l'âge de 18 ans. Mineur de fond pendant quelque six mois, il se tourne ensuite vers la photographie professionnelle et reprend en 1924 le studio de son beau-frère à Rouvroy, dans le Pas-de-Calais. Sa carrière principalement axée autour des portraits de la population polonaise de la région - dont l'immigration est liée à l'industrie lourde du charbon et de l'acier - devient vite florissante. Zgorecki s'investit notamment dans la photographie d'identité, devenue obligatoire sur les cartes des étrangers travaillant en France en 1917. Exposition de Kasimir Zgorecki, présentée au Jeu de Paume - Château de Tours du 6 juin au 25 octobre 2020 (vernissage le 5 juin).

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35.00 €

Sur les traces du Furan

BC

Avec les contributions de : Jean-Luc Bayard,Anne-Céline Callens, Michel Depeyre, Pierre-Régis Dupuy, Georges Gay,Georges-Henry Laffont, Pierre-Olivier Mazagol, Éric Perrin, JonathanTichit. Le Furan demeure quasiment invisible au sein dela ville de Saint-Étienne. Le photographe Pierre Suchet a arpentéses rives, de sa source (au Bessat) jusqu’à sa confluence avec la Loire (àAndrézieux-Bouthéon). Au minutieux travail de prises de vues sontconjuguées les réflexions de géographes, d’historiens... ou de spécialistes desimages, afin d’examiner les rapports qui se sont établis, au fil du temps, entreles hommes et la rivière. Les photographies contemporaines rencontrentégalement, dans cet ouvrage, toute une variété de représentations plusanciennes. Cette approche dialogique a été consciemment choisie afind’essayer de restituer la complexité des usages des habitants du bassin-versantet de leurs affects à l’égard du cours d’eau. Elle est aussi déterminée par ledésir de pousser le lecteur à s’investir lui-même dans une formed’investigation.

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35.00 €

Sur-Nature

BB

"Ce livre retrace dix années de photographies dans la nature. Le point de départ a été une très grande marée dans le Finistère Nord, l’hiver 2012. Ce mélange de désert de sable et d’eau à marée basse m’a donné l’envie de planter un arbre et de le photographier. Symboliquement j’ai alors commencé à travailler avec des sculptures de papier installées très loin sur l’estran. Il fallait travailler entre deux marées et j’ai souvent perdu l’oeuvre avant même de la photographier, c’était un jeu de patience. Photographier la nature correspond pour moi à un espace de libération. Je suis certes en lien avec mon sujet, mais je suis aussi un peu à côté de moi-même. Au coeur d’une forêt ou au bord d’un lac, il n’y a pas de perfection ni d’imperfection, tout est déjà là et je suis en quelque sorte sans objet, d’où ce besoin de non-altérité. Il y une sorte de dilution de soi avec la nature et l’on peut effectivement parler de communion. J’aime les formes simples ou les matières à déconstruire comme le papier froissé. Ce sont à la fois des symboles esthétiques et des objets qui sont là pour rendre en quelque sorte hommage au lieu. J’artificialise alors un peu l’espace naturel, je l’humanise peut-être aussi, même si ce n’est pas mon propos initial. Ce qui compte de manière primordiale, c’est la découverte du lieu et parfois, comme l’écrit Hubert Reeves, l’espace prend la forme de mon regard". Benjamin Deroche

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27.00 €

Survivalist Failures

BC

Lorsque la Kourtney Roy s’est retrouvée confinée en Normandie pendant la crise du Coronavirus, son imagination illimitée a délivré une série photographique intitulée Survivalist Failures. Tous les jours, Kourtney Roy proposait un guide de survie, ironique, décalé et tranchant qu’elle publiait sur les réseaux sociaux. Chaque photographie était accompagnée de leçons de survie: Lesson 11: ln the apocalypse don’t forget about personal hygiene. Lors du confinement, notre quotidien a brutalement changé et nos repères ont été chamboulés. Pour le mouvement des survivalistes, tout ce à quoi ils se préparaient depuis des années était arrivé, une quarantaine mondiale. Kourtney Roy s’en est inspirée, avec son langage artistique si particulier, et à la manière des survivalistes, l’artiste s’est mise en scène dans des situations insolites, qui lui rappellent peut-être son enfance passée à se raconter des histoires fantastiques dans les forêts canadiennes.

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20.00 €

Terre du couchant lointain

BB

[...] Je percevais que Jean-Pierre Evrard ne scrutait pas sa mémoire, ne labourait pas un champ perdu de souvenirs. Il fournissait un délicat parcours nimbé de poésie et d’irrésistible inclination vers les autres dans ce qu’ils ont de meilleur, un goût passionné et débordant d’être infiniment contemporain. Cela vient de très loin. Jean-Pierre ne s’est jamais donné la posture du maître. Ce qui le caractérise est la sûreté d’un regard intimement lié au respect profond, généreux, chrétien, des expérimentations des autres. Rencontrer a toujours été l’un de ses plus grands plaisirs. Et avec lui, l’acte de connaissance se manifeste chaque fois comme un moment de lumière, dégageant chaque image du local et la drapant d’universel. J’ai eu le bonheur de parcourir les dizaines de boîtes où sont méthodiquement classés ses tirages. Classement d’orfèvre. Chaque feuille posée sur le plat de la main est un bonheur des sens, le papier a été choisi, le sélénium poudroie, les gris sont traités puissamment. Et puis, dans ces boîtes se trouvent aussi les albumines de Tlemcen, les plaques de verre du Cambodge, les portraits de Cavilla, les échanges portant le don au plus haut du bonheur de dialoguer avec les autres photographes : Edouard Boubat, Willy Ronis, Bernard Plossu, Claude Dityvon, Luc Choquer ou Marie-Paule Nègre, pour ne citer que ses préférés. [...] Patrick Manac’h Jean-Pierre Evrard photographe voyageur a photopgraphié de nombreux pays et notamment le Maroc pendant 30 ans (1981 et 2012). Nous pouvons le qualifié de photographe "humaniste", il va à la rencontre des habitants et immortalisant la vie quotidienne, sans artifice. "Photographier est un acte prédateur dans sa gestuelle et seule la mise en place d’une complicité permet d’éviter la position dominante et gênante sur une personne pas toujours en mesure de se préserver. C’est la raison pour laquelle je n’utilise que des focales très courtes de façon à être le plus près possible des personnes photographiées. Je veux que ces personnes me regardent même si, pour des raisons de naturel, je ne leur demande pas toujours leur accord car le plus souvent celui-ci m’est déjà accordé, parce que le contact a été créé bien avant que je sorte mon appareil." [...] JPE

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35.00 €

Thibaut Cuisset : Loire

BB

Pendant près de 40 ans, Thibaut Cuisset (1958-2017) a construit une œuvre sur le paysage à travers des campagnes successives, en France et à l’étranger. Arpentant les paysages, il développe un style singulier qui s’appuie sur un équilibre ténu entre sujet, couleur et lumière. Les campagnes françaises et le cours des fleuves représentent un champ de recherche essentiel dans les recherches de Thibaut Cuisset sur le paysage. Le corpus d’images constitué autour de la Loire en est une démonstration notable, témoignant à la fois de la constance de l’écriture du photographe et de son évolution, tant dans la composition que dans les modalités d’exposition des photographies. Ainsi, l’exposition présentée au Château de Tours montre le travail réalisé par Thibaut Cuisset autour de la Loire pendant près d’une décennie, au gré de plusieurs commandes et prix photographiques. Réunissant pour la première fois l’ensemble de ces séries et proposant certaines photographies inédites, Loire : Thibaut Cu

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40.00 €

Those with a name to come

BC

Auteurs : Siouzie Albiach, Mariano Bocanegra, Alejandro León Cannock, Florence Cuschieri, Juliette George, Marta Gili, Giovanni Battista Martini, Audrey Mot, Fabien Vallos, Juliette Vignon. En 1960, Lisetta Carmi choisit d'abandonner sa carrière de pianiste pour s'emparer de la photographie. Elle participe alors aux mouvements contestataires de gauche, en réaction à la montée néo-fasciste et réactionnaire des années 1960. Inspirée par ce contexte, elle utilise l'appareil photographique comme un outil politique d'expérience et de partage avec celles et ceux qui aspirent à une reconnaissance dans l'espace social du commun. Sa série Les Travestis, notamment, dépeint avec douceur et complicité la vie d'une communauté transidentitaire de travestis dans l'ancien ghetto de Gênes. Son regard se pose également sur le monde ouvrier. Ses séries consacrées au port de Gênes captent l'intensité du corps à l'oeuvre et sa rencontre avec celui, gigantesque et dévorant, de l'industrie portuaire.

Disponible

25.00 €

Tranchants

BC

Tranchant est un instantané de la cuisine contemporaine, dessiné à travers ceux qui la font, les cuisiniers, et leur outil, le couteau. Cent vingt-huit professionnels aguerris ou encore commis sont passés, armés de leurs ustensiles, par J’Adore ce que vous faites !, le studio photo monté par Vincent Lappartient et Julien Mignot. En quatre mois, en plein confinement, ils ont photographié et interviewé les chefs. Le protocole récurrent du portrait noir et blanc et de la main tenant le couteau brosse un portrait en creux d’une gastronomie française diverse, mixte et absolument foisonnante. Tranchant est un essai culinaire et photographique qui traite du geste, de l’outil et de l’artisanat.

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25.00 €

Trop n'est même pas assez

BC

"Le présent volume est le dernier de la saga presque presquetransparente, capturée par Guillaume Geneste entre le printemps 2012 et l'hiver2016. Presque transparente, puisque ce sont des situations organisées en imagespar un photographe, même s'il est muni d'un appareil amateur. L'identité qui senoue entre le regard et la main, puis entre eux, le corps et la mémoire écritl'histoire d'un photographe. Un photographe travaille un univers magique, faitde suspensions, de présence-absence, de codification, d'alchimie ou, comme lesouhaite Vilém Flusser, d'aspiration à la liberté. Et cette liberté, qui estdavantage résolution et volonté que sentiment, est aussi exclusive que l'amour,celui qu'évoquait Beaumarchais, et avec qui elle partage la qualité qu'il luiattribue et qui sert ici de titre à cette analyse : trop n'est même pas assez."Tereza Siza

Provisoirement indisponible

22.00 €

Troubles

BB

Provisoirement indisponible

30.00 €

Tu me Loves ?

BC

- Tu me loves ? rassemble des photographies de Marion Poussier et un texte de Sonia Chiambretto : L.H.O. Ou Quoi ? Ce montage sans filtre exotique met en lumière la question de l'amour chez les jeunes vivant dans les cités HLM des quartiers périurbains d'une ville moyenne en France. Dans une grande pudeur, les photographies saisissent des regards de filles et de garçons qui se tissent les uns aux autres, laissant entrevoir des liens secrets. De ces visages emprunts de douceur jaillit une langue brute et poétique qui invente dans le hors-champ de l'image une géographie amoureuse où viennent s'entrechoquer des jeux de désirs et de dominations, de normes et de transgressions.

Disponible

30.00 €

Uchronie

BB

L’exposition Uchronie parle de notre relation à la nature, à la technologie et aux imaginaires du futur. C’est une version alternative de l’histoire. Et si la vie sur terre avait évolué d’une autre manière ? Et si les animaux étaient doués de poésie ? Et si on allait sur Mars en restant sur Terre ? Dans ces histoires parallèles j’ai voulu retrouver le plaisir de l’enfance et du jeu pour mettre en scène deux imaginaires du futur. L’exploration spatiale avec sa part de rêve et de mystère, et la réinvention du vivant par le prisme de la technologie et de la poésie. C’est un voyage dans un monde hybride oscillant entre réel, imaginaire, histoire et anticipation. C’est aussi une invitation à la contemplation esthétique de versions alternatives à notre monde. Uchronie se compose de photographies, Auctus animalis, Flora incognita, Post Natural History, Space utopia et d’autres oeuvres, Haptique, Le Cerveau nuage (où sont nos souvenirs rangés), le Coeur immortel, les Fleurs de chair... chacune utilisant des techniques mixtes, impression 3D, mosaïque, sculptures, joaillerie, musiques, films... L'artiste Vincent Fournier présente l'exposition Uchronie au Musée de la chasse et de la nature à Paris u 11 avril - 17 septembre 2023), qui explore notre relation à la nature, à la technologie et aux imaginaires du futur à travers des versions alternatives de l'histoire. En utilisant des techniques mixtes, telles que l'impression 3D, la mosaïque, la sculpture, la joaillerie, la musique et le film, Fournier met en scène deux imaginaires du futur: l'exploration spatiale et la réinvention du vivant par la technologie et la poésie. Uchronie invite à la contemplation esthétique de versions alternatives à notre monde. Les photographies, sculptures et autres oeuvres d'art qui composent l'exposition comprennent Auctus animalis, Flora incognita, Post Natural History, Space utopia, Haptique, Le Cerveau nuage, le Coeur immortel, les Fleurs de chair, entre autres.

Disponible

35.00 €

Une île

BB

Une île est volontairement laissée sans désignation, c’est un possible, une narration réelle et fictionnelle, qui retrace l’attraction qu’exerce ce lieu sur l’imaginaire. L’ouvrage rassemble des photographies prises entre 2012 et 2015, un texte original de Jean-Yves Jouannais, et des extraits d’un essai de Rafael Argullol «â€‰L’attraction de l’abîme », publié en 1983. Tous ces éléments traitant à leur manière de certains aspects de l’île de Rügen située dans le Nord-est de l’Allemagne sur la mer Baltique, dont les falaises de craie, s’abîmant dans la mer, ont été immortalisées le peintre romantique Caspard David Friedrich en 1818. Putbus, première station balnéaire de l’île, est fondée en 1816 et plus tard, d’autres stations sont créées. En 1936 les autorités nazies planifient une station composée d’un immeuble uniforme de six kilomètres qui fait face à la mer : Prora. Celui-ci, cité balnéaire contenue dans une barre unique de 5 kilomètres organisée par la KdF : Kraft durch Freude.

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35.00 €

Une origine du monde des images

BB

En 1877, les frères Lumière viennent en vacances à St Énogat (Dinard-Bretagne). Ils sont accompagnés de leurs professeurs et reçus par un ami de famille Louis Jacolliot ancien magistrat et auteur de roman d'aventure. Ils séjournent dans une villa près de la mer et on raconte qu'ils installèrent un petit laboratoire au fond de la grotte, la Goulée aux Fées, où ils pouvaient accéder à marée basse. Absorbés par leurs expériences dans l'obscurité de la caverne, ils se laissèrent surprendre par la marée montante. Saisis d'effroi, bloqués par la mer au fond de la grotte, ils auraient fait serment de ne jamais se séparer s'ils échappaient à la noyade. Récit ou légende, ainsi se forgea la figure des deux frères inséparables qui accompagne toute leur aventure d'inventeurs et d'industriels. Il est frappant de se souvenir que dans cette même grotte, une des légendes relate une vision féérique où l'oeil joue un rôle essentiel.

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20.00 €

Unknown #2

BC

Après quarante années d’un périple sans faille qui l’emmène sur les traces de la vieille Europe jusqu’aux Etats-Unis, la quête photographique de Stéphane Duroy semble aboutir aujourd’hui à un renouveau. A contre-courant d’une pratique prétendument journalistique, c’est de la photographie qu’il se détache peu à peu. De plus en plus radical dans son questionnement, il entreprend depuis 2009 un autre processus de travail. Collages, coupures de presse, photographies anonymes, peintures, viennent nourrir des dizaines d’exemplaires de son livre Unknown, l’aidant à dépasser une surface photographique devenue trop pauvre à son goût.

Réimpression

40.00 €

Way to blue

BB

« Way to blue » est un récit photographique, tel un carnet intime. Arnaud Chochon, photographe natif de Charente-Maritime et basé à Toulouse, a commencé ce travail en 2018 après avoir développé un film de son appareil argentique. Parmi les photos oubliées de ce film, il y trouve son propre portrait réalisé par son frère décédé quelques mois auparavant où ce dernier apparaît dans le reflet des lunettes de soleil. Commence alors un travail photographique de 4 ans dont la forme est variée, du numérique à l’argentique, du compact au reflex en passant par le téléphone, pourvu qu’elle incarne les différentes phases du deuil et de la reconstruction. De souvenirs intimes à des paysages paisibles ou mouvementés, ce récit reprend petit à petit le chemin de la vie où l'humain retrouve une place.

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27.00 €

Ys

BB

Le mythe de la ville d'Ys est un récit populaire de la Bretagne qui raconte l'histoire d'une ville engloutie sous les flots de la mer d'Iroise, en raison de la faute de sa princesse, Dahut. Ce mythe a inspiré de nombreux artistes au fil des siècles, mais le photographe Benjamin Deroche a choisi d'explorer cette légende à travers son art. Dans son livre à paraître intitulé "Ys", il nous emmène dans un voyage visuel à travers d'images énigmatiques et évocatrices qui nous transportent dans un monde à la fois mystique et réaliste. Les photographies de Deroche sont empreintes d'une atmosphère sombre et mystérieuse, créant une ambiance immersive qui évoque l'esprit du mythe. Les images sont souvent prises dans des endroits abandonnés, des vestiges de l'histoire qui ajoutent une dimension supplémentaire à la narration. Les couleurs sont souvent sombres et saturées, avec des nuances de vert et de bleu qui rappellent la mer et les légendes marines. Ce livre est non seulement un voyage visuel fascinant, mais il est également accompagné d'un texte de Philippe Le Guillou qui évoque l'histoire de la ville d'Ys et son importance dans la culture bretonne. Les légendes et les histoires sont intégrées aux images, créant une synergie entre l'art et la narration. Le travail de Deroche est un exemple frappant de la façon dont la photographie peut être utilisée pour raconter des histoires, en particulier des légendes et des mythes. Son utilisation de la lumière et de l'ombre, de la couleur et de la composition, crée un monde imaginaire et évocateur qui nous transporte dans un autre temps et un autre lieu. Les photographies nous donnent une vision poétique et contemporaine de cette histoire ancienne, nous invitant à réfléchir sur la signification de la légende et son impact sur la culture bretonne. "Ys" est un livre magnifique qui rassemble l'art, la légende et l'histoire pour nous donner une expérience visuelle et émotionnelle unique. Les photographies de Benjamin Deroche nous plongent dans une histoire riche en significations et en symbolisme, nous invitant à explorer un monde fascinant de mythes et de légendes. Ce livre est une oeuvre d'art en soi, une célébration de l'imagination et de la créativité humaines. Exposition au Port Musée de Douarnenez de juin à septembre 2023

Disponible

30.00 €