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Rester confort dans l’inconfort

BC

Si l’intelligence se fout de la compétition, l’inverse n’est pas vrai ! Inter ligere, qui signifie créer des liens en latin, serait une des racines possibles du mot intelligence. C’est là l’objectif de ce livre : relier des savoirs, établir des relations entre différents domaines. Jonglant avec une multitude de paramètres dans des contextes régulièrement instables, soumis à l’inconstance et la complexité humaine, l’entraîneur est régulièrement à la recherche de réponses, de sources d’inspiration, de points d’ancrage et d’éléments susceptibles d’éclairer ses décisions. S’il trouve évidemment de quoi se nourrir à travers sa propre expérience et celle de ses pairs, il gagne à puiser dans les travaux, les recherches, les épreuves et les talents qui s’exercent dans d’autres domaines pour déployer sa pleine puissance. Garder l’équilibre pour guider utilement son équipe représente un défi qui demande des compétences particulières, qui exige de savoir concilier des forces contraires : articuler exigence et bienveillance, motivations individuelles et intérêt collectif, prendre des décisions malgré les incertitudes, rester lucide sous pression, obtenir des résultats immédiats tout en assurant l’avenir. Résumé en une phrase, il s’agit d’être capable de Rester confort dans l’inconfort. En convoquant plusieurs disciplines : sportives, artistiques, philosophiques, politiques, scientifiques et une grande diversité d’auteurs, ce livre s’adresse aux entraîneurs curieux, aux coachs, managers, leaders et responsables d’équipes en tous genres, qui cherchent perpétuellement à ajuster leur action et leur posture de la manière la plus juste.

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19.90 €

Rien qu’un cirque de puces

BC

Des poèmes semblables à des chansons, des impressions de voyage. Une poésie pour dire l’amour naissant, le manque, l’amertume ou la douleur des ruptures. Autant de voyages mélancoliques qui jalonnent les traverses, les étapes d’un quotidien où les femmes et les hommes se croisent, se frôlent, s’aiment ou se déçoivent mutuellement. "Tu lèves les yeux au ciel Je marche dans les nuages Ensuite nous nous installons devant nos débuts dans la vie" Supposons que toutes les femmes et tous les hommes habitent en face d’une gare. Qu’elles et ils se lèvent toujours avant la sonnerie du réveil pour être sûrs de ne pas rater leur train. Que, sur ce quai de gare, toutes et tous s’efforcent d’illustrer un dernier rêve avec des cartes postales. C’est souvent que nous retournons, dans une humeur de préliminaires, sur les lieux de nos souvenirs. Et puis un geste, une parole plus tard, tout est démenti aussi sec. On assiste impuissant et vide à la mort tragique d’un personnage, dans un grand bruit d’os cassé. Parce que la vie n’est pas la vie si on se borne à l’appréhender comme une ligne droite. Voilà ce qu’auraient à nous dire les êtres qui peuplent ce recueil de leur présence fantôme. Leurs existences ? Le plus souvent, au pire, une tique. Au mieux, rien qu’un cirque de puces. Une somme d’allers et de retours, de chutes sur la tempe à travers le temps. Et tous ces voyages en zigzag rendraient le quotidien plus mystérieux. Plus trivial et tragique. Moins désespéré, parfois, aussi. Et dire que tous ceux-là ne parcourent jamais que les décors tournants de leurs espaces domestiques. Pourquoi, alors, les souvenirs, ce genre de souvenirs, heureux ou beaucoup moins, cravachent-ils encore dans leurs têtes comme les cavaliers maudits des anciennes légendes ?

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12.50 €

Sabre d'or

BC

En l'an de grâce 1711, deux frégates de l'escadre de l'amiral René Duguay-Trouin entrent dans le port de Saint-Malo. L'escadre doit mener une expédition contre la colonie portugaise du Brésil, sur ordre de Louis XIV. Le Portugal est en effet l'allié de l'Angleterre contre la France et l'Espagne, dans la guerre de succession d'Espagne. Loïc, un adolescent, fils de La belle Marquise, une ancienne prostituée, embarque comme mousse sur un navire de l'escadre : L'Invincible. Pendant la traversée de l'Atlantique, Loïc s'illustre et conquiert le surnom de Sabre d'or. L'Invincible combat un vaisseau portugais sur lequel la femme et la fille du chef de la marine portugaise, Linda et Amalia, sont capturées. Un marin français tente de les tuer mais Loïc parvient à les neutraliser. Une passion naît entre Amalia et Loïc, qui confirme ses qualités hors du commun. Une fois à terre, l'amiral René Duguay-Trouin lui réserve un magnifique hommage.

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12.00 €

Semchem, Le semeur de cheminées

BC

Tout commence par la lecture d’une étrange histoire racontée par un maître d’école à ses élèves. Elle va faire naître chez notre jeune héros, Semchem, une drôle d’idée. Pourra-t-il la réaliser ? Une jolie petite histoire, un conte de Noël mettant en scène un enfant qui souhaite réaliser son rêve. Sa détermination d’aller au bout de ce dernier est proportionnelle. Semchem nous donne une petite leçon de vie et d’émancipation tout en nous réservant une petite surprise.

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14.50 €

Seul temps

BC

Daniel, ancien photographe de guerre, ne parvient pas à surmonter la perte de sa femme. À quel temps vivre son existence pour en surmonter les épreuves ? Il cherche des réponses en noyant sa tristesse dans un hôtel désuet de Casablanca et se retrouve embarqué dans un étrange jeu de piste, une aventure qui le conduira des banlieues sombres de Paris au Rajasthan en Inde en passant par les vieux quartiers marocains. Cet homme à la dérive va alors rencontrer la séduisante Lise et progressivement reprendre goût à la vie, mais le semeur d'indices n'en restera pas là ! Seul temps est un voyage initiatique et romantique aux aspects d'un thriller. Un tueur à gages philosophe avec son acolyte rock'n'roll, une séduisante jeune femme, un chauffeur de taxi mythomane, et bien d'autres composent le canevas énigmatique des pérégrinations de Daniel. On peut aller si loin pour retrouver un être perdu...

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16.00 €

Spoèmes

BC

Un recueil qui se veut accessible, drôle et enthousiaste, léger et poétique. Olivier Hervé nous propose d’aborder la vie par l’angle du « sport » sur le ton de l’humour, de la joie, de l’hommage, de l’ironie. Les vertus et les limites du sport, la place des femmes, le sexisme, le sensible, le sportif professionnel ou amateur, les victoires, les défaites, la triche, l’équipement, la pression du résultat, les enjeux, le jeu et la quête du « Je », la conscience de l’effort, l’individualisme, les joies du collectif sont autant d’entrées envisagées parmi d’autres. Le sport dans ses excès, le sport dans sa magie, ses géographies. Des émotions, des folies et des victoires en Spoèmes. Le sport est une formidable machine à fantasme, une magnifique porte d’entrée sur la vie sous toutes ses formes. Miroir de l’âme et des coeurs vieillissants, adjuvant de souvenirs et catalyseur de passions, l’exercice physique engage autant le corps que l’esprit, l’instinct que la raison. On y investit son être dès lors qu’on entre en compétition, parfois, on n’y joue pas moins que sa vie. Les blessures, l’aventure, le corps, la mémoire, l’enfance, le désir sont abordés entre autres états humains dans ce recueil. Le sport est aussi une machine à produire du rêve et des illusions, à recycler les élans de l’adulte qui tente de renouer avec l’innocence des premières fois, qui tente de retrouver son corps pour se sentir vivant. Il y est aussi question des lieux du sport, paysages ou infrastructures, temples laïcs des émotions sportives, et de ceux qui font l’événement. Mais pas de poète maudit ici, juste des héros exaltés ou fatigués sur les bas-côtés athlétiques. Dans Spoèmes, de nombreuses disciplines sont évoquées : foot, cyclisme, hockey, patinage, ski, curling, bûcheronnage sportif, pétanque, hippisme, saut en hauteur, sports de combat, F1, moto, natation, plongeon, ultra-trail, escalade, escrime, course à pied, triathlon, boxe, échecs, baseball, tir à l’arc, calcul mental et bonus sur les Ultras, insupportables supporters. Les poèmes et fragments s’organisent autour d’une légèreté toute sportive, évoquant l'enthousiasme, la nostalgie, la mélancolie et la joie. Ce recueil est accessible, drôle et enthousiaste, léger mais sérieux.

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11.50 €

Sport et mérite, histoire d'un mythe

BC

Dès son origine anglaise au XIXe siècle dans les public schools, le sport répondait à des impératifs stratégiques allant du contrôle des populations étudiantes, jusqu’au projet plus vaste de formation d’une élite conquérante. Dans l’importation en France du sport, Pierre de Coubertin posa des objectifs similaires, désirant réformer une société jugée en crise. Le sport, caractérisé par une liberté encadrée et régulée, se heurta dans ce projet à la gymnastique, autre mode de contrôle des populations en vigueur dans les pratiques corporelles, marqué par le disciplinaire. Surtout, tel que pensé par Coubertin, le caractère du sport est fondamentalement ambivalent, étant à la fois aliénant et émancipateur. Cette ambiguïté se cristallise dans la question de l’égalitarisme. En effet, le sport, fondamentalement aristocratique au sens où il ne profite qu’aux forts physiquement, parvient paradoxalement à se présenter comme une pure méritocratie où le rang de chacun serait uniquement dépendant des efforts fournis, produisant ainsi ordre et travail. Cette représentation méritocratique du sport s’est construite tout au long du XXe siècle, répondant à un progressif oubli de son caractère aristocratique. Toutefois, malgré les évolutions des discours, des arbitraires de tout ordre persistent. Notamment, le fait sportif demeure aristocratique, tant physiologiquement que psychologiquement. Des résistances naissent : celles du sport lui-même, qui ne parvient pas à se réduire au seul mérite ; celles des sportifs, qui élaborent des stratégies qualifiées de délictueuses (triche, dopage, etc.) afin de subvertir l’aristocratie sportive. Des corps utiles, des âmes travailleuses et des caractères soumis sont produits par cette dialectique du mérite. Le sport exemplifie ces valeurs du mérite et tâche d’en imposer la logique, en se constituant comme un dispositif se généralisant peu à peu à tous les champs de la société. Il constitue une nouvelle politique du corps, un art de gouverner l’effort. En se fondant sur une analyse minutieuse de sources historiques (notamment sur les écrits de Pierre de Coubertin), Sport et mérite, histoire d'un mythe déconstruit l’idéal méritocratique du sport et de nos sociétés, en proposant une philosophie politique du corps originale montrant comment nos conduites sont gouvernées par les illusions de l’égalitarisme.

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28.90 €

Sur le fil

BC

Le petit Cirque de l'Ange est une véritable institution locale, mais il doit faire face à des problèmes financiers et à la mésentente entre les membres de la troupe. Max dirige l'établissement où les anciens se querellent avec les plus jeunes sur les choix artistiques et l'avenir du cirque. Doit-il s'obstiner à faire vivre un spectacle traditionnel ou s'engager vers une forme plus contemporaine ? Après la disparition d'Ernest Simbald le dompteur, les craintes, les soupçons et les manigances altèrent encore davantage la vie du groupe. C'est alors qu'un nouveau drame se produit. La mort ne semble pas accidentelle ! L'étrange inspecteur chargé de l'enquête sera rapidement confronté à l'ego des artistes et leur goût du secret. C'est pourtant en fouillant dans leur passé respectif qu'il parviendra à résoudre l'énigme, mais le temps presse... Sur le fil est un polar qui porte une vision acerbe du devoir de mémoire et qui fait voler en éclat les codes rassurants des cirques de notre enfance.

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13.50 €

Tata la Panda et le diamant bleu tome 2

BC

Tata la Panda est une petite fille Panda très intelligente. Elle vit à Pandaville, la ville des pandas, et accomplit en secret des missions que lui confie une créature extraordinaire : le chat magique. Ses missions ont pour objectif de réparer des injustices, d'aider les malheureux et de protéger Pandaville et ses habitants. À Paris, près de la Tour Eiffel, un petit garçon est très malade, veillé par ses parents, désespérés. Au pays des pandas, à Pandaville, le chat magique va conjurer le mauvais sort. Il demande à Tata la Panda de survoler les terres et les océans sur le dos de l'aigle royal et de présenter un diamant au petit garçon pour le guérir. Quand Tata la Panda lui demande pourquoi il lui confie cette mission, il répond que c'est parce qu'elle a le don. Elle accomplit la mission. Le petit garçon regarde le diamant et guérit. Ses parents pleurent de bonheur.

Disponible

13.50 €

Tata la panda et le hérisson perdu tome 1

BC

Tata la Panda est une petite fille Panda très intelligente. Elle vit à Pandaville, la ville des pandas, et accomplit en secret des missions que lui confie une créature extraordinaire : le chat magique. Ses missions ont pour objectif de réparer des injustices, d'aider les malheureux et de protéger Pandaville et ses habitants. À Paris, près de la Tour Eiffel, un petit garçon est très malade, veillé par ses parents, désespérés. Au pays des pandas, à Pandaville, le chat magique va conjurer le mauvais sort. Il demande à Tata la Panda de survoler les terres et les océans sur le dos de l'aigle royal et de présenter un diamant au petit garçon pour le guérir. Quand Tata la Panda lui demande pourquoi il lui confie cette mission, il répond que c'est parce qu'elle a le don. Elle accomplit la mission. Le petit garçon regarde le diamant et guérit. Ses parents pleurent de bonheur.

Disponible

13.50 €

Un cursif ABC

BC

Des élèves de CP héros de poésie ! Les écoliers riront. Les parents se souviendront. •Un livre qui a tout pour devenir le nouveau livre de chevet et de classe des enseignants •Des poèmes adoubés par des enseignants du primaire •Une déclaration d’amour moderne à la classe de CP. •La vie de millions d’enfants et de parents d’élèves en 64 pages de poésie. •Deux imaginaires dans un même recueil : 26 poèmes illustrés de 26 dessins au feutre à l’encre de Chine. •Des « poésies » sur les traces de Maurice Carême. Ce petit objet littéraire est une véritable déclaration d’amour au CP. Un cursif ABC, sous-titré 26 poèmes dans la caboche d’une élève de CP, fait du quotidien de millions d’écoliers âgés de 6 à 7 ans le sujet d’un recueil de poésie. Les poèmes rendent un hommage appuyé à l’apprentissage de la lecture et de l’écriture. Ils célèbrent également les moments de vie inimitables de cet âge : les premiers « meilleure copine et meilleur copain », les confidences durant les récrés, le retour chez soi le soir auprès des parents... En une année de CP et 64 pages, on apprend bien des choses sur nos affreux et gentils gamins. La classe louée et chantée dans ce recueil est un CP d’aujourd’hui : on s’y prend pour son héros, on y abat des cartes de son jeu préféré, on y lève parfois effrontément les yeux au ciel et on y dit des mots pas beaux, mais aussi beaucoup de jolis mots, pour faire rire et rêvasser. On lance aussi, parce qu’on s’est trompé, des mots inventés. Les 26 lettres de l’alphabet, sans lesquelles tous ces mots n’existeraient pas, ont servi de charpente à l’ouvrage. Passées en revue sous forme d’abécédaire, elles sont au coeur du travail mené par l’auteur, un scribouillard, et par l’illustrateur, un gribouilleur. Toutes ont droit à un poème et toutes ont droit à un dessin. 26 lettres, 26 poèmes, 26 dessins. Les dessins, parlons-en. Ils sont « origéniaux », comme tous ceux que trace Pierre François Rault. Réalisés au feutre d’artiste à l’encre de Chine, ils en font voir de toutes les formes aux lettres de l’alphabet, faisant virevolter pleins et déliés. Ils accompagnent avec malice les poèmes sensibles et pleins d’humour de Jean-Baptiste Verrier. Le travail de ce duo est réhaussé d’une préface toute de finesse et de tendresse, délivrée par une enseignante de CP, la « maîtresse » de la fille aînée de l’auteur durant l’année scolaire, lui ayant inspiré l’écriture des poèmes. L’ouvrage est dédié aux quinze élèves de cette classe et trouvera un public naturel auprès des parents comme des enfants rêveurs. Jean-Baptiste Verrier a longtemps écrit des choses sérieuses pour les autres. Avant d’être écrivain, il était plume. Aujourd’hui, il écrit pour lui. Il trouve cela très sérieux, aussi. Pierre François Rault a plongé dans la marmite familiale du surréalisme quand il était petit. Autodidacte, il a toujours dessiné. Son grand plaisir : les « gribouillages » joyeux. UN CURSIF ABC 26 poèmes dans la caboche d’une élève de CP – Tiens, qu’est-ce que c’est ? – Un recueil de poésie sur des super-héros. – Ah bon, lesquels ? – Eh bien, d’abord, les élèves de CP. – Les élèves de CP ne sont pas des super-héros... – Si. En un an, ils apprennent à lire et écrire la plus belle langue du monde. – Bon... Ensuite ? Quels autres super-héros ? – Leurs parents. – Ah, je suis bien d’accord, ils sont formidables. D’autres ? – Oui. Des super-héroïnes. – Les maîtresses ! – Bien vu, c’est mérité, mais je ne pensais pas à elles. Et puis il y a les maîtres, aussi. – Alors lesquelles... ? – Les lettres. De l’alphabet. – ... ? – Elles sont 26, une vraie bande. Infernales ! Mais trop fortes : z’ont tous les pouvoirs. Et sont cap’ de nous sortir de toutes les situations, même les plus désespérées. – On les écoute, on les fait parler ? – Allez. – On les trace, on les dessine ? – C’est parti.

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12.50 €

Un nid d’enfants

BB

Ce roman a été écrit et illustré en décembre 1897 par Marguerite Desgrand de Mairesse. Âgée de trente ans. Elle met en scène la description de son enfance heureuse dans le village d’Estivareilles où elle vit avec toute sa famille. Elle place ses personnages, deux petites filles et un jeune garçon, dans le décor familier de la petite enfance. Elle raconte les jeux dans le jardin, les leçons de leur précepteur, les promenades à dos d’âne, les cousinades joyeuses, les liens avec les voisins et les habitants du village. L’auteur fait dialoguer ses protagonistes comme dans une pièce de théâtre avec des didascalies mentionnant le comportement ou l’humeur de ses petits héros. Elle fait preuve d’une grande sensibilité et d’une fine analyse psychologique dans la description de leurs faits et gestes. En annexe, des reproductions de cartes postales et photographies de l’époque replacent le roman dans les lieux décrits et sa parentèle. Un petit roman à la manière de la comtesse de Ségur !

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16.50 €

Un si grand vide

BC

Le roman poignant des errements d’un père en prise avec les démons de l’alcool et son long combat pour cheminer vers lui-même et vers son fils. À force de redouter le vide, Alex en oublie qu’il ne s’agit que d’une vue de l’esprit. L’enseignant au quotidien terne en est là, avec un amour trop idéalisé qui a fini par se faire la malle et un merveilleux garçon dont il n’a la garde qu’à temps compté. Son enfant lui manque et il sombre progressivement dans une détresse où seul l’alcool en excès lui permet de surmonter l’âpreté de sa vie. Une solution qui devient vite un problème. Un fils a besoin d’un père qui tient debout. Alex devra se défaire de la funeste emprise faisant de lui un autre. Il devra le faire pour lui et son petit soleil qui occupe l’entièreté de son univers et de ses espérances. Alors il se bat et s’agite, se perd sous la surface des choses. Comment trouver la force nécessaire pour se défaire de son addiction? C’est dans une résidence de soins qu’il trouvera refuge après une altercation alors qu’il circulait en état d’ivresse. L’équipe de ceux qui soignent les âmes fera son possible pour le rendre à lui-même. Une solide amitié va se nouer entre les pensionnaires lors de leur sevrage. La petite communauté du manque restera en contact avec des trajectoires diverses et souvent malheureuses. Après une rechute et une deuxième cure, Alex s’éprend d’Anna, une femme beaucoup plus jeune que lui rencontrée à l’institut. La boisson alimentant son mal-être tout en donnant l’illusion de le soulager est peu à peu mise à distance. Il baisse la garde au même rythme, s’autorisant à aimer de nouveau. Le loup, celui qui mord et corrompt, lui laisse une chance de reconsidérer son existence mais, en matière de fatalité, il est toujours un coup de griffe du destin pour vous rappeler vos fautes et vous les faire payer au prix fort. --- Le principal protagoniste se bat et s’agite, mais il ne renonce jamais à se défaire de son addiction. Le récit d’un parcours de soins parsemé de rencontres et de rebondissements sans les clichés habituels. La relation aimante entre un père et son fils. La sensibilité du personnage principal fait de lui un homme attachant, fragile et courageux. Une description touchante et colorée des personnages secondaires à la lisière des conventions.

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14.00 €

Une jeunesse à La Réunion

BC

Lorsque Yvette Pongérard voit le jour, en 1928, La Réunion est une lointaine colonie française. À travers ses mémoires, l'auteure nous convie à un voyage dans une île où flotte un agréable parfum de vanille et de rhum. Le réseau routier est embryonnaire. Une seule ligne de chemin de fer existe. Les Réunionnais se déplacent à pied, parfois à cheval et transportent les marchandises dans des charrettes à boeufs. La petite Yvette grandit dans ce contexte. Ses parents exploitent une propriété agricole au nord-ouest de l'île. Dans la première partie du livre, Yvette décrit ses premières années, jusqu'à l'obtention du certificat d'études. Avec ses yeux d'enfants, elle s'émerveille devant la prodigieuse beauté de l'environnement et assiste aux efforts de ses parents pour mener leurs nombreux enfants à bon port. La deuxième partie de l'ouvrage évoque le temps de l'amour et des fiançailles, puis du mariage, dans le cadre encore colonial de l'île, où chaque arrivée de bateau est un événement.

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12.00 €

Une si grande championne

BC

L’histoire d’une femme d’exception devenue par hasard championne de ski de fond et icône d’une décennie. J’ai toujours su que ma mère était une femme hors du commun mais je n’en ai saisi la vraie portée qu’en découvrant un cahier rouge dans les archives familiales. Dans ce trésor, elle avait minutieusement consigné des centaines d’articles de presse dont je me suis inspirée pour raconter son histoire : celle d’une pionnière du ski de fond féminin, qui, dans les années 1970, a remporté plus de vingt médailles d’or en France et au niveau mondial. Pourtant, cette vocation de skieuse arriva complètement par hasard. À l’âge de 20 ans, alors qu’elle était étudiante à l’École normale de Grenoble, sa vie semblait toute tracée : elle se préparait à devenir, comme sa mère et sa soeur, professeure de mathématiques. Mais elle décrocha, de façon inattendue, le titre de championne de France. De là a commencé une longue carrière mondiale, et surtout, un combat pour faire accepter sa place de femme dans un monde conservateur. Une si grande championne est un roman qui relate le parcours d’une femme d’exception, sa mère. Le roman biographique de la vie d’une sportive d’exception dans les années 1970. L’histoire d’une femme qui devient du jour au lendemain championne de France de ski de fond alors que sa trajectoire devait être tout autre. Le roman d’une autrice pour rendre hommage à Marie-Christine Subot, sa mère, son modèle. Une source d’inspiration pour toutes les femmes à travers la construction d’une « championne » dans un monde sportif conservateur. Un exemple pour les sportives, notamment à l’approche des Jeux olympiques de Paris en 2024. Un cahier central de 8 pages avec photographies de l’époque. Extrait : « Quelles étaient ses pensées en cette matinée qui pourrait être la plus importante de sa vie ? Évidemment, elle réalisait tout le chemin parcouru. Elle n’aurait jamais imaginé, trois ans plus tôt, prendre son petit-déjeuner dans un hôtel de Lahti, à dix minutes à pied du stade où se déroulaient les plus grandes courses de ce monde. La Finlande était un rêve, un temple du ski, dans ce pays où le fond était une religion. Elle pensait humblement avoir un destin, un rôle à jouer dans cette valse sportive – sinon, pourquoi serait-elle ici ? Marie était un ovni débarqué dans ce monde fermé où le ski était une vocation depuis le plus tendre âge ou n’était pas. Elle avait choisi un chemin que nul autre n’avait pris avant elle, la "face nord" de l’ascension sociale, celle qui permettrait aux autres de se dire que tout était faisable, et surtout à ceux qui n’étaient pas forgés pour. À l’époque, elle ne le réalisait certainement pas, mais ce qu’elle dessinait alors ferait d’elle un modèle pour de nombreuses femmes par la suite. Elle prouvait que quelque chose était possible. » L'autrice: Née en 1993, Célia Poncelin a grandi dans une famille sportive au coeur des Alpes, entre Chamonix, Grenoble et le Vercors. Diplômée du master Communication de Sciences Po, elle est cofondatrice de la revue Twomorrow sur les solutions au changement climatique. Avec Une si grande championne, elle signe son premier roman inspiré par la vie de sa mère, une femme qu’elle admire. Son souhait est de mettre en valeur la construction d’une personnalité et l’importance des rôles modèles pour inspirer femmes et sportives à développer leur plein potentiel. Cette histoire a germé lorsqu’elle découvrit les archives personnelles de sa mère.

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18.00 €

Une vie pour cible

BC

Enzo, un ancien flic, officie comme instructeur dans un centre de tir du nord de la capitale. Il se prend d'amitié pour Aurelle, une jolie jeune femme « pleine d'épines », brisée par un passé douloureux. Ces deux êtres abîmés se choisissent bien vite pour réinventer une famille de circonstances. La tour Boucry où Enzo vit au plus près des nuages et le jardin partagé dans lequel Aurelle cherche quelques respirations forment un huis clos tout à la fois oppressant et rassurant pour ce duo à la dérive. C'est alors qu'un certain Norédine s'insère dans leur existence, menaçant le bien commun comme une promesse de crépuscule. Acculé, Enzo se retrouve alors empêtré dans une situation impossible qui heurte ses convictions comme son libre arbitre. Peut-on recourir à la violence dans certaines circonstances ? Mais au-delà des apparences, une descente aux enfers peut aussi porter en germe l'espoir d'un rebond en faveur de la vie.

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13.50 €

Zukhabar

BC

Émile Drascher est un allégeur, un métier d’élite mais difficile qui se transmet inéluctablement de génération en génération et dans le plus grand secret. Au décès de son père Maximilien, Émile est obligé d’interrompre ses études et de se rendre dans les colonies, les « terres bréhaignes », pour reprendre le flambeau. Sur ces terres redoutables, le danger guette chaque jour Émile et ses trois compagnons clercs-allégeurs. Là-bas, la mort règne en maître entre l’aridité du désert et l’hostilité des Harachins, un peuple local en guerre contre les milices coloniales de l’Administration. Au bout de trois longues et rudes années de formation, Émile et son équipe reviennent en métropole. Il retrouve son amie Alma avec qui il a noué des liens forts depuis l’enfance et il lui faut à nouveau s’acclimater au monde moderne, celui qu’il a quitté pour les terres hostiles, et succéder à son père. Mais derrière cette apparente recherche de normalité, Émile et ses hommes de main doivent conserver le secret de leur profession. Ils sont les fers de lance de la toute-puissante Administration, un gouvernement colonial et autoritaire, une mécanique implacable qui n’autorise aucun écart au règlement. Ils vont devoir répondre aux nombreuses commandes de l’Administration, bien déterminés à montrer leur savoir-faire acquis dans les terres bréhaignes. Mais cet enchaînement de missions n’est pas sans conséquences sur la psychologie de chacun, même un allégeur obséquieux et perfectionniste comme Émile Drascher peut avoir des états d’âme, au risque de gripper une organisation bien huilée.

Disponible

15.00 €