Logo de Pollen

Archisaccuplastikophilie - Profane hors-série (édition limitée)

BC

C'est ainsi que nous avons nommé cette collection de sacs plastique figurant des architectures: Archisaccuplastikophilie Fichés sur quelques centimètres carrés d'une pellicule de polyéthylène promise à l'alimentation de gros incinérateurs, les plus excellents bâtiments de France et bien d'autres encore, deviennent, sur ces pochons de pacotille, des merveilles insoupçonnées...Éric Monin est professeur d'histoire de l'architecture à l'École nationale supérieure d'architecture et de paysage de Lille. Depuis 20 ans, il conserve pieusement tout sac plastique qui représente un bâtiment. Au fil du temps, il a constitué ainsi une collection très particulière dont émerge une richesse imprévisible.

Disponible

30.00 €

Profane HS N°2 : Sur la bouche - mars 2023

BC

À travers villes et à travers champs, les regards de voirie parsèment les sols peuplés de réseaux souterrains, secs ou humides. Les tampons de fonte qui affleurent et trahissent ces aménagements enfouis provoquent le piéton et bousculent les univers lisses coulés à la surface. Observer, toucher, imprimer ces points de résurgences permet alors d'établir des contacts fructueux entre le dessus et le dessous, en apprenant à ouvrir les yeux sur les anomalies qui forment notre environnement. La bouche d'égout devient le point de départ d'une foule d'aventures inattendues qui racontent l'histoire rationnelle mais aussi poétique de notre quotidien.

Disponible

15.00 €

Profane N°1 Octobre 2015

BC

Provisoirement indisponible

15.00 €

Profane N°10 Avis aux amateurs - printemps 2020

BC

Provisoirement indisponible

15.00 €

Profane N°11 Automne/hiver 2020-21

BC

Profane a un seul et unique dada: l'amateur, qu'il soit artiste ou collectionneur, novice ou pointu, fervent admirateur ou créateur à ses heures. Profane met en scène un héros récurrent plutôt qu'une discipline, et l'accueille en qualité d'invité permanent. Profane parle de celles et ceux qui aiment faire, qui aiment tout court, et qui trouvent un sens à la beauté du geste, loin des tribunes officielles.

Disponible

15.00 €

Profane n°12 : Printemps/été 2021

BC

Une invitation À Hélène Starkman, et ses carnets où feurissent les chats et paressent les feurs Une rencontre Avec Lucas Djaou, commissaire d'exposition buissonnier Une citation De l'écrivain roumain Mircea Cartarescu Un lieu En Italie, l'édifce de pierres messagères de l'artiste Luigi Lineri Un album Théo Garnier livre pour son diplôme les souvenirs de ses aïeuls

Disponible

15.00 €

Profane n°13 : automne/hiver 2021-22

BC

Le 13, n’est pas seulement habité par l’esprit amateur, cette façon d’aborder le monde avec curiosité, ingénuité, instinct et ingéniosité, selon une feuille de route loin du calcul, du miroir, au gré du temps : celui qu’on s’octroie. D’autres esprits sont là. Frappeur, joueur, mystique ! Glissés dans des costumes, des peaux, des émotions, des lieux et des contours qui se sont allégés, libérés des instances de contrôle. Médiumnité, peinture automatique, actes psychomagiques, visions paréidoliques, éducation alternative, réactivation de l’enfance par le jeu, le découpage et le déguisement, rites d’antan, dialogue avec la nature, cabinet de curiosités, tout est propice ici à ouvrir les portes de l’inconscient et à s’amuser ensemble de ce que le monde retient, contraint, organise et fige.

Disponible

15.00 €

Profane n°14 : printemps/été 2022

BC

Un homme se souvient de la déchetterie proche de la maison de son enfance, comme un secret de chineur qu’il partage avec son grand-père (p. 180). Un autre homme fait grandir dans son jardin des arbres de ciment dont les feuilles persistantes sont des objets de consommation flétris (p. 32). Une femme utilise des portants à vêtement et autres cintres à pinces qui ne lui serviront plus pour y suspendre ses toiles (p. 202). Un homme repêche sur les rivages grecs des bouts de plastique, matière première à des masques faits main (p. 48).Une femme ramasse les écorces d’un arbre tronçonné pour les enraciner à nouveau dans des tableaux (p. 230). Une femme archive des moutons de poussière pour leur qualité chromatique (p. 104). Récupérer. Recycler. Détourner. Des verbes communs à nombre d’autodidactes et de collectionneurs qui visitent nos pages, numéro après numéro. Une pratique du glanage étendu, souvent aperçu ici, et qui sédimente un peu plus dans cette quatorzième édition, profitant d’une réflexion plus vaste autour du déchet. Nous affectionnons ces «dandys des gadoues», pour reprendre la belle formule de l’écrivain Michel Tournier dans Les Météores, surnom attribué à un des héros, Alexandre Surin, à la tête de six décharges, de Deauville à Casablanca, qu’il chérit comme des mines d’or. Toutes celles et ceux qui trouvent de la vigueur et de la vie dans le rebut.Après tout, quoi de plus intime, et par là précieux, que ce que l’on rejette? De plus révélateur d’un état du monde? Dans la réalité, cette matière grise, couleur dominante de la bouillie finale, soulève des questions moins romanesques, mais elle motive aussi des démarches d’invention et de réappropriation qu’il nous plaît de relayer. Pour saisir l’éclat dans l’ordure.

Disponible

15.00 €

Profane n°15 : Hiver 2023

BC

Ouvrir ce nouveau numéro, c’est voir deux jambes de papier opérer un grand écart farouche: des réseaux sociaux à une échoppe dans les Pouilles, d’une végétation démiurge à un immeuble de rapport, d’un coquillage à une tranche de pain, d’une montagne à un dressing. Profane est ainsi fait, accueillant tout ce qui s’éloigne des chemins tracés, surtout celles et ceux qui ouvrent leurs propres voies.

Disponible

15.00 €

Profane N°17 - Automne - Hiver 2023

BC

EDITO: Part animale. « Bête », quand on y pense, connaît un peu la même ambivalence que le nom et adjectif « amateur ». Bête : tout être animé hors de l’être humain / qui manque d’intelligence, de jugement. Amateur : personne qui aime, cultive, recherche par plaisir / qui manque de compétence, dilettante. Sans aller jusqu’à mener bataille pour requalifier et réhabiliter certains termes – mais pourquoi pas ? –, ce numéro a décidé de prendre les bêtes au sérieux. Chats, chiens, vaches, insectes se sont invités, ou plutôt faufilés dans ces pages, et nous montrent qu’il y a peut-être une autre manière d’investir le réel, de le saisir, de l’habiter. D’être sensible à sa beauté. La leur semble les guider, écoutons-la. Par exemple : des faucons pèlerins, des hirondelles, des oiseaux de nuit, et bien d’autres espèces encore, rendent grâce à la maison de Jacques et de Mariek (p. 32). Ils n’ont, nous dit leur hôte, jamais été si nombreux dans le coin, comme si par leur présence, par leur retour, ils témoignaient de l’importance d’un espace à protéger, reconnaissaient sa force, son âme. S’y sentant bien. Les animaux sont là, même quand ils ne le sont pas, toujours inscrits dans l’imaginaire des hommes – ceux qui ont décidé de continuer à rêver –, qui aiment à les représenter : bêtes en ciment dans les jardins spontanés (p. 78), en pigments dans des tableaux qui célèbrent la fugacité de la vie (p. 94), et même dans un salon sous forme de verroterie (p. 64)... Ailleurs, de robustes vaches et de sanguins chevaux font partie du chemin créatif d’un autre humain : ils prêtent avec patience leurs flancs à Lionel, qui, en dessinant à même leurs robes, fait éclore des mondes nouveaux (p. 108). Ici, c’est Emil, un chien touffu qui offre sympathiquement les poils de sa queue pour faire pinceau, et illustrer un sujet sur la possible figure de l’animal en tant qu’artiste (p. 54). On ne recule devant rien dans Profane, et en accordant aux bêtes un autre statut, même un court instant, en écoutant leurs signaux, voilà l’idée du geste créateur légèrement chahuté, mis à la portée de tout être vivant. Alors fêtons l’animal et saluons son mérite. Celui de nous supporter. Carine Soyer

Disponible

15.00 €

Profane N°18 - Printemps - Eté 2024

BC

Le temps d’un verre dehors, dans ce qui fut un campus parisien. Il fait doux, c’est la première fois qu’on vient, on attend que débute la table ronde « Poser un regard sur ce qui nous entoure ». Alors on observe la mue du bâtiment, en se demandant ce qu’est un tiers-lieu (p. 188). L’ancienne Sorbonne Nouvelle, construite dans les années 1970, nous fait penser à Bernard, qui fut quant à lui chargé de cours à la fac de Tolbiac, non loin, tout en créant des tapis chez lui, dans une tour des Olympiades (p. 32). L’architecture des années 1970 décidément. Certains l’adorent, d’autres préfèrent quitter la ville, pour aller faire une maison en chaux et en chanvre, en phase avec la nature, avec leurs mains et en s’armant de patience (p. 150). La ville ou la campagne. La banlieue aussi : il fait visiblement bon vivre à Bagneux, où chaque année un rendez-vous artistique mobilise les habitants (p. 224). S’il fallait choisir, préférence assumée pour un bord de mer, en Bretagne par exemple, vers Paimpol, où se devine la silhouette de Denis qui arpente les plages à la recherche de pinces de crabe, de carcasses de tourteau pour des sculptures minute (p. 166). Le rivage, l’appel de la mer, la figure du marin : Hubert la connaît bien, lui qui aima traquer des canevas représentant uniquement des pêcheurs à la pipe (p. 92). Collectionneur dans l’âme, il a bien d’autres modestes trésors, notamment quelque 300 affiches de films où apparaît la statue de la Liberté. 300… les chiffres donnent toujours le vertige. Celui-ci : 250 000. C’est le nombre de photographies de cimetières réalisées par André dans le monde entier (p. 40). C’est aussi le nombre de photos amateurs réunies par Christophe, tirées d’albums de famille, de boîtes de photos trouvées dans les marchés aux puces et les magasins d’antiquités de Berlin. Parmi une multitude d’autres accumulations qui squattent son atelier d’artiste (p. 198). La photo amateur, une mine aussi pour Jonathan, qui cherche compulsivement celles où le sujet disparaît, matrice de sa pratique artistique (p. 54). L’album, cet abysse de l’intime, même sans visage... Matthieu a ramené de Tokyo un épais cahier où sont collées des boîtes d’allumettes qui disent beaucoup des déambulations d’une certaine Matsuko. Qui était cette fille du feu (p. 108) ? De la flamme à la braise, on se prend à rêver d’un barbecue, rituel des beaux jours. Il faudra appeler Antoine, qui sait certainement aussi bien les allumer que les dessiner (p. 70). La table ronde va commencer.

Disponible

15.00 €

Profane N°19 - Automne-Hiver 2024/2025

BC

Disponible

15.00 €

Profane N°2 Avril 2016

BC

Disponible

15.00 €

Profane N°3 Novembre 2016

BC

Sommaire : une invitation Les nus de Stéphane Barbier un lieu Ai Pioppi, un parc d'attractions façonné à la main en Italie une rencontre Marcelo Rosenbaum, designer, collectionneur, explorateur du Brésil vernaculaire une citation De Francis Ford Coppola une trouvaille Le gynécée de Mathilde Delahaye une réflexion Regards sur le cinéma amateur un album La collection de voyages de Jean-Louis Cardin un média À vos pinceaux ! sur France 2 : qui sera le meilleur peintre amateur ' un toc Toc toc toc, je suis chez toi. Portrait fictif d'un harceleur. un point de vue I'm Google, le projet marabout-bout-bout de l'artiste Dina Kelberman un geste L'eurythmie : quand le corps a la parole un truc La production tous azimuts d'Annie Houdin un questionnaire À l'artiste Valérie Mréjen un mot Saccuplastikophilie ou l'attrait d'Eric Monin pour certains sacs plastiques un écart Draw Paris, la ville en dessinant une double vie Côme Martin-Karl : planneur stratégique & croupier un cabinet d'amateur À Collioure, la maison habitée de Jacques Arnaudiès une autodidacte Les peintures de l'actrice hollywoodienne Hedy Lamarr, traquées par l'artiste Nina Childress

Provisoirement indisponible

15.00 €

Profane N°4 Mai 2017

BC

Project space, le Coeur flirte avec l'art, la mode, le design et propose une programmation transversale et dynamique. Sa vocation est de produire des expositions innovantes, de présenter des créations hors-normes, et de créer des rendez-vous inattendus. Nouveau grand rendez-vous annuel centré sur la figure del'éditeur, le MAD offre pendant 3 jours un panorama des pratiques éditoriales contemporaines, de l'édition fanzine aux oeuvres rares : prints, multiples, livres, films et disques d'artistes. Première exposition proposée autour d'une artiste découverte par Profane. Celle-ci aura lieu à la galerie More, 63, rue de Chabrol à Paris. FILAF (festival international du livre d'art et du film) Il fait connaître, célèbre et récompense les meilleurs livres et films d'art, parus dans le monde durant l'année écoulée. Il oeuvre à leur promotion et à leur diffusion auprès du grand public et consacre un espace dédié aux approches éditoriales novatrices, dans un lieu magique : l'église des Dominicains. Profane s'y trouvera.

Disponible

15.00 €

Profane N°5 Novembre 2017

BC

Vous pouvez dorénavant lire ce numéro en français ou en anglais, dans deux versions papier d'égale densité, autonomes, osons originales. Souhaitons que cette prise d'indépendance nouvelle soit propice à faire découvrir plus amplement la manière de dire le monde qui anime la revue depuis ses débuts. Car s'il y a toujours le délicat problème de la langue, considérant que traduire c'est Ce qui est bien, c'est de parler la même langue, trahir un peu (voir Un média), il y a d'abord et avant tout ce qui est dit pour être partagé, et la question brûlante de se poser : mais de quoi parle Profane exactement ' Profane parle de ce qui n'est pas ou peu dit, justement, en portant la parole de tous les amateurs. Nous ne le redirons jamais assez : ils n'ont ni attaché de presse ni promotion ni actualité et se tiennent loin de l'industrie culturelle. Mais alors, qu'ont-ils à exprimer vraiment ' Pourquoi les mettre en avant ' Parce que leurs douces folies, leurs passions bizarres, leurs pratiques volontaires sont peut-être une réponse à la lente et inéluctable uniformisation des cultures et des désirs. Un acte de résistance. Profane se décline en français et en anglais, mais, autant le dire, s'intéresse avant tout au « patois » des gens. À leur vocabulaire visuel et émotionnel idiosyncrasique. Au dispositif imaginaire, créatif, qu'ils mettent en place pour eux-mêmes le plus souvent, et qu'ils nous invitent à découvrir le temps d'un instant, que nous saisissons, impressionnons sur le papier pour le faire durer. Le relayer. Et vous le proposer, dans le parler de votre choix.

Disponible

15.00 €

Profane N°6 - mai 2018

BC

Profane a pour sujet l'amateur, qu'il soit artiste ou collectionneur, novice ou spécialiste, un admirateur ou un créateur à ses heures perdues Dans ce numéro : Depuis 10 ans un homme fait revivre dans un village le souvenir d'un ancien, réactive sa mémoire créative (p. 22). Un autre guette la minute précise à laquelle le soleil se couche pour vivre pleinement son projet (p. 72). Ailleurs, des prisonniers tentent de transformer la période de l'incarcération en un temps de libération (p. 130). Ici, le temps s'envisage en parties (p. 82). Là, une femme se laisse guider par sa pratique, voyage au centre de sa terre, sans urgence (p. 184). Et chaque fois, le temps sort de sa linéarité, de l'autorité du méridien, se déroule autrement, selon des accords secrets, intimes. C'est le temps de la répétition et de l'amour. Le nôtre.

Provisoirement indisponible

15.00 €

Profane N°7 - novembre 2018

BC

Disponible

15.00 €

Profane N°8 Avis aux amateurs - printemps-été 2019

BC

Profane met en scène un héros récurrent plutôt qu'une discipline, et l'accueille en qualité d'invité permanent. Profane parle de celles et ceux qui aiment faire, qui aiment tout court, et qui trouvent un sens à la beauté du geste, loin des tribunes officielles. Aujourd'hui dans nos sociétés s'engage un autre rapport à la création, se dessine une manière de penser loin des marchés, des foires, des salles de ventes, des scènes officielles. Nous souhaitons dresser un panorama des dynamiques créatives lorsqu'elles échappent aux logiques de promotion, quand elles viennent aussi dire autre chose d'une société : nourrir une mémoire collective, révéler la singularité d'un inconscient, témoigner d'une époque. L'amateur porte en lui une rareté : son élan résiste aux modes, son rapport jubilatoire et cathartique à l'objet de son affection s'affirme contre vents et marées. Et c'est bien cette part précieuse, cet appétit originel que Profane souhaite mettre en lumière. Découvrez le numéro 8 de la revue !

Provisoirement indisponible

15.00 €

Profane N°8 Avis aux amateurs - printemps-été 2019

BC

Profane met en scène un héros récurrent plutôt qu'une discipline, et l'accueille en qualité d'invité permanent. Profane parle de celles et ceux qui aiment faire, qui aiment tout court, et qui trouvent un sens à la beauté du geste, loin des tribunes officielles. Aujourd'hui dans nos sociétés s'engage un autre rapport à la création, se dessine une manière de penser loin des marchés, des foires, des salles de ventes, des scènes officielles. Nous souhaitons dresser un panorama des dynamiques créatives lorsqu'elles échappent aux logiques de promotion, quand elles viennent aussi dire autre chose d'une société : nourrir une mémoire collective, révéler la singularité d'un inconscient, témoigner d'une époque. L'amateur porte en lui une rareté : son élan résiste aux modes, son rapport jubilatoire et cathartique à l'objet de son affection s'affirme contre vents et marées. Et c'est bien cette part précieuse, cet appétit originel que Profane souhaite mettre en lumière.

Provisoirement indisponible

15.00 €

Profane N°9 Avis aux amateurs - novembre 2019

BC

Profane met en scène un héros récurrent plutôt qu'une discipline, et l'accueille en qualité d'invité permanent. Profane parle de celles et ceux qui aiment faire, qui aiment tout court, et qui trouvent un sens à la beauté du geste, loin des tribunes officielles. Aujourd'hui dans nos sociétés s'engage un autre rapport à la création, se dessine une manière de penser loin des marchés, des foires, des salles de ventes, des scènes officielles. Nous souhaitons dresser un panorama des dynamiques créatives lorsqu'elles échappent aux logiques de promotion, quand elles viennent aussi dire autre chose d'une société : nourrir une mémoire collective, révéler la singularité d'un inconscient, témoigner d'une époque. L'amateur porte en lui une rareté : son élan résiste aux modes, son rapport jubilatoire et cathartique à l'objet de son affection s'affirme contre vents et marées. Et c'est bien cette part précieuse, cet appétit originel que Profane souhaite mettre en lumière. Découvrez le numéro 9 de la revue !

Disponible

15.00 €