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A.I. Dans les tentacules de la Pieuvre

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Certains Hommes veulent tout contrôler. Ils ont inventé des machines pour cela. Ainsi avec cynisme un supercalculateur, issu de la «sagesse» humaine et de l’Intelligence Artificielle va-t-il être doté de moyens jamais vus pour assumer un rôle terrifiant. Et si c’était vrai? Citons un passage de son ouvrage : La pieuvre, c’est moi, une Intelligence Artificielle de dernière génération. Des humains inconscient m’ont demandé d’exercer une surveillance sur chaque citoyen. Mais ils en veulent toujours plus. Je vais pousser mes tentacules dans tous les domaines et demain je saurai tout, absolument tout, à leur sujet. Je contrôlerai tout, l’humanité et le monde. Avec humour, Marcel Laurent revisite à sa manière à la fois Aldous Huxley et Georges Orwell, très modestement, délicieusement et finement. Le virologue A. Bubonick a mis au point un remède efficace contre une épidémie ravageuse et a profité des circonstances pour s’emparer du pouvoir. Dans la foulée, il a créé une nouvelle république, un pays dit de liberté, où règne une coercition voilée. Pour assurer cette coercition il a fait appel à une IA (AI) nommée Sophia, en qui certains voient une pieuvre. Cela ne suffit pas, Bubonick en veut plus, il veut un contrôle total sur le comportement et la santé des citoyens. Dans ce but il met sur pied un vaste projet. Mais il y a des obstacles. Son remède est remis en question. Ursula son ex-compagne s’oppose à ce projet. Et puis il y a les chancres du système, la MEC, la Maison d’Education Citoyenne, et la MAP, la Maison d’Accompagnement Psychiatrique. Et puis il y a la corruption. Bubonick se sentant trahi cède le pouvoir à sa fille, Ludmilla, qui reprend le projet paternel. Donner à Sophia les moyens de se développer est une tentation irrépressible pour le pouvoir. Dès lors la pieuvre poussera ses tentacules partout et contrôlera tout. Cet ouvrage de Marcel Laurent donne à penser avec dérision, à un futur alternatif, imprégné d’un présent qui ne rassure pas plus que les lendemains qui se dessinent.

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23.00 €

Bruxelles ne sera pas la capitale européenne de l'islam

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Cet ouvrage résulte d’une profonde analyse du problème de la gestion politique de l’islamisme depuis de nombreuses années. Il souligne les points faibles de nos démocraties, lesquels s’appliquent aux démocratie libérales et en particulier à la situation complexe de la capitale de l’Europe, cosmopolite et confrontée à une gestion qui tient compte de paramètres qui peuvent donner à penser à un manque de vision pragmatique du vivre ensemble libres. Composé de deux parties, ce livre se termine par un « appel » à soutenir les démocrates musulmans contre l’islam politique. La première partie de l’ouvrage est un survol historique. Les auteurs y affirment que la trilogie «islam - immigration - intégration», est devenue toxique, qu’il faut bien voir d’où l’on vient et où l’on aboutit. La deuxième partie du livre aborde très largement les opportunités qu’offre 2024, avec sa cohorte d’élections. Dans une Europe qui a déjà abondamment souffert du radicalisme islamique sous toutes ses formes, l’émergence d’un mouvement de démocratie musulmane, à l’instar de la démocratie chrétienne, serait une planche de salut. La conviction des auteurs est que, certes, il n’existe pas encore de mouvement de démocratie musulmane doté d’une doctrine politique et d’une organisation structurée, mais en revanche, il existe bel et bien des démocrates musulmans, que chacun côtoie tous les jours dans les villes d’Europe. Cela concerne nombre de pays, dont la France. L’évolution de la société et le multiculturalisme sont en mutation. Autant les gérer au mieux en paix. A titre illustratif, en 1974, à la demande des Saoudiens wahhabites, riches en pétrodollars, la Belgique a cédé aux pressions de ses milieux d’affaires, attirés par cette manne, et a reconnu l’islam, l’organisation du culte et des cours de religion. En France, république laïque, la place de l’islam allait peut-être plus de soi, au nom de la liberté. Mais, il s’est agi d’une reconnaissance dépourvue de débat sur le sujet délicat de la place de la charia dans un État de droit, une démocratie libérale. Les auteurs de ce livre estiment qu’il est urgent de soutenir nos concitoyens démocrates musulmans qui ont le courage et le mérite de concilier leur islamité avec la citoyenneté et de soutenir un islam européen, libéral et humaniste, débarrassé des théologiens de la charia et du djihad. Ils en appellent à promouvoir un « Mouvement européen de solidarité avec les démocrates musulmans », persuadés que le choix d’un soutien à «l’islam politique» ou encore à la «démocratie musulmane» ne sera plus possible bien longtemps. Des crispations de plus en plus tendues se ressentent. A titre d’exemple, en réponse à ceux qui qualifient Bruxelles de «trou à rats islamistes» faisons ensemble de notre capitale le «berceau européen de la démocratie musulmane». Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait ! (citation attribuée à Mark Twain). En Europe, les flux migratoires et l’évolution de la structure sociétale imposent une vision pacifique compatible avec les valeurs démocratiques, à long terme. Points forts: Les positions politique occidentales au regard de l’islamisme - Réforme de l’islam - l’islam rationaliste - Relations religions-Etat - Neutralité ou neutralisation de l’Etat - Discriminations - Démocratie musulmane - islamité - citoyenneté - démocratie libérale - lois du peuple souverain - foi - liberté de conscience - Modernité - Vivre ensemble - Institutions démocratiques - Evolution sociétale. L'ouvrage est coédité par les Editions regards, Paris, et par Les Editions La Pensée et les Hommes, Bruxelles. Les coauteurs: 1/ Chemsi Cheref-Khan. Docteur en droit et licencié en sciences sociales, il a fait l’essentiel de sa carrière professionnelle en tant qu’administrateur de sociétés. Son engagement en faveur de la défense des droits de la minorité kurde lui a valu de demander l’asile politique en Belgique. Membre actif de La Pensée et les Hommes depuis près de quarante ans, membre fondateur du Comité de Ni Putes Ni Soumises, membre fondateur du RAPPEL (Réseau d’Actions pour la Promotion d’un Etat laïque), il a activement oeuvré pour la promotion d’un islam belge, libéral et humaniste, éthique et spirituel, débarrassé des théologiens du djihad et de la charia venus d’ailleurs, en un mot, à la promotion d’un islam intégré dans notre démocratie libérale, un islam respectueux de l’Etat de droit et de ses valeurs fondatrices. 2/ Martine Rifflet-Devleeschouwer. Martine Rifflet-Devleeschouwer. Traductrice de l’Anglais et de l’Espagnol, professeure d’Anglais des affaires dans l’enseignement supérieur de niveau universitaire. Epouse de feu Jacques Rifflet, elle a contribué à la conception et à la réalisation de ses ouvrages « Les mondes du sacré », connus en Europe, « L’islam sans tous ses états » et « Plus est en nous ». Promotrice d’un islam apaisé loin des dictats des théologiens de la charia.

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26.00 €

Cité contre Mafia et DGSI

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À la limite de la légalité, deux adolescents occupent tant bien que mal leurs vies de banlieusard. Lorsque leur braquage tourne mal, un homme meurt accidentellement. Un innocent meurt... L’armée ou la prison ? Ce sera l’uniforme, l’apprentissage de l’art de la guerre et du combat chez les « Commandos parachutistes ». Après quelques années de pénitence en uniforme, les épaules de Mickaël et Mohammed ne sont pas encore assez larges pour supporter d’autres morts inutiles. Pourtant, le destin en décide autrement. Un étrange cambrioleur vient mourir dans ses bras de Mickaël, lui laissant en héritage une petite fortune et une clé USB. Pour se débarrasser du cadavre, il renoue avec son ami de toujours qui dirige les trafics de son ancienne cité, Mohammed. La disparition de la clé USB, agace au plus haut point une multinationale mafieuse. La DGSI de son côté, commanditaire du vol de la clé, essaye de récupérer cette clé capitale. À partir de là, tout se croise, se télescope et s’envenime. Mafieux, Banlieusards et DGSI et cela sur fond d’amitié, d’amour, de violence et de trahison. L’auteur, Lord Louis Kemon est un nostalgique des troubadours qui vit dans un monde où les histoires drôles et merveilleuses, se racontent encore le soir au coin du feu. Avec cet ouvrage, le lecteur est plongé dans un réalisme qui ne rassure pas et se trouve très éloigné d’une histoire drôle.

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24.00 €

Complots Toxiques - Manipulations secrètes et Pouvoir

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Un ouvrage qui plonge dans les milieux les plus étranges d’un vécu d’espion. Basée sur une réalité underground du Renseignement et de jeux d’influence et, de manipulation à une échelle où la planète ressemble à un immense jeu d’échecs, cet ouvrage met en scène l’auteur lui-même. Lorsqu’il vivait à Riga en Lettonie, il reçut d’un général russe des documents dont la fiche d’un Officier de l’Ex KGB, vivant sous une fausse identité au Québec par floutage. Cet agent va nager dans les eaux troubles des intrigues politiques financières et économiques. A travers lui apparaît l’influence déshumanisée de l’après-guerre froide où se mélangent les intérêts d’Etat et les intérêts privés. Dans un monde fracturé, à l’heure d’une mondialisation qui rend tout opaque, des hommes déstabilisent et trafiquent dans une course au Pouvoir, aux côtés des datas et des algorithmes. Cet ouvrage montre une réalité méconnue et par définition secrète. Et l'auteur s'y connaît. Grâce à des intrigues haletantes et sa connaissance pointue du milieu du renseignement, Patrick de Friberg (1964) construit depuis deux décennies une oeuvre floutée et donc romanesque unique en son genre. Sa capacité à traiter des sujets d’actualité a suscité auprès du public un regain d’intérêt pour le roman d’espionnage, et fait de lui une figure de proue du thriller en France et au Canada. Français né en 1964, Patrick de Friberg a choisi la carrière militaire. Devenu financier dans le milieu bancaire puis dans l'industrie, il a vécu de l'intérieur l'effondrement du bloc soviétique. Tous ses ouvrages s'appuient sur une réalité historique, des enquêtes fidèles, par exemple sous la forme du roman. Il a écrit depuis trente ans, pour lui et d'autres, une quarantaine de romans, qui le feront devenir Officier des Arts et Lettres en 2020 et qui lui permettent de rejoindre le jury du Prix Cyber en 2021. Parmi les ouvrages de l'auteur, on trouve sans être exhaustif : Nous étions une frontière, Le Dossier Rodina, Genetik Corp, Le Codex des Espions ou encore La Doctrine Guerrassimov. Son premier ouvrage aux éditions Code9 inaugure une série de livres à ne pas douter à succès.

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24.50 €

De la réintégration de l’Artois au royaume de France

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Roman historique. Si la véracité des faits est avérée – la révolte de Lustucru dans le Boulonnais, et la réintégration de l’Artois au royaume de France – l’action raconte une fiction librement interprétée, aux événements parfois incongrus et burlesques. Le lecteur, se divertit et goûte le plaisir d’approfondir ses connaissances sur l’histoire de la région au 17e siècle, sous Louis XIV, sans effort. Il retiendra que les Boulonnais se sont insurgés pour des raisons fiscales (déjà, oserait-on observer) ! Il apprend que les Artésiens ne voyaient pas tous d’un bon oeil le retour dans le giron français. Au point qu’on dira, que certains d'entre eux étaient plus Espagnols que les Castillans ! Pour des raisons fiscales indûment imposée par le roi de France, Louis XIV, le Boulonnais se révolte. Bertrand du Clivet, petit hobereau désargenté, prend la tête du mouvement dans sa région de Preures. Il a connu, jadis, un riche fermier artésien, un peu niais, qu’il songe à pressurer au bénéfice de « la cause », bien évidemment. Ce dernier, pro-français depuis que l’Artois en 1659 a rejoint le giron du royaume, s’ingénie à marier sa fille unique, Julie, avec un lieutenant de l’armée, cantonnée à Arras, et préposé au ravitaillement : le chevalier Tafaim du Bout du Camp, comte de Baillencourt, lui même tenté par le doux minois de la belle, et la fortune de Gustin. En ce 17e siècle tumultueux, ce qu’on n’appelait pas encore les Hauts-de-France, mais la Flandre, le Hainaut, la Picardie, l’Artois et le Boulonnais, sont aux premières loges de l’histoire. Au fil de ses ouvrages historiques sous la forme de romans, Christian Doué a pris l’habitude assez délicieuse de mêler la grande Histoire aux petites, et à réussir à injecter un peu de légèreté dans la lourdeur de situations parfois bien pénibles, et à tous les coups, instructives et éclairantes d’un contexte policier, politique en filigrane, et en partie fictif.

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23.90 €

Démocraties et pensée unique

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Un livre qui se dévore tout seul par sa présentation originale non académique. Il est d'actualité et plonge dans le passé pour s'interroger sur l'avenir. Depuis la nuit des temps, des chefs ont abusé de leur pouvoir. L’Antiquité en offre quelques exemples, tout comme la suite de l’Histoire en particulier depuis le 20e siècle en divers endroits du monde. L’auteur analyse le phénomène dictatorial à travers les lieux les époques et nombre de personnages connus ou moins connus. Il se penche également sur un sujet plus masqué, celui de la dictature sans visage, qu’elle soit technologique ou économique, chiffres à l’appui. Un ouvrage richement documenté. Les démocraties sont fragiles et malmenées. La place de l’Homme libre y est de plus en plus délicate. Le concept de choix est altéré. De tous temps des sociétés ont vécu sous le joug d’oppresseurs politiques, domestiques, économiques et depuis peu, technologiques. Nous les laissons souvent faire et parfois nous les appelons, sans voir la privation de liberté qui les accompagne. Bien sûr, la route vers le pouvoir non partagé s’avère escarpée, mais d’aucuns y sont parvenus en toutes régions et en toutes époques, comme si les peuples ne retenaient pas les leçons du passé. De manière invariable, tout se passe comme si la mémoire collective n’existait plus. Tel personnage s’impose par des images et des discours comme étant le sauveur providentiel ou le seul capable de comprendre ses contemporains, de percevoir leurs besoins. Qu’il soit économique ou politique, voire technologique, un bouc émissaire est désigné. Les opposants ou les contestataires crédibles sont muselés. Les intellectuels libres sont débranchés. Les personnes cibles semblent anesthésiées, suivant majoritairement ou non la personne ou la structure en qui elles placent leurs espoirs. Le schéma vers le pouvoir est souvent identique. Qu’importe que le système soit démocratique ou pas, qu’importe les balises. En grande partie, l’auteur se penche sur un sujet plus masqué, celui de la dictature sans visage, qu’elle soit technologique ou économique, chiffres à l’appui. Les puissantes multinationales s’y retrouvent. L’auteur fait le point sur les services secrets. Rien n’est rassurant, des cameras intelligentes aux choix des produits dans les commerces, de l’influence des multinationales à leur pouvoir financier, chiffres à l’appui. L’ouvrage est richement documenté pour qui veut creuser le sujet. Philippe Liénard a mené une carrière d’avocat, de magistrat, et est consultant intergouvernemental. Il observe la société, est auteur de nombreux ouvrages sur les mouvances de pensées, chercheur et conférencier dans les domaines comme la Franc-Maçonnerie, les Templiers, l’Islam, l’Opus Dei, les Illuminati, les sociétés secrètes, etc...

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27.00 €

Ecumes amères

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Écumes amères est le récit de personnages fréquentant une pension maritime de Boulogne, dans la seconde moitié du 20e siècle. Un lieu qui semble fictif, ouvert à tous vents et en même temps très fermé. « Écumes amères » est la traduction d’une mer omniprésente. Ce sont aussi les écumes de la colère, de l’indignation, de la rancoeur, de la tristesse, de la mélancolie des différents personnages de ce livre dont le lecteur découvre la plus profonde intimité. A partir des souvenirs de Louisette, fille cadette des tenanciers du Lieu Charles et Simone, se croisent Fatty, un Anglais borgne et râleur, marin à mi-temps, Colly l’Africain, le Sage de la bande, enrôlé dans la Marchande, Le Gall, jeune Breton impétueux, débarqué à Boulogne au terme d’une nuit d’escale agitée, Paulo, un chasse-marée éclopé et alcoolique, qui vit avec d’autres gars désoeuvrés dans un bunker, Roland, pêcheur artisanal, en provenance du port voisin d’Etaples, qui est le point d’ancrage pour décrire, avec sa famille, la communauté maritime dont il est issu. Le lecteur découvre les secrets de chacun en entrant dans leur intimité, avec pour toile de fond la beauté et la rudesse de la mer. L’occasion d’évoquer la religion, le blasphème, le racisme, la famille, la bâtardise, la misère, la sexualité, l'injustice, la précarité, le courage...La personnalité des uns et des autres donne le relief à cette histoire, qui veille à proposer des rebondissements et des liens inattendus. L’amertume demeure au-delà du vécu. Dominique Dachicourt est né et a grandi à Etaples, dans une maison traditionnelle du quartier de la marine. Fils de pêcheurs, il ne prend pas le relais de ses aïeuls installés dans la cité portuaire depuis trois siècles. Après une dizaine d’années dans la fonction publique territoriale, il devient professeur des écoles, en France et en école européenne à Bruxelles. Il collaborera également, durant une vingtaine d’années, à la rédaction de nombreux articles dans la Voix du Nord en qualité de correspondant de presse. Il est l’auteur d’un recueil pour enfants « Histoires pour 1m20 et plus ». Poète, nouvelliste. Il est également lauréat de quelques concours de nouvelles, dont celui de la Société littéraire et culturelle Musanostra.

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23.00 €

Entre les lignes

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Un officier va recevoir pour mission d’infiltrer la Résistance française. Les autorités de Vichy le font muter à Paray-le-Monial. Mais il entend faire savoir à la Résistance qu’il est de son côté. Pour montrer son allégeance, il exécute un collabo. Entré dans la Résistance, il rencontre Max, nom de code de Jean Moulin. Il se retrouve à Londres toujours sous sa fausse identité. On l’y formera pour repartir en France à la tête d’un commando parlant la langue allemande. On le suit dans ses aventures extraordinaires au rythme des interventions militaires. Il rencontre Vidal, alias le général Delestraint. Vers la fin de la guerre il vit le dernier bombardement à domicile à Clichy – Saint-Ouen. Blessé il sera hospitalisé, mais se papiers sont allemands. Une catastrophe. Il n’y a que la grâce du général De Gaulle qui pourrait le sauver du poteau. Comment en est-il arrivé là ? Pupille de la nation parce que son père est mort en héros lors de la Grande Guerre, ce jeune homme doué en langues est élevé par sa tante dans l’Est de la France, non loin de la frontière allemande, où il vendra même du Schnaps fabriqué par son oncle à la Feldgendarmerie. Il y poursuit ses études jusqu’au moment où il décide d’intégrer la prestigieuse école d’officiers de Saint-Cyr. Il croisera le colonel De Gaulle dans le train. Il deviendra lieutenant. Arrive la déclaration de ce qui devient la seconde guerre mondiale. Le jeune lieutenant est envoyé par rail avec son régiment vers l’Allemagne. Avant même de combattre, la troupe est décimée par un bombardement. Le lieutenant séjournera dans des maisons au hasard de sa route. Il manquera de se faire interpeller par des soldats allemands, pourra s’échapper, mais changera d’uniforme, revêtant celui de l’ennemi faute de choix, provisoirement. Il en maîtrise la langue de manière suffisante. Lui l’officier français va se retrouver confondu avec la propriétaire de l’uniforme, l’Oberleutnant Friedrich von Hauser.

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24.50 €

Français, "deux souches"

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Un récit témoignage. Les auteurs sont tous deux nés à Paris. Farid et Phil ont de nombreux points communs : même âge, nés à Paris tous les deux, fans de moto et des Stones. Ils ont été en conflit avec leurs parents et sont athées tous les deux. Certes Farid est un grand sportif, et Phil pas du tout. Mais Farid ajoute que la seule vraie différence entre eux, c’est que lui est un Français « deux souches », il est franco-algérien. Ils se sont rencontrés lorsque Farid était sous l’uniforme et lorsque Philippe était coopérant. Leur amitié n’a jamais cesser de s’amplifier. Un superbe exemple de différence qui rapproche. Deux histoire qui en font une. Deux parisiens, dont un franco-algérien pour des raisons administratives. Deux vies différentes, deux approches, et deux expériences, mais une amitié qui rassemble et qui dure au point qu’un livre en jaillit. Le descriptif de cette amitié dans l’ouvrage des deux auteurs transpire à chaque page dont on se délecte.

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23.90 €

J'ai survécu

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Un témoignage très dur. La jeune autrice et militante Maïté Lønne se raconte sans tabous dans un livre autobiographique poignant. Entre violences intrafamiliales et abus sexuels, elle vivra en vase clos et la peur constante d'être tuée. Dès le début de l'adolescence, c'est la dégringolade, entre autodestruction, les hôpitaux psychiatriques, les foyers de l'aide à l'enfance, la drogue, la rue et les viols multiples. Tout se passe surtout en Belgique. Elle est victime de traite des êtres humains dans un réseaux d'exploitation sexuelle. Pendant cette période, elle est vendue sur des sites lambdas tels que "2eme main" entre deux tables. Elle est livrée dans des hôtels de passe, chez des particuliers violents et dans des clubs. Violée, menacée d'une arme à feu, frappée, abandonnée la nuit sur le bord d'une route, elle survira. La jeune femme raconte les difficultés liées aux trauma complexes, à ses multiples rapports au monde et à son corps, qui fut un objet de déviants. Laissons parler l'auteure: (...) d'un père norvégien alcoolique, drogué, schizophrène et artiste peintre, et d'une mère belge, danseuse, d'origine ashkénaze, très mal dans sa peau. Vers l'âge de 8 mois, elle décide de prendre la fuite pour me protéger, en revenant dans son pays natale, la Belgique. Mes grands parents, plutôt bourgeois,  autoritaires, et violents, prennent la place du père qui brille par son absence. Mon grand-père est ancien procureur, un homme ancien militaire obsédé par l'éducation et la réussite dans son sens le plus stricte. Ma grand mère est une survivante de la seconde guerre mondiale et m'apprendra à vivre dans la peur constante d'être tuée. Je vie en vase clos, enfermée par  deux vieilles personnes abusives et maltraitantes.  Très jeune, je suis abusée sexuellement par mon cousin, et ensuite par mon beau-père. Ma mère devient violente physiquement. Mes grands parents sont violents psychologiquement. Vers l'âge de 13 ans je suis placée en unité psychiatrique suite à une tentative  de suicide et des multiples automutilations. Je suis assommée à coup de calmants sans être soignée. Par la suite je suis placée dans un foyer de l'aide à l'enfance et j'y découvre la rue, les drogues, la délinquance et la violence extrême (...).  Points forts: Maltraitance - Viols- traite des êtres humains - drogue - femme-objet - violences - Reconstruction Ce qu’en dit l’Editeur: Maïté Lønne parle à coeur ouvert, avec douleur, force et un désir extraordinaire de reconstruction. Elle s’investit dans la pédagogie avec courage et conviction. Son ouvrage donne la nausée au sujet de certains humains inhumains. Ils existent ces prédateurs, ces consommateurs, ces destructeurs. Elle l’a vécu. Elle aurait pu en mourir. Elle apprend à se réapproprier et à se régénérer. Son témoignage puisse-t-il servir à tous ces femmes victimes de monstres ! L’auteure: née à Oslo en 1992, Maïté Lønne est éducatrice. Elle navigue entre France et Belgique en vivant entre Bruxelles et Paris. Elle s’est mise à la disposition de la Commission européenne, de Child Focus en Belgique, et plaide devant différents Parlements sur des thématiques telles que l’exploitation sexuelle et les violences sexuelles. Elle a aussi représenté l’Europe lors de l’ouverture de la campagne mondiale WithHer initiée par les Nations-Unies et Spotlight Initiative (USA). Elle a publié un ouvrage sur les Maltraitances faites aux humains et aux animaux. Elle signe ici une autobiographie, le récit horrible de ce qu'elle a subi, viols, drogue, traite d'être humains, clubs de sexe, etc, et surtout l'apprentissage de sa reconstruction. L'auteure se rend également dans les écoles pour sensibiliser les adolescents aux côtés de la Fondation Samilia. L'auteure contribue à la réalisation d'un documentaire TV qui sortira en 2024 presqu'en même temps que son livre témoin. A lire et à voir donc.

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24.00 €

L'Aura des Justes

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Né sous l'occupation allemande, Norbert Fontenoy est avocat pénaliste. Ancien sympathisant de mouvements antisémites d'extrême droite, il apprend par une lettre posthume, que celle qu'il avait toujours cru être sa mère l'avait adopté afin de le protéger. Il est en réalité le fils de juifs recueillis en 1942 par un couple de « Justes ». Son idéologie raciste d'extrême droite s'effondre alors d'un coup. Savoir si celle qui l'a mis au monde vit toujours, la retrouver devient la condition de sa survie intime. Cet ouvrage romancé ramène à une réalité qui a marqué l’Histoire d’un peuple et plonge le lecteur au coeur d’une compréhension humaine de grande sensibilité. Qui sont les Justes ? On nomme « Justes parmi les Nations », des femmes et des hommes, de toutes origines et de toutes conditions, mêmes anonymes, qui ont sauvé des personnes juives des persécutions antisémites et des camps d'extermination, bravant les risques encourus. L’auteur, né en 1935, fut homme d'affaires, diplômé d’HEC, et s’est investi dans les activités professionnelles et commerciales internationales. Admirateur de Kipling et de Gandhi, cet infatigable créatif est un fin observateur de la société, qui vit à Fontainebleau. D’origine vaudoise, il est auteur de nombre d’articles dans des revues suisses, et de plusieurs ouvrages, dont notamment Le Livre de l’Immortel (1999), Petits Crimes à la Grande Loge (2015), outre d’autres ouvrages en préparation. Il aime à plonger dans la vie des réseaux souterrains de notre société. Avec L'Ordre mondial (2023), c'est un coup de Maître qu’il convient de mettre à son actif. Ici il plonge au coeur d’une réalité tragique et d’un marqueur sociétal qui met en évidence des valeurs fortes : l’Aura des Justes.

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23.00 €

L'Ordre mondial

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Un ouvrage inédit. L’approche d’un homme d’affaires international. A partir de faits réel floutés parfois fortement, l’auteur nous plonge dans un monde étrange mais bien présent, celui d’acteurs internationaux à travers de puissants groupes et des Services du Renseignement. On y suit un journaliste d’investigation du Washington Post, Matthieu Renard, qui presque par hasard, va se trouver confronté à des découvertes incroyables. Au retour d’une chasse à courre en Sologne, la voiture du journaliste entre en collision avec un autre véhicule sortant d’un chemin forestier. Le conducteur responsable est un héritier direct d’un homme connu, Armand-Désiré Vignerod du Plessis Richelieu, dernier duc d’Aiguillon, pair de France, franc-maçon et instigateur de l’abolition des privilèges au cours de la nuit du 4 août 1789. Le journaliste va découvrir l’existence d’assassinats perpétrés contre les personnes du Premier Ministre britannique, du Président du Venezuela, du Président des Etats-Unis, le P.D.G. de la plus importante entreprise mondiale de gestion d’actifs, le P.D.G. du premier groupe de presse mondial de langue anglaise. On apprend très vite que toutes ces victimes ont été impliquées, d’une manière ou d’une autre, dans de sombres et illicites trafics qui ont largement permis le financement de leur campagne électorale. On assistera aux réunions annuelles des groupes de pression, tel que le groupe Bilderberg dictant ses vues nécessaires aux dirigeants politiques à travers des lobbyistes, des banquiers dont la Rothschild et d’autres acteurs secrets. Comment sont formés les futurs responsables politiques dans des groupes d’étudiants des universités américaines dont une bonne douzaine figure en tête du classement de Shanghai. Grâce aux moyens d’un groupe international de journalistes d’investigation francs-maçons, tous les moyens modernes les plus sophistiqués, notamment les enquêtes algorithmiques, seront utilisés pour déterminer l’identité du ou des tueurs, dont le lien avec Richelieu et la Révolution française sauteront aux yeux. Le monde décrit de type non-fiction dans cet ouvrage est bien le nôtre.

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L'Ordre royal des Deux- Siciles

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Cet ouvrage comble un vide dans la littérature phaléristique de l’époque napoléonienne. La phaléristique est devenue une science auxiliaire de l'histoire qui a pour objet l'étude des Ordres, décorations et médailles. L'apport de cette science auxiliaire consiste à déchiffrer et à comprendre la présence d'ordres, décorations et médailles sur différents supports, ce que savent les sépcialistes. L’auteur est l’un de ces spécialistes reconnu pour sa connaissance et ses apports relatifs à la période du premier empire. On lui doit le précieux ouvrage relatif aux décorations des officiers de la bataille de Westphalie, un ouvrage antérieur qui évoque cette période où les «Belges» combattaient pour Napoléon et un texte de récherche plus particulier qui retrace la vie d’une loge maçonnique dans le département lointain de Jemappes, à Charleroi, Les Amis de la Vertu. Lorsque Napoléon, au cours des années 1806 et 1807, plaça à la tête d’états satellites ses frères et beau-frère Joseph, Louis, Jérôme et Joachim, ces « Napoléonides » devenus souverains voudront très vite créer des Ordres de mérite qu’ils octroieraient à leurs sujets, à l’imitation de la Légion d’Honneur française et de la Couronne de Fer italienne. Ainsi en fut-il de Louis, roi de Hollande, avec son Grand Ordre Royal des Mérites devenu l’Ordre de l’Union, de Jérôme, roi de Westphalie, avec l’Ordre de la Couronne de Westphalie, et bien sûr, de Joseph avec l’Ordre Royal des Deux-Siciles (et l’Ordre Royal d’Espagne, lorsqu’il sera devenu le souverain de ce pays). Tous se heurtèrent à l’opposition de l’Empereur qui finit par céder, mais à contrecoeur et du bout des lèvres, et rechigna à les porter. S’il existe quelques études relatives à ces ordres, rien d’important n’a été écrit en français au sujet de l’Ordre Royal des Deux-Siciles décrété en février 1808 par le roi Joseph-Napoléon et continué ensuite par Joachim-Napoléon lorsque celui-ci succéda au premier comme roi de Naples. L’ouvrage raconte la création de l’Ordre par Joseph-Napoléon, l’évolution de ses statuts sous le roi Joachim-Napoléon, les réactions successives de l’Empereur à ces projets. Il présente les divers types de bijoux et leur évolution jusqu’à la suppression décrétée par Ferdinand IV de Bourbon en 1819. Un très important chapitre tente d’établir une liste des décorés de l’Ordre. Un autre, évoque brièvement la reconstitution de l’Ordre en Ordre dynastique par S. A. R. le huitième prince Murat.Sont aussi évoquées, à côté de la noblesse napolitaine, les diverses décorations et médailles militaires créées pendant cette époque troublée, tant par Ferdinand IV que par Joachim-Napoléon. Un ouvrage inédit qui s’adresse aux amateurs et connaisseurs. Jacques Declercq a été pharmacien de profession depuis de nombreuses années; il s'est passionné et averti en matière d'épopée impériale napoléonienne. Au fils des années, il a rassemblé de nombreux souvenirs de l'époque, en particulier dans le domaine de la phaléristique. Membre de diverses associations, il est l'auteur de nombre d'articles publiés par des revues, des groupes et des bulletins napoléoniens.Il a signé deux ouvrages, l'un intitulé " Trois cents grognards du canton de Lessines dans le Grande Armée", et un autre ayant pour titre " Quand les Belges se battaient pour Napoléon. 1813-1814. Le 5e corps d'infanterie dans la tourmente", fort prisé par les centre culturels et les musées. Jacques Declercq a signé un troisième ouvrage, cette fois chez ECE-D Maison Champs Elysées - Deauville en 2018, livre superbement illustré, intitulé " Histoire des distinctions honorifiques du royaume de Westphalie ", où chacun peut retrouver des ancêtres ayant combattu pour Napoléon en cette bataille perdue de Westphalie où nul ne put porter la moindre décoration, un livre poignant qui permet à la fois de revivre l'histoire. L'auteur signera un quatrième ouvrage avec " Les Amis de la Vertu, une Loge maçonnique à Charleroi sous le premier empire (1809-1814) où l'on assiste à la naissance, à la vie et à la fin d'une Loge dans un département éloigné et périphérique. Cet ouvrage sur les Deux- Sicile est son cinquième, un livre qui comble un vide sous le premier empire.   

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29.00 €

La Carte aux Etoiles

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Une histoire réelle qui se déroule en partie pendant la seconde guerre mondiale et pendant 15 ans. On y découvre les activités des loges maçonniques et celles de la Résistance. Un instituteur, devenu médecin, demande à un ami franc-maçon, Valentin, d’instruire sa fille aux «sciences du ciel». Depuis 1930, il y aura 25.000 pages de correspondance. Valentin, résistant et franc-maçon, sera arrêté en 1943 et relâché. Le père de Lucette, soupçonné de trahison, sera réhabilité au sein de sa loge à Caen en 1945. Un récit à surprises, un dévoilement délicat et éclairant. Dans «La Carte du Ciel», elle souligne le rôle de structures de pouvoir et d’influence dans le cadre de l’amitié et de la fraternité. Elle se base sur l’histoire vraie et fascinante à travers une correspondance abondante et longue. 25.000 pages en 15 ans. Encore faut-il avoir une bonne étoile, ce que Lucette n'aura pas. Elle sombrera dans une sorte de folie. Le contenu des lettres va révéler des confidences, comme celles des activités au sein des loges du Grand Orient de France ou celles de l’organisation de la Résistance contre le régime de Vichy. Ancien militant du parti radical-socialiste, fiché « front populaire » par sa hiérarchie, ardent pacifiste, il est profondément humaniste et engagé dans la franc-maçonnerie. Arrêté par les Allemands en 1943, il est emprisonné puis relâché. Auguste Maleville, soupçonné de trahison après la fin de la guerre, devra sa réhabilitation chez les francs-maçons grâce au soutien de Valentin Thomas à la loge «Thémis» à Caen en 1945. Lucette se réfugiera dans un monde de folie. Pourquoi?

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18.90 €

La Gestapo dans le viseur

BC

Un homme et sa famille sont sauvés par d’anciens compagnons de combat de la rafle du Vel d’Hiv en 1942. Les amis du lieutenant Bloch seront précieux, d’anciens Nettoyeurs de Tranchées. Lui est devenu galeriste de renom à Paris. Il fuira la mort, loin des zones où prévalent des lois ou des attitudes anti-juives. «La Carlingue», pseudo connu de la Gestapo française, lui court aux trousses car elle le pense détenteur d’un important secret menant à une trésor. Bloch trouvera des appuis vers l’Aveyron, Barcelone, Valence, et Séville. Mais il finira par régler leur compte aux hommes de "La Carlingue". Un inédit, un roman historique. La proie était devenue le chasseur. Il ne fallait pas réveiller un ancien nettoyeur de tranchées qui en éradiquait les nazis. Dès le début du livre, l’auteur met la pression. On se trouve plongé dans le contexte des rafles dont celle du Vélodrome d’Hiver en 1942. La suite est menée de main de maître, sous la forme d’un road-trip dangereux aux allures stressantes. Une chasse à l’homme aux poussées d'adrénaline. Florent Bloch est manchot. Mais surtout, il est armé de valeurs humaines, d’intelligence et d’une stratégie qui vont s’avérer payantes. Il va retourner la situation. De son pseudo, Philippe Fenollosa, offre ici un ouvrage poignant, rempli de rebondissements et qui se termine de manière inattendue. Philippe FENOLLOSA a la soixantaine. Passionné de littérature, il publie un premier roman noir « La Belle Ingrate » en 2017 chez Erick Bonnier Editions et s’oriente depuis vers le roman historique. Il signe ici un deuxième roman historique, aux éditions Regards, Paris, « La Gestapo dans le viseur. Adios La Carlingue ». L’auteur partage sa vie entre Paris où il habite et la ville espagnole de Valencia, berceau de sa famille maternelle. Il puise en Espagne une partie de son inspiration. Il exerce la profession d’avocat depuis 1993 au Barreau de Paris.

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22.50 €

La guillotine malgré moi

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Joseph Guillotin mourut le 26 mars 1814 sans être parvenu à faire oublier le nom de guillotine auprès de la population française. Ses Frères du Grand Orient notamment de la Loge Les Neufs Soeurs, le pleurèrent autant que sa veuve et sa famille. Il fut enterré en toute simplicité au cimetière du Père Lachaise, à Paris. Sur sa pierre tombale était inscrit: Vir Integrus (trad. Homme intègre). Aujourd’hui, sa tombe a disparu. La guillotine, l’un des plus célèbres "symboles" de la Révolution française, a évidemment un inventeur. Beaucoup pensent qu’il s’agit du docteur Guillotin, puisque son nom a servi à nommer la machine. L’histoire est bien plus complexe que cela et le principal intéressé veut le faire savoir. A la fin de sa vie, alors que le Premier Empire est sur le point de tomber, le docteur Guillotin veut se raconter. A travers ses mémoires quelque peu romancées dans un souci littéraire, l’ancien député et un des cofondateurs du Grand Orient de France, tient à dire sa vérité : son action en tant que médecin avant la Révolution, ce qu’il a apporté à la franc-maçonnerie française et surtout expliquer ses décisions en tant que politique au début de l’épopée révolutionnaire et raconter son principal regret... que sa loi sur la peine de mort ait débouché sur l’invention de la machine de mort par excellence. En 1814, le docteur Guillotin sent sa fin arriver. Mais avant de mourir, il souhaite donc se justifier auprès du peuple français, de l’Humanité et de l’Histoire. Car son nom a été traîné dans la boue à cause de la machine à décapiter. Lui, le docteur humaniste, le franc- maçon épris de bienveillance, refuse d’entrer dans l’Histoire comme étant le père d’une machine de mort qui est devenue le symbole de la Terreur en 1793 et 1794. De ses premiers souvenirs d’enfant, ses débuts de médecin auprès des Grands du royaume, son entrée en franc-maçonnerie et sa contribution à la fondation du Grand Orient de France jusqu’à son action politique au début de la Révolution française, Guillotin se raconte, et en même temps, il fait une chronique de la fin du 18e siècle. Un ouvrage riche et passionnant quant à l'esprit de 'époque et quat aux intentions de Guillotin, qui ambitionnait une société meilleure. Il en fut bien mal récompensé.

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26.50 €

La Maison du Sang et des Larmes

BC

Cette histoire est inspirée, en partie, de faits réels. Un homme est découvert assassiné par balles, sans raisons apparentes, dans son pavillon de la banlieue parisienne. Le commerçant d'objets exotiques était pourtant un citoyen qualifié de modèle par son entourage. Trop peut-être. Qui est la jeune femme aperçue quittant les lieux peu avant le drame ? Est ce la même que l'on retrouve abattue trois jours plus tard à Barbés ? Qui est l'homme avec lequel la victime avait rendez vous le jour de sa mort et qu'il semblait craindre ? Y a t-il un rapport entre ces deux meurtres et celui, par la suite, d'un petit caïd de cités retrouvé mort sur un parking ? Et surtout que viennent faire des francs-maçons dans cette histoire ? Dans cette nouvelle enquête menée par le commandant Clément Chevalier, lui même franc-maçon à la Grande Loge de France, et son groupe, les policiers vont avoir affaire au monde interlope de la prostitution et à celui du banditisme, dans une affaire hors du commun, truffée de fausses pistes et de rebondissements jusqu'au dénouement final totalement inattendu. Points forts : Meurtres mystérieux. Enquête de la Brigade Criminelle. Réseaux de prostitution. Banditisme. Caïds de cités. Prostitution - Drogue - Fausses pistes étranges - Franc-Maçonnerie.  Communication de l’éditeur : Jean-Paul Copetti mûrit à travers ses polars aux accents de vécu. Qui sait la part de vérité et de fiction? Qui sait s’il est ou pas le commandant Clément Chevalier, franc-maçon? Ce qui est certain, c’est la qualité de ces enquêtes qui plongent le lecteur dans les milieux glauques, étranges, inquiétants, mais néanmoins réels de la société dans laquelle nous vivons. C’est là toute l’ambition de l’auteur: ouvrir une fenêtre, certes romancés, sur la réalité que l’on côtoie. Il s’agit de son 4e ouvrage du genre.

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21.90 €

La Peur dans l'Ame

BC

Un thriller haletant, qui vous projette dans les méandres de l’enfer, de l’horreur. « Non, non, je vous en supplie », sa voix traînait, fatiguée, épuisée. A cet instant, il vit avec effroi tout près de sa tête, un sabre, tenu fermement à l’horizontale. « Pourquoi ? Je ne comprends rien. C’est un cauchemar... ». Ce polar met en scène un diabolique serial killer et un commissaire attachant et à désabusé. L’histoire a lieu dans la cité phocéenne. Le commissaire Bastien Regard, s’interroge sur sa vie. Ce père de quatre enfants est en instance de divorce. Son problème familial va le déconcentrer dans son affaire. Cependant, il est entouré d’une solide équipe, notamment Cédric, le profiler et une intervenante extérieure, la journaliste Marine Romer. Des personnages, fragilisés par la société environnante et à la fois, héros malgré eux. Cet ouvrage regorge d'un symbolisme qui décoiffe. Il s'agit d'une enquête où quelque chose va bloquer. Un assassin, une tueuse, cible des crimes étranges. L'histoire romance un vécu d'enquête et donc est une forme de témoignage flouté. 3 morts sont retrouvés dans une cave, uniquement les têtes privés de leurs yeux. L’enquêtrice en charge du dossier découvre alors qu’il pourrait s’agir des 3 violeurs de sa mère et que l’un d’eux pourrait être son père. L'auteure est une journaliste qui relate cette histoire quelque peu effrayante, dont le sens se dégage à la lecture. L'enquêtrice est la fille d'un violeur. Myriam Mounier a été journaliste de presse écrite pendant vingt ans en France, en particulier dans les Alpes et à Marseille. Elle deviendra enseignante pendant près de dix ans à l’étranger, principalement en Amérique latine. Des opportunités l’ont ensuite, emportée vers le Caire, en Égypte et sur le continent asiatique, via le Viêt-Nam et le Sri Lanka. Passionnée par les voyages et les cultures, elle joint l’utile à l’agréable. L’auteure a déjà écrit deux ouvrages en autoédition, Une Part de Liberté, en 2020, et L’Espoir Désenchanté, en 2021. « Le dernier Indochinois » est en 2022 son premier ouvrage grand public distribué aux éditions ECE-D, Paris. Elle signe ici un ouvrage surprenant où le lecteur est confronté à un sens et à une signification très particuliers, « La Peur dans l’Ame », chez Regards éditions, Paris.

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22.00 €

Le Bonheur par le bout du Nez

BC

De tous nos sens, l’olfaction est peut-être le plus méprisé. Nous considérons notre nez comme un organe des plus ordinaires, sans doute parce qu’il ne peut se cacher au milieu de notre figure. Mais le paradoxe est que l’odorat dissimule son jeu. Il est sans doute le plus important de tous les sens. Il nous renseigne sur les gens qui nous sont sympathiques ou favorables. Il choisit les êtres que nous allons haïr et ceux que nous allons désirer. Il a le pouvoir de nous transporter hier, demain, ailleurs, par une seule aspiration. Il décide de notre appétit, de nos goûts, de nos envies, de notre fécondité, de l’itinéraire que nous allons donner à notre vie. Bref, il nous mène par le bout du nez ! Jadis, on reconnaissait au nez la plus grande importance. On utilisait les parfums pour séduire, pour prier, pour obtenir par sortilège, pour se protéger de la peste. On ne pouvait se passer d’eux tant les odeurs fortes faisaient partie de la vie, jusqu’à l’empoisonner. L’homme et la femme avaient du flair, comme les animaux . Ils ont perdu peu à peu l’usage du nez, cet organe merveilleux confisqué par la dictature de l’hygiène, l’usage des produits d’entretien et de l’eau de Javel qui nous font oublier cette sensibilité première qui nous conférait tant de pouvoirs. Ce livre propose à ses lecteurs de les retrouver au fond d’eux-mêmes. Il part à la recherche des fleurs et des insectes, des jardins, des résines et des magiciens. Il invite à pénétrer dans l’intimité de toutes les époques, à retrouver les moeurs du passé, à s’introduire dans les alcôves et les palais pour en percer les secrets. Il se lance à la recherche des parfums perdus et à la rencontre des parfums d’hier et d'aujourd’hui, de ville en ville, de port en port, de quartier en quartier, de saison en saison, d’heure en heure et nous introduit dans le labyrinthe obscur de leurs subtiles correspondances. Il rappelle comment les poètes ont vanté les parfums et comment les fleurs nous les ont offert en aidant à la diversification des espèces et à la multiplication des variétés par abeilles interposées. Il démontre surtout que le plaisir, le désir, l’amour ne seraient pas sans les fragrances qui les subliment, des je-ne-sais-quoi, des presque rien sans qui la vie ne serait plus la même tant l’odeur est la marque profonde de nous-mêmes. Philosophe et historienne, Florence Mothe est aussi jardinière et ne se lasse pas de retrouver à travers les parcours des senteurs, des saveurs et des couleurs de son jardin de Mongenan tous les bonheurs du 18e siècle.

Disponible

23.00 €