Li et les mystères de l'univers
BC
Li a grandi. À treize ans, la voici fin prête à vivre de nouvelles aventures avec son guide et ami, le chat Séhaltiel. Il va l'emméner explorer l'Univers jusqu'à ses confins. Elle y rencontrera des personnages fantastiques, qui lui feront découvrir entre autres et tour à tour, la voie lactée, le système solaire, la Terre, bref, la fascinante mécanique cosmique. Ce livre est un conte initiatique accompagné du carnet de voyage avec jeux et expériences, tenu par Li. Enrichis d'illustrations originales, conte et carnet rendront les connaissances passées et présentes et les enjeux écologiques actuels, familiers au lecteur. On y comprendra la place, si singulière, de la Terre et des Hommes au coeur de cette fabuleuse symphonie.
Disponible
22.00 €
Li et les Spheres.
BC
Disponible
19.95 €
Manon Bara. En chair et en noces
BB
« Manon Bara fait de la peinture, ce qui ne veut pas forcément dire produire des tableaux. Parce que la peinture de Manon Bara ne s'embarrasse pas trop des supports... parce qu'elle est sans limite, compulsive, gloutonne, chargée d'un désir trop grand pour se laisser contenir. La meilleure est donc celle d'aujourd'hui, qui se fait, qui déborde, encore humide, qui tache et colle aux doigts. C'est un miel dans lequel seraient confits Jésus et Michael Jackson, quelques dinosaures, une kyrielle de petits chats. Icônes populaires compactées sans la moindre condescendance ou cruauté, cuisinées avec le respect et la dévotion qu'impliquent les pratiques cannibales. En conséquence, l'univers de Manon Bara lui fait corps, et il est impossible de démêler l'oeuvre et l'artiste […]. » Benoît Dusart « Mes tableaux actuels explorent le côté animal de l'homme et le côté humain de l'animal. Ce qui rend l'animal humain, c'est d'abord l'éclat de lumière dans l'oeil. Ce qui rend l'homme ou la femme animaux, c'est le pelage. […] Même mon geste en peinture est un peu sauvage. J'aime l'émotion, il faut qu'il y ait de l'émotion. » Manon Bara, entretien avec Hans Theys
Disponible
24.00 €
Marolles. La Cour des chats
BC
« Ce quartier vit à jamais en moi. D'emblée, enfant, j'ai été attirée par la déclivité des rues étroites, fascinée par l'impression d'une ville enclavée dans la ville. Riche terreau de luttes, terre de métissage, mixité de la population, affirmation des différences s'avancent comme quelques-unes des strates qui composent le visage de ce tissu urbain singulier. » Les Marolles composent un monde dans un monde, inventent un espace de liberté dans le tissu du centre-ville de Bruxelles. Essai poétique, politique, onirique, Marolles. La Cour des chats évoque un lieu en marge, marqué au cours des siècles par la "zwanze", cet esprit d'auto-dérision, et les soulèvements populaires, l'esprit des luttes, soumis de nos jours à la pieuvre de la gentrification. Ce livre est tout à la fois une lettre d'amour à un tissu urbain qui se tient sous le signe du contre-pouvoir, une promenade dans les plis du présent et les méandres de la mémoire, un hommage au "situationnisme marollien", un manifeste dédié aux acteurs actuels et passés d'un quartier anticonformiste, "sans dieu ni maître". Il est aussi un requiem pour les rues assassinées. « Quartier en marge et de la marge ... Les Marolles se placent sous le signe d'Hermès, dieu entre autres des petites gens. Le tracé de ses rues, l'architecture de ses maisons, l'esprit de ses habitants se singularisent par les bifurcations, la fantaisie. [ ... ] Les Marolles offrent le corps d'un grand blessé mais surtout celui d'un grand vivant. De tout temps, l'enjeu a été politique. Démolir les Marolles, c'est, comme avec Haussmann à Paris, imposer l'ordre, discipliner le chaos, dompter l'anarchie, étouffer les émeutes, faire rentrer les esprits libres dans le moule imposé.»
Disponible
18.00 €
Mon abécédaire queer
BC
L'abécédaire queer de Lison Ferné se veut une exploration du corps masculin, inspirée de la haute couture et de la mode fétichiste. En reprenant les codes classiques de l'abécédaire, l'autrice questionne l'identité de genre.«À travers cet alphabet, j'ai voulu représenter des beautés douces et flamboyantes, qui s'opposent aux canons virils traditionnels. Au-delà des beaux costumes et des modèles attrayants, il s'agit d'entraîner son regard à l'érotisation des hommes au même titre que celle des corps féminins.» (L.F.)Cet objet fabriqué tout en carton, sous ses airs de livre pour enfant, s'adresse néanmoins à un public averti. Un objet régressif qui plonge le lecteur et la lectrice dans un univers coloré et subversif
Disponible
18.00 €
Mondes parallèles
BB
Depuis près de quinze ans, Adrien Lucca s’intéresse à la couleur, la lumière et la façon dont nous les percevons. Ses outils sont la lumière naturelle ou artificielle, les pigments, les objets du quotidien, le verre,... qu’il décline dans des formats allant du dessin à l’installation monumentale. Sa démarche se situe à cheval entre art et science et propose une vraie expérience de recherche autant que de perception. Quelle couleur voit-on ? Qu’est-ce qui la modifie ? À travers cette exploration, il sème le doute sur notre sensation de réalité, et ouvre un vrai questionnement du regard.
Disponible
16.00 €
Portrait de Stéphane Mandelbaum
BC
téphane Mandelbaum (1961-1986) est une comète aux talents fulgurants. Dessinateur, peintre, voyant de sa propre existence, il imagine ses premières funérailles à 4 ans, réalise son premier autoportrait en grand format à 15 ans et tire sa révérence à 25 ans laissant sous nos yeux une oeuvre colossale. Cette biographie fictionnelle est écrite à la première personne. Grand dyslexique et dessinateur prodige, né dans une famille d’artistes, Mandelbaum a très tôt confondu sa vie et son oeuvre. Hanté par la violence, celle du siècle avec la Shoah, celle d’artistes « sulfureux » qui l’ont fasciné (Pasolini, Bacon, Oshima,...), ,...), happé par un imaginaire du banditisme et de la pègre qu’il a en partie partagé avec ses frères, il finira par passer à l’acte à 25 ans, laissant de côté le dessin pour rejoindre le sort tragique des assassinés dans le cadre d’un règlement de compte suite à un vol à main armée. Trente ans après sa mort violente, l’oeuvre de Stéphane Mandelbaum rayonne comme jamais Véronique Sels est née à Bruxelles en 1958. Son roman La ballerine aux gros seins a été traduit en coréen et adapté au théâtre. En 2019, elle a été lauréate de la bourse de création Sarane Alexandrian décernée par la Société des Gens de Lettres à Paris pour ses ouvrages Même pas mort ! et Portrait de Stéphane Mandelbaum
Disponible
18.00 €
Pride In The City
BC
New York, juin 1969. Une nouvelle descente des forces de l’ordre dans un petit bar du centre-ville fréquenté par des homosexuels et des trans, le Stonewall Inn, provoque trois nuits d’émeutes. L’ampleur de cette révolte contre les brutalités policières est telle qu’elle marque une étape majeure dans l’histoire des combats pour les droits des personnes LGBTQI+. C’est pour commémorer l’événement que naît l’année suivante l’idée d’organiser une marche annuelle, la Gay Pride. La première édition du genre en Belgique a lieu en 1979. Quarante-cinq ans plus tard, le bilan des luttes est incroyable, mais tout n’est pas gagné et la mobilisation continue. Manifestation à la fois politique et festive, la Pride s’est institutionnalisée et chaque année des milliers de personnes défilent dans les rues de Bruxelles comme dans celles de plus en plus de villes du pays, et de par le monde. Par sa rapidité et ses avancées, le mouvement LGBTQI+ est l’un des plus décisifs. Cet ouvrage retrace son histoire
Disponible
28.00 €
Queer Graphics
BC
En mai 2023, à l'occasion de la Pride, le Design Museum Brussels proposera une exposition sur le langage visuel des communautés LGBTQI en Belgique. Dès les années 1950, ces dernières utilisent le graphisme et développent un langage associant des représentations symboliques pour mettre en avant des indices visuels qui signalent leur présence et leurs engagements envers un ensemble de principes, d'identités et de valeurs partagés. Ce langage visuel est marqué à la fois par la lutte et la célébration, par l'agitation et le compromis. Outil de résistance mais aussi de fierté, le graphisme LGBTQI promeut également une forme alternative de collectivité. Par leur matérialité, composition, typographie, itération et leur langage, les graphistes identifient et dirigent leurs messages vers des publics particuliers. Le livre et l'exposition ont pour ambition de s'intéresser aux expressions graphiques LGBTQI en reconstruisant à travers ce langage visuel une partie de l'histoire du mouvement ou de la vie de ces communautés (en Belgique et à Bruxelles). Déclinée autour d'une dizaine de thèmes qui s'articulent autour d'une narration et d'un contexte, l'exposition s'envisage en filigrane autour de trois axes : le militantisme, la fête et la vie quotidienne. L'évolution et la transformation des identités et des débats à travers le temps viendront alimenter une approche qui se veut transversale. Comment ces débats évoluent-ils ? Comment ces identités se (re)définissent-elles ? En quoi les débats d'hier ne sont pas ceux d'aujourd'hui et inversement ? De 1953 avec la naissance du mouvement sous l'impulsion de Suzan Daniel1 à aujourd'hui, ces questions qui forment la trame narrative de l'exposition seront abordées à travers le design graphique des associations et groupes LGBTQI. Un projet développé par le Design Museum Brussels et la Structure de recherche interdisciplinaire sur le genre, l'égalité et la sexualité (STRIGES) de l'ULB avec le soutien des Archives de la Ville de Bruxelles et le Fonds Suzan Daniel à l'Amsab-ISG.1 Suzan Daniel, née Suzanne De Pues à Bruxelles en 1918 et décédée en 2007, est une militante pour les droits homosexuels en Belgique. Elle a été une des instauratrices du mouvement LGBT en Belgique. En 1953, elle fonde le Centre culturel de Belgique (CCB), premier groupe d'émancipation des gays et lesbiennes belges. Un an plus tard, elle quitte la direction pour cause de sexisme et se retire du milieu LGBT, tombant ensuite dans l'oubli. En 1996, le centre belge d'archives et de documentation LGBT, fondé la même année, est nommé en son hommage.
Disponible
18.00 €
Regarde dans mes yeux, je peux pas trouver mieux
BC
À travers un récit choral, Kanénas, Adéna, Matt, Louise, Lucet François offrent chacun, à travers leur expérience, une vision de l’amour etsa complexité. Kanénas, alias Kan, est un jeune étudiant en école d’art,secrètement amoureux de son amie Adéna. Cette dernière prépare un périple auNépal pour se remettre de son ex petit ami, un garçon toxique et violent. Matt,le meilleur ami de Kan, est perdu entre addiction et absence parentale etpréfère flirter et tromper sans complexe sa petite amie Louise qui, dansl’illusion du grand amour, tente de sauver leur couple. Luc, nouvel étudiant enart dans la même école que Kan sympathise rapidement avec lui. Il cherche às’émanciper de ses parents et découvre son attirance pour François avec lequelil commence une histoire amoureuse. La BD met en lumière lacomplexité des histoires d’amour, leur gravité et leur importance pour unegénération que les lecteurs et lectrices découvrent à travers le regard de cettebande d’amis.
Disponible
23.00 €
Stanislas Jasinski
BC
Étoile montante de l’architecture moderniste belge dès les années 1920, Stanislas Jasinski collabore avec de grands noms de l’architecture tels Henry van de Velde et Victor Horta. Il rencontre Robert Mallet-Stevens et Le Corbusier, dont Vers une architecture aura une grande influence sur lui. Il côtoie des artistes majeurs, comme René Magritte et Victor Servranckx, et prend part à la revue 7 Arts, dont les membres dialoguent avec les avant-gardes européennes. Ses réalisations, nombreuses et diversifiées, et ses projets urbanistiques témoignent d’une profonde compréhension des enjeux économiques et sociaux d’un monde en pleine mutation, de la nécessite du renouvellement permanent des villes, l’adaptation et le recyclage des centres urbains. Richement illustré de nombreux documents inédits, le présent ouvrage embrasse pour la première fois la vie et l’oeuvre de Stanislas Jasinski, le parcours flamboyant de celui qui fut en quelque sorte un « Le Corbusier belge ».
Disponible
26.00 €
The Plastic Collection
BC
Disponible
24.00 €
Traversée
BC
Par l'association de photographies et de textes, le livre d'artiste Traversée souligne la démarche artistique générale d'Hélène Petite, à savoir une approche réflexive et expérimentale sur la photographie argentique. Le livre présente un corpus d'images réalisées sur une dizaine d'années, regroupées en trois projets principaux. L'objet-livre a été pensé comme un lieu de création pour matérialiser la pensée de la photographe et affirmer une démarche en évolution qui s'affine toujours plus. Une trame narrative traverse la première partie du livre et évoque l'histoire d'un vol : « Mon matériel photographique, sauvegardes et une grande partie de mes négatifs ont été volés alors que j'étudiais un an en Norvège. Le vertige ressenti suite à cette perte me paralysa et me rendit incapable de photographier pendant plusieurs années. Je ne voyais plus de sens à produire des images mais, paradoxalement, ma relation à l'image photographique restait inchangée. J'ai alors commencé un long travail cyclique sur un matériel photo-graphique trouvé : une boîte de photos des années 1930 à 1960 d'une famille que je n'ai pas cherché à connaître, là n'était pas ma quête. Le recul que ce matériel a induit m'a permis d'être loin de mes intentions personnelles et de mes affects et de pouvoir réfléchir au geste photographique et de toucher au plus près la question de l'essence du corps photographique. »
Disponible
24.00 €