L'écriture exclusive
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Jamais la langue française ne fut en péril. Elle navigue entre corsetages normatifs et dérèglements harmoniques. L’orthographe, elle, l’est désormais, sous les oukases d’ignorants confondant écriture et oralisation. Cet essai entend porter l’estocade aux partisans du point médian, de l’écriture dite inclusive et à tous les contempteurs du seul état d’urgence qui vaille : poétiqueâ!
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17.00 €
L'Histoire splendide
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L’Histoire splendide est le titre d’un projet de livre abandonné d’Arthur Rimbaud. Dans une lettre du 16 avril 1874 dans laquelle Rimbaud faisait part à un communard exilé à Londres de son projet d’entreprendre un ouvrage en livraisons, avec ce titre. Le plus grand poète français, qui passait ses journées à Londres à lire et écrire au British Museum, avait tenu à préciser que ce livre serait écrit en anglais et que ce serait enfin « la véritable Histoire, littéralement et dans tous les sens ». Je me suis donc tenu à ce strict programmeâ: raconter de façon la plus polyphonique possible les dessous réels de l’Histoire, sur plus de quarante siècles, jusqu’à l’accident global des communications instantanées que fut la crise du coronavirus, tout en mélangeant les langues de façon babélienne. L’Histoire splendide est aussi le récit d’une créature, le narrateur du livre, qui refuse à tout prix la Terreur sanitaire née de la crise du Covid-19, bientôt muée en Terreur politique tout court.
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23.00 €
La Histoire du hommenfant
BC
Ce livre est le portrait d'un corps anonyme (jamais désigné autrement que comme homme, hommenfant, hommemort), informe presque, à l'enveloppe incertaine et trouée, traversée par des flux, des pulsations de pensée (la sienne sans doute, mais pas seulement). C'est une histoire aussi, mais sous la forme d'un tableau, à la fois immobile et fourmillant d'événements. Surtout, elle n'envisage l'écriture que comme poésie qui défigure la langue pour donner forme à son sujet. C'est un homme tout entier occupé à devenir humain, occupé à naître humain, à n'être, pourrait-on dire : qui préfère ou ne peut être aucun homme en particulier.
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18.00 €
La péremption
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Ce serait une écriture sans socle, poudreuse et légère comme limaille, flottant au milieu d'aurores boréales en plastique moitié cramé, plus froide que l'azote liquide, plus prétentieuse encore. Elle aurait la faiblesse des rédactions sur papier quadrillé, leur naïveté pas convaincue, avec du silicone de première génération injecté dans les fissures, c'est-à-dire plastifiée à la manière des condamnés traités et tranchés en fines lamelles jambon pour étudiants en médecine. La péremption recourt aux fragments qui, chez Tzara ou Barthes, m'ont frappé par leur élégance. Force de l'ellipse, architecture modulaire, collection de moments. Les fragments en disent long. Ils revêtent souvent l'habit de la critique, dissimulée sous celui d'un jeu anodin, à première vue sans conséquences. Mais peu à peu, le texte révèle son dessein. C'est une autopsie. Du langage. Et du lecteur.
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18.00 €
Le banquet de plafond
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Jules Vipaldo, auteur et personnage un poil décalé, dans un monde devenu très fonctionnel et normatif, est la proie des (petites ?) tracasseries domestiques et/ou quotidiennes qui surviennent, indépendamment de lui, et contre lesquelles il se débat tant mal que bien. C'est tantôt une invasion de souris (ou pire, de « rats des champs ») dans les combles de la maison où il séjourne, qui, trottinant partout au-dessus de sa tête et grignotant son plafond (d'où le titre du livre), l'empêchent de dormir. Tantôt une tondeuse récalcitrante qui refuse de se mettre en route. Ou alors, un rendez-vous épique dans un banal centre auto. Toutes les situations virent à l'absurde, quand ce n'est pas au « vilain petit cauchemar ». Jules est un être égaré, ou « mal garé », dans un monde qui lui échappe de plus en plus. Seules son autodérision et son usage intempestif de la langue lui permettent peut-être de faire front, et de se sortir, non sans difficultés ni acrobaties, de ces désagréments. Quelque part entre le personnage de Plume et Monsieur Teste, ou bien, très loin d'eux, Jules, tout en glissades, bégaiements et dérobades (du sens), invente un pas de deux avec la phrase qu'il esquisse et esquive à la fois, usant de toutes les virtualités de la langue qui se présentent à lui : Ce n'est plus Monsieur Teste, c'est Monsieur Texte !
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18.00 €
Le mythe transhumaniste
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En référence au classique philosophico-politique de Philippe Lacoue-Labarthe et Jean-Luc Nancy, Le mythe nazi, Le mythe transhumaniste entend sonder les présupposés métaphysiques de la “politique Covid” qui aura été menée pendant près de trois ans en Occident et ailleurs dans le monde. Or, ces présupposés renvoient tous sans exception à une idéologie bien précise, qui se tient à l’arrière-fond de toute la “psychose Covid”â: le transhumaniste. Scientiste, hygiéniste, eugéniste et totalitaire, cette “pensée” des élites oligarchiques qui, derrière les gouvernements, les institutions et les grands médias, tirent les ficelles, est en effet encore pire que ce qu’aura été le délire hitlérien; et risque de faire courir l’humanité à sa perte, le plus littéralement du monde. Il est donc non seulement urgent, mais vital, d’en déconstruire les origines et les articulations conceptuelles essentiellesâ; ce que Marion Dapsance et Mehdi Belhaj Kacem s’astreignent à faire, avec une belle énergie et abnégation.
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16.00 €
Le rire triomphant des perdants
BC
S'il faut coûte que coûte ranger ce texte dans un genre littéraire préexistant, (et il paraît qu'il le faut), nous dirons qu'il s'agit ici de Critique littéraire, mais sous réserve d'en inverser les termes. Nous parlerons plutôt de Littérature critique. Et Littérature critique de quoi ? Critique de la bêtise propre au gros animal d'aujourd'hui, au sens même où l'entendait Platon en son temps.
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21.00 €
Le roman retrouvé
BC
Ce roman a disparu dès sa parution, en 2017, la maison d’édition ayant déposé son bilan. En 2021, l’auteur est contacté par une lectrice qui lui apprend que son roman a pourtant survécu à la façon d’un samizdat. Auteure elle-même, cette lectrice lui propose un entretien singulier qui va procéder au rebouclage final et à la réalisation opérative du roman, d’où le titre : Le roman retrouvé (alors que le titre initial était Opera Palas). Puisque selon George Orwell, l’Histoire s’est arrêtée en 1936 – au début de la Guerre civile d’Espagne –, nous sommes donc maintenus depuis dans la terreur de la fiction. Car si la guerre d’Espagne est la fin de l’Histoire, elle est aussi le début du roman de la fin : l’Histoire s’arrête quand la police fait l’Histoire. Avec une préface de Mehdi Belhaj Kacem, et une postface de Caroline Hoctan.
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25.00 €
Le spectre de Thomas Bernhard
BC
Cette nuit le spectre de T.B. est venu me visiter, et il m'a dit, il y a toujours eu un total malentendu entre le monde et l'artiste, quand chaque coup mortel que veut porter l'artiste au monde est un coup mortel que l'artiste se porte à lui-même, chaque fois que l'artiste cherche à blesser à mort le monde, c'est lui-même qu'il blesse à mort, chaque fois qu'il veut planter la lame acérée, vengeresse, de son esprit dans la poitrine du monde, c'est dans sa propre poitrine qu'il la plante, chaque fois que l'artiste veut se venger du monde c'est sur lui-même qu'il se venge, le monde n'a jamais compris que chaque ligne que j'ai écrite contre lui était une ligne écrite contre moi-même, chaque mot écrit pour le tourner en dérision, était un mot écrit pour me tourner moi-même en dérision, chaque mot écrit pour le fustiger et le ridiculiser, était un mot écrit pour me fustiger et me ridiculiser moi-même...
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20.00 €
Le trille du diable
BC
Le trille du diable ...romans... , livre de bord du musicien et écrivain Dominique Preschez, victime d'une rupture d'anévrisme en Gare de Lyon, le 19 juin 1992... ou victime de soi-même, qui sans hasard ni volonté, cherche à reprendre le cours de son existence, comme un roman à se retrouver ; s'inventer une mémoire, un corps, un langage à travers les âges de sa vie. Guidé par le sentiment géographique des lieux du roman... comme abolir l'amnésie, grâce au Journal de bord, aux photographies, aux lettres, aux livres des amis disparus... Dominique Preschez ne laisse pas de convoquer, d'appeler, d'interroger, de nommer, d'interpeller, et de faire dialoguer entre-elles toutes les voix aimantes de la vie, jusqu'à l'instant de l'AVC... par l'apprentissage des langages perdus : l'écriture, la composition, l'orgue, le piano, le discours, le parler, l'amour, le cri.
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18.00 €
Leçon de ténèbres
BC
Quatorze « Dits et Récits⦠nouvelles apparentes » calibrés selon, une dizaine de feuillets⦠comme sur du papier millimétréâ; aveux & courts-métrages dédiés à mes frères au lait d'héroïneâ: chers disparus menacés (aussi belles et beaux en ce livre d'amour-testament), voués au métier-bonheur des âges de ma vie, à la fuite des nuits par cette fuite des mots, puis des jours à écrire en avouantâ; tour à tour (ou en même tempsâ¦), l'un et l'autre que j'aurai tenté d'être – d'existerâ: écrivain, compositeur, homme à homme, organiste du « Veni, creator Spiritus », amant de sa propre vie, pour avoir livré à l'autre ce qui m'a été remis, confié en l'écriture de mes livresâ: la foi traduite en la présence des anges, et du démon > celui qui fait tourner le globe du monde, entre ses doigts⦠ainsi, créer à travers le corps blesséâ: projections des communautés de la nuit⦠beauté du rêve éveillé⦠« Pax te cum⦠Et cum spiritu tuo⦠» Quatorze histoires d'une aliénation, de notre malédiction d'écrireâ¦
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19.00 €
Les Cahiers de Tinbad 13
BC
Dans ce 13e numéro, nous prolongeons encore une fois nos réflexions sur la crise largement politique que constitue la Covid-19 ; nous y ajoutons tout un ensemble de réflexions sur le nouveau totalitarisme, numérique : il apparaît de plus en plus qu’un coup d’état numérique, opportuniste, a eu lieu à l’occasion de cette crise totale. Un ensemble de textes de Giorgio Agamben, Guillaume Basquin, Michel Rosenzweig, Michel Weber et Ariane Bilheran développe cette réflexion. Olivier Rachet, quant à lui, s’attaque à la « culture Woke » dans un réjouissant petit pamphlet. Par ailleurs, nous republions un texte méconnu de Bernard Noël sur la catastrophe que constitue le numérique pour la lecture, Le cerveau disponible, ainsi que les Notes en vue d’une psycho-dialectique de René Crevel. Enfin, nous donnons à lire une version intégrale de la préface de Pierre Guglielmina au premier roman de Jack Kerouac, L’océan est mon frère, récemment paru en traduction française chez Gallimard. A noter que la « politique » fait son apparition dans le sous-titre de la revue, et que le point après « littérature » a été enlevé.
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16.00 €
Les Cahiers de Tinbad 14
BC
Dans ce 14e numéro, nous avons pris acte qu’à la mort du cinéaste Jean-Luc Godard « on » a commencé à juger l’homme à l’aune de sa biographie et de ses nombreux engagements politiques, décidant alors de lui consacrer un dossier en repartant des oeuvres, rien que les oeuvres. Un hommage collectif lui est donc rendu. Le philosophe et écrivain Mehdi Belhaj Kacem consacre une longue étude à ce qu’il nomme, non sans humour et ironie, « Esthétique(s) du conspirationnisme » : le conspirationnisme est un humanisme ! Pierre Guglielmina nous donne une traduction inédite d’un triptyque de nouvelles rares de F. Scott Fitzgerald, The Crack-Up, parues en 1936 dans Esquire, sous le nouveau titre de La reprise perdue. Thomas A. Ravier nous donne à lire un extrait de son futur grand roman à paraître chez Tinbad, Hamlet Mother Fucker. Julien Bielka revient sur le dernier film, posthume, de Guy Debord. Quant à Ariane Bilheran, elle réfléchit à partir des oeuvres de Dostoïevski et de Soljenitsyne au concept de transcendance dans la littérature. Enfin, Claude Minière nous livre un long poème épique sur l’idée de Révolution française.
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17.00 €
Les Cahiers de Tinbad 15
BC
Dans ce 15e numéro des Cahiers de Tinbad, nous consacrons un 2e dossier à l’immense écrivain Céline, suite à la publication de 3 romans inédits de lui parus chez Gallimard. C’est ici l’occasion de republier son dernier interview, avec Paris-Match, en 1960. Dans ce dossier, Fabrice Hadjadj nous donne un texte très important qui en appelle à une réconciliation autour du « cas Céline », de son point de vue de juif converti au catholicisme ; Thomas A. Ravier s’insurge contre le révisionnisme qui sévit partout pour « corriger » le passé ; Guillaume Basquin, Olivier Rachet et Claude Minière analysent et décortiquent Guerre et Londres en partant des textes, rien que des textes (l’idéologie ? foutre !). Nous republions un rare entretien entre Jean-Pierre Salgas (qui vient de nous quitter) et Philip Roth, dans lequel le goût de la lecture de Céline n’est pas absent. Jean-Claude Hauc évoque une rencontre littéraire inattendue entre la poétesse ruse Marina Tsvetaïeva et Casanova. Claire Fourier, quant à elle, écrit sur le rapport de Bernard Noël au corps, dans son écriture. Enfin, Pierre Guglielmina médite sur le journal que tint Steinbeck pendant l’écriture de son grand roman À l’est d’Éden.
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17.00 €
Les Cahiers de Tinbad 16
BC
Dans ce 16e numéro des Cahiers de Tinbad, nous consacrons un dossier collectif de 50 pages à l’écrivain français Philipe Sollers, un an après sa disparition. Nous republions, en pleine époque propagandiste simplificatrice, les 3 premières lettres de l’alphabet du Dictionnaire des idées reçues de Flaubert. Pierre Guglielmina nous donne une traduction d’un texte rare d’Hemingway : Condenser les classiques. Guillaume Basquin poursuit son « Journal d’un cinéfils » à partir de la vision du célèbre triptyque de Stan Brakhage, The Pittsburgh Documents. Caroline Hoctan raconte sa décision d’entrer en littérature comme on « rentre chez soi », sur le modèle du personnage d’Hemingway Harold Krebs, ex-marine de retour chez lui à Oklahoma City après avoir combattu sur le front de la Première Guerre mondiale. Enfin Frank AÑdan réfléchit à « l’espace psychique » chez le peintre Edvard Munch.
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17.00 €
Les Cahiers de Tinbad n°1
BC
Encore une revue ' Une revue littéraire de plus ' Oui. Et, non. « Littérature/Art. » Comme la « Revue de cinéma. » Trafic, la meilleure dans son genre, Les Cahiers de Tinbad seront une revue de littérature et d'art, point. Nous avons pris acte de l'état des revues littéraires en France aujourd'hui : un mélange pas détonnant du tout d'idéologie, de politique et de dossiers en béton armé autour de grands auteurs du passé, morts en général': Aux Grands écrivains Morts, les revues reconnaissantes... : un véritable cimetière pour antiquaires !... Donc : la forme avant tout. L'idéologie, foutre ! La pensée, les idées ' Oui, mais : une pensée qui forme, alors, c'est-à-dire : une forme qui pense. C'est Jacques Sicard qui, avec trois magnifiques variations sur « Tinbad the Tailor », donne le mieux le ton de cette nouvelle revue : expérimentations sur le langage, croisements entre les arts, couture, montage, prélèvements dans le passé réactualisés dans le présent, etc.
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14.00 €
Les Cahiers de Tinbad n°10
BC
Dans ce numéro des Cahiers de Tinbad, on rend hommage à William Shakespeare, avec un ensemble de 4 textes, dont une remarquable étude des Sonnets par le poète-critique Claude Minière on publie de bonnes feuilles, non traduites tant c'est dommageable, mais commentées, du chef-d'oeuvre de William Gaddis, Agap' Agape donnons à relire un texte essentiel d'Ernest Hello sur ce que devrait être « La Critique », ainsi qu'une nouvelle traduction inédite et intégrale de l'Entretien avec la Paris Review de William Faulkner et enfin republions la dernière lettre d'Antoine de Saint-Exupéry, de juillet 44, sorte de testament spirituel de l'aviateur-écrivain. Guillaume Basquin, de son côté, s'est penché sur ce qui pourrait être le « plus grand » livre de Richard Millet, celui où il a littéralement mis sa peau d'écrivain sur la table : La Confession négative.
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16.00 €
Les Cahiers de Tinbad n°11
BC
Dans ce 11e numéro, 2 dossiers dominent : un dossier sur l’époque gauchiste de l’oeuvre de cinéma de Jean-Luc Godard, sous les auspices de la couleur rouge, comme le titre d’un film qu’il co-réalisa avec le peintre Gérard Fromanger en 1968. Un texte oublié de Léon Chestov sur le bolchévisme, ainsi qu’un texte-hommage à Arafat du philosophe Gilles Deleuze viennent compléter ce tour d’horizon du gauchisme, de ses origines à Mai-68. Deuxièmement, nous publions un assez épais dossier sur la crise de la Covid-19, sur ses implications politiques, essentiellement : assistons-nous à un coup d’état mondial sanitaro-numérique ? Claude Minière, Christophe Esnault, Axel Tufféry, Philippe Blondeau, Michel Weber et Guillaume Basquin tentent de répondre à cette oppressante question : allons-nous vers une société de contrôle total et vers une réduction durable de nos libertés ? De quoi les confinements et la distanciation sociale sont-ils, en réalité, le nom ?
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16.00 €
Les Cahiers de Tinbad n°12
BC
Dans ce 12e numéro, nous prolongeons nos réflexions sur la crise largement politique que constitue la Covid-19 : utilisation du biopolitique pour surveiller voire punir, avec des textes de Giorgio Agamben, le dernier (très) grand philosophe italien, Guillaume de Rouville et Éric Rondepierre, qui réactualise la pensée d’un Michel Foucault sur le biopouvoir en partant de l’extension du divertissement par images animées. Agamben ayant été acteur dans L’Évangile selon saint Matthieu, c’est assez naturellement que nous avons eu l’idée d’un dossier sur le cinéaste italien Pasolini, dont la révolte tous azimuts nous manque cruellement aujourd’hui. Enfin, la soudaine disparition du secrétaire de rédaction de notre revue, Dominique Preschez, nous oblige à lui rendre un dernier hommage, avec des textes (de C.-R. Samama et Claire Fourier) et des photographies (d’Élizabeth Prouvost).
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16.00 €
Les Cahiers de Tinbad n°2
BC
Encore une revue ' Une revue littéraire de plus ' Oui. Et, non. « Littérature/Art. » Comme la « Revue de cinéma. » Trafic, la meilleure dans son genre, Les Cahiers de Tinbad seront une revue de littérature et d'art, point. Nous avons pris acte de l'état des revues littéraires en France aujourd'hui : un mélange pas détonnant du tout d'idéologie, de politique et de dossiers en béton armé autour de grands auteurs du passé, morts en général : Aux Grands écrivains Morts, les revues reconnaissantes... : un véritable cimetière pour antiquaires !...
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15.00 €
Les Cahiers de Tinbad n°3
BC
Dans ce nouveau numéro plus expérimental et transdisciplinaire que jamais, on trouvera : un dossier sur le poète Jacques Sicard ; un ensemble de textes sur l'un des livres les plus radicaux de l'année 2016, (L)ivre de papier ; des journaux intimes (Jacques Cauda) ou extimes (Marc Pierret) ; des premiers textes (Quentin Rouchet) ; des écritures sur le cinéma (Jean Durançon, Jacques Sicard et Guillaume Basquin) ; de la poésie pure, voire expérimentale (Pascal Boulanger, Lionel Fondeville, Perrine Le Querrec, Philippe Jaffeux) ; et enfin un texte théorique d'Éric Rondepierre sur Jeff Wall. « Dans ces pages on semble vouloir appliquer à la lecture - toute lecture : de films, de livres, de photos, etc. - le voeu de Godard à une époque (d'ailleurs rappelé au détour d'un texte de Basquin, l'animateur de la revue) : "Ne pas écrire sur les choses ; mais à partir des choses". Ce qui suppose immersion plutôt que position en aplomb, et davantage dialogue que jugement » (A. Dufraisse in Ent'revues).
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15.00 €
Les Cahiers de Tinbad n°4
BC
Dans ce numéro 4 de la revue, on trouvera, aux côtés de nombreux Works in progress) (Lambert Schlechter, Alain Marc, Dominique Preschez, Gilbert Bourson, Lionel Fondeville, Anne Peslier, Cyril Huot, Mathias Richard, etc.): 1/ le premier dossier important imprimé sur un poète expérimental dont l'oeuvre nous paraît inouïe, Philippe Jaffeux'; 2/ un hommage en deux volets à l'écrivain Marc Pierret, dont nous devons pleurer la disparition soudaine'; 3/ un dossier sur le trop rare écrivain Pierre Rottenberg, avec un ensemble de textes et de lettres inédits que nous devons à l'amitié croisée de Gilbert Bourson et de Pascal Boulanger ; 4/ le premier texte sur le film-testament du cinéaste autrichien Peter Kubelka, Monument Film, par Guillaume Basquin ; 5/ un texte inouï de Jacques Sicard sur le film La Vallée close de Jean-Claude Rousseau ; 6/ des poèmes inédits de la poète Unica Zürn ; 7/ un texte hilarant de Steven Sampson sur l'élection de Donald Trump.
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15.00 €
Les Cahiers de Tinbad n°5
BC
Une fois n'est pas coutume, ce cinquième numéro des Cahiers de Tinbad comportera un dossier sur un Grand Mort auquel la patrie des lettres se doit de se montrer reconnaissante': James Joyce. Pour notre défense, nous dirons que le génial Irlandais est tout simplement l'un des plus grands écrivains de tous les temps, toutes langues confondues'; et qu'il est donc normal et nécessaire de réactualiser, de temps en temps, ce que chaque nouvelle génération d'écrivains a à en dire.
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15.00 €