La Maison De La Mariée
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"Ariane Yadan commence la pratique du Polaroïd en 2013, dans le Morvan, région chargée pour elle de souvenirs, de mystères, d'émotions paradoxales, de magie... A travers le prisme de la mécanique instantanée de l'appareil Polaroïd, elle ébauche un monde qui échappe à l'explication logique dont de nombreux autoportraits constituent le fil rouge de même dans son travail de plasticienne. Ouvrage autobiographique, instants rêvés et hasards photographiques, la Maison de la mariée se dévoile progressivement comme une vie rêvée, cauchemardée, romancée, où lieux solitaires, rêves, angoisses, ""lumière pure"", tissent dans ce recueil l'histoire émouvante d'une jeune femme qui reçoit la vie de manière singulière et crée une oeuvre photographique à la fois vulnérable et puissante.. Ariane Yadan est née en 1987 à Paris. Elle vit et travaille aujourd'hui à Nantes. Sa pratique varie entre sculpture, photographie, estampe et installation."
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49.00 €
La Nouvelle Revue nantaise n°6
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En 2016 et 2019 les collections patrimoniales de la Bibliothèque municipale se sont enrichies du don des papiers personnels de Julien Lanoë, figure de la vie littéraire et artistique nantaise du XXe siècle. À cette occasion l'association des Amis de la Bibliothèque municipale de Nantes publient le numéro 6 de la Nouvelle revue nantaise sous le titre Julien Lanoë, un homme dans la ville. Julien Lanoë (1904-1983) - a fondé en 1925 la revue littéraire La Ligne de coeur (titre suggéré par Jean Cocteau). Elle accueillit de 1925 à 1928 des poètes de renom et fit découvrir des poètes locaux. L'influence de Julien Lanoë et de sa revue s'exercera profondément sur René Guy Cadou et l'école de Rochefort. Très curieux de l'art de son temps, Julien Lanoë a aussi été le président de la Société des Amis des Beaux-arts de Nantes de 1936 à 1970. il a entretenu une importante correspondance avec des personnalités comme Max Jacob, Pierre Reverdy, René Guy Cadou, Jean Cocteau etc.''
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24.50 €
La poésie comme on respire
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35 poèmes de Kenneth Koch (1925-2002) préfacés par Ron Padgett et traduits par Marc Chénetier. Kenneth Koch fut proche des « poètes de l’École de New York », parmi lesquels figurent au premier plan Frank O’Hara et John Ashbery. La poésie de Kenneth Koch se caractérise par une joyeuse énergie verbale et une thématique que colorent son goût pour les arts de son temps¬– et au premier plan la peinture, mais aussi la musique–, l’humour et l’ironie que lui dicte son aversion pour l’ennuyeuse solennité des « poètes officiels » ; un ton souvent comique jusqu’à se faire blagueur ne lui semble pas nuire à la justesse du regard qu’il porte sur le monde mais bien plutôt lui permettre de surmonter la tristesse, voire la dépression, que ce dernier bien souvent lui cause.
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18.00 €
La Vie Comme Ça
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15.00 €
Le Jardin De M.
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Le jardin de M. emprunte son titre à une oeuvre du peintre américain Philip Guston. Marcella Durand réinvente lespace, celui de la ville, celui du langage et du poème. « Présente une nouvelle géométrie du soleil, retrouve un langage qui pourrait être futur et qui est sans doute divisé. Peut-être un langage comme la ville avec ses zones aux temps et souffle différents ».
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7.50 €
Les Ancêtres Ne Prennent Pas L'Avion
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Au terme dun parcours long et épuisant, ils ont obtenu le statut de réfugié selon les termes de la Convention de Genève. Pour la plupart, la confrontation à lhorreur a laissé des traces dans leur corps, dans leur rapport aux autres et à eux-mêmes, au creux de leur vie psychique. Selon les guerres et régimes antidémocratiques et brutaux qui sévissent çà et là sur la planète, ils sont de nationalités diverses : Tchétchènes, Irakiens, Syriens, Centrafricains, Congolais, Bangladeshi, Mongoles, Guinéens, Érythréens, Somaliens, Soudanais, Kosovares, Azéris, Daghestanais... Ceux qui le souhaitent peuvent être reçus dans un centre daccueil pour réfugiés par une équipe qui travaille pour les aider à reconstruire leur vie en France. Pascale Ruffel y est psychologue. Dans ces pages elle évoque ces rencontres avec ces individus aux destins brisés, elle réfléchit, elle sinterroge sur une société si prompte à rejeter lautre, elle rend compte du travail quelle effectue avec eux et cela malgré lobstacle des langues. Elle en vient à la conclusion quil se pourrait bien quen entendant les réfugiés, nous redécouvrions la singularité et la fragilité de la condition humaine, mais aussi la joie profonde que confèrent les rencontres les plus inattendues. Notre humanisation commune par le langage sen trouve régénérée, vivifiée pour redonner à la langue sa puissance évocatrice et sa dimension poétique.
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17.00 €
Les Antichambres
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Ernest profite du départ de sa compagne pour les États-Unis pour entamer une cure de désintoxication dans une clinique spécialisée. Il y fait la connaissance d’une théorie de personnages qu’il interpelle par leurs numéros de chambre. Se noue entre eux au fil du temps une profonde complicité malgré la rudesse de l’expérience et face à la brutalité de l’administration. C’est le portrait d’une humanité blessée mais résiliente qui se dessine dans ce roman, une attention aux petits bonheur de la vie quand on a décidé de vaincre ses démons.
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18.00 €
Les Éléments
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Au commencement était la table des éléments. L'écrivain américain Kevin Killian, associé à la scène littéraire de San Francisco et au renouveau du récit (new narrative) à partir des années 1980, s'inscrit dans un courant d'auteurs fascinés par le tableau périodique des éléments (on pense à Primo Levi par exemple). Dans ces poèmes souvent autobiographiques où se mêlent humour et tristesse, le poète explore une vie personnelle et collective : quel espace commun avons-nous ? Les Éléments offrent une réponse, provisoire, recommencée à chaque vers : l'espace que nous avons ensemble, offert pour un échange si temporaire soit-il, est celui des mots. Alors que le poète se fraie un chemin dans la culture américaine et occidentale de Platon à David Guetta en passant par Conrad et Goldfinger, au gré des souvenirs personnels et collectifs parfois douloureux (les années SIDA, la tuerie d'Orlando), Kevin Killian offre la poésie comme solution, principe de dérive du langage et site de rencontre.
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7.50 €
Les Forges, Un Roman
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A la fin du XIXe siècle, près de Saint-Nazaire, l'édification des Forges de Trignac répond au besoin de fournir le métal nécessaire à la construction de bateaux en fer par la Compagnie Général Transatlantique. En quelques mois, 2000 ouvriers sont embauchés. Une véritable épopée industrielle, commence sans que ceux qui y participent en aient forcément conscience eu égard aux conditions de travail qu'ils subissent. L'entreprise occupera jusqu'à une centaine d'hectares dont il ne reste aujourd'hui que de maigres vestiges aux imposantes dimensions. Si le point de départ de Jean-Pierre Suaudeau a été de questionner l'idée de friche industrielle, le texte emprunte résolument le chemin de la littérature, de la fiction capable de faire revivre le lieu, d'incarner les protagonistes, d'en entendre battre le coeur par-delà les ruines, lieu d'histoire et de mémoire que recèlent des murs en passe de s'effondrer.
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16.00 €
Lettres de Gaston Chaissac à Albert Gleizes et à Juliette Roche (1938-1952)
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Au début des années 1940, dans une France coupée en deux par la guerre, le sort de Gaston Chaissac est peu enviable. L’artiste, sans métier ni moyens pour subsister, est hébergé à la cité sanitaire de Clairvivre depuis mai 1939. Jeanne et Otto Freundlich, qui dès 1937, l’avaient encouragé à peindre, lui organisèrent sa première exposition personnelle en 1938, à Paris, à la galerie Gerbo. L’exposition ne dura pas plus d’une dizaine de jours, elle ne reçut pas plus d’une dizaine de visiteurs. Juliette Roche et Albert Gleizes, qui avaient découvert en 1938 le travail de Chaissac dans l’atelier des Freundlich et acquis l’un de ses dessins, furent de ceux-là. À la suite de cette première rencontre, Gaston Chaissac entra en correspondance avec les Gleizes. Il leur aurait adressé une soixantaine de lettres entre 1938 et 1949, demandant conseil sur le métier de peintre, rêvant sur l’artisanat rural ou les communautés d’artistes, informant sur le résultat de ses dernières trouvailles artistique
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24.00 €
Madame Mon Copain
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20.88 €
Meditations Dans L'Urgence
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15.22 €
Mes beaux habits au clou
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"Mes beaux habits au clou" compte parmi les oeuvres américaines majeures des années 1920. Éminemment ancrée dans la culture et le parler populaires noirs, elle donne ses lettres de noblesse au blues, largement représenté dans le recueil, comme genre poétique à part entière. En tournant le dos aux formes traditionnelles et en imposant une langue profondément américaine, Hughes s'inscrit dans la lignée d'un Walt Whitman, érigé en modèle absolu, en même temps qu'il conçoit son recueil comme un manifeste pour toute une génération de jeunes écrivains noirs soucieux de ne pas complaire à la bourgeoisie de Harlem. Ses poèmes, récits de coeurs brisés, de misère et de malheur poisseux gardent l'esprit du blues autant que la lettre. Ici on rit pour ne pas pleurer, pour continuer à vivre malgré tout.
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13.50 €
Messe pour une planète fragile
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La poésie d'Antjie Krog est personnelle, sensuelle et très engagée. Sa voix est tour à tour furieuse, vulnérable, pleine d'espoir et désemparée. Ce recueil contient sa toute dernière créationâ: une messe pour une planète fragile. Une réflexion qui nous concerne tous. Un souci pour l'univers. La Sud-africaine Antjie Krog (née en 1952) est une poétesse, journaliste et universitaire qui écrit en afrikaans et en anglais. Elle est depuis de nombreuses années l'un des grands noms de la littérature contemporaine. Elle doit cette renommée à recueils de poésie pétillants et virtuoses, mais aussi à des essais.
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7.50 €