Ubranisme HS n°74 - Explorons nos futurs (heureux) - Mars 2021
BC
Revivez la 41e Rencontre des agences d'urbanisme avec notre hors-série 74 : Explorons des futurs (heureux). Séances plénières et entretiens sur les enjeux et défis des (futures) crises Des ateliers tournés vers l'horizon 2040 les formes de la ville de demain le renouveau territorial par l'industrie la smartcity versus le lowtech le devenir du commerce nos vies (im)mobiles l'objectif zéro artificialisation nette (ZAN) Un cahier territorial rédigé par l'Agence d'urbanisme Brest-Bretagne (Adeupa) sur l'Ouest breton.
Disponible
20.00 €
Urbanisme HS N° 71
BC
Face à la question des transitions, cette rencontre d'élus, de professionnels des agences et d'experts a été marquée par un double mouvement : d'une part, la volonté de prendre à bras-le-corps l'ensemble des mutations que vivent les territoires ; d'autre part, le désir de montrer qu'au-delà de la perception d'une fragmentation de la société des solutions s'expérimentent au plan local, des initiatives se déploient, des ressources se mobilisent, inégalement certes, pour relier autrement les individus, les territoires et les acteurs.
Disponible
20.00 €
Urbanisme HS N° 72 - juin 2020
BC
Disponible
20.00 €
Urbanisme HS N° 73 - 50 ans de politique de l'habitat privé - Janvier 2021
BC
Ce numéro hors-série, à la fois historique et prospectif, a été réalisé en partenariat avec l'Anah à l'occasion de ses 50 ans. Il propose des analyses sur la politique du logement en France, des enquêtes sur l'intervention de l'Anah avec les territoires, des réflexions sur les enjeux de la rénovation, notamment énergétique, du parc privé. Il donne la parole à la ministre chargée du Logement, Emmanuelle Wargon, au nouveau président de l'Anah, Thierry Repentin, à sa directrice générale, Valérie Mancret-Taylor ainsi qu'à différents partenaires de l'agence.
Disponible
20.00 €
Urbanisme Hs N°56 A L'Echelle Du Grand Territoire Juin 2016
BC
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme Hs N°57 Campus En Mouvement Novembre 2016
BC
Campus en mouvement « Campus en mouvement » : avant d'être le titre de ce numéro, c'était celui du colloque organisé par la Conférence des présidents d'université (CPU) à Orléans les 25, 26 et 27 mai 2016. L'occasion de remettre la forme, l'économie et la gouvernance des campus au coeur des débats sur la transformation des universités françaises. Cela faisait dix ans que le thème de la rencontre annuelle n'avait pas porté sur cette question - on parlait davantage à l'époque de « vie étudiante ». Entretemps, la mutation en profondeur des campus a commencé. Certains sont remarquables ; d'autres entament leur mue. Le paradoxe est que la société française ne le voit pas. Absents du cinéma, des séries télévisuelles et des romans - au Royaume-Uni ou aux États-Unis le « campus » est un genre en soi -, ils accueillent de plus en plus de jeunes : 2 596 800 très exactement pour la rentrée 2016-2017. Mais il manque un imaginaire autour du campus à la française, révélateur de la place de l'université dans la société, regrette Jean-Loup Salzmann, président de la CPU, dans l'entretien qui ouvre ce numéro. Il est vrai que coexistent en France plusieurs types de campus, comme l'analyse Hélène Dang Vu, à la différence du campus anglais ou américain. A contrario, « le campus bouge parce que le rapport de la société à l'enseignement supérieur change », a relevé Thierry Mandon, secrétaire d'État à l'enseignement supérieur et à la recherche, en ouvrant le colloque de la CPU. Les campus, donc, se transforment. Les universités en font le signe tangible de leur autonomie, l'incarnation de leur singularité et de leur stratégie. Quant aux collectivités locales, à l'image d'Orléans qui veut « redevenir une ville universitaire », elles ont compris le facteur d'attractivité qu'ils représentent et leur rôle de locomotive urbaine, comme à Saclay ou sur le site du campus Condorcet, ou économique comme à LyonTech-la Doua, exemples présentés dans ce numéro. À lire les récits, interviews et analyses, on comprend que la « vie de campus » vise toujours à améliorer les conditions matérielles des étudiants et à leur offrir la possibilité d'y vivre des « expériences » enrichissantes et formatrices. Mais elle va bien au-delà, en cherchant à donner corps à une communauté universitaire élargie, associant étudiants, enseignants, chercheurs, personnels, mais également collectivités locales et entreprises. Elle se comprend à l'aune de la transformation du patrimoine immobilier, non seulement les bâtiments d'enseignement, mais aussi les bibliothèques, les halls, les voies de circulation, les espaces extérieurs, les logements étudiants, les restos-U... qui élargissent leur usage et se transforment, qui en learning center, qui en espace de co-working, qui en lieu d'échange et de rencontre. Avec partout le même leitmotiv : l'ouverture sur le territoire. Ce n'est plus un voeu. Longtemps repoussées en périphérie pour éloigner l'agitation étudiante, les universités ont été rattrapées par la ville. Aujourd'hui, elles en réinvestissent de plus en plus le centre à la demande des collectivités elles-mêmes. La porosité entre la ville et le campus devient réalité. Lui-même commence à s'ouvrir aux habitants et aux acteurs économiques sous des formes variées : accès aux équipements sportifs ou culturels, parfois même aux cours, mise à disposition d'équipements ou de fablabs, co-construction d'événements et de projets. De ce point de vue, les expériences étrangères tirées d'une étude financée par la CPU et la Caisse des Dépôts sur les modèles économiques de la vie de campus constituent une source d'inspiration. Les universités françaises ont aussi des exemples à faire connaître. Plus que jamais, l'heure est à la diffusion des bonnes pratiques. Car, dans les transitions en cours (numérique/écologique), les universités sont plutôt bien placées pour jouer le rôle de poisson-pilote. C'est la bonne nouvelle qu'il faut diffuser : les campus se sont mis en mouvement.
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme Hs N°58 Bordeaux Nouveaux Espaces Janvier 2017
BC
L'expérience bordelaise Alors que les investisseurs parisiens se précipitent à Bordeaux dans la perspective de l'arrivée, début juillet 2017, de la ligne à grande vitesse qui mettra Paris à deux heures de la capitale girondine, ce numéro hors-série s'intéresse aux nouvelles mobilités métropolitaines bordelaises. Bordeaux a été le théâtre d'une démarche très originale, pilotée par l'agence d'urbanisme Bordeaux métropole Aquitaine, initiée il y a cinq ans et qui a pris la forme d'un Grenelle des mobilités durant le premier semestre 2012, mobilisant une grande diversité d'acteurs pour réfléchir à un nouveau modèle de mobilité. Comme l'explique Alain Juppé, le président de la Métropole de Bordeaux, « il y a un vrai changement de paradigme », en particulier dans le rapport à l'automobile. Au-delà d'une bonne gouvernance, encore faut-il de bons projets. C'est ce à quoi s'est attaqué l'a-urba en formulant un ensemble de propositions pour les voiries du xxie siècle, en particulier pour la rocade, cet étonnant objet métropolitain. L'agence lui consacre une remarquable exposition - prolongée jusqu'au 31 mars 2017 - qui fait mesurer l'ampleur du défi à relever. Mais le devoir d'invention, évoqué par Véronique Ferreira, est pris à coeur par l'a-urba qui avance des idées pour les « rives » comme pour le « tube autoroutier » de la rocade, mais aussi pour les Grandes allées métropolitaines et les boulevards bordelais. L'enjeu est également celui de la mutation de l'espace public, pour mettre enfin le piéton au centre du système de mobilité. À partir de l'expérience bordelaise, mise en perspective par les réflexions plus globales de plusieurs des meilleurs experts de la question, ce numéro réalisé en partenariat avec l'a-urba entend contribuer par ses analyses et ses propositions au nécessaire débat sur les nouveaux espaces des mobilités métropolitaines.
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme Hs N°59 37Eme Rencontre Nat.Agences D'Urbanisme Fevrier 2017
BC
En renforçant la taille et le poids de plusieurs Régions tout en élargissant les compétences régionales, la loi NOTRE a ouvert une brèche importante dans la construction jacobine de la France. Parallèlement, les intercommunalités ont été élargies et renforcées. C'est le paradoxe de la situation : en faisant bouger les limites (institutionnelles), la réforme territoriale en cours invite à les dépasser. C'était le thème de la 37e Rencontre des agences d'urbanisme qui s'est tenue les 5, 6 et 7 octobre à Anglet, Bayonne, Biarritz, Pau et Saint-Sébastien, sous l'intitulé « Territoires, No(s) Limit(es) », organisée par l'Agence d'urbanisme Atlantique et Pyrénées (AUDAP) et la FNAU - dont ce numéro hors-série rend compte par le menu. Son organisation dans une ambiance particuli èrement chaleureuse en terre basque, en Béarn et au Pays basque espagnol, était déjà un symbole invitant aux coopérations transfrontalières et à la recherche de bonnes pratiques par-delà les Pyrénées. Ces limites sont aussi appréhendées dans les choix différents, voire opposés, adoptés en matière de coopération intercommunale dans les deux territoires historiques qui composent le département des Pyrénées-Atlantiques : d'un côté, une intercommunalit é XXL, la Communauté d'agglomération du Pays Basque regroupant plus de 300 000 habitants, que défend ici son premier président Jean-René Etchégaray, par ailleurs président de l'AUDAP ; de l'autre, un pôle métropolitain autour de la Ville de Pau, un modèle que promeut François Bayrou. Il y a donc bien plusieurs manières de dépasser les limites. On peut donner une autre lecture à ce dépassement des limites : il s'agit d'une opportunité pour les agences d'urbanisme de sortir du cadre strict de leur territoire d'intervention pour développer des coopérations à l'échelle régionale, se mettre au diapason des nouvelles Régions et convaincre leurs exécutifs de la qualité, de la pertinence et de la variété des expertises du réseau. C'est enfin une invitation pour chaque agence à sortir de la planification et de l'observation, champs de compétence traditionnels, pour explorer de nouveaux terrains et inventer des modalités inédites de travail. Ce chemin exprimé dans l'ambition du Manifeste présenté à Bayonne, elles l'ont bien souvent parcouru. Il suffit de lire les comptes rendus des treize ateliers de la Rencontre pour s'en rendre compte.Dans l'entretien qui ouvre ce numéro, Jean Rottner, président de la FNAU, invite les agences à aller encore plus loin dans le dépassement de leurs limites, à être, au fond, des passeurs de frontière qui permettront de « construire des territoires en bonne intelligence »
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme Hs N°60 European Une Aventure A Suivres Juin 2017
BC
Europan est un concours d'idées d'architecture et d'urbanisme s'adressant à des équipes de jeunes concepteurs européens (de moins de 40 ans). Lancé avec le soutien de la Communauté européenne en 1988 dans la perspective du marché unique de 1992, ce concours est né peu de temps avant que ne tombe le Mur de Berlin, comme le rappelle Jean-Louis Violeau. Si la visée européenne d'Europan s'entend aisément dans le début de son intitulé, le « pan » suscite l'interrogation ... C'est en fait un sigle qui signifie « programme d'architecture nouvelle » et renvoie à une démarche française - née en 1972 à l'initiative du Plan construction du ministère du Logement de l'époque. Le PAN laissera place à Europan à la fin des années 1980 et marquera ses débuts. Car, centré sur l'innovation à la fois technique et architecturale, avant tout dans la construction de logements, le PAN avait pour caract éristique d'être accompagné de financements d'État pour la réalisation de logements sociaux. Ce qui constituait une motivation puissante pour les candidatures des villes proposant des sites d'expérimentation. Le PAN permit aussi à quelques-uns de nos futurs grands architectes de faire leurs premières armes. En particulier Christian de Portzamparc avec la fameuse opération des « Hautes Formes » réalisée dans le 13e arrondissement de Paris entre 1976 et 1979, qui marqua un tournant dans l'histoire de l'architecture française de l'après-Mai 68. Ce détour historique n'est pas un exercice de nostalgie. Il éclaire les évolutions qu'Europan symbolise. Car il s'agit d'abord d'un concours européen (13 pays pour Europan 14) qui s'appuie sur les propositions de sites faites par les villes (ou les agglomérations ou les métropoles). Sans ces sites, pas de concours !
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme Hs N°61 Des Patrimoines A L'Economie Decembre 2017
BC
Le patrimoine est multiple : urbain, immobilier, naturel, gastronomique. Comment faire mieux connaître l'ensemble de ces patrimoines ?Comment faire en sorte qu'ils participent au développement durable du territoire et à la qualité de vie de ses habitants ? Quels rapprochements, quelles mutualisations, quelles constructions entre les collectivités et l'État pour échafauder des projets touristiques et les vendre, autour du patrimoine dont on sait que, pour la France, il capte un touriste sur deux ? Pendant ce temps, apparaît de plus en plus dommageable pour l'attractivité des villes, petites et moyennes notamment, le développement de centres commerciaux extra muros concurrents des centres anciens qui, désertifiés, perdent de leur attractivité. L'urgence d'une requalification urbaine, commerciale, culturelle et du développement de la mixité sociale dans les centres anciens fait l'objet d'un relatif consensus. S'arrête-t-on au diagnostic ? L'appel est lancé par les collectivités et les réseaux associatifs auprès des pouvoirs publics nationaux pour que soient prises des mesures d'accompagnement. La valorisation du patrimoine peut devenir un levier de reconquête des centres anciens. L'économie touristique n'est pas loin.
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme HS N°62 40 ans de politique de la ville - avril 2018
BC
Le Commissariat général à l'égalité des territoires (CGET) est le partenaire de ce numéro hors-série de la revue Urbanisme publié dans le cadre de la démarche « Les 40 ans de la politique de la ville, inventons les territoires de demain ». Une série d'événements, locaux et nationaux, organisés ou labellisés par le CGET vont se dérouler dans les prochains mois. Ce numéro hors-série contribuera à les accompagner. Il s'ouvre sur un dialogue autour de la question de « l'alliance des territoires » entre le Commissaire à l'égalité des territoires, Jean-Benoît Albertini et Marie-Christine Jaillet, directrice de recherche au CNRS, spécialiste de la politique de la ville et des dynamiques métropolitaines. Au sommaire : des interviews d'élus, des analyses d'experts et de chercheurs, des fiches sur les transformations de villes et de quartiers emblématiques (Rive Droite de Bordeaux Métropole, Brest-Pontanézen, Chanteloup-les-Vignes, Vaulx-en-Velin), des cartes de l'évolution de la géographie prioritaire (depuis le programme « Habitat et Vie sociale »), des contributions historiques et de plusieurs responsables du CGET, des références bibliographiques.
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme HS N°63 L'Europe des lieux et des liens - avril 2018
BC
Comment les agences d'urbanisme et leur fédération nationale, la FNAU, appréhendent-elles la dimension européenne de leur action ? Poser la question et tenter d'y répondre à partir des échanges de leur 38e rencontre annuelle revient à réfléchir sur la nouvelle politique de cohésion, sur les enjeux des projets transfrontaliers ou encore sur ce qui peut faire « bien commun européen » dans les politiques urbaines des métropoles européennes. Les débats ont eu lieu à Strasbourg, en novembre 2017, sur le thème « Construire l'Europe des lieux et des liens ». Ce nouveau numéro de la revue Urbanisme est aussi l'occasion de revisiter ces problématiques à partir des projets de l'Eurométropole de Strasbourg et des territoires alsaciens et de franchir le Rhin jusqu'à Karlsruhe et même Hambourg. Cette rencontre s'est ouverte sur une leçon de philosophie. François Jullien devait répondre à la question : « Existe-t-il une identité culturelle européenne ? » Son approche critique a secoué plus d'un participant et ouvert des réflexions stimulantes.
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme HS N°64 - Nouveaux paysages de la transition énergétique -juin 2018
BC
Ce numéro hors-série réalisé en partenariat avec la chaire Paysage et Énergie reflète la collaboration inédite entre l'entreprise Réseau de transport d'électricité (RTE), le ministère de la Transition écologique et solidaire et l'École nationale supérieure de paysage de Versailles-Marseille, qui est à l'origine de sa création. En trois ans d'existence, la chaire a organisé pas moins de 17 ateliers pédagogiques régionaux durant lesquels des étudiants paysagistes passent plusieurs semaines sur le terrain pour réaliser un diagnostic et proposer des pistes innovantes. Ce numéro présente six fiches directement issues de leurs travaux ainsi qu'un workshop mené sur le plateau de Saclay en partenariat avec le Land Art Generator Initiative. Inventer les paysages de l'après-pétrole n'a rien d'évident. Par des reportages et des enquêtes, ce numéro montre comment, en France, mais aussi en Belgique, au Luxembourg et aux Pays-Bas, des démarches paysagères se conjuguent avec différentes composantes de la transition énergétique. La généralisation d'initiatives audacieuses et imaginatives demande encore un vaste effort pédagogique en direction des citoyens et de leurs élus. Ce qui est en jeu, c'est l'élaboration d'une nouvelle culture des transitions à laquelle contribuent des professionnels et chercheurs dans la dernière partie de ce numéro.
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme HS N°65 - Grand prix national du paysage - novembre 2018
BC
Au-delà d'une vraie réussite paysagère, le Grand Prix récompense aussi un projet urbain qui commence par le paysage. 16 pages de présentation du projet lauréat 2018 « Les quais de Rouen » Dont l'interview du maire de Rouen et du président de la métropole et les points de vue de l'atelier de paysages et d'urbanisme In Situ (Emmanuel Jalbert) et de Jacqueline Osty Les 8 projets en compétiti L'avis des membres du jury La présentation des projets : Cergy-Pontoise et l'Axe majeur, Cherbourg, entre terre et mer, Cirque de Navacelles, Bords de Marne à Noisy-le-Grand, la vallée de l'Orne, le Hédas à Pau, le cluster Paris-Saclay Les politiques du paysage Elles touchent aussi bien le développement de l'agroforesterie que la reconquête des friches industrielles ou l'extension des énergies renouvelables. Ce numéro vise aussi à nourrir le débat autour de ces différentes modalités de la démarche paysagère. Sans oublier la question essentielle de transmission et de la formation, au travers en particulier du rôle renforcé des écoles de paysage.
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme HS N°66 Urbact - janvier 2019
BC
La revue Urbanisme publie un numéro marquant les 15 ans d'URBACT, un programme de coopération territoriale unique en Europe, impliquant près de 1000 villes et des milliers d'acteurs locaux (élus, fonctionnaires, professionnels, habitants). Dans les réseaux URBACT, des villes et des communautés se réunissent pour penser, discuter, construire ensemble et trouver des formes innovantes de bâtir la ville. Ces échanges de savoirs et d'expériences permettent aux villes quelle que soit leur taille de trouver des réponses adaptées aux grands enjeux économiques, sociétaux et environnementaux auxquels elles sont confrontées. Le prochain appel à projets pour les réseaux thématiques de villes ouvre le 7 janvier 2019.
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme HS N°67 De l'audace pour nos territoires - février 2019
BC
L'affiche de la 39e Rencontre des agences d'urbanisme montre un homme d'une autre époque, portant un étrange casque surmonté d'antennes, marchant d'une allure décidée vers un avenir radieux et portant entre ses mains un mystérieux boîtier. S'agissait-il de l'inventeur du premier poste radio mobile ou d'un improbable outil de guidage destiné à se repérer dans la ville : peu importe l'usage de cette invention, l'ingénieux savant, ou le cobaye chargé d'en faire la démonstration, incarne de manière décalée la foi dans la toute-puissance de la technologie tout autant que l'ambiguïté du vocabulaire de cette rencontre placée sous le signe du « design » et de l'« innovation ». L'innovation, autre mot-clé de la rencontre, n'est pas en reste. Si elle n'a plus rien à voir avec l'invention, elle est sommée de s'émanciper de son domaine de prédilection (la technologie) et de son mode classique d'élaboration (le laboratoire) pour devenir l'affaire de tous, investir le champ des mutations sociétales et participer elle aussi à la transformation des politiques publiques. Le changement n'est pas seulement sémantique. Comme l'usager, le citoyen est appelé à devenir acteur de l'innovation. Ce n'est pas seulement son avis mais son expertise qui est recherchée. Derrière ces injonctions inédites se cachent des appels à « l'audace », une aspiration à sortir des habituelles réponses technocratiques, et surtout une invitation à l'humilité. Car ces nouvelles approches privilégient l'expérimentation et l'essai-erreur, avec des allers-retours permanents entre le concept et l'usage, comme modes de construction alternatifs.
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme HS N°68 - juin 2019
BC
Ce numéro explore le travail mené depuis dix ans sur le bassin minier : un territoire qui se réinvente en s'appuyant sur sa propre identité et son patrimoine spatial, social et culturel. Reconversion des grandes friches industrielles Transformation du paysage avec la chaîne des parcs L'enjeu des centres villes Le Louvre-Lens, outil culturel indispensable à la renaissance du territoire Transition énergétique comme support de reconversion d'un territoire Réhabilitation du parc de logements Il propose également des reportages dans d'autres territoires phoenix, en France ou ailleurs. × ×
Disponible
20.00 €
Urbanisme HS N°69 Patrimoine et revitalisation - octobre 2019
BC
Un hors-série réalisé avec Sites & Cités remarquables de France sur le thème : « Patrimoines et revitalisation ». Au coeur des débats : la lutte contre la dévitalisation des centres anciens, qui se vident de leurs habitants et de leurs commerces, le délabrement de l'habitat ancien, la mise en péril du patrimoine. Sur le terrain, des exemples de villes de taille variable (une métropole comme Nantes, une grande ville comme Besançon, des villes moyennes comme Bayonne, Moulins ou Châtellerault jusqu'à de petites villes telles que Langres, Noyon, Bort-les-Orgues, Bonifacio, Avranches, Sancerre ou Pont-Saint-Esprit), montrent des initiatives, des prises de risque, une forte mobilisation, des avancées, des réalisations tangibles, l'apport des structures intercommunales, sans taire les difficultés.
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme HS N°70 Hauts de France - novembre 2019
BC
e numéro hors-série réalisé en partenariat avec la DRAC des Hauts-de-France est consacré à la Première Reconstruction et aux nouvelles formes urbaines et architecturales qu'elle a générées. Quelle trace inscrit-elle durablement dans le paysage, des monuments aux morts aux innovations architecturales ? Aux nombreux bâtiments et monuments issus de cette Première Reconstruction, il faut ajouter des legs immatériels tout aussi importants : les changements muséographiques, la tentation inaboutie d'une métropolisation de Lille, l'essai d'un urbanisme rural ou encore la Loi Cornudet qui jette les bases de la planification urbaine. Principalement axé sur les Hauts-de-France, le sommaire s'élargit à l'Est de la France et à la Belgique. Des journées d'étude sur la Première Reconstruction sont organisées à Saint-Quentin du 6 au 8 novembre
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme HS n°75 : Co-habitons : 42e Rencontre des agences d'urbanisme - Avril 2022
BC
42e Rencontre des agences d'urbanisme, FNAU La question de la cohabitation a été abordée sous de nombreux aspects, à commencer par celui du « vivre-ensemble ». Pour aller plus loin sur la thématique, les 14 ateliers organisés ont permis d’explorer des pistes de réflexion sur les modes de cohabitation, à travers les prismes de la nature, du vivant, de l’habitat, des mobilités, des interactions entre territoires, du voisinage, des modes de travail, et même de la précarité.
Disponible
20.00 €
Urbanisme HS n°78 : L'adaptation des quartiers politiques de la ville aux défis environnementaux - Décembre 2023
BC
Disponible
20.00 €
Urbanisme HS n°79 : No cultures, no futures - Avril 2024
BC
Disponible
20.00 €
Urbanisme N° 401- Reinventer Les Territoires Littoraux- Aout 2016
BC
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme N°403 Ces Villes Qu On Dit Moyennes Hiver 2017
BC
Ces villes qu'on dit moyennes. Hors des métropoles, point de salut ? Les villes moyennes ne sont plus. La DATAR, qui avait porté pendant des décennies une politique spécifique les concernant, avait encore lancé en 2007 une expérimentation « 20 villes moyennes témoins »/1. Mais la DATAR a cédé la place au Commissariat général à l'égalité des territoires (CGET), qui s'intéresse à d'autres objets territoriaux, moins délimités. Même la Fédération des maires des villes moyennes (FMVM) s'est rebaptisée « Villes de France ». Sa présidente, Caroline Cayeux, sénateur-maire de Beauvais, revendiquait fièrement, lors de ses voeux pour 2017, représenter « près de la moitié de la population française ». Il est vrai qu'en une dizaine d'années, le paysage territorial s'est considérablement modifié, en particulier du fait de l'extension du périmètre des intercommunalités. Une révolution silencieuse mais considérable. Dans le même temps, la création institutionnelle des métropoles - dont le nombre s'est accru récemment - semble dessiner le visage d'une France à deux vitesses. Pour Caroline Cayeux, « la France des villes ne peut se limiter aux métropoles, et il est temps de reconnaître les fonctions d'équilibre et de cohésion des villes de France ». Ces fonctions ne sont d'ailleurs pas l'apanage des seules villes dites moyennes. Dans notre dossier, les chercheurs Francis Beaucire, Ludovic Chalonge et Xavier Desjardins se sont penchés sur les petites villes (entre 5 000 et 30 000 habitants), qui affichent globalement une réelle croissance démographique. Et les exemples de Cahors, Montluçon et Libourne montrent que des projets, notamment de régénération des centres-villes, s'affirment. Cependant, les dynamiques territoriales ne s'enferment pas dans des limites institutionnelles - comme l'a encore montré la dernière Rencontre nationale des agences d'urbanisme/2 - et s'inscrivent dans des réseaux. Martin Vanier/3 et quelques autres nous l'expliquent depuis longtemps. Sans doute faut-il changer de paradigme pour penser les transformations urbaines, comme le suggèrent, chacun à sa manière, Stéphane Cordobes (dans une fiction prospective) et notre invité, le géographe Jacques Lévy ? Il reste cependant du chemin à parcourir.
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme N°404 Des Laboratoires Aux Modeles Printemps 2017
BC
A l'heure où la France s'interroge sur son modèle social, le dossier de ce numéro questionne le rôle des villes qui se pensent comme des laboratoires politiques quand les États semblent incapables de faire face aux multiples défis économiques, culturels et sociaux. Des questions essentielles le traversent. Face à la domination d'un système néo-libéral et à la tentation du repli, quelles réponses politiques peuvent apporter les villes et les territoires ? Quels sont les leviers de leurs actions ? Comment concilier l'ouverture sur le monde et l'ancrage local ? Existe-t-il encore une spécificité des villes européennes ? Quels liens les métropoles peuvent-elles entretenir avec les territoires moins dynamiques ? Quels nouveaux rapports entre les États et les Villes peuvent naître de ces évolutions ? Ces mutations se déroulent sur fond de compétition entre métropoles. La bataille pour organiser les Jeux Olympiques en est une des formes les plus spectaculaires. Longtemps analysés comme une charge aussi lourde qu'improductive, dénuée de valeur ajoutée pour les territoires et les habitants, ces Jeux peuvent-ils porter un modèle alternatif vertueux accélérant le développement du territoire d'accueil ? Après l'exemple de Barcelone en 1992, c'est le sens de la candidature de Paris 2024 que présente le supplément diffusé avec ce numéro, sans attendre le choix de la ville hôte dévoilé à Lima le 13 septembre 2017. Réalisé en partenariat avec la Ville de Paris, le Conseil départemental de Seine-Saint Denis et deux établissements publics territoriaux, Plaine Commune et Paris Terres d'envol, ce cahier met en lumière la construction d'un héritage urbain, social, environnemental et sportif dont bénéficiera en premier lieu la Seine-Saint-Denis. En contrepoint, il est apparu fructueux de confronter ces réflexions et ces projets urbains avec les mutations qu'a connues le monde agricole au cours des cinquante dernières années. Peut-il y avoir meilleur observateur que Bertrand Hervieu, sociologue du rural, disciple d'Henri Mendras, passé à l'action publique au sein de cabinets ministériels avant de devenir président de l'INRA ? Invité de ce numéro, il rappelle que le modèle agricole, aujourd'hui fortement remis en cause, a été en son temps vécu comme une conquête et un progrès. Et il oppose la civilisation rurale française, où production et lieu de vie ne faisaient qu'un, à celle des petites villes méditerranéennes d'où l'on sortait pour aller travailler aux champs. Une affaire très ancienne de modèles urbains, là encore.
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme N°405 Nourrir Les Urbains Juillet 2017
BC
La revue Urbanisme s'intéresse pour la première fois de son histoire à l'alimentation des villes, thème du dossier de son nouveau numéro (n° 405). Alors que vient d'être créé un ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation et que se préparent des Etats généraux de l'alimentation, ce dossier aborde le sujet avec un large spectre, tout en faisant la part belle à la question des relations entre la ville et son hinterland nourricier et à la manière dont les villes se réapproprient la question alimentaire. A l'heure des circuits courts et des Amap (associations pour le maintien d'une agriculture paysanne), des chercheurs confrontent leurs points de vue sur la relocalisation des approvisionnements alimentaires. Mais ce dossier propose également une lecture critique de l'agriculture urbaine ainsi que des visites de fermes urbaines ou péri-urbaines. Et il s'intéresse à la bataille (disproportionnée) que se livrent l'hyper-discount et le post-discount, à la précarité alimentaire, à la restauration hors du domicile, aux effets de la food tech sur la logistique urbaine et à la réalité du commerce alimentaire "ethnique".
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme N°406 Les Bidonvilles Octobre 2017
BC
Actualité du bidonville. Actualité paradoxale que ce dossier présente d'abord comme une histoire : celle des années 1960-70; celle de leur éradication en France, dont témoigne notamment Marie-Claude Blanc-Chaléard. Puis, chercheurs, architectes, urbanistes et artistes apportent leurs observations et leurs réflexions, questionnent « l'objet le plus illégitime de l'histoire de l'urbanisme : les bidonvilles ». Marseille a accueilli et accueille toujours des bidonvilles au point qu'ils font désormais partie de son histoire officielle. La maquette de l'un d'entre eux figure dans les collections du Musée d'histoire de Marseille. Cette patrimonialisation touche aussi d'anciens bidonvilles comme celui de Beausoleil, bâti par les maçons italiens qui travaillaient à Monaco. Cette dimension historique et patrimoniale ouvre sur la réalité actuelle des bidonvilles et sur de nouveaux questionnements en regard d'autres pays européens ou d'autres continents. Le dossier donne également la parole à des acteurs de terrain, en particulier des responsables de Médecins du Monde. L'association, qui est intervenue dès 1993 auprès des populations roms, estime que la stabilisation de certains bidonvilles peut constituer un sas pour l'insertion de leurs habitants. Cette affirmation interpelle politiques et professionnels de l'architecture et de l'urbanisme. Le propos n'est pas de pérenniser les bidonvilles - comme dans un certain nombre de pays du Sud où les quartiers précaires accueillent des millions de personnes. Mais d'accepter qu'ils puissent provisoirement servir de lieux de vie pour des populations qui ont besoin d'un habitat, d'une véritable adresse.
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme N°407 Qui Gouverneles La Smart City Decembre 2017
BC
Entre ignorance et amnésie, la loi Solidarité et renouvellement urbains (SRU) de 2000 est souvent présentée comme le fondement législatif de la planification contemporaine française, PLU et SCOT aidant. Certes établis par la loi SRU, ces documents d'urbanisme descendent pourtant en droite ligne des POS et des SDAU inventés par la loi d'orientation foncière (LOF) de 1967. Ils en ont gardé l'essentiel des principes. Cet héritage est lourd, et mérite questionnements. Une genèse idéologiquement mouvementée Pensée par un gaulliste de gauche, Edgard Pisani, mise en oeuvre par un libéral, Albin Chalandon, la LOF a ses ambivalences : tentative de maîtrise collective du foncier, mais la taxe d'urbanisation conçue pour récupérer les plus-values foncières ne verra pas le jour ; ouverture du champ de l'aménagement au secteur privé, même si la Caisse des Dépôts (via la SCET) jouera un rôle central dans l'action des collectivités locales et si les ZAC, initialement imaginées comme des ZUP privées, serviront surtout à déroger aux prescriptions des plans. Ces décalages conceptuels/1 pèsent néanmoins peu face aux trois péchés originels qui continuent à pervertir la boîte à outils planificatrice, entre défauts de fabrication initiaux et obsolescences non programmées.
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme N°408 La planification à bout de souffle ? - printemps 2018
BC
Le SCOT généralisé et « grenellisé », le PLUI « deux, voire trois, en un » (PLU + PLH + PDU), le SRADDET, les grands projets d'État comme le Grand Paris Express : la France semble vivre un regain planificateur, porté à la fois par la montée généralisée en échelle (des intercommunalités, des régions, des métropoles), de nouvelles injonctions mobilisatrices (transition énergétique, sauvegarde de la biodiversité, mobilité propre, demain neutralité carbone) qui réactivent le devoir public et son intérêt général, et l'inlassable production législative qui caractérise notre démocratie administrative (lois MAPTAM, NOTRe, ALUR, lutte contre le changement climatique, nouvelles mobilités, etc.). En même temps, des voix autorisées continuent à s'élever pour montrer l'épuisement d'une rationalité planificatrice qui n'a pas beaucoup bougé dans ses grandes croyances depuis la LOF de 1967 /1. D'autres réclament toujours un choc de simplification et le désarmement normatif, en particulier en urbanisme, auquel le droit « nuit gravement » comme l'affirme Jean-François Tribillon /2. L'avenir du SCOT, pris en tenaille entre SRADDET et PLUI, ne va pas sans question. Lequel SRADDET s'avère un exercice bien peu investi par les Régions qui l'avaient tant exigé. De nouvelles modalités de conduite stratégique des maîtrises d'ouvrage se sont fait jour, sur le mode du « (Ré)-inventer » (Paris, la Métropole, la Seine, etc.). Sans oublier la contestation collective de grands projets et son pouvoir de mise en échec qui rendent si incertaines les perspectives planificatrices. Les douze regards, certains pluriels, qui constituent ce dossier, ne sont pas univoques, et ne représentent en rien une nouvelle doctrine de la planification, ou à l'inverse un réquisitoire pour y renoncer. Rappelons-nous qu'À bout de souffle, de Jean-Luc Godard (1960, grande époque de la planification), est d'abord une histoire d'amour, au cours de laquelle sont prononcées ces fortes paroles aménagistes : « Si vous n'aimez pas la mer, si vous n'aimez pas la campagne, si vous n'aimez pas la ville, allez vous faire foutre ! », et qu'elle se termine par une mise à mort. Nous avons gardé prudemment le point d'interrogation dans notre titre général, pour ne pas aboutir à une telle invitation ni à un tel épilogue au sujet de la planification. Tout au plus, on pourra partager cet aboutissement : la planification n'est plus le champ des certitudes qu'elle a prétendu être dès le départ. C'est, selon les exercices et les contextes, un exercice d'apprentissage (Éric Houlley), une manière d'exister (Antoine Loubière), une promesse d'hybridation (Soraya Daou), une mise en relations de toutes les « lignes du territoire » (Yves Bories), une maturation (trop) silencieuse (Alain Faure), et, plus généralement, pour tous les autres auteurs de ce dossier, un processus de redéfinition des problèmes et des solutions de la société aux prises avec son espace, en même temps que de ré-énonciation de leur intelligibilité. Ce qui peut expliquer que le souffle lui manque parfois. Mais n'annonce probablement pas sa disparition.
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme N°409 Villes du Golfe - été 2018
BC
Dubaï, Abou Dhabi, Koweit City, Doha, Sarjah, le Sultanat d'Oman...Ces villes, d'une très grande diversité, constituent des références dans le monde arabe, où elles investissent et exportent leur vision urbaine, comme pour la future capitale égyptienne Capital Cairo. Mais de quoi les villes du Golfe pourraient-elles être modèles (ou anti-modèles) ? -Du recours à des concepteurs étrangers pour réaliser des bâtiments iconiques, développer des technologies nouvelles ou aménager les espaces publics -De la croyance dans les vertus de l'investissement immobilier -De l'apparition de formes de cohésion sociale combinées à de vives inégalités sociales et juridiques et à un cosmopolitisme du passage
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme N°410 Prendre soin des urbains - automne 2018
BC
Le nouveau dossier de la revue Urbanisme est consacré aux interactions entre la ville et la santé, la ville étant considérée depuis longtemps à la fois comme pathogène et comme un lieu de progrès en matière d'hygiène et de salubrité publiques. Cette tension est toujours d'actualité puisque la pollution atmosphérique demeure un facteur de risque majeur pour les urbains. Les villes, malgré la décentralisation, ont peu de pouvoirs en matière de santé mais elles multiplient les initiatives pour intégrer les enjeux de santé dans leurs politiques urbaines et se développe aujourd'hui une approche de l'urbanisme « favorable à la santé. Ce dossier s'intéresse aussi aux inégalités sociales et territoriales en matière de mortalité, d'accès aux soins et de prévention.
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme N°411 - Stations de montagne - janvier 2019
BC
Réinventer les stations de montagne Revue urbanisme, Numéro 411 Les stations de ski sont confrontées à un triple défi : touristique, énergétique et écologique. Les stations ont été dans le passé des laboratoires d'innovations urbanistiques et architecturales et elles ont encore bien des champs à explorer. Aujourd'hui, les problématiques interrogent non seulement la préservation de la montagne, mais son avenir à moyen terme, non seulement le bien-être des vacanciers, mais celui d'une population bien plus large, à commencer par ceux qui y vivent à l'année et les formes des urbanités singulières qu'elles représentent. Pour nous éclairer, des géographes, architectes, urbanistes, économistes et sociologues reviennent sur l'histoire et la création de plusieurs modèles de stations et analysent les leviers de leur transformation en cours.
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme N°412 Nouvelles figures du droit à la ville - printemps 2019
BC
Il y a cinquante ans, en mars 1968, paraissait Le droit à la ville, l'ouvrage d'Henri Lefèvre qui a marqué une génération d'étudiants, de professionnels de la ville, architectes et urbanistes, et même de hauts fonctionnaires en charge du Plan et de l'aménagement du territoire. Ce texte fondateur connaît aujourd'hui une nouvelle actualité. Tout au long de l'année 2018, des colloques ont revisité la pensée d'Henri Lefèvre à l'aune des penseurs, en particulier anglophones tels que David Harvey, et des mouvements sociaux urbains, notamment latino-américains. Le droit à la ville est sorti de la sphère de la pensée pour devenir une revendication politique. Il a été mis à l'ordre du jour du Nouvel Agenda urbain mondial adopté à Habitat III, le sommet de l'ONU organisé à Quito, en 2016. Le droit à la ville, entendu comme un outil d'interrogation sur les conceptions et les pratiques urbaines, méritait bien que la revue Urbanisme revienne sur l'histoire de ce concept, sur sa circulation hors des frontières et sur sa vitalité nouvelle.
Disponible
20.00 €
Urbanisme N°413 Livrer les urbains- été 2019
BC
Réalisé avec quelques-uns des meilleurs spécialistes du domaine, le nouveau dossier d'urbanisme s'attache à dessiner le paysage mondial de la logistique urbaine et à faire le point sur l'intervention des villes européennes et leurs limites. Il propose des analyses des flux de marchandises ou des effets du e-commerce. Il dresse un panorama complet des innovations (fluvial, véhicule autonome, drones...). Sans oublier : les parcs et hôtels logistiques, la livraison des derniers mètres, les "hyper lieux" de la logistique urbaine (Buenos Aires et Paris), à travers notamment une bande dessinée sur les livreurs à vélo.
Disponible
20.00 €
Urbanisme N°414 -Rez-de-villes: le formel et l'informel - automne 2019
BC
Ce numéro hors-série réalisé en partenariat avec la DRAC des Hauts-de-France est consacré à la Première Reconstruction et aux nouvelles formes urbaines et architecturales qu'elle a générées. Quelle trace inscrit-elle durablement dans le paysage, des monuments aux morts aux innovations architecturales ' Aux nombreux bâtiments et monuments issus de cette Première Reconstruction, il faut ajouter des legs immatériels tout aussi importants : les changements muséographiques, la tentation inaboutie d'une métropolisation de Lille, l'essai d'un urbanisme rural ou encore la Loi Cornudet qui jette les bases de la planification urbaine. Principalement axé sur les Hauts-de-France, le sommaire s'élargit à l'Est de la France et à la Belgique.
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme N°415 -Qui fait l'urbanisme aujourd'hui '- janvier 2020
BC
Ce numéro offre de multiples points de vue sur les principes et les pratiques de l'urbanisme, depuis un questionnement historique jusqu'aux réflexions sur les formes (le projet urbain et ses avatars), les évolutions en cours (l'urbanisme des transitions) et la diversification des acteurs et des logiques.
Disponible
20.00 €
Urbanisme N°416 Scenarios pour une ville bas-carbonne - printemps 2020
BC
À lheure où nous bouclons ce numéro, la planète vit une très grave crise sanitaire qui affecte pour la première fois depuis longtemps le monde occidental, lEurope et la France. Impossible de prédire ce qui en sortira quand la pandémie sera derrière nous. Mais il est déjà frappant de constater que le fort ralentissement de lactivité économique, la réduction des mobilités et larrêt de la consommation hors alimentaire apaisent le climat des villes, réduisent les pollutions atmosphériques, et quune forme de frugalité simpose aux modes de vie. Problème : en cette période de confinement et de fin dhiver, la consommation énergétique des bâtiments ne faiblit pas, alors quelle est la première source des émissions carbone. Le 5 mars 2020, avant le début de la crise en Europe, la France avait déjà émis les gaz à effet de serre (GES) quelle devrait rejeter en une année si elle respectait lobjectif de neutralité carbone quelle sest fixé pour 2050, selon une étude que le cabinet Carbone 4 a récemment réalisée pour le collectif LAffaire du siècle. À ce rythme démissions, lobjectif ne sera atteint quen 2085. Son respect impose de ne pas dépasser un plafond annuel démissions de 80 millions de tonnes équivalent CO2 des rejets qui doivent être compensés par des puits de carbone naturels ou des techniques de séquestration, comme lexplique Éric Vidalenc en ouverture du dossier. Or, selon la même étude, les émissions françaises devraient atteindre, en 2020, 450 millions de tonnes équivalent CO2. Soit cinq fois plus. Ces émissions ont baissé de 19 % depuis 1990 et leur niveau par habitant est lun des plus faibles (6,4 tonnes par habitant) parmi les pays développés. Mais cette baisse est nettement insuffisante : les émissions devraient être divisées par plus de 5 au cours des trente prochaines années pour atteindre la neutralité carbone en 2050. Peut-on changer aussi radicalement dans ce délai ? La Stratégie nationale bas-carbone (SNBC), outil de pilotage de ce budget, fixe des objectifs par secteur. En France, les deux secteurs les plus émetteurs concernent directement la ville : les transports (30 % des émissions) et le bâtiment (19 %). Pour parvenir à une décarbonation complète en 2050, les bâtiments doivent réduire de 49 % les GES dici 2030 et les transports de 28 %. Ce dossier (le premier consacré au sujet dans la revue) questionne les scénarios pour une ville bas-carbone et interroge les politiques mises en oeuvre par les villes. Cest là que se joue pour une large part la lutte contre le réchauffement climatique, estime Jacques Theys, même si la campagne électorale pour les municipales ne sest guère focalisée sur cet enjeu. 67 % des émissions de GES proviennent des villes, rappellent des expertes de lInstitute for Climate Economics (I4CE), think tank proche de la Caisse des Dépôts et de lAgence française de développement. I4CE a évalué quil faudra investir 15 à 18 milliards deuros supplémentaires chaque année dici 2023, dans les seuls secteurs des énergies renouvelables, du transport et du logement pour sengager vers la neutralité carbone. Pourtant, à en croire Jean Haëntjens, les villes, du moins certaines, sont en avance sur les États. Elles concentrent les problèmes, mais elles ont aussi des dispositions particulières pour inventer des solutions. Elles peuvent agir simultanément sur le bâtiment, le quartier, sur leur propre territoire et sur un territoire plus vaste, comme dans le cas du projet du Grand Genève. Sur la mobilité, on lira la passionnante contribution de Jean-Pierre Orfeuil en faveur du petit véhicule. Plus personne ne conteste lurgence. Même les promoteurs et les constructeurs, comme en témoignent leurs propos au dernier Simi, affichent des convictions. Reste à tenir les engagements et à savoir par quelles trajectoires y parvenir. Pour lheure, nous sommes très loin du compte. Dautant que, selon Sabine Barles, « la réduction des émissions de carbone dépasse la transformation du système énergétique urbain. Elle doit se traduire par une recherche de sobriété en toutes choses ». Cyria Emelianoff ne dit pas autre chose quand elle en appelle à « des formes radicales de sobriété, qui supposent des ruptures politiques ». Cest le défi le plus exigeant. Il concerne chacun. Pour Panos Mantziaras, cest aussi là que « les métiers de la transformation de lespace lurbanisme, larchitecture, le paysage peuvent contribuer à nouveau à un projet de société par lélaboration et la représentation dun cadre de vie à la fois sobre en ressources, qualitatif en termes spatiaux et inclusif en termes sociaux ».
Disponible
20.00 €
Urbanisme N°417 - juillet 2020
BC
Dossier/ Habiter un monde plus chaud Habiter un monde plus chaud (in extenso) Ce que l’adaptation au changement climatique veut dire Nantes repère ses îlots de chaleur Cartographier, modéliser Ville chaude, quartiers « cool » Extrêmes hydrologiques et résilience urbaine Repenser l’aménagement à partir de l’eau Villes résilientes, réconcilier urbanisme et nature « La forme suit le climat » « L’approche frugale est déjà à l’oeuvre » « Les villes les mieux acclimatées sont les villes anciennes » « Changer la façon dont nous gérons notre avenir commun » L’avenir des villes face aux migrations climatiques Recompositions des espaces urbains dans les Amériques
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme N°418 - octobre 2020
BC
La crise actuelle qui bouleverse nos habitudes et le rapport à notre cadre de vie, réinterroge la géographie des usages, pose la question des lieux, du temps, des pratiques, et du cadre de vie à différentes échelles : celle du domicile, de l'environnement immédiat et du territoire où de nouveaux (des)équilibres peuvent se jouer. Dans notre dossier Les ressorts de la résilience territoriale, retrouvez : Les questions posées par la problématique de la résilience appliquée aux territoires Des démarches et initiatives qui permettront aux territoires de rebondir A découvrir également dans ce numéro : Les bains-douches, Des équipements pour une ville solidaire et hospitalière, dépositaires d'une forme de sollicitude publique L'invité : Roland Castro
Disponible
20.00 €
Urbanisme N°419 Se déplacer, décarboner, ralentir - Janvier 2021
BC
Se déplacer, décarboner, ralentir Rarement, les paradigmes de la mobilité auront été autant bouleversés. Non seulement du fait de la vague du Covid-19, mais également de l'obligation de décarbonation, qui affectera tout particulièrement le secteur des transports. Les questions soulevées dépassent le seul transport public. Elles mettent en jeu les modes de vie, l'organisation du travail autant que les modes de déplacement et plus encore les contraintes liées à l'espace : l'organisation urbaine elle-même, les conflits d'usage engendrés par le développement du vélo, l'offre de stationnement ou le renouvellement des pratiques mobilitaires dans les territoires peu denses. Elles interrogent aussi l'ancienne injonction de vitesse et le principe d'une « ville du quart d'heure ». Entre la nécessité, le besoin et le droit de bouger, et l'impératif de réduire les mobilités et de ralentir les rythmes urbains, le temps du compromis est peut-être venu, l'heure aussi de mettre en route et de réussir
Disponible
20.00 €
Urbanisme n°421 - Villes méditerranéennes en quête de modèles - Juin 2021
BC
Disponible
20.00 €
Urbanisme n°422 - Ingénierie territoriale et urbaine, la grande introspection - sept/oct/nov 2021
BC
Qu'est-ce que l'ingénierie territoriale et urbaine aujourd'hui ? Un domaine d'activité dont les moyens humains sont pour partie dans la sphère publique, les collectivités et pour partie dans des structures privées de conseil dénommées très diversement, bureau d'études, société de conseil, de consulting... Ce sont de nombreux métiers en perpétuelle réinvention au gré des politiques successives d'aménagement du territoire, de l'émergence des problématiques liées au développement durable, de nouvelles postures collectives par rapport aux incertitudes et aux risques, de l'évolution des positions et des moyens des collectivités locales. Ce sont des équipes d'ingénieurs - à qui on a demandé progressivement d'élargir leur vision et de devenir des généralistes capables, par la méthode, de résoudre la complexité croissante des missions - et d'universitaires, qui en ont peu à peu grossi les rangs en qualité de véritables experts, car les mieux formés aux réponses à apporter aux enjeux nouveaux.
Disponible
20.00 €
Urbanisme n°423 - Territoires oubliés, terres de projets - Janvier 2022
BC
Territoires oubliés, l'expression intrigue : Oubliés par qui ? oubliés par quoi ? C'est la réelle déperdition d'habitants, de services et de dynamique socio-économique, ainsi que le sentiment de dégradation qui caractérisent les territoires oubliés. Pourtant, jamais résignés localement et toujours soutenus par l'État et par l'Europe, ces territoires suscitent depuis un certain nombre d'années un nouvel intérêt auprès des masses métropolitaines qui viennent abonder ou stimuler les initiatives locales. Une réflexion qui trouve des échos en Europe avec des articles sur l'Espagne, le Portugal, la Suisse et l'Italie. L'invité de ce numéro est le photographe et réalisateur Raymond Depardon. Il revient sur sa longue et opiniâtre exploration des territoires français.
Disponible
20.00 €
Urbanisme n°424 : La jeunesse - Mars 2022
BC
Nouvelle ligne éditoriale et nouvelle maquette : ce numéro est le premier de notre nouvelle formule. Un numéro consacré aux "Jeunes " - Digital versus informalité, comment les jeunes urbanistes et architectes vont-ils construire les villes ? - Les enfants dans la ville - Pour une politique de la jeunesse - Grandir en banlieue - Reportage : avoir 20 ans dans la Nièvre - La jeunesse francilienne - Les jeunes élites s'engagent pour le climat - A découvrir dans nos pages culture : des essais remarquables sur l'urbanisme, les territoires et la sociologie, mais aussi des films, une exposition (Hip-Hop 360), des interviews d'Hafsia Herzi et d'Audrey Estrougo.
Disponible
20.00 €
Urbanisme n°425 : Logement - Mai/Juin 2022
BC
Disponible
20.00 €
Urbanisme n°426 : Tourisme - Juillet/Août 2022
BC
Disponible
20.00 €
Urbanisme n°427 :Territoires d'avenir - Septembre 2022
BC
Disponible
20.00 €
Urbanisme n°428 : Energies - Novembre 2022
BC
Disponible
20.00 €
Urbanisme n°431: L'eau, commun exceptionnel - Mai-Juin 2023
BC
Ce numéro sera consacré à cet élément central dans l’aménagement du territoire qui se raréfie en raison entre autres, du changement climatique. Urbanistes et aménageurs, collectivités et villes devront s’adapter pour continuer à survivre. Tandis que le tourisme fluvial doit composer avec les périodes de sècheresse, le transport fluvial se déploie sur l’axe de la Seine pour livrer les urbains. Nous l’avons vu cet été, cette ressource a été rationnée dans certaines régions de France, une problématique majeure pour les délégations privées de l’eau. Élément phare du projet urbain, certaines agences d’urbanisme le placent désormais au centre de leurs projets. Atout précieux, l’Homme doit continuellement l’apprivoiser et réinventer le mode d’organisation de ses villes et territoires.
Provisoirement indisponible
20.00 €
Urbanisme N°434 : Crises et Chaos - Nov-Dec 2023
BC
Disponible
20.00 €
Urbanisme N°435 : La clé des sols - janvier/février 2024
BC
Cette matière vivante sur laquelle toute construction de l’homme s’érige, est au centre des conversations urbaines depuis la loi Climat et Résilience. Aménager différemment pour le préserver, revoir nos modes d’habitat et simplement mieux le comprendre. Urbanisme part à la rencontre des collectivités et acteurs de la société civile qui s’engagent pour un développement respectueux des territoires.
Disponible
20.00 €
Urbanisme N°436 : Le monde a besoin des urbanistes - Mars/Avril 2024
BC
Profession mouvante longtemps associée à l’architecture, elle est encore aujourd’hui assez méconnue du grand public. Elle est pourtant au coeur des grandes transformations de la société et des territoires, et de l’adaptation des villes aux défis climatiques et environnementaux. En agence, en collectivité ou chez des promoteurs, les compétences plurielles de l’urbaniste se révèlent chaque jour un peu plus nécessaires.
Disponible
20.00 €
Urbanisme N°437 : Partout le vivant - Mai/Juin 2024
BC
Ecosystèmes en péril, urbains en overdose de béton, prise de conscience de notre impuissance face à la nature, les crises écologiques et climatiques reconnectent l’humain à son écosystème. Mieux, elles l’incitent à se tourner vers des solutions issues de cette matière vivante. Nouvelles politiques ; publiques, nouvelles approches et méthodes emprise moins forte et conscience des conséquences de l’anthropocène : la prise en compte du vivant, dans sa grande diversité, est désormais un préalable aux réflexions de développement urbain et humain.
Disponible
20.00 €
Urbanisme N°438 : L'Art et la manière - Juillet/Août 2024
BC
Les liens entre l’art, la ville et les territoires sont établis de longue date, ils constituent même des disciplines : le street art et le land art. Mais se limitent-ils à la sphère « inspirationnelle » ou à des interventions plastiques plus ou moins audacieuses ? La création artistique, ses lieux, son énergie tissent une trame d’appartenance, de communauté qui se révèle souvent précieuse pour les villes et les territoires, leur gouvernance et leurs projets d’avenir.
Disponible
20.00 €
Urbanisme N°439 : Les périphéries - Septembre/Octobre 2024
BC
En 2010, un hebdomadaire français signait une couverture tapageuse « Halte à la France moche ! ». Celle des entrées de villes, des zones d’activité, des grands centres commerciaux... mais aussi des villes moyennes en déshérence, le tout englobé dans un adjectif : « périphériques ». Aujourd’hui ces territoires apparaissent sous un jour nouveau, ils constituent de toute évidence des ressources territoriales et foncières inestimables au prisme du Zéro artificialisation nette. Espaces d’innovation urbaine et sociale, plutôt appréciés de leurs habitants, le temps est venu d’envisager les périphéries à leur juste valeur.
Disponible
20.00 €
Urbanisme N°440 : Générations - Novembre/Décembre 2024
BC
C’est un truisme : les jeunes adultes de 2023 ne vivent pas comme ceux de 2020, qui eux-mêmes ne vivaient pas comme ceux de 1980. Mais ces évolutions récentes de la sphère sociale, familiale, professionnelle, relationnelle, n’ont-elles pas eu plus d’incidences sur les modes de vies, d’habiter, de consommer etc que les précédentes ? En 2050, les plus de 65 ans représenteront près de 30% de la population, contre 1/5ème en 2020. Mais l’augmentation de l’espérance de vie pose des questions fondamentales relatives aux aptitudes et fragilités du 4ème âge. Toutes ces questions méritent d’être examinées au prisme de l’aménagement du territoire et de la fabrique de la ville.
Disponible
20.00 €
Urbanisme Numéro Spécial 5 : Grand Prix National du Paysage - Novembre 2024
BC
Le Grand Prix national du paysage 2024, en récompensant la démarche de plan de paysage développée par le syndicat mixte du SCOT de l'agglomération messine (SCOTAM), avec l'appui de l'équipe pluridisciplinaire dirigée par la paysagiste Anne-Cécile Jacquot (Omnibus), met en lumière la haute expertise des paysagistes sur les grands territoires, et la plus-value évidente du paysage dans la conceptualisation et l'expression d'un projet de territoire, autant que dans l'élaboration ou la révision des documents de planification territoriale (SCOT) et d'urbanisme réglementaire (PLUI). Parce qu'il embrasse les enjeux géographiques, économiques et sociaux, les espaces naturels, agricoles et urbains, le paysage permet une approche transversale et sensible des territoires, et constitue un prisme efficace pour la conduite des analyses et une excellente matière à projet. Mais aussi, il favorise le nécessaire dialogue entre élus, experts et grand public, le partage des enjeux relatifs à l'aménagement et au développement des territoires, l'émergence d'une culture commune, voire d'une identité locale. Au terme de débats animés, mais finalement consensuels, le jury a également accordé une mention spéciale au projet de rénovation urbaine du quartier Louvois, à Vélizy-Villacoublay (Yvelines), qui démontre, pour sa part - par l'effacement d'une dalle -, les apports cruciaux du paysage dans les opérations de renouvellement urbain et dans les réponses à apporter aux défis écologiques et climatiques. Outre le projet lauréat et le projet mentionné, ce numéro spécial de la revue Urbanisme, réalisé en partenariat avec le ministère de la Transition écologique, de l'Énergie, du Climat et de la Prévention des risques, présente les deux autres projets finalistes et réalise un tour d'actualité du paysage au travers d'entretiens avec Henri Bava, président de la Fédération française du paysage (FFP), Grégoire Bassinet, président de l'Association des paysagistes-conseils de l'État (APCE) et Alessia Lefébure, directrice de I'Institut Agro Rennes-Angers, et d'articles sur la nouvelle génération d'atlas de paysages, ainsi que les travaux des chaires Paysage et Énergie, de l'École nationale supérieure de paysage de Versailles, et Territorialisation, de l'École nationale supérieure d'architecture de l'université de Grenoble.
Disponible
20.00 €