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Le moi, l'entre-soi, le nous dans les classes populaires

BC

La déconstruction politique, la dislocation économique et la dévaluation symbolique de « la classe ouvrière », les nouvelles stratégies managériales mettant en place une gestion individualisée du monde du travail, le développement du secteur des services, la féminisation des emplois subalternes, l’alignement de la condition des employé(e)s sur celle des ouvriers, la précarisation de la strate inférieure du salariat d’exécution, la croissance des taux de scolarisation ont modifié les contours du « nous » populaire. On s’interroge ici sur les conséquences de ce délitement protéiforme du collectif ouvrier, sur les formes d’individualisation, sur le repli dans l’entre-soi et sur les formes d’une possible recomposition d’un « nous » au sein des classes populaires que suggère le récent mouvement des « Gilets jaunes ».

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20.00 €

Le nouvel esprit du service public

BC

Au cours des dernières décennies, les multiples réformes des services publics ont transformé le travail des agents de la fonction publique. Présentés sous la forme d’entretiens, une succession de portraits sociologiques de fonctionnaires titulaires ou non, permettent d’éclairer les transformations saillantes du travail dans la fonction publique d’aujourd’hui : dégradation des conditions de travail et d’emploi, dilution des identités professionnelles, altération du « sens » du métier, perte d’autonomie et confrontation à des logiques hétéronomes, etc. Ces portraits permettent d’expliquer en quoi consiste le « nouvel esprit du service public » que véhiculent ces réformes et que les agents sont sommés, plus ou moins directement, de mettre en oeuvre. Qu’ils adhèrent, qu’ils résistent ou qu’ils « fassent avec », ces logiques qui transforment les fonctionnaires en prestataires et les usagers en clients, font que le sens même du service public et des métiers correspondants est bouleversé.

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20.00 €

Le PSU au coeur

BC

Michel MOUSEL (1940/2020) a été adhérent du Parti socialiste unifié (PSU) durant un quart de siècle et il en a été secrétaire national de 1974 à 1979 : c’est dire s’il a marqué cette organisation et si elle l’a profondément marqué en retour, au point de l’avoir conduit, après la commémoration du cinquantenaire de la création du PSU en 2010, à consacrer ses efforts à la naissance et au développement de l’ITS (Institut Tribune Socialiste – Histoire et actualité des idées du PSU) dont il fut le premier président de 2013 à 2017. C’est donc en hommage à la longue relation entre le PSU et Michel Mousel que s’attache ce volume des Cahiers de l’ITS, qui rassemble quelques textes significatifs de sa place et de son rôle dans l’histoire du PSU et de ses thèmes ; s’y ajoutent des témoignages de militants qui l’ont connu, ainsi que des documents permettant de jalonner son parcours militant.

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10.00 €

Le PSU et la question basque

BC

Le présent ouvrage est l´??histoire de la fédération dudans les différentes étapes de son existence, traitant essentiellement de la part prise par ce parti dans les combats ayant jalonné sa vie intense contre la colonisation capitaliste, le sous-développement, la spéculation et la pression immobilière sur le littoral notamment par le tourisme, la stigmatisation de la culture et la langue basque, la répression des deux côtés de la frontière, la violence institutionnelle en politique, etc. Ce sont quelques dizaines de militants acharnés qui ont persévéré pour l´??autodétermination de ce territoire dans une voie étroite consistant à mettre en tension autonomie et autogestion, nationalisme et socialisme, sans concession démagogique ou électoraliste refusant à la fois un nationalisme apolitique et une lutte de classes sans racine nationale. L´??ouvrage est bâti à partir d´??entretiens et de documents personnels, d´??archives nationales et locales, ainsi que de celles des héritiers du PSU,

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20.00 €

Le soin menacé

BC

Cet essai est le récit d'expériences vécues en tant que médecin hospitalier, enseignant-chercheur à l'université en médecine et en psychologie, femme, mère et citoyenne. A partir de ces expériences, l'autrice montre que le soin est de plus en plus invisible au sein de nos institutions de santé et de protection sociale, qu'il est méprisé et menacé de disparaître. Le soin est pourtant ce souci de la vulnérabilité de notre espèce d'où naissent la culture, l'éducation, la technique et la médecine. La contradiction entre les finalités de nos métiers et la nouvelle organisation technico-financière des pratiques professionnelles engage à reconnaître la dimension politique de nos métiers. Cet essai montre dans le grain le plus ténu de nos pratiques de soin, en médecine comme dans les situations ordinaires de l'existence, l'urgence à réhabiliter le soin, et ce faisant la démocratie comme l'humanisation de l'homme.

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15.00 €

Le sport au secours de la santé

BC

L'actuelle politique du Sport-Santé réalise une fusion inattendue entre le sport et la santé du citoyen ordinaire. Un sport longtemps associé au dopage et au surentraînement peu favorable à la santé, et un secteur de la santé publique qui n'accordait plus guère d'attention à l'exercice physique depuis les années 1960 et les succès de la thérapeutique. Toutefois, dans le passé, la santé publique a déjà fait appel à une forme d'activité physique, médicalement définie et contrôlée. Avant d'analyser les conditions de possibilité de la campagne du Sport-Santé, nous étudions trois épisodes plus anciens de mobilisation en faveur d'exercices physiques visant à contrer les effets délétères de l'inactivité. Comment les discours critiques de la vie quotidienne se médicalisent, comment la santé publique se saisit de l'argument, monte une campagne d'information, comment sont désignés les intervenants légitimes, enfin que pense la population incitée à faire du sport.

Provisoirement indisponible

20.00 €

Le travail et l'islam

BC

Depuis quelques années, la laïcité fait régulièrement l'objet de controverses. Elle serait mise en cause dans le monde du travail (entreprises, services publics, associations) par des pratiques religieuses « nouvelles ». C'est presque toujours de l'islam qu'il s'agit. Sauf que ce n'est pas nouveau. Les travailleurs immigrés maghrébins d'après-guerre pratiquaient pour la plupart sur leur lieu de travail, sans que cela ne suscite d'émois particuliers. Des entreprises ont construits des salles de prières. Alors, il faut s'interroger : qu'y a t-il de véritablement « nouveau » dans la situation actuelle ? Et se confronter à cet arrière-fond théorique qui continue d'organiser, implicitement ou explicitement, une certaine manière de penser la relation entre la religion et le travail en général. C'est la thèse selon laquelle il y aurait des religions compatible avec le travail moderne tandis que d'autres, dont l'islam, ne le seraient pas. Là encore, qu'en est-il réellement ?

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15.00 €

Le XXIè siècle des lumières

BC

Cet ouvrage se veut être une réflexion sur la période d’incertitudes, de reculs et de déstabilisations des références que nous traversons, sur la base de mes travaux antérieurs et de mon parcours singulier. Je fais l’hypothèse qu’elles relèvent des « Lumières » du XVIIIè siècle – notre « patrimoine commun -, non de leur contenu, mais du fait qu’au lieu de contribuer à les faire vivre, nous les avons considérées comme un bloc figé, pétrifié, sclérosé. L’objectif est de resituer les Lumières - comme toute chose, pensée ou doctrine - dans le temps et le lieu de leur élaboration, sur la base des connaissances théoriques et pratiques de l’époque, afin d’examiner ce qui peut ne plus correspondre à la situation et aux connaissances actuelles, aux besoins et aux attentes, afin de proposer des pistes pour répondre aux enjeux et défis du XXIè siècle. Cela amène à revenir sur trois paradigmes clés de la connaissance : la dialectique de Marx comme opposition et unité des contraires ; les rapports indissolubles entre unité et diversité ; le double caractère de toute crise, à la fois menace et opportunité. Sur ces bases, sont revisités dix grands rapports et tensions qui sont au coeur de l’héritage des Lumières : nous sommes des êtres de raison, mais aussi de passions, de pulsions la personne humaine est maître et/ou composante de la nature la reconnaissance de l’individuation est inséparable de la socialisation il faut relier local et global, micro et macro l’universalisme doit aller de pair avec l’altérité la liberté et l’égalité sont à imbriquer droits et devoirs sont indissociables le marché doit être remis à sa place l’intérêt général est à conjuguer avec les intérêts individuels le système européen de valeurs progressistes, référentiel dans la mondialisation Il s’agit donc de retrouver toute la fécondité, la dynamique et la créativité des Lumières pour relever les défis du XXIè siècle. Points forts Redonner vie et dynamisme aux « Lumières » pour répondre aux enjeux et défis du XXIè siècle Penser la complexité avec les outils de la connaissance Revisiter les relations et tensions entre individu et société, appartenances plurielles, nature et culture, valeurs et devenirs...

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15.00 €

Le zephyr au gai manton

BC

Préfacé et conclu par Raoul Vaneigem, un des prophètes de Mai 68, cet essai est la suite logique du travail heuristique commencé avec "les 72 Immortelles" sur la Commune de Paris dont on a célébré le cent-cinquantenaire en 2021, et poursuivi avec "La grande déchirure", publié par les éditions du Croquant à l'occasion du centenaire du Congrès de Tours. Ce dossier est non seulement basé sur un rappel des faits avec une éphéméride des événements mais il est une analyse historique, sociologique et politique de toutes les traces de la "Commune étudiante". Se référant à un poéme de Rimbaud, le "Zéphyr au gai menton" est un souffle libertaire et festif qui a balayé pendant presque deux mois la société française et a réussi à en ébranler les fondamentaux bourgeois... Cet ébranlement que l'auteur a vécu, et qu'il rapporte dans un témoignage personnel sur la révolte des milieux du cinéma et à la radio-télévision publique, est l'objet de cette étude dont les conséquences se sont fait sentir pendant des décennies et qui continuent à paralyser notre réflexion idéologique... En effet, Mai 68 marque sans aucun doute, la résurgence d'une force spirituelle enfouie et retenue dans la nappe phréatique du potentiel d'autonomie, de révolte et de renaissance populaire bafoué et refoulé depuis que la guillotine a mis fin à la Révolution française le 9 thermidor an II : le désir d'une République sociale, juste, fraternelle et libertaire. Le droit de vivre ne se mendie pas, il se prend. Ce désir, qui a affleuré pendant tout le XIXe siècle, a été imaginé et proclamé par tous les utopistes dont l'influence a été brutalement éradiquée par l'irruption du marxisme. Et le matérialisme historique a induit le bolchevisme, qui a été la force de frappe politique du mouvement ouvrier, condamnant le réformisme de la social-démocratie mais rejetant impitoyablement aussi l'anarchie. Aujourd'hui où l'imbroglio idéologique à gauche obstrue toute tentative réelle de réaliser l'émancipation humaine, nous avons un besoin vital du "zéphyr au gai menton" afin qu'il vienne nous gratifier de ces nuages d'utopies pour mettre fin à la sécheresse épouvantable du désert politique.

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15.00 €

Les ancrages urbains du vote

BC

Dans un contexte de déconnexion croissante entre les professionnels de la politique et les citoyens, de bouleversements de l’offre depuis 2017 et de déprise des partis traditionnels, les ancrages des électeurs sont réputés ne plus peser. Volatilité, ajustements stratégiques aux enjeux, croissance des aptitudes à raisonner « librement » en politique, libération des déterminismes... Et pourtant, comment expliquer la forte polarisation socio-spatiale des conduites politiques dans la France contemporaine ? A rebours des thèses individualistes qui désocialise les électeurs, cet ouvrage collectif interroge les dynamiques résidentielles de la socialisation politique. Dans la France contemporaine, la spatialisation des problèmes sociaux comme l’accroissement des inégalités territoriales sont désormais bien documentés, mais une sociologie fine de leurs implications politiques reste à faire. Tel est le chantier auquel contribue cet ouvrage à travers une analyse, localisée et comparée entre plusieurs quartiers, des formes de socialisation politique résidentielle d’une grande diversité de milieux sociaux et de groupes ethno-raciaux peuplant le même territoire urbain et particulièrement dense : le 18ème arrondissement de Paris. A partir d’une enquête collective conduite entre 2016 et 2018, l’ouvrage ouvre la boite noire des médiations territoriales entre appartenances sociales et comportements politiques, singulièrement dans la conjoncture électorale de 2017. Que produit ce contexte territorial mixte socialement et rapprochant des groupes ethno-raciaux contrastés sur les comportements politiques des différents groupes ? En quoi et par quelles mécanismes l’espace urbain peut-il constituer une instance de socialisation politique ? Avec quels effets (par exemple sur le vote) et limites ? L’ouvrage s’inscrit ainsi dans les débats autour des déterminants « contextuels » des comportements politiques tout autant que dans ceux liés de renouveau des formes de différenciation symbolique des espaces urbains.

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20.00 €

Les banques centrales

BC

À la recherche d’une politique monétaire en faveur d’une transformation sociale et écologique Les événements qui se sont succédé depuis la crise financière de 2007-2008 jusqu’à la crise sanitaire causée par la pandémie du Covid-19 et la guerre déclenchée par la Russie contre l’Ukraine ont remis en plein jour le rôle des banques centrales dans la régulation monétaire et financière du capitalisme mondial et leurs actions en termes de politique monétaire. Il est vrai que les occasions n’ont pas manqué pour scruter l’évolution de cette dernière, ou plutôt les évolutions car les revirements décidés par les banquiers centraux ont été nombreux. En effet, depuis plusieurs décennies maintenant, le monde est confronté à de multiples difficultés qui soulignent les contradictions d’un système voué à ne produire que pour le profit, au détriment de toute considération sociale et de toute préoccupation écologique, même quand l’urgence climatique est avérée ou que la crise énergétique se profile. Cette situation est d’autant plus préoccupante que les politiques menées par tous les gouvernements ralliés à la stratégie néolibérale ont consisté à compenser les difficultés de l’accumulation du capital par l’austérité salariale, la réduction des droits sociaux, les largesses fiscales accordées aux plus riches et la fuite en avant financière par la promotion de la finance dite « verte ». Et cela sans pouvoir donner un nouveau coup de fouet à la croissance de la productivité du travail qui avoisine à peu près partout dans le monde le degré zéro ou presque. Les politiques monétaires menées par les banques centrales portent également une lourde responsabilité dans la pérennisation de cette situation. Y a-t-il là quelque chose d’inéluctable ou est-ce un parti pris politique et idéologique conforme aux intérêts et aux privilèges des classes dominantes ? Répondre à cette question suppose d’interroger l’histoire contemporaine et quelques éléments théoriques susceptibles d’éclairer celle-ci. Nous présenterons en premier lieu ce qu’est une banque centrale, quels sont ses fonctions et les instruments dont elle dispose pour mener une politique monétaire (chapitre 1). Nous montrerons ensuite les tournants successifs que les banques centrales ont opérés au cours des dernières décennies, souvent sans obtenir les effets attendus (chapitre 2), au point qu’elles n’ont pas vu venir les multiples crises qui ont émaillé le dernier demi-siècle (chapitre 3). Et, prises une nouvelle fois à contretemps, elles sont en train de prendre encore un virage à 180° en retournant à l’orthodoxie (chapitre 4). Nous terminerons en proposant des principes de politique monétaire alternatifs dans la perspective de favoriser une véritable transition sociale et écologique (chapitre 5).

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5.00 €

Les circuits courts alimentaires

BC

Présentation du livre : Au moment où l’économie mondiale est traversée par une succession de crises d’ampleur et d’intensité sans précédent, les produits de proximité suscitent un intérêt grandissant. Pour faire face aux risques induits par la mondialisation des échanges et la spécialisation géographique du travail, la relocalisation des activités de production est aujourd’hui plébiscitée. Dans l’agroalimentaire, la pandémie a donné un nouveau souffle aux « circuits courts » qui cherchent à réduire la distance marchande entre agriculteurs et consommateurs. Ce livre restitue le processus d’institutionnalisation de ces marchés ainsi que les multiples investissements dont ils font l’objet. L’enquête sur laquelle se base cet ouvrage pointe dans un subtil jeu d’échelles un phénomène paradoxal : l’intervention d’un certain nombre d’intermédiaires comme condition de félicité de marchés qui valorisent un rapprochement entre les agriculteurs et les consommateurs. Elle montre à quel point le succès des « circuits courts » s’explique par l’intervention de militants, chercheurs, et agents du ministère de l’Agriculture qui, souvent malgré eux, participent dans le même temps à leur réappropriation par les acteurs centraux du secteur agricole. Points forts de l’ouvrage : il est basé sur une enquête multi-située associant méthodes qualitatives et quantitatives il porte sur les marchés de proximité que la crise actuelle a replacé au coeur de l’actualité il offre un regard original sur les « circuits courts alimentaires » qui plébiscitent un rapprochement entre les agriculteurs et les consommateurs. enfin, l’ouvrage révèle les conditions de réussite de ces circuits, tout comme leurs limites et invite ainsi à questionner la portée de cette proximité retrouvée dans d’autres secteurs, y compris ceux qui relèvent de l’industrie manufacturière Biographie de l’auteur : Jean-Baptiste Paranthoën est post-doctorant à l’Université de Reims Champagne Ardennes. Membre du Centre d’Etudes et de Recherches sur les Emplois et les Professionnalisations et associé au Centre d'Economie et de Sociologie Appliquées à l'Agriculture et aux Espaces Ruraux, ses travaux portent sur les modèles de développement économique alternatifs.

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20.00 €

Les débats de l'ITS 12-13

BC

La crise de la démocratie représentative est évidente un peu partout dans le monde. En France elle se caractérise tout particulièrement par la montée de l’abstention aux élections et le déclin des partis qui se succédaient au pouvoir sans oublier la défiance de plus en plus importante vis-à-vis des institutions. Ce numéro des Débats de l’ITS se propose de donner quelques éclairages quant à l’état des lieux et de mettre en exergue les logiques alternatives qui se dessinent. Le mouvement des gilets jaunes avec ses revendications et ses contradictions, la Convention Citoyenne pour le Climat avec ses préconisations et le sort qui leur est réservé, les espoirs de la communication sur les réseaux sociaux confrontés aux « violences » qui y règnent, les débats empoisonnés sur la laïcité, le « décolonial », les « racisés » ou la cancel culture qui divisent les forces progressistes, méritent quelques développements pour décrire la complexité actuelle.

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10.00 €