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Natura

BB

Le nouveau livre de Bernard Descamps, intitulé natura, en hommage aux premiers essais naturalistes de l'antiquité, est le fruit d'un patient travail, d'une longue quête d'images de la nature. Non pas des images spectaculaires du bout du monde, mais des images simplement touchantes, de la nature qui nous est si proche et que nous négligeons si souvent. La beauté formelle de la ligne d'horizon entre mer et ciel, ou celle d'une montagne enneigée, triangle de noir et de blanc, l'élégance verticale d'un arbre centenaire ou celle d'un vol de grues cendrées dans le ciel lorrain. Quatre chapitres, des photographies en noir et blanc, des images faites de roches, d'écorces rugueuses ou lisses, d'eau, de nuages, de lumière et de vent... une approche du vide et du plein, des équilibres et du silence. La poésie pour nous sauver. ''

Disponible

40.00 €

New York - Années 50

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Jean Bizien débarque aux États-Unis en 1946. Très jeune homme. Il découvre le pays par une ville?: New York. Une cité faite de centaines d'autres villes, de milliers de Villages d'Irlande, d'Italie, de Russie, de Chine, du Mali, d'Afrique du Sud, du Mexique, du Brésil... Des milliers de villages, des millions d'hommes, des milliers d'habitudes différentes, des milliers de fêtes, de langues, des centaines de couleurs de peau, des millions de démarches, une seule langue pour parler ensemble. Une seule ville pour vivre ensemble. New York est un miracle. Des millions d'hommes si différents se côtoient, vivent, commercent en paix. New York est un miracle sombre et joyeux. La paix et la justice humaine sont très relatives. Pour pouvoir vivre ensemble, inventons autre chose?? Une ville haute et plus verticale. Et pourtant les humains photographiés par Jean Bizien sont des villageois dans une ville aux immeubles immenses.

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30.00 €

Nina Korhonen

BC

Disponible

16.00 €

Odyssées

BC

Odyssées est un travail photographique qui a reçu le Prix Caritas Photo Sociale en 2020. L'odyssée d'Homère raconte l'histoire d'un retour qui n'en finit pas. Le retour d'Ulysse à Ithaque après vingt longues années d'absence. Ce travail est un écho à ce récit de voyage originel. J'ai suivi plusieurs personnes en situation d'exil, demandeurs d'asile ou réfugiés, le plus souvent en attente de statut. La plupart d'entre eux vivent dans des centres d'hébergement en attendant la réponse de l'administration. L'attente est souvent longue et douloureuse. Elle les isole du réel et les enferme dans un espace mental en suspens. A travers cette succession de portraits et de paysages, j'ai voulu créer une correspondance entre cet espace émotionnel et les paysages dans lesquels ces personnes évoluent afin de rendre perceptible ce sentiment d'exil. Je les ai photographié dans leurs lieux de vie, dans leur territoire quotidien. Leurs regards se perdent à travers les fenêtres. Ils sont dans le flou.

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20.00 €

On my own

BC

« Le plus difficile en photographie, c'est de voir », souligne Djan Seylan, dont le quatrième livre, On my Own, rassemble 127 photographies en noir & blanc, faites entre 1957 et 2016. De la Turquie, terre de son père à la Birmanie, de la Sardaigne à Madagascar, ou encore l'Iran l'Egypte, La Grèce, le Portugal, Haïti, Cuba, Thaïlande, Indonésie, Corée du Sudn Taïwan, Ceyla, et l'Inde Djan Seylan nous entraîne vers un monde sans compositions tarabiscotées, et riche de « moments authentiques ». Témoignage d'une passion discrète, On my own montre aussi combien, au long de ses voyages avec son Leica, Djan Seylan cultive un art du regard très personnel, où domine l'inattendu et « l'intensité des émotions corrosives ». Djan Seylan est photographe et collectionneur. Il a surtout photographie en Asie et en Turquie. ""En 1956, juste après mon baccalauréat, j'ai passé huit mois à découvrir Istanbul et la photo.

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35.00 €

On ne peut pas se fier...

BC

Mohammad Bamm et sa poésie sont bien connus du public persanophone, notamment des adeptes du "ghazal postmoderne". Il peut sembler étrange que son premier livre soit publié en version bilingue, avec une traduction française, à des milliers de kilomètres de son pays natal. La traduction de la poésie dans une autre langue, bien qu’elle puisse relier les deux cultures et attirer des publics du monde entier (surtout en français, qui possède une littérature riche et puissante), est souvent un exercice excessivement difficile. Si le poète, le traducteur et le texte ne sont pas en mesure d’établir les communications requises, en raison de la perte des capacités et des techniques linguistiques, de l’incapacité à transférer les références textuelles à des événements culturels et historiques, de la perte de la musique verbale, de la difficulté de compréhension par le lectorat en raison des différences culturelles, etc., le résultat ne sera pas aussi significatif et l’oeuvre traduite ne pourra pas être pleinement accueillie par le public. Rappelons que le "Ghazal postmoderne" possède des formats rythmés et, qu’en persan il est difficile de respecter les rythmes et les rimes dans la traduction. D’autre part, les oeuvres appartenant à ce courant de poésie sont truffées de jeux verbaux ainsi que de références indigènes et culturelles, généralement perdues lors de la traduction ou nécessitant de nombreuses notes de bas de page afin de transmettre tout leur potentiel. Mehdi Mousavi

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10.00 €

One more Dance

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Christophe Acker, réalisateur, signe la résidence de cette dixième édition et propose un film qui appréhende la ville de Vichy à travers la danse et le mouvement afin de la considérer comme un corps et un système vivant. Le coeur de la ville, ses artères, son centre névralgique, ses parcs et jardins comme ses poumons, autant de métaphores organicistes et même animistes qui assimilent l’espace urbain à un organisme, aussi bien d’un point de vue physique que fonctionnel, et dont Christophe Acker se sert pour créer une pulsation dans la ville. Accompagné de la chorégraphe Johana Malédon, il est allé d’un quartier à l’autre à la rencontre des Vichyssois, des élèves d’écoles de danse, et d’une cavalière, déplaçant les lignes et mettant en lumière les liens qui s’opèrent entre mouvement des corps et lignes architecturales. Sa proposition offre un regard singulier sur la ville. La résidence photographique est confiée cette année au réalisateur Français Christophe Acker qui a travaillé, avec des élèves d’écoles de danse de Vichy, une cavalière et une acrobate, à l’étonnante proposition d’une visite « dansée » de la ville, à travers un film projeté au palais des Congrès et des photographies présentés sur le parvis de la gare.

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25.00 €

Orientations photographiques

BC

Avec Orientations photographiques, Arnaud Claass poursuit son exploration des images réelles et des images mentales. Son écriture mêle des observations tirées de la vie quotidienne et des considérations sur l’art de voir. Il envisage la diversité des pratiques du regard comme célébration des choses, comme journalisme ou engagement social, comme ambition muséale ou au contraire comme indifférence délibérée envers l’institution artistique. Abordant des travaux contemporains aussi bien que des oeuvres pionnières des modernités historiques, il questionne l’étrangeté inclassable de la photographie, sa capacité à dire l’énigme du monde, et paradoxalement à résister au déferlement des images. Il médite au passage sur des textes théoriques récents d’auteurs déjà en passe de devenir des classiques. En fin de volume, les Réflexions sur le cas Vivian Maier proposent une lecture attentive de l’oeuvre de la photographe, examinant ses aspects stylistiques aussi bien que les problèmes passionnants soulevés par sa révélation et sa diffusion.

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23.00 €

OverPrint

BC

Un livre dense de 312 pages pour un flux de 560 « overprints » ou « une obsession de tous les jours »Â  Un projet intuitif et moqueur ou chacun peut s’y retrouver. L’overprint joue à déconstruire, dérider, dévisager et déformer ce monde très stylisé du magazine et plus généralement de l’image imprimée. Mi iconique, mi ironique, la démarche de Daubal explore les thématiques de la mode, de l’écologie ou encore de l’humain dans son environnement. Son mode de réalisation artisanale voire minimaliste, fait de recyclage, de découpage, de bricolages en tous genres, fait réagir et réfléchir. Elle nous invite ainsi à regarder différemment les sujets qu’elle aborde en déconstruisant avec fantaisie les codes établis et en entrechoquant papier glacé et culture populaire. Créer un dialogue en combinant l’improbable, provoquer des interrogations plutôt que fournir des réponses. Objet absurde ou initiateur de pensée? Fruit du hasard ou choix délibéré? Vide de sens ou symbolique? Hommage ou fromage? 

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40.00 €

Parler à ceux que l’on n’écoute jamais !

BC

C’est au coeur d’une unité de soins pour sans-abris que le photographe Cyril Zannettacci assiste en 2021, au déferlement de l’épidémie du Covid-19. Situé à Nanterre, aux portes de Paris, le Centre d’Hébergement et d’Assistance aux Personnes Sans-Abri (CHAPSA), lieu unique en France, accueille et accompagne des sans-abris dans un parcours de soin. Avec ses airs d’hôpital abandonné, le centre accueille des sans-abris depuis la fin du IXe siècle. N’ayant pas les mêmes ressources, ni la même réputation que la médecine classique, la médecine sociale souffre d’un manque considérable de moyens, de budgets et d’effectifs. Rationnement, voire disparition de certains produits d’hygiène, locaux vétustes, WC condamnés depuis des mois, équipe de nuit réduite à une infirmière et une aide-soignante pour quarante-huit patients... Présidé cette année Mathieu Pernot, figure reconnue en France de la photo sociale, le jury est constitué de professionnels du monde la photographie et d’experts de la lutte contre la pauvreté du Réseau Caritas France. Le prix a par ailleurs tissé un partenariat avec le Collectif Fetart (conseiller artistique du prix), la Galerie Le Château d’Eau à Toulouse, les éditions Filigranes, Picto Foundation, le magazine Polka et La SAIF. Le Réseau Caritas France, créé à l’initiative du Secours Catholique, rassemble 11 organisations engagées dans la lutte contre la pauvreté, la précarité et les inégalités. Chaque jour, 70 000 bénévoles, volontaires, salariés agissent au sein du Réseau Caritas France pour trouver des solutions et accompagner les plus fragiles. En 2020, le Réseau Caritas France a créé le Prix Caritas Photo Sociale pour encourager les photographes qui travaillent sur des sujets sociaux afin de rendre compte des difficultés des plus vulnérables et du combat qu’ils mènent pour retrouver une vie digne et autonome.

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20.00 €

Pascal Grimaud Cahiers 2013-2015

BC

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16.00 €

Passages

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Ce travail photographique au long cours a débuté en 2008 pour s’achever 2019. Mais la naissance de cette série telle que présentée ici, a eu lieu en 2015, après les attentats du 13 novembre. Un événement qui a fortement résonné et éveillé une profonde angoisse de mort chez l’artiste. Elle a pensé cette série comme un grand autoportrait qui se veut universel, avec l’idée de présenter les images comme si c’était les dernières. Ses images sont pensées, écrites – un peu à la manière de l’écriture automatique des surréalistes – puis dessinées. L’acte photographique arrive en dernière étape. Ce processus de création étant long, elle réalise très peu d’images. Il est ici question d’un double passage, celui de l’image mentale à l’image.

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40.00 €

Périple sicilien

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La Sicile est un lieu magique surtout pour nous, Italiens du Nord, qui vivons dans le brouillard et rêvons de la mer. La Sicile est le lieu de l’art, de la gastronomie, de la culture, de la nature intacte, mais c’est aussi une terre de contradictions, de spéculations et d’oppression. C’est le contraste qui m’a toujours fasciné en Sicile : passé-présent, beau-moche, vrai-faux, mais ce contraste si évident prend, pour nous qui venons de loin, une connotation positive, fascinante, presque comme si la lumière, cette lumière splendide qui enveloppe tout l’avait transformé en une énigme mystérieuse et belle. Marco Rigamonti a tenté de s’écarter de la voie établie. Il a choisi une Sicile où le signe du contemporain prédomine. Ce n’est pas un contemporain que l’on peut toujours apprécier et partager. Au contraire, ses photos vibrent parfois d’un mouvement de dénonciation : une dénonciation amère, ni colérique ni indignée. Des places lunaires, des bâtiments incongrus, sous une lumière absolue qui semble donner une patine de poussière archéologique même aux objets encore en construction. [...] Une photo, l’une des dernières de ce livre, résume à mon avis le sens du travail de Rigamonti. Il s’agit d’un aperçu plutôt rhétorique et traditionnel du théâtre antique de Taormina – ses vieilles colonnes et son mur de briques en arrière-plan la côte et l’Etna : l’un des paysages les plus beaux et les plus célèbres du monde. [...] Extraits Gaetano Savatteri

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32.00 €

Photographie contemporaine & anthropocène

BC

L’« anthropocène » signe une crise civilisationnelle profonde. Les assises, sur lesquelles les sociétés occidentales se sont senties pendant longtemps solidement établies, paraissent désormais précaires. La confiance accordée au progrès technique et aux acquisitions scientifiques est ébranlée. Nombreuses sont les oeuvres photographiques contemporaines qui s’attellent à problématiser et à penser les évolutions de nos modes de vie, de nos valeurs, de nos relations au vivant, au temps ou au progrès. Il s’agit dans cet ouvrage d’analyser la façon dont ces travaux donnent à réfléchir, s’inscrivant de façon féconde dans le débat public. Liste des photographes présents : Peter Fischli & David Weiss, Mishka Henner, SMITH, Ignacio Acosta, Mathieu Asselin, Richard Misrach, Yves Marchand & Romain Meffre, Carlos Ayesta & Guillaume Bression, Guillaume Herbaut, Robert Polidori, Céline Clanet, Françoais Delderrière, Petra Stavast, Jan Stradtmann, Marina Caneve, Céline Duval, Batia Suter, Arno Gisinger, Catherine Poncin, Agnès Geoffray, Jan Fontcuberta, Mathieu Pernot, Jean-Marie Donat, Bernard Plossu, Jean-Luc Mylayne, Michel Séméniako, Thomas Struth, Jürgen Nefzger, Bertrand Stofleth, Julien Guinand, Joel Sternfeld, Éric Dessert, Thierry Girard, Beatrix von Conta, Brigitte Bauer, Guillaume Bonnel, Marc Deneyer, Anne-Marie Filaire, Olivier de Sépibus, Geoffroy Mathieu, Ianna Andréadis, Bruno Goosse. "Les termes d’écologie, d’environnement, d’anthropocène ou de réchauffement climatique se trouvent aujourd’hui repris à satiété au sein des médias et convoqués dans les travaux des chercheurs de nombreuses disciplines de sorte que, pour dissiper tout sentiment de dispersion, voire de confusion, il paraît nécessaire de commencer par préciser ce dont le présent livre ne parlera pas. Il ne s’agira pas ici d’étudier des oeuvres photographiques qui, se concentrant sur des substances organiques ou des matériaux bruts, envisagent les éléments naturels comme un médium et relèvent d’une forme d’«â€‰écopoïétique ». Les travaux proches du Land Art ou de l’Arte Povera mobilisant la prise de vue ne seront pas pris en considération." [...] Danièle Méaux

Réimpression

25.00 €