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Le bleu du ciel

BB

Le vol de l'hirondelle, un symbole de liberté Le Bleu du Ciel prend pour point de départ un souvenir d'enfance, celui du chant des hirondelles dans le ciel et de leur rassemblement sur les fils électriques avant leur voyage vers le Sahara. Associé aux idées de voyage et de liberté, le vol de ces oiseaux a inspiré à Édouard Taufenbach et Régis Campo l'image d'une "partition faite de ruptures, d'accélérations et de silences" où se dessinent "des formes abstraites comme des signes à interpréter". C'est autour de ce motif poétique que se nouent les recherches artistiques des deux lauréats, qui souhaitent créer à quatre mains une "représentation sensible du passage du temps, du mouvement et des échanges et circulations au sein d'un espace", en alliant leurs pratiques de l'image et de la musique. Édouard Taufenbach né en 1988. Régis Campo, est de vingt ans son aîné. Ils se sont rencontrés au printemps dernier, suite à l'annonce du lancement de la 4e édition du Prix Swiss Life à 4 mains.

Disponible

35.00 €

Le Jardin De Pierres

BB

Disponible

20.00 €

Le Mont Né

BB

Disponible

30.00 €

Le Temps Present

BB

Pascal Grimaud bouscule et met à mal ces lieux communs rassurants. Quittant les circuits balisés, il emprunte des chemins de traverses et nous fait voir tout autrement une partie de la Provence et de ses villages. Ses photos sont comme l'image inversée des clichés d'une région consacrée aux vacances et aux loisirs pour touristes et gens de passage qui ne restent pas longtemps et ne connaissent pas vraiment ceux qui y vivent et y travaillent l'année durant.À l'inverse des villages de carte postale, la beauté des paysages, la présence et la vie des habitants n'effacent pas un sentiment de vide et de sourde angoisse qui émanent de nombre de ses photos : des rues, des places, des carrefours sont déserts

Disponible

35.00 €

Les Histoires qu’on se raconte, et celles qui ont lieu

BC

[...] Nos visages fatigués, éclairés par le halo du GPS, un fond de radio et les phares qui laissent deviner les silhouettes de quelques chevaux autour. On gare la voiture au rythme d'une lampe à détecteur de présence. Deux chiens nous accueillent, un hennissement au loin.Vider la voiture et défaire les bagages. Organiser le bivouac pour trois mois… T. B.

Disponible

10.00 €

Les Interstices

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Le projet Parce que c’est Nous, porté par la Villa Pérochon-Centre d’art contemporain photographique, a été co-construit avec le service psychiatrique de l’hôpital de Niort. Il associe toute l’équipe de la Villa Pérochon, une équipe de 5 personnels soignants dont le médecin-chef du service psychiatrique concerné, l’association Peppsy qui gère la P’tite Cafète et la Radio Pinpon. Frédéric Stucin a été choisi parmi 80 dossiers de candidature pour développer son projet de « portrait porte-rêves », portraits de patients de la P’tite Cafète, lieu de convivialité au sein de l’hôpital dont l’accès est conditionné à une prescription. La résidence de création est en place et court sur toute l’année 2021 au rythme d’une semaine par mois.  L’objet final est une exposition et un livre retraçant ce travail documentaire mettant en avant une certaine réalité du milieu psychiatrique en France. Un regard singulier, bienveillant sans compassion ni voyeurisme. Non pas un livre souvenir, ni un livre cadeau aux participants et aux institutions mais un livre mettant en valeur l’écriture du photographe, les démarches sociales, artistiques et sanitaires. Ce livre de photographies sera accompagné de textes significatifs, d’un théoricien de la photographie, d’un thérapeute et voire de divers témoignages). La Villa Pérochon, centre d’art contemporain photographique, reconnu d’intérêt national par le ministère de la culture et un des services psychiatriques de l’hôpital de Niort invitent un.e artiste photographe en résidence de création/médiation. En immersion au sein de la P’tite Cafète, lieu de convivialité au sein de l’hôpital, accessible sur prescription, l’artiste ira à la rencontre des patients acteurs incontournables de ce projet. La P’tite Cafète est un lieu propice à la rencontre et aux expériences sociales. Elle fonctionne comme un bar associatif. C’est un lieu de soins suffisamment sécurisant pour que l’expérience de l’autre puisse avoir lieu. Exposition à la Villa Pérochon à Niort, du 29 avril au 2 septembre 2022. Deux autres expositions 2022/2023 à la galerie Stimultania à Strasbourg puis au Musée Nicéphore Niépce à Chalon sur Saône.

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30.00 €

Les Portes de Givre

BC

Les Portes de Givre de Sabine Mirlesse était une série de sept passages gelés sculptés par les vents de l'Atlantique durant l'hiver 2022/23. Cette installation éphémère de Land Art a été inspirée par la découverte des travaux d'ingénierie de son grand-père sur le comportement du givre en altitude dans les années 1930 et est un clin d'oeil au temple Gallo-Romain de Mercure, lieu de pèlerinage depuis des siècles au sommet du volcan du Puy de Dôme, situé de manière unique au-dessus des brumes et des nuages. Sept portails ont été installés selon la constellation des Pléiades, et conçus afin de stimuler les formations de glace et de givre dues au micro-climat, lesquelles croissent pour ensuite fondre avec l'arrivée du printemps. Cette oeuvre est la première installation d'art public de Mirlesse et fait partie du programme Mondes Nouveaux du ministère de la Culture. À l’origine de cette oeuvre, il y a la découverte d’une boîte de souvenirs que Sabine fait durant le confinement. Une boîte qui contient de vieilles photos énigmatiques. L'artiste se remémore avoir trouvé "des négatifs des années 1930, en noir et blanc, juste des formes un peu blanches, du givre, du gel, de la neige, une topographie de paysages qui correspondait plutôt à un terrain volcanique." Sabine découvre avec une certaine émotion que ces photos ont été prises par son grand-père, aux alentours de 1936. Son aïeul était alors ingénieur en mission sur le puy de Dôme, pour étudier les effets du givre sur les ailes d’avion. Ses portes de givre, Sabine Mirlesse les a installées au sommet du puy de Dôme avec une envie : laisser les éléments les façonner, et créer un dialogue entre l’art et la nature. Ces curieuses structures de métal ont été installées au sommet du puy de Dôme. Une oeuvre d’art assez unique puisqu’elle réagit aux aléas de la météo, en captant le givre et fonctionne comme un thermomètre, face au réchauffement climatique. Sabine Mirlesse, l'artiste, décrit sa sculpture comme une oeuvre changeante : "C’est assez surprenant, à chaque fois que je monte, c’est différent, je ne sais pas exactement à quoi m’attendre. C’est la prévision de l'imprévisible."

Disponible

30.00 €

Lisa Sartorio

BC

Formée à la sculp­ture à l’École des beaux-arts de Paris et à l’Ins­ti­tut des Hautes Études en Arts Plas­tiques, Lisa Sarto­rio a fait évoluer son travail vers la perfor­mance et les arts visuels. Son travail photo­gra­phique ques­tionne l’im­pact des images docu­men­taires au sein de nos socié­tés consu­mé­ristes. Leur circu­la­tion déma­té­ria­li­sée et leur hyper repro­duc­ti­bi­lité contri­buent à une consom­ma­tion de masse entraînant dans leur sillon un oubli des conte­nus et la perte du sens de ce que l’on voit. Si l’im­pact de ces images docu­men­taires est devenu obso­lète, comment redon­ner alors, à voir, à penser cette image passante ? [...] Comment redonner aux images de guerre trop médiatisées leur force de témoignage ? Lisa Sartorio les fait transiter plastiquement d’une forme de fluidité à une présence tactile entre peau et écorce. Le modèle de l’arbre généralisé lui sert aussi à créer des paysages-limites qui redonnent corps aux événements les plus sombres du xxe siècle.Dans une constance expérimentale de fiction documentaire, en recherche de rémanence, elle nous amène à repositionner ainsi notre rapport à l’image et à l’Histoire. C. G. Le Champ des Impossibles est une plateforme artistique et un outil culturel ambitieux de développement du territoire. Au service du public, il a pour mission de soutenir les artistes dans leurs créations, de conserver leurs oeuvres et de les diffuser auprès du plus grand nombre. Il s’agit de favoriser dans le Perche, en milieu rural, la diffusion de l’art contemporain et la médiation culturelle nourries par un dialogue vivant avec les artistes. Ce projet de territoire utilise l’art contemporain comme terrain partagé afin de créer du vivre ensemble en assurant la circulation des idées et des artistes. Les résidences de la Slow factory sont un axe majeur de cette stratégie. Les invitations guidées par le regard de Christine Ollier sont des temps de création passionnants, de rencontres et de croisements d’horizons.

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10.00 €

Livret militaire

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En décembre 1980, Philippe Graton, dix-neuf ans, est appelé sous les drapeaux pour effectuer son service militaire. Il est incorporé au 8e Régiment d'Infanterie à Noyon, dans l'Oise. Pendant un an, il ne se séparera pas de son appareil photo (argentique à l'époque) et saisira des instantanés de sa vie d'appelé du contingent. À l'occasion du vingt-cinquième anniversaire de la disparition du service militaire, les éditions Filigranes rassemblent ces photographies inédites, témoignage exceptionnel sur cette institution qui marqua le vie des Français depuis sa création à la Révolution française jusqu'à son abolition par Jacques Chirac en 1996.

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15.00 €

Madame Yvonne

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«Madame Yvonne», photographe ambulante, a sillonné le Trégor rural sur son vélo pendant plus cinquante ans. De 1902 à 1952, elle est allée photographier sur demande les enfants, les familles, les mariages, les battages, les fêtes, les communions, les soldats, les morts, les jeunes et les vieux. Née en 1878, Yvonne Kerdudo est montée à Paris dès l'âge de 15 ans pour travailler. À travers différentes rencontres elle est venue à la photographie et a été formée par les frères Lumière dans les premières années du siècle. Revenue sur son territoire de naissance aux alentours de 1908, elle s'est installée à son compte et a travaillé jusqu'en 1952, deux ans avant son décès en 1954. Figure emblématique du canton, «?Madame Yvonne?» est connue de tous les anciens et ses clichés sont encore exposés dans les salles à manger familiales autour de Plouaret. En 2005, une de ses petites-nièces, en possession de ses archives, nous a contactés. La Compagnie Papier Théâtre a acquis le fonds photographiqu

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40.00 €

Marc Pataut, de proche en proche

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Nourri de laccumulation dexpériences personnelles et collectives, le travail photographique de Marc Pataut (né à Paris en 1952) traite du rapport des individus à eux-mêmes et à la société, faisant apparaître à limage des visages, des corps, des appartenances, des parcours de vie. Sélaborant chacun sur une longue durée et sur un territoire spécifique, les projets menés par lartiste sont fondés sur la collaboration. Son processus de travail demeure ainsi en lien étroit avec un domaine dactivité, avec une situation sociale, avec lhistoire dun lieu, avec une époque. Constituée dune sélection dune quinzaine dessais photographiques réalisés entre 1981 et aujourdhui, cette publication montre loeuvre documentaire de Marc Pataut dans la relation politique quelle développe au temps, à la société, à lespace et au territoire. Entretien de Marc Pataut avec Jean-François Chevrier, Stefano Chiodi, Marianne Dautrey et Pia Viewing. Exposition au Jeu de Paume du 18 juin au 22 sept. 2020

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35.00 €

Mes Yeux Sont D'Aveugles Ciels

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Disponible

30.00 €

Moirage émeraude

BC

Dans le cadre de la rénovation menée entre 2017 et 2020, c’est le premier étage qui a fait l’objet de tous les soins. Les décors peints du xixe siècle ont été progressivement révélés et, unanimement admirés, ont désormais repris leur place dans l’histoire des lieux. Il en va de même pour le plafond peint du pavillon Maignan, qui accompagne les premiers pas des visiteurs dans le musée. D’autres zones, profondément remaniées, sans décor particulier, ont été traitées avec moins d’égards. Tendus vers l’objectif des travaux à réaliser, d’une réouverture à préparer, les acteurs du chantier n’ont sans doute accordé qu’un intérêt superficiel aux espaces les plus modestes, les moins apparemment chargés d’histoire. Ceux-là, pourtant, font partie du récit et ont eux aussi beaucoup à raconter ! Stéphanie Mansy, en se glissant dans le bâtiment, en s’appropriant avec douceur et autorité les espaces résiduels de ce pavillon en pleine réhabilitation, a attiré l’attention sur des murs oubliés.

Réimpression

12.00 €