Logo de Pollen

Photos trouvées

BC

"La petite photographie en noir et blanc et aux bords dentelés montre un jeune garçon dans une rue presque déserte. Au loin, on distingue à peine deux personnes assises devant le perron d’une maison. L’enfant a une main posée sur le guidon d’une trottinette en bois. Une des bretelles de sa salopette est tombée de son épaule. Il porte une chemise blanche dont les manches sont retroussées jusqu’au dessus des coudes. Il semble intrigué par quelque chose qu’il observe hors champ. Est-ce un insecte, une fourmilière, un chat ? Je ne sais pas. Je ne m’en rappelle pas. Ce petit garçon, c’est moi. A l’encre bleue, tout en bas de l’image, quelqu’un, sans doute mon père, a écrit "Goulette mai 56”. En voyant l’état délabré de la rue, je me demande comment une trottinette pouvait y rouler. La Goulette est une petite ville située à une dizaine de kilomètres de Tunis. Ma mère me racontait que c’est là-bas que nous passions nos vacances. Il paraît que les familles y faisaient en été un véritable exode, chargeant voitures et camions de presque toute leur maison pour meubler leurs locations de vacance. En 1956, j’avais quatre ans. Je reviens à cette photographie que j’ai toujours gardée avec moi depuis que l’ai redécouverte. Savais-je qu’un mois plus tard je serai dans un avion qui m’emmènerait à Marseille et qu’après cette étape ma famille s’installerait pour toujours à Paris ? Avais-je entendu mes parents en parler ?" [...] M.S. C’est une photo de mon enfance retrouvée par hasard qui a été le point de départ de ce projet Photos trouvées. Sans doute parce qu’en tant que plasticien je me suis tout particulièrement intéressé à la notion d’identité, les photos d’anonymes m’ont toujours fasciné. Certaines photos de famille ou de groupe semblent appartenir à un souvenir collectif. D’autres éveillent notre imaginaire car ne sachant rien des personnages posant sur ces images anciennes cela ouvre un champ d’interprétation qui s’étend à l’infini. Qui étaient-ils ? Que fut leur destin ? C’est justement parce qu’il est impossible de le savoir que je me suis amusé à donner vie, à inventer une histoire à ces inconnus. C’était comme offrir un dernier tour de piste à ces anonymes avant qu’ils ne retombent dans l’oubli.

Disponible

20.00 €

Planche(S) Contact #5, Festival De Photographie De Deauville, Edition 2014

BC

Disponible

15.00 €

Planche(S) Contact #8

BC

"Pour sa 8e édition, Planche(s) contact, rassemble, stimule, explore et partage une nouvelle fois de multiples visions d'une ville. Deauville se révèle, année après année, en se confrontant et en se prêtant à l'ensemble des pratiques et des écritures photographiques. Cette édition pose ""La plage de Deauville"" comme fil rouge du festival et de ses expositions. De sa relation avec la mode, aux nouveaux regards posés sur ceux qui s'y côtoient. C'est un espace aimé et adopté, depuis plus de trente ans, par Peter Lindbergh. Ses couleurs et ses lumières, inspirent agnès b. directrice artistique associée à cette édition, tandis que Claude Nori et Vasantha Yogananthan, photographes arpenteurs des plages méditerranéennes, explorent et restituent, avec leurs regards complémentaires, les réalités sociologiques des piscines et des cabines de bains de Deauville. Françoise Huguier, photographe venue de la mode, vient cette fois à la rencontre des deauvillais des logements sociaux."

Disponible

15.00 €

Planche(s) Contact #9

BC

Photographes présents dans ce catalogue : Isabel Muñoz, Liz Hingley, Isabelle Chapuis, Yusuf Sevinçli, Vincent Delerm, Pierre Cattoni, Franck Hédin 5 jeunes photographes : Samuel Lebon, Hugo Vouhé, Guillaume Noury, Mireia Ferron, Alexandre Chamelat. Pour sa neuvième édition, Planche(s) Contact compose une nouvelle mosaïque des identités d'une ville qui se donne pour sujet. En 2018, le festival de créations photographiques de Deauville capte les énergies d'une ville et les décline en pauses et en mouvements. Invité pour une carte blanche, Vincent Delerm, compose en images ses visions et souvenirs de Deauville, une des plages de son enfance. Il investit et transforme la salle des fêtes en exposant ses photographies et en invitant les photographes, Pierre Cattoni et Franck Hédin à le rejoindre. Tous trois mettent en scène les silhouettes et les visages de ceux qui arpentent Deauville et ses espaces dans une salle des fêtes rebaptisée pour l'occasion : Deauville est une fête.

Disponible

15.00 €

Planches Contact #12

BC

"Planches Contact s’est positionné depuis sa création comme l’un des rares festivals dont la production est fondée sur le principe de la commande publique ; au fil des années il est devenu un véritable laboratoire d’observation du territoire par l’image. Sa 12e édition confirme plus que jamais la singularité du festival par la production et la présentation d’oeuvres réalisées par des photographes choisis et invités à Deauville, en résidence de création, dans les mois qui précèdent son ouverture au public. A travers ses expositions en intérieures, dans le nouvel établissement culturel Les Franciscaines et un parcours à ciel ouvert d’expositions en extérieur, Planches Contact offre à tous les regards un aperçu de la complexité et de la richesse de la scène photographique contemporaine." 12e édition 23 octobre 2021 au 2 janvier 2022 Planches Contact s'est positionné au fil des années comme l'un des rares festivals dont la production est fondée sur le principe de la commande publiqu

Disponible

20.00 €

Planches Contact #14

BC

Le festival Planches Contact est une invitation à l'évasion, où la photographie prend une dimension extraordinaire. Basé sur des commandes publiques, il accueille des photographes internationaux en résidence annuelle. Leurs oeuvres, présentées en grand format dans toute la ville, stimulent la création artistique tout en offrant une perspective unique sur l'évolution du territoire. Le festival Planches Contact 2023 aura le plaisir d'accueillir en résidence une sélection d'artistes de renom, parmi lesquels Jacopo Benassi, Luca Boffi, Elina Brotherus, Olivier Culmann, Omar Victor Diop, Max Pam, Jean-François Spricigo, Salvatore Puglia, Margot Wallard et Matt Wilson. Outre ces résidents, le festival a également invité des artistes d'exception. Parmi eux figurent Robert Doisneau et Malick Sidibé, des légendes de la photographie, ainsi que The Anonymous Project et Olivier Goy, des talents contemporains apportant des perspectives uniques au domaine de la photographie. En collaboration avec la fondation Photo4Food, le festival a également invité Carline Bourdelas, Benjamin Decoin, Thomas Jorion, Sandra Matamoros et Julien Mignot. Ces artistes, par le biais de leur travail, contribuent à sensibiliser à des questions cruciales de notre époque. Et enfin, dans le cadre du programme Tremplin Jeunes Talents, le festival sera honoré de présenter le travail de cinq jeunes photographes prometteurs: Ousmane Goïta, Julia Lê, Carlo Lombardi, Isabelle Scotta et Sidonie Van Den Dries. Ces jeunes talents apportent un souffle de fraîcheur et une nouvelle perspective au monde de la photographie. Le festival Planches Contact de Deauville, fondé sur le principe des commandes publiques, accueille des photographes du monde entier en résidence pour documenter le territoire sous de nouvelles perspectives. Les oeuvres produites sont ensuite exposées en grand format en divers endroits de la ville, créant ainsi une galerie en plein air. Le festival facilite la création artistique et offre une documentation visuelle unique de l'évolution de Deauville. Il se distingue par sa capacité à transformer l'environnement urbain en une scène artistique ouverte, tout en incitant à un dialogue créatif continu entre les artistes et le territoire. Directrice artistique Laura Serani.

Réimpression

25.00 €

Planches Contact #15

BC

Depuis sa création le festival de photographie de Deauville,Planches Contact soutient la création à travers un programme de résidences surla Normandie dans son ensemble comme territoire d’exploration pour les artistesà travers leurs recherches personnelles et leurs questionnements surl’environnement, le territoire et les habitants qui le façonnent. Lefestival se construit autour des travaux inédits d’une vingtaine d’artistesinternationaux invités en résidences, émergents ou confirmés, présentés dans desinstallations conçues expressément. Ainsi la photographie investit la ville etla plage en hiver ainsi que des espaces muséaux : les Franciscaines et le Pointde Vue, dans des parcours d’auteurs qui redessinent l’espace public. Pour sa quinzième édition, le festival poursuit ses engagements, envers lesartistes à travers la production et la diffusion de la photographie auprès depublics variés. Le festival participe également à la constitution d’unecollection photographique pour la Ville de Deauville valorisant le travail desphotographes sur la Région, conservée et portée par le Pôle Photographique desFranciscaines tout au long de l’année. En parallèle desexpositions, le festival offre une programmation riche à destination de tous lespublics avec notamment des rencontres régulières avec les artistes, desconférences et tables rondes, une offre à destination du jeune public et dupublic scolaires, des workshops et ateliers pour amateurs ou confirmés. <br/> Invité : Dominique Issermann Invités en résidence: Coco Amardeil, Alessandro Calabrese, Sara Imloul, Patricia Morosan, JulienMignot, Richard Pak, Bettina Pittaluga, Philip Toledano, Huang Xiaoliang<br/> Invités en résidence avec la fondation photo4food : Joan Alvado, SophieAlyz, Eric Bouvet, Corinne Vachon Tremplin Jeunes Talents : NicolaFioravanti, Cloé Harent, Maximilien Schaeffer, Rachel Seidu, Marie Wengler<br/> Le siècle des vacances De la villégiature au tourisme de masse –Photographie de la collection Fnac : Jacques-Henri Lartigue, Robert Capa, HenriCartier-Bresson, William Klein, Dolores Marat ou Martin Parr... Cette expositionest à la fois un témoignage de l’évolution du langage photographique et de lanotion de vacances.

Réimpression

25.00 €

Plossu/Granet - Italia discreta

BB

Le musée Granet a conçu une exposition consacrée à l'artiste Bernard Plossu sur le thème de l’Italie. Une centaine de photographies seront exposées, la plupart inédites, couvrant la période de la fin des années 70 à 2017. Si l’artiste est célèbre pour ses clichés utilisant de façon quasi exclusive le noir et blanc dès 1965, il a pu expérimenter la couleur au gré de ses voyages à travers un procédé pigmentaire particulier, le tirage Fresson, découvert en 1967. Ces tirages mat au charbon, connus dans le monde entier, donnent un rendu granuleux, doux et presque poudré à ses photographies. Ce magnifique ensemble sera mis en regard avec une soixantaine de lavis, aquarelles, différentes vues de la ville de Rome et de ses alentours réalisées par le peintre emblématique de la ville d’Aix, François-Marius Granet (1775-1849) dans la première moitié du XIXe siècle. Les deux artistes partagent en effet les mêmes sujets de prédilection, ce même intérêt pour la Ville éternelle et l’Italie, pour ses ruelles chargées d’histoire, de culture, de mémoire, ces paysages suspendus dans le temps, urbains ou naturels, empreints de solitude. Le traitement de la lumière, des ombres à travers des lavis en clair-obscur pour le peintre et par la photographie argentique pour le photographe, les cadrages, les motifs, tout évoque la force de ce thème classique qui devient un archétype à travers les siècles. L’exposition se développera selon trois thématiques : paysages et vedute, Rome città, pictorialisme et Fresson. La liste des lieux de la campagne romaine que François-Marius Granet explore depuis la Ville Éternelle où il résida durant presque 30 ans (de 1802 à 1824 puis en 1829-1830) dit son âme de découvreur, d’explorateur : Frascati et la villa Aldobrandini, Subiaco, Tivoli, Rocca di Papa, Caprarola. Bernard Plossu, dans sa démarche de photographe-marcheur, fait une expérience similaire lors de ses traversées des Alpes vers la France, qui le conduisent le long du littoral génois et des îles, vers la Toscane (Sovana, Lucques, Florence, Sienne, Pitigliano) puis Rome. Exposition du 29 avril / 28 août 2022, Musée Granet à Aix-en-Provence

Disponible

29.00 €

Plumassiers

BC

Cet ouvrage révèle le monde des plumassiers qui ont confié les secrets de leur métier au photographe designer Rip Hopkins. Peu connus du grand public, les plumassiers cultivent la discrétion et restent dans l'ombre, par modestie et par souci de conserver leur précieux savoir-faire, transmis de génération en génération, souvent au sein de la même famille. Rip Hopkins nous emmène en Afrique du Sud, source des plumes d'autruche, omniprésentes depuis la naissance du métier, avant de remonter la filière en passant par la France, l'Angleterre, la Belgique et l'Italie, au fil des rencontres. Les textes relatent maintes façons et techniques employées pour travailler les plumes, qu'il s'agisse d'un plumet de chapeau militaire, d'un boa de cabaret, d'une couette de lit ou d'un hackle - enrouler une plume autour d'un hameçon afin d'en faire une mouche sèche qui va flotter sur la surface de l'eau pour attraper une truite. Un rare livre sur un sujet qui n'a pas été traité depuis plus de cent ans. Peu connus du grand public, les plumassiers cultivent la discrétion et restent dans l'ombre, par modestie et par souci de conserver leur précieux savoir-faire, transmis de génération en génération, souvent au sein de la même famille. Rip Hopkins nous emmène en Afrique du Sud, source des plumes d'autruche, omniprésentes depuis la naissance du métier, avant de remonter la filière en passant par la France, l'Angleterre, la Belgique et l'Italie, au fil des rencontres. Les textes relatent maintes façons et techniques employées pour travailler les plumes. Un rare livre sur un sujet qui n'a pas été traité depuis plus de cent ans. Exposition au musée Paul-Dupuy de Toulouse, du 12 mai au 10 novembre 2023.

Disponible

30.00 €

Plumes

BC

Le photographe Julien Magre a capté l'essence de l'univers de la plume dans son travail photographique récent. Avec une approche personnelle et artistique, Julien a su capturer les détails les plus subtils de la plume et les transcender en quelque chose de véritablement émouvant. La sensibilité de Julien à l'art de la plume a fait ressortir sa créativité et sa vision personnelle, donnant vie à des images qui captivent l'attention et touchent l'âme. Ce travail photographique de Julien Magre est un véritable chef-d'oeuvre qui montre sa passion pour la beauté et la poésie de l'univers de la plume. Julien Magre, photographe talentueux, a réalisé un travail photographique captivant sur l'univers de la plume en utilisant son approche intime et son regard personnel. Il a choisi de se concentrer sur cet objet fascinant en le plaçant sous un nouveau jour, en expérimentant avec des plumes qu'il a glissées dans l'agrandisseur du laboratoire photographique. Le résultat est exceptionnellement singulier et offre une vue unique sur un objet souvent considéré comme banal. La créativité et la vision artistique de Julien Magre se reflètent dans chaque image, créant un univers à part entière autour de la plume. C'est un travail photographique réellement remarquable qui mérite d'être découvert. Julien Magre est un photographe qui capture des images de rêves en état de sommeil paradoxal. Il utilise des plumes comme un "capteur de rêve" pour donner corps à l'insaisissable. Il s'immerge dans l'obscurité pour mieux voir, travaillant avec son tireur Fred Jourda dans une chambre noire. Il enchâsse les plumes dans l'agrandisseur pour les percer avec la lumière, ce qui libère de l'énergie et permet une vision profonde du monde des plumes. Il met en place un protocole d'expérience pour explorer la matière des plumes à plus grande échelle. Exposition au musée Paul-Dupuy à Toulouse, du 12 mai au 10 novembre 2023.

Disponible

30.00 €

Prix photo, mode d’emploi

BC

Chantal Nedjib, consultante en image par la photographie, et Sophie Bernard, journaliste spécialisée en photographie, se sont associées pour écrire un guide pratique des prix, résidences, bourses et autres récompenses professionnelles dédiées à la photographie. Ce livre s’adresse principalement aux photographes et mécènes, et plus largement à l’écosystème de la photographie. Un ouvrage mode d’emploi pour décrypter les règles et usages des prix afin d’en tirer le plus grand bénéfice et éviter les pièges. Pourquoi une nouvelle édition ? Après une première édition parue en 2019 réalisée sur la base d’une étude auprès de soixante-dix professionnels, Sophie Bernard et Chantal Nedjib proposent une deuxième édition complétée d’un chapitre sur les Résidences. Des interviews supplémentaires enrichissent l’ouvrage. L’inventaire des prix recensés a été mis à jour et une liste des principales résidences a été ajoutée.  Pour étayer leurs points de vue, elles ont interrogé 200 professionnels – responsables d’institutions, commissaires d’exposition, éditeurs, galeries, photographes, observateurs, mécènes, journalistes et collectionneurs – sur l’impact des principaux prix français reconnus dans le secteur de la photographie. 70 d'entre eux ont apporté leurs éclairages et commentaires : - Quels regards ces acteurs portent-ils sur les prix ? - Comment évaluer la qualité et le succès d’un prix ? - Quels bénéfices en tirent les entreprises, mécènes partenaires, photographes, institutions, galeries, festivals, etc.? Toujours conçue comme un guide pratique, cette deuxième version dresse une typologie des résidences. Elle examine les points à maitriser pour bien les choisir, y postuler et bien les concevoir. 

Disponible

23.00 €

Proche

BB

Proche est une étape d'un travail au long cours sur les prisons françaises et aborde cette fois la politique de l'enfermement en France par l'absence et le creux, sans jamais montrer la prison mais en mettant en regard ses réalités adjacentes, résiduelles, marginales. Proche est une tentative artistique, utopique, destinée à sortir les personnes détenues de leur isolement en s'intéressant aux zones de contact entre la Cité et la Prison, à ces corps intermédiaires, interstices ténus où se révèlent les liens fragiles entre les prisonniers et la société qui les enferme. Depuis 2016, l'auteur s'immerge dans les rêves de personnes détenues, collectés dans une correspondance épistolaire et dont les lectures par des anonymes sont filmées dans Mon rêve familier, il photographie les Périphéries carcérales, espaces attenants à une vingtaine de nouveaux lieux d'enfermement en France et fait le portrait de proches de personnes détenues à Strasbourg, photographiés à la sortie des parloirs dans la s

Réimpression

30.00 €

Quadrille

BC

Le festival Portraits de Vichy a confié à la photographe Letizia Le Fur une résidence artistique avec pour sujet les seniors actifs. Letizia est d'abord enthousiaste, mais très vite anxieuse à l'idée de travailler avec des personnes qu'elle connaît peu. Elle décide alors de traiter le sujet avec légèreté, jeu et humour en utilisant le motif du carreau vichy comme quête absurde et littérale. En arrivant à Vichy, Letizia rencontre Jeany, Jean-Paul, Marie-Alice, Nicole, Ginette, Titi, Bernie, Coco.... Petit à petit, elle découvre leurs histoires, leurs personnalités, leur humour et se passionne pour leur parcours et leurs engagements. Elle est comme transformée et découvre le troisième âge avec un sincère intérêt. Pendant la résidence, les seniors se prêtent au jeu photographique de Letizia avec confiance et générosité, révélant leur talent caché d'acteur ou leur timidité adorable. En rentrant à Paris, Letizia se surprend à sourire à une dame plus âgée, réalisant que les seniors sont des jeunes avec beaucoup d'expérience. Elle remercie les seniors pour lui avoir fait prendre conscience de cela et pour lui avoir donné envie d'avancer joyeusement dans l'âge.

Disponible

27.00 €

Quand la photographie pense la forêt

BC

La forêt fascine les photographes contemporains. Elle les attire, pour ses formes enchevêtrées ainsi que pour ses fonctionnements biologiques, de sorte qu’elle les pousse à expérimenter sur le motif certaines options plastiques ou techniques. Elle est également support de mythologies ou de fantasmes qui peuvent être repris – ou déconstruits – par les artistes. Dans le même temps, les zones arborées se présentent comme des espaces hybrides, pour partie créés par les hommes, dont la patiente investigation permet de constater les conséquences de choix économiques, comme de penser des comportements sociétaux, des évolutions culturelles et des relations à la nature.

Disponible

23.00 €