Logo de Pollen

Bellamy Bellamy

BC

Bellamy/Bellamy. Un nom, deux personnes ? trois ? quatre ? Le projet éditorial Bellamy/ Bellamy s’inscrit dans la lignée des contes, des mythologies, histoires dans lesquelles les secrets de famille sont omniprésents. Une problématique humaine récurrente et passionnante. Des récits où chaque protagoniste a sa vision, sa “version” de l’histoire. Bellamy / Bellamy c’est une histoire. Photographique. Artistique. Graphique. Éditoriale. Il s’agit là, donc, d’une histoire de point de vue. En effet, ce projet est d’abord le travail photographique d’Alexandra Bellamy autour de son secret de famille, autour de Claude, Dieter et de Mother. Mais aussi de Carine et les autres. Après un long parcours personnel et photographique, Alexandra Bellamy a rassemblé dans un dossier, les photographies des lieux de son enfance, des portraits et des archives. Certains supports sont donc photographiques et d’autres sont issus de captations vidéo et sonores prises également par elle.

Réimpression

30.00 €

Braguino Ou La Communaute Impossible

BC

Braguino est le nom d'un petit village en Sibérie, où vivent aujourd'hui en autarcie deux familles issues d'une communauté de vieux-croyants orthodoxes, qui refusent l'autorité de l'État et de l'Église. Clément Cogitore est parti à leur rencontre, à la recherche de cette "communauté impossible" et recluse. Plongé dans un installation conçue comme une forêt photographique et filmique, le spectateur sera invité à "vivre une expérience de la sensation, une traversée d'un monde où le paysage, le végétal, l'humain et l'animal cohabitent dans un ensemble chaotique, brutal, libre et lumineux." Clément Cogitore Actualités cet automne autour du livre - Exposition au Bal du 14 septembre au 23 décembre 2017 - Sortie du film en salle début novembre - Diffusion du film sur Arte à la mi-novembre - Sélection du film au FIDMarseille 2017 (compétition internationale) - Film sélectionné au festival de Locarno. - France Culture, une création/fiction d'une 40 minutes diffusé à l'ouverture de l'expo.

Disponible

35.00 €

C'était un homme de mer

BB

C'était un homme de mer est une conversation iconographique et poétique entre Thierry des Ouches, photographe de renom et Peintre officiel de la Marine, et le poète Louis de Lestanville, qui signe ici son premier recueil. À la manière d’un concerto pour deux instruments, textes et images s'éclairent et se répondent dans un dialogue épuré et contemplatif qui compose au fil des pages un hommage commun à la mer. L’ouvrage est né de la rencontre entre Louis de Lestanville, passionné de longue date par l’œuvre photographique de Thierry des Ouches, et le photographe, qui a été séduit par l’écriture profonde et musicale du poète. Les deux artistes partagent la même recherche de l’immuabilité, le goût de saisir l’âme des lieux et des choses, à travers des récits à la lisière du quotidien ordinaire et de la rêverie imaginaire. En célébrant l’élément marin, les auteurs ont également souhaité souligner sa fragilité.

Disponible

35.00 €

Camille Falet

BC

VISITE DE MARYHILL Nous quittons Elin sur Great Western Road. Au sol, devant une vitrine abandonnée, de petits carrés de verre forment un tapis rectangulaire ou encore des cercles qui couvrent une partie du trottoir. Il s'agit d'un système d'éclairage pour les réserves en sous-sol, m'explique Mark. Je l'ai rencontré le matin même, et il m'a généreusement proposé une balade dans ce qui s'avère être le quartier de son enfance. Pour commencer, il me dévoile, dissimulée derrière des arbres, sur un parterre coincé entre des rampes d'accès autoroutier et une sortie de métro, une sculpture de saint Georges terrassant le dragon. Il me dit qu'elle était perchée en haut d'un grand bâtiment aujourd'hui détruit, et qu'un artiste dont j'ai oublié le nom a largement contribué à la sauvegarde de ces pierres. Ayant la ville tardocapitaliste pour motif central, l'exposition en explore zones de friction et lignes de fracture. L'espace urbain apparaît comme une entité en perpétuelle mutation, champ de

Disponible

15.00 €

Carnets de la ZAD

BC

La ZAD de Notre-Dame-des-Landes défraie la chronique depuis plusieurs années et personne n'en a jusqu'alors reìveìleì la véritable nature. De 2014 aÌ 2019, Philippe Graton a parcouru la ZAD de l'intérieur, photographiant au moyen-format argentique cet univers et la vie quotidienne de cette socieìteì alternative. Cet engagement dans la durée nous donne aujourd'hui une oeuvre photographique exceptionnelle, une restitution unique et historique de cette expérience marginale dont l'inteìren'a jamais étéì aussi actuel. Ce livre dévoile plus de quatre-vingts photographies inédites, ainsi qu'une retranscription des notes de terrain de l'auteur, aÌ suivre comme une aventure.

Disponible

30.00 €

Castellane

BC

Castellane est le premier livre du photographe Teddy Seguin. Il rassemble des photographies en noir et blanc réalisées dans la Cité de La Castellane, quartier réputé "difficile" de la banlieue Marseillaise, entre 2014 et 2018, période pendant laquelle ont lieu d'importants travaux de réaménagement dans la cité. Le travail de Teddy Seguin rend d'une part compte de cette mutation, montrant d'autre part - à l'encontre de certains poncifs véhiculés notamment par les médias - le quotidien tout en nuances des habitants du quartier. Les photographies sont accompagnées d'un texte de Youssouf Djibaba Castellane est le premier volet d'Insulae, projet au long cours sur l'insularité. Teddy Seguin poursuit actuellement son travail à Castagniccia (Corse), Terre-neuve et à l'île de la Natividad (Basse Californie). Restitution de 4 années de travail dans la cité de la Castellane à Marseille et deuxième chapitre du cycle Insulae sur lequel Teddy Seguin travaille depuis une dizaine d'années.

Réimpression

23.00 €

Cavale

BC

Photographe, auteur et musicien, Nicolas Comment est un habitué des voyages sentimentaux et autres errances photobiographiques. Ses séries ont pour théâtre Mexico, Prague ou Tanger, ces lieux mythiques, antres littérairesâ€- "Cavale" s'inscrit dans cette tradition de la "déambulation psychogéographique". Balade géopolitique, fiction intime. Nous sommes en 2019. Laura Serani, directrice artistique du festival Planche(s) Contact invite Nicolas Comment en résidence artistique à Deauville. Ainsi commence "Cavale" : une série photo-littéraire protéiforme qui se lit comme un tableau à entrées multiples contant la cavale imaginaire d'une femme qui se libère de ses liens ; incarnée par Milo McMullen. Des photographies, accompagnées d'un texte mis en musique, le "ciment qui relie les images entre elles". Mais surtout un cénacle d'écrivains, de cinéastes, femmes libérées et autres voyous en référence. Nicolas Comment photographie au passé et au futur un Deauville hanté de fantômes illustres.

Réimpression

20.00 €

Chiens de Lanester

BB

Un trombinoscope des chiens du quartier En attendant de travailler sur de futurs aménagements, Olivier Leroi propose un projet intermédiaire mettant tous les chiens du quartier à l’honneur. En mars 2021, dans la ferme de Kerfrehour, la Maison de quartier, ont défilé 80 chiennes et chiens pour venir s’y faire portraiturer par l’artiste, accompagné du photographe Guillaume Le Baube. L’inventaire photographique exhaustif de la population canine du quartier est le sujet de ce livre. En photographiant leurs chiens, Olivier Leroi révèle la présence des habitants, comme la photo d’une grande famille. Une mise ludique jouant sur la taille des chiens. On commence par le plus petit Loulou et on termine par Titou. Les cinquante-cinq chiens du quartier de Kerfréour (Lanester 56660) se sont donnés rendez-vous pour se faire tirer le portrait dans le laboratoire improvisé de la ferme du quartier, du plus petit chien du monde (chihuahua) au plus grand chien du mode (lévrier irlandais). Tous se sont agréablement plié au jeu des échelles en montrant leur meilleur profil. Aussi on peut voir dans le reflet de leur oeil la présence attendrie et pudique de leur maître. Ce livre a été réalisé par Olivier Leroi grâce à la Fondation de France (programme nouveaux commanditaires ) piloté par Éric Foucault (Eternal network) et soutenu par la ville de Lanester dans le cadre d’un programme de réhabilitation du quartier de Kerfrérour. L’artiste Olivier Leroi, qui lui semble convenir au contexte. Tour à tour dessinateur, sculpteur, vidéaste..., il travaille toujours en écho au milieu où il intervient, avec les outils du langage, des formes et des lieux pour en réaliser une oeuvre qui s’affranchit de tout contexte sociologique. C’est le décalage qui l’intéresse, que ce soit par le biais de l’humour ou de la poésie.

Disponible

25.00 €

Chroniques de l’oiseau perdu

BC

Les images de la photographe Christine Lefebvre semblent plus arrimées au corps qu'au langage. Elles s'apparentent à des champs magnétiques qui convergent des forces, affectent leurs sens et leurs directions. L'artiste les déploie entre les pages d'un livre qu'elle a construit comme un poème, ses espaces blancs les exposant à l'ouverture du sens. Les photographies sont des visions arrachées à l'écoulement du temps. Lors de ses promenades, loin de la ville et des hommes, ce que la photographe sent monter comme une sève au contact d'un arbre, d'une falaise ou d'un glacier se fixe à main levée, en quelques secondes et par fragments impulsifs. Le choix de l'oiseau comme protagoniste de ses chroniques provient du souvenir de lecture d'un célèbre conte mystique persan écrit au XIe siècle. La Conférence des oiseaux raconte l'épopée d'un groupe d'oiseaux perdus, en quête de vérité. Les photographies présentent des paysages immémoriaux rythmés par les battements d'ailes des oiseaux, contrastant avec les solides reliefs de paysages pétrifiés. Elle est ce "rêve de pierre" qu'évoqua Baudelaire, témoin d'une révolution où la terre, source première de toute création, perdait son aura et se figeait en objet. L'oeuvre de Lefebvre est une élégie, mais compose aussi une ode à une nature restauratrice des liens avec les cycles, avec le rythme des saisons. [extraits] Marguerite Pilven Ce livre de photographie captivant de Christine Lefebvre, nous transporte dans un monde de beauté, de tristesse et de nostalgie. Les images saisissantes capturées dans ce livre racontent l'histoire de la nature, de la vie et de la mort, tout en célébrant la beauté fragile de notre monde. Les photographies de Lefebvre sont poétiques dans leur composition, leur lumière et leur texture. Chaque image est une histoire en soi, racontant une histoire unique de la nature qui se transforme, de la faune et de la flore qui disparaissent. Les nuances de couleurs et les textures sont magnifiques, offrant un véritable plaisir visuel. En résumé, Chronique de l'oiseau perdu est un livre de photographie sensible et captivant. C'est un véritable hommage à la nature et à la vie. En 2017 Filigranes à publié l'ouvrage L’entre temps de Christine Lefebvre.

Disponible

30.00 €

D'après photographies

BB

Auteurs du livre : Corentin Perrichot | Armelle Andrieu, Thibaut Gaborit, Coralie Moulin, Emmanuel Perez | Fabien Ribéry | Marc Loyon | Michel Collin | Hugo Garbil, Mewenn Hello, Sandra Hosten, Kelvyn James, Cléa Loret, Theo Prioul, Andréa Rampin, Enzo Rozé | Lise Lerichomme | Laurène Alleaume, Katherine Coat, Michel Coquelle, Juliette Fournier, Danièle Jegou, Philip Koci, Alicia Laurent, Henri Leray, Marie Mercier | Jean-Luc Maillard, Jean-Yves Morel, Christophe Schilliger l Cédric Bossard, Patrick Edeline, Jean-Pierre Le Goulven, Claude Le Port, Martine Rolez | Caroline Guittet Le présent livre, dirigé par Guillaume Bonnel est consacré à l’Observatoire photographique des paysages d’Ille-et-Vilaine, il tente de prendre cette idée au pied de la lettre. Plutôt que de présenter linéairement ce que l’on appelle un « itinéraire photographique », parcours visuel qui incarne un territoire en images, il propose une expérience qui, prenant ces images pour point de départ, permet de leur prêter vraiment attention. Ce projet est une Commande pour le Conseil départemental d’Ille-et-Vilaine (35) et la DDTM Ille-et-Vilaine (observatoire en co-maîtrise d’ouvrage), itinéraire de 90 points de vues observatoire photographique de l’Ille-et-Vilaine.

Disponible

25.00 €

Dans l’intimité d’un territoire

BC

Le Champ des Impossibles est une plateforme artistique et un outil culturel ambitieux de développement du territoire. Au service du public, il a pour mission de soutenir les artistes dans leurs créations, de conserver leurs œuvres et de les diffuser auprès du plus grand nombre. Il s'agit de favoriser dans le Perche, en milieu rural, la diffusion de l'art contemporain et la médiation culturelle nourries par un dialogue vivant avec les artistes. Ce projet de territoire utilise l'art contemporain comme terrain partagé afin de créer du vivre ensemble en assurant la circulation des idées et des artistes. Les résidences de la Slow factory sont un axe majeur de cette stratégie. Les invitations guidées par le regard de Christine Ollier sont des temps de création passionnants, de rencontres et de croisements d'horizons.

Disponible

10.00 €

Dorica Castra

BC

Reliées par leurs motifs, comme les pièces d'un grand puzzle cartographique, elles créent des continuités de paysages et des lignes d'horizon qui permettent un cheminement du regard à travers les régions de France. Une chaîne de montagnes improbable s'est constituée dans laquelle les sommets des Pyrénées cohabitent avec ceux des Alpes et du Massif Central. Le littoral s'est développé par des collages successifs d'images de bords de mer où les côtes Atlantique pouvaient voisiner avec celles de la Manche ou de la Méditerranée. Des ponts de différentes générations traversent la carte, tout comme les routes, voies ferrées ou fleuves.

Disponible

27.00 €

Edouard Wolton

BC

[...] Car la lumière émane. Souvent je peins ces moments de passage. Aurores, crépuscules, aubes, et pénombres sont les temporalités que j’invoque le plus. Ces moments, à la lisière d’une visibilité écrasante de vérité, sont les territoires des apparitions, visions qui peuplent les mythes et légendes de plusieurs Cultures. C’est là qu’apparaît, fugace, le merveilleux. E. W. "La pratique picturale d'Edouard Wolton repose sur un thème directeur : la peinture de paysage ; plus précisément, la tradition du paysage composé, non pas peint d'après nature mais en atelier, à partir d'éléments de différents paysages pour composer un paysage imaginaire, idéal, une vue de l'esprit plutôt qu'une représentation réaliste.Ce que d'aucuns jugeraient hâtivement comme un genre désuet trouve au contraire, chez cet artiste, une singulière inventivité et un questionnement qui n'a rien perdu de son actualité. Doté d'une grande culture de l'histoire de la peinture - qui embrasse la Renaissance, le classicisme français, l'esthétique du sublime, le Romantisme, le luminisme... - Edouard Wolton se concentre sur l'idée d'une rationalisation de la nature, cette relation entre paysage et géométrie qui témoigne du désir ancestral de l'homme de comprendre et maîtriser la nature.

Disponible

10.00 €

El Bahr

BC

À Casablanca, entre la Grande Mosquée et le phare dEl-Hank, il y a un no mans land quune rude barrière de ciment sépare de la mer. Ici, lété comme lhiver, les bedaouis femmes, enfants, jeunes employés, couples, personnes âgées viennent regarder locéan. Cest ce que les gens dici appellent el bahr : «la mer» ou «la plage» (en arabe, les deux champs sémantiques se confondent)

Disponible

30.00 €

Enquêtes

BC

Certains photographes contemporains conçoivent leurs oeuvres comme des enquêtes menées sur le terrain (ou au sein des archives) et les dispositifs de restitution qu'ils proposent (livres, sites web ou installations) tendent à entraîner le spectateur dans un questionnement du réel. Leurs démarches signent ainsi un renouveau des pratiques photographiques documentaires. Les oeuvres de Lewis Baltz, Gabriele Basilico, John Davies, Emmanuel Pinard, Bertrand Stofleth, Thom & Beth Atkinson, Geoffroy Mathieu, Stéphanie Solinas, Mathieu Pernot, Catherine Poncin... illustrent cette tendance. Elles gagnent à être analysées selon un modèle pragmatique qui s'écarte de conceptions dualistes de la représentation et viennent dialoguer avec les méthodes adoptées en sciences humaines. Danièle Méaux, professeur des universités en esthétique et sciences de l'art à Saint-Étienne, est spécialiste de la photographie contemporaine. Elle est l'auteur de La Photographie et le temps. Le déroulement temporel dans l

Disponible

22.00 €