Sarrazine - n°22
BC
Sarrazine a, une fois encore, ouvert ses pages à des jeunes auteurs du Lycée que le confinement tenait enfermés et harassait fort, organisant un concours de courts textes qui vont de la nouvelle au poème.
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18.00 €
Sarrazine - n°23
BC
Dans des genres et des vocabulaires hétéroclites, le collectif d’auteurs de ce numéro aborde le thème du vide. Il est question de vide poétique autant que de vide métaphysique. Il n’est pas évident qu’il y ait eu un commencement et déclarer « au commencement était le vide », c’est postuler un continuum historique avec un début et une fin... ce qui est évidemment discutable.
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16.00 €
Scènes d'Hiroshima
BC
Ce livre puise son inspiration dans la catastrophe d'Hiroshima. Cependant, le lecteur ne trouvera que dans le « Cycle d'Hiroshima », série de cinq poèmes qui figurent en appendice au recueil, des allusions à la bombe atomique que les Américains larguèrent sur la ville du Japon le 6 août 1945 : c'est que ces textes sont avant tout une recherche sur la possibilité de dire l'Histoire. Peut-elle être objet poétique ? Peut-elle être l'objet d'un discours en dehors du présent et des fragiles êtres et objets du quotidien ?
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13.00 €
Scènes d'intérieur
BC
Quinze scènes dans lesquelles, un ou des personnages et des voix s'entremêlent, résonnent pour parler des sentiments dans l'intimité. Surgit un décalage, un écart, sorte d'empêchement ou d'interdit à dire ou à se dire.
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13.00 €
Soleil Grigri
BC
Quatre parties composent Soleil grigri. - « Quart vide, » poèmes en prose dans lequel la langue d'une grande précision, évoque un voyage au Yémen à la fin des années 70, début des années 80. Le locuteur est le compagnon et aussi le regard d'un aveugle. Portrait d'un homme et d'un pays traversé par les figures de Pasolini ou de la Reine de Saba. « Soleil Kinski » croque en quelques vers des petits textes faussement simples qui renouvellent par leur décalage le rapport à l'émotion. « Le Printemps s'appelle revient », poèmes en prose qui entremêlent impertinence, liberté thématique, sensibilité parfois farfelue, humour et métaphysique. Enfin « Salut voilà », portrait d'un père entre sensibilité et humour, dans lequel la précision du style et des éléments racontés suscitent tout à la fois émotion et drôlerie.
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12.00 €
Sonnés
BC
Ce que le confinement fait o la poèsie. Ce que la poésie peut faire avec le confinement. Le sonnet comme autorisation de sortie.
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13.00 €
Syrie, l'invention de la guerre suivi de Sednaya
BC
Relevant de " l'art documentaire " (Carole Talon-Hugon) ou d'une " factographie " (Marie-Jeanne Zenetti), ce livre de poésie est composé de deux récits d'investigations complémentaires dont l'ambition serait de produire un savoir inédit sur le conflit qui sévit en Syrie depuis 2011. Syrie, L'invention de la guerre (qui donne son titre au livre) se concentre sur les événements qui ont eu cours tout au long de l'année 2013. Fondée sur des " Rapports de la commission d'enquête internationale indépendante sur la République arabe syrienne " — soumis en application de la résolution 22/24 du Conseil des droits de l'homme des Nations unies, cette série de récitatifs s'intéresse aux protocoles de production, d'attestation et de transmission de la vérité des documents sources et, dans une perspective forensique, tache d'ouvrir des points de vue et des lignes de dire pour essayer de renouveler la valeur discursive et démonstrative des représentations de la guerre. La seconde partie du livre s'intitule " Sednaya " et se concentre sur cette prison d'État située à 20 kilomètres au nord de Damas où des milliers d'opposants au régime syrien y trouvent la mort, sous la torture ou exécutés par pendaison. Cette fois, à partir de plusieurs types de rapports officiels émanant des sphères juridique et diplomatique (Amnesty international, Observatoire syrien des droits de l'homme, commissions d'enquêtes internationales), s'organise un récit qui tache de rendre compte des états de faits établis au sein de la prison en reconstituant le " parcours " des victimes depuis leur arrivée en détention jusqu'au jour de leur mort. Ce texte de Frank Smith se propose de "dérouter la politique par la poésie" en reprenant les Rapports de la commission d'enquête internationale indépendante sur la République arabe syrienne, illustrant ce que Goldsmith revendique : un " geste d'écrire [ qui] est un transfert littéral de langage d'un lieu à un autre, proclamant que le contexte est le nouveau contenu ". Il ne s'agit pas tant ici de montrer et mettre à disposition une masse de documents que de permettre de la voir, de se familiariser avec, de " mettre en évidence " et " rendre manifeste ", à partir d'un traitement et d'une expérimentation singulièrement poétiques. Le texte explore les effets détonants que peut produire le simple déplacement d'un même texte, dès lors qu'il se voit attribuer un nouveau public, un nouveau statut, un nouveau voisinage, un nouvel horizon d'interprétation, de nouveaux branchements institutionnels, avec chaque fois de nouvelles attentes, de nouvelles normes éthiques, de nouvelles formes de sensibilité et de nouvelles implications politiques - bref, de nouveaux effets de sens. Frank Smith a travaillé à France Culture, il est cinéaste.
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20.00 €
Tache jaune Monochrome bleu Sorte de blanc
BC
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14.00 €
Tchernobyl, récits
BC
« Quand j'avais dix ans, le réacteur n° 4 de la centrale nucléaire de Tchernobyl a explosé. Ce printemps-là, le vent d'est a apporté de grandes quantités de retombées radioactives dans la région du centre de la Norvège où j'ai grandi. Nous étions trois soeurs en train de jouer sous la pluie chargée de césium 137. Mes soeurs ont dû se faire enlever la thyroïde, elles portent à la gorge une cicatrice en forme de bijou." Approchez votre oeil. Collez-le à la lorgnette. Voici le kaléidoscope de Tchernobyl. Hommes, femmes, enfants, babouchkas, adolescents fringants, futures épouses, chiens, esprits, tous vous racontent, à la première personne, l'après-Tchernobyl. Un réacteur, mille vies irradiées, parfois pour le meilleur, quasiment toujours pour le pire. Dans ce texte, Ingrid Storholmen a quitté sa poésie habituelle pour nous livrer un récit poétique polyphonique à la limite de l'étude sociologique, un entremêlement de poignants lambeaux.
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16.00 €
Tournant Le Dos À
BC
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12.00 €
Trajectoire déroutée
BC
« Des traversées - de l'air et du corps. Regarder le temps par-dessus son épaule ». Un texte d'une grande force qui évoque l'absence, le souvenir, mais aussi l'oubli du corps dans la lumière de l'instant.
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14.00 €
transparaître
BC
Séverine Daucourt est poète. Ses trois derniers livres, Salerni, À trois sur le quivive et Dégelle, publiés aux éditions de La Lettre Volée (Bruxelles), convoquaient les notions d'altérité, d'identité sexuelle, de corps et de féminité, à travers une possible érotisation de la langue. L'auteure tente à présent de circonscrire, à partir de son expérience et dans un style frontal et accessible quoique toujours poétique, ce qui fait perdurer le "drame féminin". Sa voix, nue et franche, affirme autant qu'elle questionne, se brise autant qu'elle résiste, énonce mais n'accuse pas. Transparaître serait-il un poème politique qui s'adresse, sans les confondre ni les opposer, et aux femmes et aux hommes ?
Disponible
15.00 €
Transparaître
BC
Séverine Daucourt est poète. Ses trois derniers livres, Salerni, À trois sur le quivive et Dégelle, publiés aux éditions de La Lettre Volée (Bruxelles), convoquaient les notions d'altérité, d'identité sexuelle, de corps et de féminité, à travers une possible érotisation de la langue. L'auteure tente à présent de circonscrire, à partir de son expérience et dans un style frontal et accessible quoique toujours poétique, ce qui fait perdurer le "drame féminin". Sa voix, nue et franche, affirme autant qu'elle questionne, se brise autant qu'elle résiste, énonce mais n'accuse pas. Transparaître serait-il un poème politique qui s'adresse, sans les confondre ni les opposer, et aux femmes et aux hommes ?
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15.00 €
Transparaître (encore)
BC
Livre, disque dématérialisé et spectacle, Transparaître (encore) est un projet hybride, littéraire et musical, à la frontière de la pop la plus minimale et du spoken word. C’est un manifeste poétique, politique et sociologique du plaisir, de la douleur et de la violence archaïque d’être femme : être femme et être libre ; être femme et désirer, aimer, travailler ; être femme et vieillir. Le texte, écrit et adapté par Séverine Daucourt en trois versions, l’une pour la page, l’autre pour la musique, la dernière pour la scène, dénonce le jeunisme et célèbre la persistance d’un droit au rêve pour tous les âges. Entre mélancolie inquiète et exaspération sociale, il est porté par la voix de l’autrice, qui se distingue des discours politiques en incarnant une poésie acérée, épurée, mais non moins féministe. Ce livre concept est la suite de Transparaître, publié en 2019 (retirage en 2020) aux éditions Lanskine, long poème explorant le « drame féminin », puisant dans le biographique autant que dans le sociologique, dont Guillaume Lecaplain dira, dans le journal Libération : “C’est un peu le King Kong Théorie version poésie. Transparaître exprime la même rage, le même féminisme, exorcise (à peu près) les mêmes histoires que le brillant manifeste de Virginie Despentes.” La version musicale du livre a été réalisée par Armelle Pioline (Holden, SuperBravo) et Michel Peteau (Cheval Fou, SuperBravo). Ils ont mis leur talent au service des mots et de la voix de Séverine Daucourt, en composant et arrangeant un album aux incursions multiples et décomplexées, allant de l’électro artisanale au minimalisme le plus éthéré. On pense à Brigitte Fontaine, on pense aussi à Laurie Anderson.
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12.00 €
Transport commun
BC
Qu'il s'agisse de voyage ou de traversée, d'amour ou d'ambition,Transport commun nous achemine entre politique et intime, intime et universel, toujours avec la violente franchise qui caractérise l'écriture de Rim Battal. Tanger, où se côtoient l'occidental voyageur et la misère des habitants, Melania Trump,ou la sainteté de la playmate, ou encore la vie d'une jeune femme, l'amour, la maternité, tels sont les thèmes qui parcourent le livre. Rim Battal a été distingué par les Inrocks comme l'une des 10 jeunes poètes qui comptent.
Disponible
13.00 €
Transport commun
BC
Qu'il s'agisse de voyage ou de traversée, d'amour ou d'ambition,Transport commun nous achemine entre politique et intime, intime et universel, toujours avec la violente franchise qui caractérise l'écriture de Rim Battal. Tanger, où se côtoient l'occidental voyageur et la misère des habitants, Melania Trump,ou la sainteté de la playmate, ou encore la vie d'une jeune femme, l'amour, la maternité, tels sont les thèmes qui parcourent le livre. Rim Battal a été distingué par les Inrocks comme l'une des 10 jeunes poètes qui comptent.
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13.00 €