Larmes de slam
BC
Jack le moine est un chansonnier, un artisan de langue outragée et déchirée, sa poésie est psalmodiée, gazouillée et hurlée Jack le moine chante. Sa voix nous caresse et nous réveille. Il faut l’entendre. Il danse. Il se bat. Il nage dans la lumière. Comme un Last poet. Il invente sa chanson. Sa glotte provocatrice éjacule, provoque, surine ou égorge. Hors contrôle et hors norme, mal pensant et voyou. Sa rue en rut est un tout-à-l’égout rouge. Un évier de bière dans lequel il répand ses tripes, ses toiles et étoiles. Devant les miroirs qu’il casse, il insulte, offense et outrage. Continuons : Jack le moine est un chansonnier, un artisan de langue outragée et déchirée. Un fondateur d’horreur et de chant renversé. (extrait de la préface de Serge Pey)
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15.00 €
Le bloc de peine
BC
De courts textes chacun tient dans une page. Dans ce bloc, dense, compact, et dans cette légèreté pourtant, ce flux, cette coulée de larmes : je crois n'avoir rien découvert d'aussi beau depuis les élégies de Rilke. Sans doute est-ce parce que cela « tombe » en prenant son essor, en se mêlant aux nuages, aux étoiles, à la volubile floraison du sang. (extrait de la 4ème de couverture de Lionel Bourg).
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16.00 €
Le bûcher sera doux
BC
Recueil de poèmes. De courts textes qui s'appuient sur de simples faits de la vie de tous les jours. Ce monde qui relève de nous tous, est traité dans une langue poétique qui lui assure une forme rare de grandeur du quotidien.
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16.00 €
Le Chant du terrestre
BC
Un recueil de louange au vivant, écrit dans les deux années qui ont précédé la pandémie. Son regard sur la nature exprime tout à la fois les blessures infligées à celle-ci par nos sociétés et l'espoir qu'elle représente depuis toujours pour chacun de nous.
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16.00 €
Le Dictionnaire des sérénités
BA
Une mélodie exhalée par une flûte solitaire qui aurait vaincu la mort ...l’occasion d’un voyage, vers un lieu où l’amitié / rayonnait depuis près d’une moitié de vie / Lieu cher, parmi les hêtres et les charmes, / les mares et les chemins de terre, / M’a rendu la présence de la poésie / (Comme on rend à quelqu’un qui pensait l’avoir perdu/ Un objet dont il commençait d’accepter la disparition) /.. … le souvenir de cette heure de paix, de cette heure / qui avait transmué la mort / De cette heure de l’oiseau inconnu, un aigle, désormais, / pour moi / De ce moment heureux — ici aussi, c’est le mot le plus juste — / Fut, je le mesure maintenant l’ingrédient nécessaire / à l’émergence, à la réémergence, de la poésie /
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17.00 €
Le français, langue des droits de l’homme ?
BC
Les langues naissent et demeurent libres et égales en droits – y compris en droit d’exprimer les droits de l’homme Cet ouvrage est une réédition d’un essai paru en 1998. En cette année riche en commémorations liées aux droits humains – Édit de Nantes (1598), abolition de l’esclavage (1848), J’accuse... ! d’Émile Zola (1898), Déclaration universelle des droits de l’homme (1948)... –, Michel Rocard est, à quelques jours de la Journée internationale de la Francophonie, sollicité par la Fondation La Poste et la Direction régionale des affaires culturelles de Rhône-Alpes pour livrer ses réflexions en réponse à l’interrogation suivante : « Le français, langue des droits de l’homme ? ». Pour Michel Rocard, c’est sans conteste en français qu’a été précocement formulé ce qu’il est convenu d’appeler désormais les « droits humains ». Mais, tout autant que leur affirmation, la négation de ces droits s’exprime aussi dans notre langue. Par conséquent, aux yeux de l’auteur, l'avenir du français dépend surtout du dynamisme de notre langue dans le mouvement du monde et de sa capacité à prendre en compte les évolutions de la société contemporaine. C’est la stimulante intervention de l’ancien premier ministre que le présent ouvrage donne à lire, accompagnée d’une postface permettant de mesurer tout à la fois, un quart de siècle plus tard, l’actualité de son texte et les évolutions qu’a connues, depuis 1998, la question des droits culturels.
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13.00 €
Le jour qui revient
BC
Un frémissement, les rides soudaines du vent. Recueil composé de cinq parties : /L’ardeur/ /Carnet/ /Vertiges pour rien/ /Nuits/ /Passages/ /Ô bonheur,/ dans les pensées abruptes/ au crépuscule d’or gris,/ tout a surgi de l’instant,/ nul ne s’est retourné,/ tout se dissipe./ /Ils sont chassés,/ ils s’en vont,/ ils craignent./ Vont,/ cherchent à s’arrêter./
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16.00 €
Le Labyrinthe hermétique
BC
Le Labyrinthe de l'Alchimie nous amène au point central où tout est un. Ce livre s'adresse avant tout aux Adeptes qui ont su pratiquer l'Alchimie opérative au fourneau, en la Voie végétale ou en la Voie métallique pendant des années, jusqu'à obtenir des matières avancées. C'est alors que, par la pratique de l'Alchimie interne, ils ont compris qu'ils devaient emprunter la Voie Sacerdotale pendant dix-neuf années, jusqu'à découvrir, avec l'aide d'un parcours sincère et profond en la Chevalerie mystique, la véritable Materia Prima et surtout les poids et mesures nécessaires à la transformation complexe de cette matière. C'est alors que l'Alchimie véritable, qui est au-delà du spirituel même et que l'on nomme Alchimie initiatique, peut enfin commencer à se révéler, au cÅur de la Messe, en une Pierre philosophale capable d'incarner le Graal, au fond du Calice, pour le passage à la Transfiguration. Douze chapitres exposent les Douze Portes en prenant appui sur une bibliographie de référence.
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18.00 €
Le Livre De Yanis - Livre Rencontres Dans Les Ecritures Avec Patrick Laupin
BB
Yanis créa toutes ses écritures et ses pastels à l'hôpital de jour Jean Dechaume de septembre 2012 à juin 2013. Il avait alors huit ans. Ses carnets écrits, son livre, méritent l'attention de tous. Il y a une telle beauté, et une force, un héroïsme naturel, dans ses créatures d'art qui surgissent tout droit au contact, qu'elles touchent plein centre le miracle d'invention de l'enfant qui explore le mystère du monde. Ses mots sont des natures vivantes de rêve, de chair et de couleur, qui animent en profondeur les appuis et les pesanteurs de sa vie terrestre. Il a une telle faculté de joie, une aptitude au bonheur, il parle un coeur, le sien. Il va droit au but et s'émerveille avec la volubilité de l'enfant qui parle tout haut et tourne ses mots dans sa bouche pour se rassurer et s'étourdir. Avec la vitesse de pierre lisse des galets d'un torrent. Je remercie Séverine, la maman de Yanis. Autorisant la publication de ce livre elle témoigne d'un grand geste d'amour et de confiance pour le talent de son petit garçon et pour tous les lecteurs qui viendront. Elle permet que chacun puisse ressentir pour lui-même en laissant venir ces mots, ces phrases, ces noms, ces gestes, toute cette musique et son audition colorée, toute cette tendresse magique de touche du seul et unique acte magnifique de vivre.
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19.00 €
Le Matin des Pierres
BC
Le poème de Guillaume Dreidemie vient à nous comme une peinture : Difficile de croire en nous / lorsqu’on nous regarde Le matin du regard dans le coeur des pierres esseulées, le poète suit la lumière qui nous dévoile, nous fait don de l’immobilité du paysage, du tremblement dans le passage. Les poèmes se déroulent autour du Refrain, Murmure, Vertèbres et Retour
Manquant sans date
14.00 €
Le monde entier
BC
Aujourd'hui j'écris des scènes, le mot est de ma femme, il lui plaît, à moi aussi. Ce sont de petits moments de regard, de voix, des morceaux de paroles, plus forts que d'autres, agréables ou pas, que je rencontre, que je glane, lors de mes promenades dans les rues, où pour moi se trouve le monde entier comme il s'est trouvé dans les vaches, que je note sur mes carnets, que je recopie plus tard au propre et que j'augmente toujours un peu. Il y a toujours une différence entre ce que j'ai vu et ce que je peux en écrire, ce n'est jamais la même chose. Ça ne peut l'être, maintenant je le sais. J'ai compris. Un roman, un auteur, une alternance de 9 brouillons dans le texte du récit, qui se déroule en courts chapitres. chaque chapitre nous ramène à la voix de l'auteur aux prises avec l'écriture de son roman.
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17.00 €
Le Pays incertain
BA
Loin des gesticulations littéraires et des célébrations de salon, il y a encore aujourd’hui une poésie qui sent le soufre, qui brûle la pensée et les nerfs, qui vous jette, haletant et hagard, sur des chemins inconnus où l’on marche avec « des sacs remplis de colère » et dont parfois, mentalement ou physiquement, on ne revient pas, tels Nerval, Crevel, Duprey, Bosc, Rodanski, Artaud, Prevel. Ces « suicidés de la société » n’écrivent pas pour écrire, mais pour ouvrir des brèches dans l’être et dans la vie, avec le couteau du désespoir et de la révolte. Souvent, on les rejette comme des pestiférés. On ne les entend pas. On ne les écoute pas. Il est vrai qu’ils ne parlent pas pour l’audience et les honneurs, mais pour quelques-uns, poètes et lecteurs qui forment ainsi une « société secrète de l’écriture », comme l’écrivait naguère le regretté Alain Jouffroy. Si Grégory Rateau fait référence et rend hommage à Jacques Prevel, poète largement méconnu, c’est dans l’esprit d’un compagnonnage posthume. Se reconnaissant des affinités, l’impression d’être lui aussi un « paria de naissance », il entremêle au fil des textes son destin au sien. Il y a ce même constat, implacable : la vie n’est pas la vie, du moins elle n’est pas ce qu’elle devrait être. Et il y a cette impuissance à pouvoir la changer, Rimbaud l’avait si bien compris. Que reste -t-il aux désoeuvrés de l’existence ? Les paradis artificiels, l’alcool, qui aident à fuir pendant quelques heures. Et puis il y a la poésie qui, à défaut de transformer le monde, a le pouvoir de révolutionner le regard. C’est cette voie qu’arpente Grégory Rateau. Il peut y exprimer sa compassion pour les damnés baptisés par la poisse, sa colère contre tous ces rois vaniteux de la culture, assis sans le savoir sur des trônes de paille, sa rage, sa révolte et sa soif absolue. Désespéré ? Certes ! Mais un homme qui crie son désespoir dans une société à bout de souffle est un homme vivant parmi les morts. (Préface Alain Roussel)
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17.00 €
Le Petit Invité
BA
Il arrive qu’un petit invité chuchote en songe je me suis enfoncée dans la forêt Livre de 81 poèmes. Il arrive, parfois, qu’un livre réponde à un autre livre ; qu’un petit invité chuchote en songe je me suis enfoncée dans la forêt. Petits cailloux placés, la neige dira, le sort réservé. Au verbe faire, illustré dans ces pages, le but est avoué : faire se reposer tout le vocabulaire. L’adjectif triste n’y sera pas délaissé non plus. On voit d’emblée où cela mène. Inutile d’insister. Et pour l’enjambement, je vous laisse le soin. C’est ligne de sorcière, entre prose et poésie. Vous trancherez.
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17.00 €
Le Petit Moi
BA
Le Petit Moi c’est notre plus petit commun dénominateur, c’est l’innocent que nous portons, ou qui nous porte, capable d’incursions soudaines dans une conscience qu’il ne maîtrise pas Livre de poèmes en 3 parties : • Adolescence du Petit Moi • Le Petit Moi Adulte • Le Rêve du Petit Moi
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18.00 €
Le poème que je t'écris
BC
Nicole Drano Stamberg – qui vient de nous quitter – et Georges Drano, tous les deux poètes et grands amis des poètes. Tous les deux jusqu’à présent, ensemble, dans la vie comme dans la poésie. Le poème que je t’écris est son libelle écrit par Georges devant la perte de Nicole « Dans le secret des branches derrière les feuilles pour rêver une part d’horizons » Georges écrit : « J’écris ce que je ne sais pas. La poésie est une écriture toujours recommencée à la recherche d’un langage vivant, ouvert et libre qui se construit à partir de la vie, des rêves et des aspirations. La poésie exprime plus qu’elle ne signifie. Très souvent la poésie est en rupture avec le langage convenu comme elle est en rupture avec la société qui sait parfaitement s’en protéger en la marginalisant ou en l’ignorant... » Là, tout est clair. Et clairement énoncé. Georges Drano maintenant nous attend. Au seuil du jardin. Devant la porte de la maison de Frontignan. De jour comme de nuit, il nous attend. Seul. Maintenant. Mais l’amour, fou, et la liberté, de ton, savent faire revenir jusqu’à soi les meilleurs souvenirs. Georges Drano nous attend déjà, au pied de son ouvrage ou au coin d’une page. Lisez-le sans tarder. / Lisez-le sans broncher. L’ AUTEUR. Georges Drano est né en Bretagne où il a été enseignant, devenant Conseiller pédagogique en Arts Plastiques pour l’Académie de Loire-Atlantique. Il s’installe dans l’Hérault à Frontignan en 1993. Auteur d’une quarantaine de recueil de poèmes, en particulier aux Editions Rougerie, il n’a jamais séparé la pratique de son écriture personnelle d’actions militantes liées à la défense d’un territoire ou ‘une culture. Avec sa compagne Nicole Drano Stamberg, poète, ils ont défendu les marais salants de Guérande à travers des actions sur le terrain et l’écriture collective de pièces de théâtre militantes : Presqu’île à vendre et Une autre fois dans l’Ouest.
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14.00 €
Le théâtre des présidents
BC
Donner à voir quelques aspects des relations que, de Charles de Gaulle à Emmanuel Macron, les huit présidents de la Ve République ont entretenues avec le théâtre : telle est l’ambition première de ce livre. Ce faisant, il s’agit aussi de célébrer les artisans des métiers de la scène en général. Par postulat initial, actrices et acteurs des spectacles ici recensés sont en effet considérés comme les représentants de l’ensemble de la corporation, à qui est ainsi rendu un hommage collectif. L’auteur s’efforce ici d’offrir au lecteur une vue sur des mises en scène de pièces, leur interprétation, leur réception par la presse, et aussi sur l’environnement administratif (notamment l’intervention du service du protocole de l’Élysée), le contexte politique particulier qui les ont entourées, l’action et les réactions des présidents à leur égard. COMMENT ? L’ouvrage révèle autant la personnalité et le comportement de nos dirigeants par rapport à l’art dramatique qu’il cherche à faire revivre sur le papier des spectacles, certains délibérément choisis pour représenter la France, d’autres distingués du simple fait de la présence présidentielle. L’ambition première de cet écrit est, comme celle du théâtre lui-même, de « divertir », sur le mode du divertissement « sérieux » – comme on parle de « jeu sérieux ». Le livre cherche ainsi à dévoiler un pan original de l’histoire de la Ve République qui n’a jamais été éclairé de cette façon concrète, au contact des rideaux de scène. Recourant à divers types d’archives (documents officiels appartenant au domaine public, issus du service du protocole de l’Élysée et consultés aux Archives nationales, articles de presse dus aux journalistes spécialisés, dessins et photographies), indiquant ou rappelant la teneur des pièces évoquées par des résumés de leur argumentation dramatique et le rappel de leur distribution, il entend offrir au lecteur une approche du « théâtre des présidents de la Ve République » à travers un entrelacs de mots et d’images, bref un mélange de spectacle et de politique. On peut alors parler de « politique-spectacle », conçue en un sens différent de l’acception habituelle, car se déroulant non dans les arènes parlementaires ou médiatiques, mais au sein même de salles de théâtre. QUI ? Universitaire et spécialiste de la socio-histoire de l’éducation, André Désiré ROBERT assure aussi, depuis 2010, la chronique théâtrale mensuelle du magazine culturel L’Ours (Office universitaire de recherche socialiste, lours.org). Spectateur depuis l’enfance, c’est en amateur éclairé de théâtre, et par ailleurs familier des archives, qu’il s’intéresse dans ce livre aux relations des présidents de la Ve République avec le théâtre. L’occasion pour lui de faire revivre des spectacles, rendre hommage à leurs divers artisans (metteurs en scène, comédiens, techniciens, etc.), restituer leur réception, dans les différents contextes politiques concernés, montrer l’usage qu’en ont fait (ou non) les divers présidents, le goût qu’ils ont eu (ou pas) pour cet art, et la signification que cela peut revêtir. Documents d’archives, photographies, dessins de presse, critiques se mêlent ici aux commentaires de l’auteur pour mettre en lumière un pan original de l’histoire du théâtre... et de la Ve République.
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18.00 €
Le théâtre, paraît-il, ne change pas le monde et ne sert à rien
BC
L'ouvrage réunit cinq brèves chroniques rédigées entre novembre 2019 et mai 2021, soit avant et pendant la pandémie de la Covid-19, dans lesquelles l'auteur, fort de son expérience d'administrateur culturel, livre ses réflexions et ses interrogations – parfois aussi ses humeurs – sur l'évolution du monde culturel et, notamment, du spectacle vivant, à l'heure de la mondialisation, du numérique et de la crise sanitaire. Sans jamais, pour autant, abandonner sa conviction que, en ces temps plus encore qu'hier, le soutien à la création et au partage des Åuvres constituent, pour la puissance publique, une « ardente obligation ».
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5.00 €
Le Vain Combat
BC
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20.00 €
Le Vent selon Bob Dylan
BA
Fragments, courtes proses poétiques, poèmes et chansons… composent cet ensemble tout entier dédié à Bob Dylan. Un véritable hymne à tous les vents (on peut bien ici mettre le pluriel) et au Prix Nobel de littérature 2016. Bob Dylan est vraiment partout présent, et pourtant il ne s’agit pas d’une biographie de plus. C’est en poète que Bruno Geneste habite le monde et qu’il nous dévoile, peu à peu, au fil des pages, en passant d’une langue à l’autre, ses propres secrets. Il perce avec ses mots à lui, ceux de la tribu des frères de la Côte, les mystères de la création, et nous entraîne presque tout naturellement dans le vent des passions du poète-chanteur. Voyage initiatique, sans doute. Voyage poétique, assurément. COMMENT ? La préface de Jean Azarel, pertinente et pleine de justesse, nous propose quelques clefs supplémentaires pour entrer dans cette oeuvre chorale qui prolonge geste du poète et nous inonde des ses lumières, poétiques et musicales. « Depuis plusieurs décennies, Bruno Geneste nous délivre le message d’une parole ciselée par le mouvement de la mer, la musique des vagues, l’éternité du sable. Un message de voyageur. De voyant. De parent proche consacré par les liens de l’eau et de l’air. » Avec Bruno Geneste, du murmure au cri, il n’y a qu’un chant.
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15.00 €
Le verger de mûres
BC
À la manière d'un journal de terrain, Françoise Fressonnet, anthropologue mais également cuisinière et psychologue, s'est immergée dans la société centrasiatique (Ouzbékistan, Kirghizstan, Kazakhstan et Tadjikistan), le plus souvent rurale, pour aller à la rencontre de femmes qui ont vécu successivement le communisme après le patriarcat, puis le post-soviétisme avec un retour de la tradition musulmane. Son but est d'observer et de partager leur vie quotidienne autour de l'économie domestique, du travail, des relations dans la famille et le couple, et de comprendre comment elles ont réussi à combiner les principes en apparence opposés, que sont ceux du communisme et de la religion, notamment en matière d'alliances.
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21.00 €